Cyril83

Entre TGV et TER, oui, mais pas entre TER et Intercités puisque ceux-ci sont également subventionnés... On peut d'ailleurs se demander pourquoi la garantie voyage s'applique aux Intercités.

Non puisque la période est déterminée par l'horaire du train Paris - Lyon et non par la correspondance.

Même si ton billet prévoit une heure d'attente, rien ne t'empêche si tu y arrives d'emprunter le train qui part une heure plus tôt. S'il s'agit également d'un TER tu seras en règle.

Si c'est comme pour la carte 12-25, la réponse serait oui, jusqu'à la veille de tes 28 ans. Mais bon, on verra le 24...

Tiens je ne savais pas que ces voitures ex-1ère étaient encore en circulation.

À suivre, donc... J'espère que les plus de 27 ans n'y perdront pas par rapport à l'actuelle carte Escapades.

Akiem deviendrait ainsi une activité particulièrement rentable, et en fin de compte, le Groupe SNCF ne conserverait que cette filiale (ainsi que VFLI et Keolis) pour revendre tout le reste.

Dès le 25 septembre, la carte 12-25 pourrait devenir la carte 12-27. http://www.francetvi...ncf_142465.html Je suis déjà trop vieux, mais bon, dans 31 ans j'aurai droit à la carte Senior.

RER A ?

Pourtant les points de vue contradictoires ont largement pu être exprimés... Y a-t-il des sources plus fiables ?

Pas d'accord. La bêtise n'est jamais justifiée, par contre elle trouvera toujours des prétextes pour s'exprimer, même sans grève ni droit de retrait.

Ne le dis pas trop fort. D'ici à ce que des IDbus Paris - stations de ski soient mis en place...

Figeac ?

D'autres moyens qui pourraient bien être tout simplement une grève avec préavis, non ?

Ce parking là je préfère ne pas le voir.

Je suis contre la privatisation mais mon avis ne compte pas puisque je ne prends pas le RER tous les matins. Sinon il me semble que la question assez bien formulée par notre modératrice préférée reste entière à ce stade de la discussion :

Le premier étage je ne sais pas, pour ce qui est du RdC, si on n'est pas dérangé par la saleté, on peut effectivement considérer que c'est mieux qu'avant.

Pourquoi me faire dire ce que je n'ai jamais écrit ?

Je trouve qu'on est quand même un peu loin des deux exemples cités sur cette page. Une question : est-ce que le "danger grave et immédiat" doit correspondre à une situation nouvelle ? Ce qui est le cas dans les deux exemples cités sur ton lien, pas dans celui des accidents de personnes. Par agent concerné.

C'est ce qui est prévu avec le carmillon, non ?

C'est donc bien ce que je dis : il y a de grandes chances que l'employeur ne tolère pas et saisisse le tribunal. Pas de quoi s'énerver...

Je partage ton point de vue ! Je ne vois pas où se trouve le risque de danger grave et immédiat (enfin je n'ai plus la formulation exacte en tête, mais c'est à peu près la motivation que doit avoir un droit de retrait). Ajoutons que : - Face à un refus de prise en charge comme accident du travail, il existe des voies de recours légaux (tribunaux...). C'est long, pénible, coûteux... mais que font les salariés confrontés à la même situation dans une entreprise "normale" ? - Quel qu'en soit le motif, la grève est un droit... pour autant qu'elle se fasse dans les règles. J'en arrive à une remarque qui va fâcher encore plus : avec ce type de démarche (arrêt de travail à la légalité plus que douteuse), il ne faut pas s'étonner que les usagers en ont ras-le-bol et finiront par appeler de leurs voeux une privatisation, parce que si les conditions d'exploitation ne seront pas meilleures avec le privé, ça m'étonnerait bien qu'une entreprise privée tolère ce genre de droit de retrait.

Certains guichetiers montrent au client les billets qui viennent d'être imprimés. Cette pratique reste hélas peu répandue. Lorsque le guichetier remet les billets sous pochette, on voit mal le client ouvrir la pochette devant lui pour vérifier. Personnellement je vérifie mais une fois sorti de la boutique et de la gare.

Avec une différence : les frais de déplacement ne sont pas inclus dans le montant de l'emprunt bancaire.

En cas de privatisation, le nouvel exploitant devra reprendre le personnel, et les agents auront le choix entre ça et aller chercher du travail ailleurs. Ainsi il y a fort à parier que le personnel sera quasiment inchangé. L'explication aux dysfonctionnements avec le nouvel exploitant sera donc toute trouvée : c'est la faute aux ex-agents SNCF.