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luxemburg

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Messages publiés par luxemburg

  1. Soulignons cette phrase du message précédent :

    L'entreprise devrait desservir en priorité tous les clients du port en Poitou-Charentes et jusqu'à 300 kilomètres, mais n'exclut pas de pousser plus loin sur le territoire français.

    La proximité, c'est relatif... cartonrouge

    C'est comme les parcours terminaux effectués par les TA...

  2. http://www.laprovence.com/article/region/la-lgv-mediterranee-est-elle-sur-une-voie-de-garage

    La LGV Méditerranée est-elle sur une voie de garage ?

    Publié le lundi 11 octobre 2010 à 18H31

    Le préfet de région "pessimiste", le ministère des Transports rassurant.

    Infographie FLAUT

    Que face au panneau des horaires, un passager du Nice-Paris pense que décidément, il est "très pessimiste sur le devenir de la ligne à grande vitesse" censée réduire en 2023 la durée de son voyage de 5h38 à 3h55, passe encore ! Mais quand c'est un préfet de région qui lâche cette phrase dans La Provence, jeudi dernier, c'est tout le Landerneau politique régional qui tend la main vers le signal d'alarme. Sur le départ, après trois ans à ce poste, Michel Sappin a ajouté que "si on avait suivi l'idée de départ, on finançait. Et on démarrerait presque les travaux. On a été mauvais collectivement sur ce dossier". Sans préciser qui ce "on" englobe.

    Le maire de Nice ne se sent pas visé. "Ces propos concernent les élus des Bouches-du-Rhône", assure Christian Estrosi qui dit "partager l'analyse" du représentant de l'État, "regrettant simplement que Michel Sappin n'ait pas réussi à mettre d'accord" les élus provençaux. "C'est n'importe quoi", riposte du tac au tac Michel Vauzelle, avec d'autant plus de virulence qu'il "travaille main dans la main avec le maire de Nice" pour "défendre une ville dont l'aéroport est saturé et qui a absolument besoin" de cette ligne, "nécessaire pour toute la région". Le président socialiste de la région ne "comprend pas" davantage "comment un préfet de région peut dire que l'on a été mauvais collectivement" alors qu'un consensus a été trouvé "dans ce dossier sur lequel nous avons beaucoup travaillé" avec trois maires UMP, respectivement "vice-président du Sénat et ministres d'une majorité qui détient les clés du tracé et de sa réalisation".

    Au nom de la mairie de Marseille, le conseiller municipal Yves Moraine s'étrangle lui. "Ce n'est pas correct de la part du préfet. Oui, le chantier aurait pu démarrer plus rapidement, mais sur la base d'un mauvais tracé. Alors que le tracé des métropoles finalement retenu, soutenu dès le départ par le maire, dessert 80% de la population." Bref, personne ne veut porter le chapeau. Ni Estrosi, ni Vauzelle, ni Gaudin, ni Falco "qui s'est battu avec d'autres élus pour aboutir au choix du tracé", ni le cabinet de Jean-Louis Borloo, le ministre qui a donné son feu vert en juin 2009 à la LGV: "Nous n'avons pas d'information nouvelle sur le sujet."

    Faut-il pour autant s'inquiéter de nouveaux retards dans le calendrier, voire être "très pessimiste" sur l'ensemble du projet ? "Pessimiste à cause du tracé ou parce que l'État est en train de réduire ses investissements?, interroge benoîtement Yves Moraine. Si Michel Sappin a des information sur ce que l'État ne va pas faire, qu'il le dise carrément !" Le maire de Toulon Hubert Falco est "dans l'attente de la suite, notamment du plan du financement" dont il comprend visiblement la difficile mise en place "vu l'enjeu des sommes en jeu". Pour Michel Vauzelle, "on est toujours inquiet quand il faut trouver 15 milliards d'euros alors qu'il n'y a plus un centime dans les caisses de l'État".

    Le projet peut-il dérailler pour une question d'argent ? Le préfet du Var Hugues Parant, qui prendra bientôt la succession de Michel Sappin, sait quel dossier il devra ouvrir en priorité. Hugues Parant attend d'étrenner son nouveau fauteuil avant de s'exprimer publiquement. Seule autorité à se montrer hier rassurante : le ministère des Transports de Dominique Bussereau. "La ligne à grande vitesse Méditerranée est inscrite au schéma national des infrastructures des transports. Le tracé a été validé, le calendrier fixé. Sans sous-estimer les difficultés, rien n'indique que ce projet soit remis en cause." Ouf de soulagement ?

    Patrice MAGGIO

  3. Pour l'etablissement du PVAR d'un engin sur une ligne

    sont pris en compte :

    - Masse totale

    - Masse a l'essieu

    - Empatement

    - Type de bogie ( CC ou BB )

    Selon "l'agressivité" des engins sur la voie ou sur certains points sensibles

    tels que les ouvrages d'art, et le materiel en voie ( type de rails, categorie

    UIC etc etc ...) des vitesses limites sont instaurées sur la ligne ou sur

    certains points particuliers.

    Elements que j'ai eu hier au cours d'une conversation avec RFF :blush:

    Il y a aussi les capacités d'acceleration.

    C'est peut etre ce qui motive l'exmple de Necroshine, c'est en tout cas à cause de cela que certaines locs quand elles sont HLP, et les bombardiers sont limités en vitesses sur une partie de la rive droite du rhone.

  4. hé ben c'était bien cool (celle-là, c'est un éléphant dans un couloir !! pas très sportif, mais ça détend !) :cool:

    seul bémol : deux tables..., du coup, il y en a avec qui j'aurais bien aimé taper une bavette, et je n'ai pas pu (technicentre, par ex !) et puis, sans badges pour se reconnaitre, pas facile !

    une suggestion pour la prochaine : Gare de l'Est, la brasserie "les Tramways de l'Est" ?

    et puis zut, j'ai oublié mon capel dans le 9273 en descendant à Bidonville... nonmais

    faut dire qu'un léger manque de sommeil a rendu le réveil douloureux en arrivant à Dijon ! zzz

    Ton chapeau tu vas le retrouver aux objets perdus :blush:

    Comment on vas te reconnaitre sans ton couvre chef? mdrmdr

    Faut dormir à ton age!

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