Roukmoute

Tandis que toi tu généralises, fais des comparaisons inopportunes et es auto-persuadé de la quasi-infaillibilité du système ferroviaire français par rapport aux autres. 1 partout balle au centre. Lotrela

Tu veux que je te cite des cas où on passe de 120 à 40 sans contrôle ?

Et moi qui croyais/espérais que c'était prévu large...

Soit tu supprimes le conditionnel et tu sources l'info, soit tu m'expliques l'intérêt de ce message.

C'est bien : tu n'as pas donné l'année du mois de décembre.

Ce genre de réflexion est complètement effrayant. Un peu de modestie et de recul que diable ! Et quant à utiliser le mot "meilleur" qui implique la notion de compétition dans ce genre de circonstance, ça me fout carrément la nausée.

Je dois avoir un truc avec le permanent alors : il n'arrête pas de m'appeler lorsque je roule...

Qui ça ?

D'autant plus que le train sortait d'un secteur limité à 140 quelques kilomètres avant (St Michel sur Orge).

C'est ce qui fait mon charme.

J'ai masqué les messages évoquant le bon usage de la langue française à propos duquel je suis malgré tout très sensible mais qui alourdissent le sujet inutilement et font une entorse à la "nétiquette" en général.

Il peut même y avoir des voyageurs qui apprennent à isoler les dispositifs de sécurité pour prendre le contrôle de la cabine de conduite et aller s'encastrer dans des tours new-yorkaises un mur.

Merci à tous les contributeurs qui se reconnaitront de se calmer et d'éviter les attaques personnelles.

À propos du coût de l'entretien : dans mon secteur, deux chantiers* de RVB ont été confiés à des entreprises privées (je suppose moins chères que des sangliers SNCF...) qui travaillent en autarcie, le domaine ferroviaire ayant été isolé du reste du réseau. Résultat : des malfaçons en veux-tu en voilà et des mois voire semestres (au pluriel) de retard de livraison. Je suppose que c'est ça, le chemin de fer moderne. * Il y en a même un qui fait l'objet d'un sujet ici.

Pour info, des messages hors-sujet ont été masqués (sur le statut des conducteurs), merci de ne pas y revenir.

Moi je dis 1 et aucune chance pour le 2.

Je ne peux plus rien pour eux. ou lol au choix, c'est selon.

Il se situe où ? Au hasard, je dirais sur les quais des arrêts voyageurs et, dans ce cas, ce sont des repères d'arrêts. Me trompé-je ?

Sauf que c'était une anecdote pour illustrer (peut-être maladroite pour certains) et qu'on va éviter de faire un débat sur les voitures anciennes-qui-tournent-de-la-mort-et-que-ça-c'est-du-matériel Vs les modernes-qui-coûtent-cher-et-qui-valent-pas-un-clou-c'est-moi-qui-vous-le-dis-croyez-moi.

De toute façon, il suffit de ne pas répondre si le numéro qui appelle ne correspond pas à ce qu'on attend ! Quel teuteu va décrocher en conduisant (je fais déjà de la science-fiction) voyant (au choix) le numéro de son chef, de sa commande, du permanent machintruc, ou un numéro masqué (j'attaque la 8e dimension) ???

Il se trouve que dans certaines UP, le climat de confiance est la dernière préoccupation de l'encadrement. C'est comme ça et il faut faire avec (ou sans, c'est selon). La meilleure réponse dans ce cas précis est de rendre le téléphone pro/perso et de prendre un pro juste pour appeler le PAC ou faire du GSM/GFU si nécessaire.

Étant donné qu'on n'a pas attendu que les informations soient vérifiées pour dire que le conducteur (et tous ses semblables d'Europe) étaient des GI-Joe's inconscients (pardon, j'ai vu la fin du C dans l'air d'aujourd'hui), on peut se permettre de ne pas attendre la vérification de cette information pour la tenir comme vraie.

Ne renverse pas les rôles. Pour l'instant, c'est toi le pédant.

Non, ça n'arrive pas souvent, mais le cas a bien sûr été prévu et des procédures de mode dégradé sont mises en œuvre par les conducteurs et la gestion (du matériel et celle des circulations).