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Le Web des Cheminots

luxemburg

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Messages publiés par luxemburg

  1. Kerguel chez nous c'est meme les rails qu'on vole...

    http://www.laprovence.com/article/region/barbentane-quatre-hommes-tentent-de-voler-des-rails-neufs-stockes-dans-la-gare

    Barbentane : quatre hommes tentent de voler des rails neufs stockés dans la gare

    46 contributions Publié le mardi 29 mars 2011 à 08H08

    Les suspects ont été interpellés alors qu'ils découpaient les traverses

    Le stock de rails entreposés en gare de Barbentane qui avait attisé la convoitise des voleurs.

    Photo J.-L.P.

    Jusqu'à présent les voleurs de métaux s'attaquaient plutôt aux câbles, de préférence en cuivre, dont la valeur sur le marché noir n'a cessé de grimper ces dernières années. Parfois aux plaques d'égout en fonte. Voila qu'ils s'attaquent aujourd'hui aux rails. Le stade supérieur indéniablement, d'autant qu'il faut employer les gros moyens pour déplacer ces traverses en acier.

    C'est ce qui est arrivé la semaine dernière en gare de Barbentane. Sans l'intervention des gendarmes de la brigade territoriale de Graveson, nul doute qu'une partie des rails stockés en bord de voie ferrée se serait volatilisée. L'affaire remonte à mardi dernier. Vers 11h30, un camion-plateau muni d'une grue suivi d'un fourgon siglé "service" pénètrent le plus naturellement du monde dans l'enceinte de la petite gare désaffectée. Il est vrai que le câble interdisant l'accès au site avait été décroché, quatre cheminots travaillant en effet sur le site.

    Pas de quoi effrayer les intrus qui ont alors interpellé les employés, annonçant avec aplomb qu'ils venaient chercher des rails et avaient toutes les autorisations requises. Ils ont même lié conversation, offrant une bouteille de pastis pour le dérangement. Peu après, ils ont suivi la voie ferrée avec le camoin-grue jusqu'à un stock d'une cinquantaine d'unités neuves destinées à la maintenance de la ligne ferroviaire Avignon-Tarascon.

    Là, ils ont sorti de la camionnette un chalumeau oxydécoupeur et ont entamé la découpe des rails. Il faut dire que chaque traverse mesurant 24 mètres de long affiche un poids de plus d'une tonne. Un peu lourd pour quatre hommes. L'intervention des gendarmes alertés par les cheminots qui ont fini par trouver cette intervention pour le moins étrange, tombe pile poil, et l'interpellation des quatre individus s'est déroulée sans problème.

    Un homme de 48 ans, demeurant à Vichy, et exerçant la profession de ferrailleur, semble avoir monté ce coup soigneusement préparé. Un père et son fils demeurant dans la région de Carcassonne et un autre dans les Alpes-de-Haute-Provence, tous forains et actuellement en tournée dans la région, ont également été arrêtés. D'après les premières investigations, ils auraient été entraînés dans cette aventure par le ferrailleur.

    Les quatre suspects ont été placés en garde à vue, mis en examen et laissés libre sous contrôle judiciaire. Le substitut de permanence du parquet de Tarascon a demandé l'ouverture d'une information judiciaire. La justice soupçonne en effet l'équipe d'avoir commis d'autres faits de cette nature. Car, coïncidence ou pas, un stock de rails, toujours situé en gare de Barbentane, a déjà disparu récemment. Un butin énorme, chaque rail coûte à la SNCF plus de 1000 euros.

    Jean-Luc PARPALEIX

  2. Coté médiatisation, c'est en effet raté meme si cet article ne parait pas dans un quotidien national.

    Quand, je dis que cela apporte de l'eau au moulin FN, c'est que ça conforte l'opinion à croire la thèse tous pourris.

    http://www.laprovence.com/article/region/marseille-a-la-sncf-pour-les-bons-amis-ca-peut-sarranger

    Marseille : à la SNCF, pour les bons amis, ça peut s'arranger

    Publié le vendredi 25 mars 2011 à 07H40

    Refuser une contravention, avec la SNCF, oui, c'est possible ! À condition d'avoir des relations...

    Refuser une contravention, avec la SNCF, oui, c'est possible !

    Photo Reuters

    Refuser une contravention, avec la SNCF, oui, c'est possible ! À condition d'avoir des relations... L'histoire se déroule le 11 mars dernier à bord du TGV Marseille-Paris. Lors d'un banal contrôle, les agents passent au scanner les titres de deux hommes assis en première classe. Bingo:leurs cartes Grands Voyageurs n'ont pas été créditées.

    "Nos gars ont alors suivi la procédure classique, relève Bernard Cintosesi, délégué CGT. Toute personne doit avoir un ticket valide. Sinon, nous dressons une contravention." Moins habituelle sera la réaction des "fraudeurs". Se présentant d'emblée comme un "très bon copain" de Guillaume Pepy, le président de la SNCF,l'un d'eux, qui se révélera être Pierre Coppey, le P.-d.g. de Vinci Autoroutes, envoie illico un mail à "la direction" parisienne.

    En un temps record, le message redescend jusqu'à faire sonner les téléphones des contrôleurs. Au bout du fil, la direction régionale : "Ils nous ont demandé de cesser d'importuner les contrevenants. Ils ont précisé que l'ordre venait de la présidence." Un passe-droit qui fait grincer des dents dans une société en pleine logique d'économies budgétaires.

    "Ce deux poids deux mesures est inacceptable !", s'irrite Bernard Cintosesi. À l'heure où on exige de tous des sacrifices, la direction rétablit les privilèges." Contactée, la société Vinci se retranche derrière une "erreur informatique de la SNCF", dont l'entreprise publique n'a jamais entendu parler. Cette dernière, en effet, sert une toute autre explication : "Ils avaient confié à leur agence de voyages le soin de faire les réservations. Mais elle n'a pas effectué la démarche. Les clients étaient donc de bonne foi en pensant avoir payé..."

    Pourquoi, dans ce cas, avoir accepté de leur épargner une contravention, au détriment de la SNCF, plutôt que de les laisser présenter la note à l'agence fautive? "Il s'agit de gros clients, tente la société. Parfois, les contrôleurs doivent apprécier les situations." En gros, pour les bons amis, ça peut s'arranger.

    Laurent D'ANCONA

  3. Pourquoi, t'es passé par un délégué pour écrire au DRH?

    Ce coup ci, passe par La Poste avec un pli récommandé avec accusé de reception.

    Tu verras bien, ce que l'on te réponds.

    Demande à tes collégues s'ils seraient prets à te faire des photocopies de leurs fiches de paye afin de monter un dossier pour aller aux prud'hommes.

    Apres dur de te répondre sans connaitre tous les tenants et les aboutissants.

    par exemple,la boite a t elle eu des le départ le nombre de CRL correspondant à sa demande, ou, a t elle fait des incitations financieres à certains pour aller à Longueville?

    T'es le seul à n'avoir rien touché?

  4. Easytake???? Ceux qu'on attendait 2heures (en moyenne, record à 3h30 quand même, moi j'ai poireauté 1h) à Clésud???

    Organisation hors norme: ils avaient accepté la course à 5h20 à Clésud alors que les chauffeurs ne commençaient leur journée qu'à 5h à Avignon.... 90km en 20mn, çà ne le faisait pas et la course était zappée. Cà a duré 15 jours et retour aux taxis de MAS....

    Un soir, ils ont aussi oublié la course.... 2h30 de retard au départ pour le 4992.....

    C'est quoi, les taxis de Miramas, l'easytake local?

    Ceux qui roulent en fiesta?

    C'est dur de mutualiser des taxis quand chaque activité travaille avec des sociétés differentes.

  5. ici, les acst et le crl ont leurs commandes distantes de .... deux portes

    on arrive à avoir des taxis mutualisés (en roulement), mais en fac, pas la peine, trop la galère pour se faire payer disent les taxis.

    j'ai déjà vu deux taxis partir de perrache à 5 mns d'écart à 4h du mat pour amener deux mécanos (en roulement) de deux dépôts différents .... au même endroit.

    quant à ajouter des "squatteurs" dans un taxi, ça se fait, mais en cas de pépin, c'est pour le taxi car il a un contrat NOMINATIF (il transporte mr X, pas bidule ou truc en plus)

    certains taxis lyonnais sont plus qu'à cheval là dessus (un collègue de réserve s'est vu refuser la course parce qu'il n'était pas la personne prévue initialement !!)

    La société de taxis en question a tellement pris la SNCF pour une vache à lait qui ne pouvait se passer d'eux qu'aujourd'hui, ils ont déjà perdu environ un tiers des courses.

    Dès qu'easytake s'implante à Lyon, ils perdront le reste.

  6. Le meme voyage relaté dans la Provence le 9 mars: http://www.laprovence.com/article/region/marseille-macon-a-320-kmh-sur-les-rails

    Marseille-Mâcon à 320 km/h sur les rails

    17 contributions Publié le mercredi 09 mars 2011 à 15H45

    Iris, un train bardé d'électronique détecte les anomalies. Nous avons voyagé à son bord. Reportage à grande vitesse.

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    Iris parcourt à grande vitesse 240 000 km par an.

    Photo Thierry Garro

    Il s'appelle Iris et n'est pas un TGV comme les autres. À ce nom peint sur sa carrosserie, a été ajouté le chiffre 320. La vitesse commerciale maximale autorisée sur les 1500 kilomètres du réseau à grande vitesse qu'il a pour mission de contrôler une fois tous les quinze jours.

    Des axes prioritaires auxquels il faut ajouter les lignes classiques que les TGV empruntent également, mais sans dépasser le 200 km/h. Iris est un train de 200 mètres bardé de capteurs, de caméras et d'outils capables d'opérer des mesures par laser.

    Sa mission, telle que définie en 2006, année de sa mise en service au terme d'un projet longuement débattu, est de jauger dans des conditions d'exploitation normale et en temps réel, l'état du ballast, des rails, des caténaires, ainsi que des équipements de signalisation et de sécurité.

    "Avec ses 20 systèmes de mesure, Iris est un train unique. Il est les yeux de la maintenance des infrastructures. Il nous permet de prévenir des incidents", résume Guillaume Foeillet, responsable de la division ingénierie. À son bord, à peine une dizaine de passagers. Un équipage de techniciens et d'ingénieurs dont les journées se passent les yeux rivés sur des écrans et des graphiques qui défilent.

    Dans cet univers bruyant, ballotté et climatisé où tout est enregistré et stocké sur six serveurs informatiques, ils traquent l'anomalie et le cas échéant, analysent plus en détail. "À chaque tournée, l'objectif est de cerner la réalité au mieux et de lancer une alerte si besoin. Le premier niveau est sans urgence, au 4e c'est l'arrêt de la circulation" , poursuit Guillaume Foeillet.

    Devant son écran, au coeur de la rame, Charles Dewale est le chef de bord. "Mon rôle, c'est d'assurer la logistique. Mais c'est aussi de savoir très exactement où se trouve le train lorsqu'il détecte une anomalie". Pour cela, Iris dispose de moyens bien plus précis que le GPS, jugé "moins fiable". Ce besoin de précision se justifie aussi par la nécessité de recouper les tournées et les données dans le temps, ce qui permet de juger de l'évolution des infrastructures.

    Véritable laboratoire, Iris est aussi un lieu de vie avec ses cabines, sa salle de réunion et de formation, et bien sûr, sa cantine. "Mais ne dites pas que c'est un hôtel où l'on passe la semaine. La SNCF n'aime pas!", lance Guillaume Foeillet sur le ton de la boutade. "En fait, c'est pour le cas où le train doit rester en rase campagne". "C'est vrai, mais franchement on préfère dormir dans les foyers", complète Charles Dewales, certes passionné, mais pas mécontent de quitter cet univers confiné, l'escale venue. Il est vrai que la tâche d'Iris ne s'épuise jamais: chaque année le train avale ses 240 000 km. "C'est le prix à payer pour que la grande vitesse soit véritablement un argument commercial fiable et sûr".

    Jean-Luc CROZEL (jlcrozel@laprovence-presse.fr )

  7. Oui effectivement, le trafic de gaz s'arrete à la fin du mois, mais uniquement parce que c'est un trafic saisonnier, avec les beaux jours les italiens chauffent moins.

    Apparement, il serait très content de nous, comme quoi, il y a des sons de cloches differents.

  8. Bien .....et pourquoi ne pas tout simplement arreter tous les wagons à bogies?:blink:

    C'est un probleme d'essieux sur bogies, non ? et ils ont une vie bien indépendante de celle de la superstructure du wagon.

    A t'on arreté toutes les citernes gaz suite au deraillement mortel d'il y a quelques dizaines de mois en Italie ? le souci venait bien d'un essieu defectueux, sjmsb.....

    Fabrice

    GATX avait eu son certificat de sécurité retiré.

  9. ils disent que les machines ne peuvent faire que du FRET, ils ont oublié de préciser qu'elles peuvent aussi faire du voyageur, mais depuis la séparation des activités elles ne sont plus affectées au voyageurs, le FRET préfère les affecter à ce cimetière revoltages

    Dans un autre sujet il y a un délégué qui dit avec tout ce qu'on a de garé ici à Sotteville,

    il n'est pas normal qu'en PACA on supprime des trains.

    Je ne voyais pas très bien ce qui pourrait dépanner, car il n'y a ni 25600, ni 22200R garées.

    Depuis, j'ai compris c'est des bombardiers (Z27500)Haute Normandie que l'on a reçu pour palier aux défaillances des 25600 mdrmdr

  10. Pour MAS plus de RHR depuis juin 2010 plus de train GALOM dans mon roulement , mais possibilité de RHR en 2012 suite au

    travaux de l'axe MAC DN par detournement de 80% du fret par la bresse .

    Certains trains de gaz France Italie passent maintenant par Modane à la place de Vintimille.

    Il avait été question de nous ré-autoriser Amberieu, finalement on s'arrete à Sibelin

  11. Peux tu développé sur SJY

    Pas compris détruire sont RHR ?

    St Jory t'aurais pu laisser les fenetres ouvertes tout ton RHR, cela aurait toujours senti le renfermé.

    Vouloir faire minimum une heure de plus à la descente et une heure de plus à la montée pour venir dormir à Miramas à la place d'Avignon comme le demande bruno t'appele ça ameliorer son RHR? koiquesse

  12. Oui il y a bien la clim .

    La premier chose que je fais en entrant dans une piaule est justement d'aérer , car le renfermé non merci !

    Et combien ne la supporte pas .

    Je t'aurais bien vu RHR Saint Jory :closedeyes:

    Content pour vous que vous ayez un foyer digne de ce nom, de la à vouloir se détruire son RHR pour venir y dormir...

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