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Le Web des Cheminots

luxemburg

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Messages publiés par luxemburg

  1. En ce qui me concerne, le fait de faire parti de ce pool me permet de conduire des trains que je n'aurais jamais eu l'occasion de faire en temps normal... Je peux cependant te donner mes éléments de paie en mp, je pense que tes fantasmes seront déçus, car s'il est vrai qu'il y a de bons mois, je gagne certainement moins bien ma vie que les détachés d'un dépot à l'autre parfois d'une même région. (Et la, personne n'y trouve rien à redire!) Je ne vois pas en quoi des trains "facs" non réguliers qui tombent parfois à la dernière minute te retire 20 à 30% de salaire... Je ne manque pas de respect envers les collègues dans leur luttes, même si je ne suis pas forcément à encourager les grèves au moment des départs en vacances. Désolé de penser parfois différemment, mais c'est à mon avis ce qui fait la richesse des échanges du forum.

    Mais vu la multiplicité de ces pools facs, et vu le grand nombre de candidats pour y accéder, tu n'a pas fini d'être déçu par nos collègues roulants!! Perso, j'assume à 2000%!

    Mais ce n'est pas parcequ'à chaque fois que j'ai envie d'intervenir sur un sujet que tu dois être obligé d'écrire "oui mais toi.... oui mais vu ton statut oui mais..." car personne ne m'empechera jamais de m'éxprimer. (Sauf la censure!) Cependant, c'est strictement du même niveau que les représentants de mon dépot, qui, comme tu l'a écrit un peu avant, "n'ont pas de droit de regard, n'ont pas été consultés" etc... On se demande qui commande dans cette boite!

    J'ai du mal à croire que vous n'ayez pas une prime minimum garantie égale à une prime d'un 120 +10%.

    Si tu ne vois pas en quoi, tu fais perdre des sous à un agent en FAC qui va resté inut parce qu'on t'envoie toi faire le train...

  2. Le 27010 était un train de colonies du CE PACA de la SNCF. Parti avec 1 heure et demie de retard de Nice, ce dernier accusait toujours un retard d'une heure à Dijon. L'heure d'arrivée était cependant respectée à son terminus parisien. La 7200 à finalement bien travaillé!

    La photo montre le 27010 sur une des voies nouvelles d'Austerlitz.

    Le bonheur des V160 tracé à 60Km/h pascontent

  3. C'est malheureux, je n'en disconviens pas. Ceci dit, pratiquement, quelle baisse de fréquence cela a-t-il imposé entre deux visites ? Et, pour coller au sujet, entre deux vérifications permettant de déceler un problème structurel sur un essieu ?

    Un visiteur c'est un agent spécialisé du materiel.

    Lorsqu'un train est formé, il le visite, c'est une RAT très approffondie avec un oeil expert.

    Un controle continu du materiel.

    Ces agents qui n'hesitent pas à arreter du materiel coutent cher. (Réparation du vehicule, immobilisation du véhicule et de la cargaison.)

    En les supprimant tu ne detectes plus les anomalies entre deux vistes kilometriques prévues du véhicule.

    C'est du risque calculé.

  4. Pourrais-je demander le rapport avec la choucroute ? Dans cet accident, la libéralisation ne joue aucun rôle : le train était un train FS, avec des mécanos FS sur un réseau entretenu par le groupe FS. Le wagon incriminé était certes privé, mais des wagons avec le marquage [P], il me semble en avoir vu bien avant la réintroduction des EF privées vers 2005 ; cet accident aurait donc pu avoir lieu tout aussi bien il y a dix ans...

    Que la liberalisation, ne joue aucun role, ça c'est toi qui le dit.

    Si tu as vu le reportage, on te montre des wagons circulant avec des avaries toutes EF confondues.

    Pour etre le moins disant, il ni a pas de secret, il faut rogner sur les effectifs, les salaires et... la sécurité.

    Avant que tu ne me pretes des propos que je n'ai jamais tenu tenu, la SNCF pratique la meme politique que ses concurrents.

    Il n'y a qu'a voir la chute des effectifs chez les visiteurs. Suis meme pas sur qu'en France, il reste des sites où il y en a encore en 3X8.

  5. Merci JL.

    Perso, je voulais juste connaitre le pourcentage de participation. Pas plus

    Il y avait eu sur la télévision suisse un reportage sur la liberalisation des chemins de fer, et les dérives sécuritaires que cela entraine.

    La conclusion était: premier pays où le ferroviaire a été libéralisé, l'Angleterre, second l'Italie.

    Premier pays où il y a le plus d'accidents ferroviaires: l'Angleterre, second: l'Italie...

  6. ok sur le principe que tu expose mais quand même......il fut un temps où on excluait pour moins que cela !

    Mais une fois qu'on a condamné , on fait quoi ? On retourne au turbin , la fleur au bec ......et sous prétexte qu'il y a des bons éléments à la cgt , plaisanterie , j'espère ?

    Ce n'est pas parce qu'il y a des bons qu'on doit tolérer les salopards ...!

    Par exemple , que vont faire les syndicats de base ? Motion ? etc....dire à Montreuil ...:

    "pendant 3 mois , les cotises , tu te les mets sur le front ?"

    Non , qlq "gus " vont écrire , vont gueuler et puis ...on va oublier .

    Comme bien d'autres choses.................. ! Comme Pierre .... :blink:

    Il y a trois ans, il y avait eu une "action" du meme type.

    La réponse sera la meme....

  7. Bonjour à tous,

    ECR fait également un trafic de "bois de tempête" au départ de Labouheyre (Landes) à destination de Tarascon. Ce trafic était à l'origine prévu par VFLI !!! Même VFLI était trop cher !!!

    Ils font également pas mal de trafic sur l'Allemagne. La cadence entre ces 2 destinations est de 1 à 2 trains par jour.

    Quant à FRET SNCF, 3 mois après le démarrage de l'opération "Bois de tempête", on cherche toujours des sillons, des locs, des mécanos, des moyens .....

    Parfois, j'ai honte de mon entreprise !

    VFLI dit le contraire ici

  8. Tremblement de terre du 11 juin 1909

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

    Aller à : Navigation, rechercherTremblement de terre du 11 juin 1909

    Date 11 juin 1909

    Magnitude 6,2

    Régions Massif de la Trévaresse, Bouches-du-Rhône, France

    Victimes 46 morts et 250 blessés

    modifier

    Le tremblement de terre du 11 juin 1909 fait référence à un séisme de magnitude 6,2 sur l'échelle de Richter qui s'est produit dans le Sud-Est de la France et qui détruisit les villes de Salon-de-Provence, Vernègues, Lambesc, Saint-Cannat et Rognes dans le massif de la Trévaresse en Provence (Bouches-du-Rhône). C'est le tremblement de terre de magnitude la plus élevée enregistré en France métropolitaine depuis celui de Roquebillière en 1654.

    Rue du Puits-du-Mouton (aujourd'hui rue des Frères-Kennedy) à Salon de ProvenceLe bilan humain fait état de 46 morts et 250 blessés. L'ampleur des dégâts matériels fut considérable puisque 2 000 constructions furent endommagées et ce pour un coût total de 2,2 milliards de francs.

    L'origine de ce tremblement de terre se trouve dans le rapprochement de la plaque africaine (plus précisément de la plaque adriatique) en direction de la plaque eurasienne au nord et qui a pour conséquence le plissement de la croûte terrestre, à l'origine de l'érection des Alpes, et la formation de failles engendrant les séismes.

    Depuis, aucune activité de forte ampleur n'a été à déplorer mais la vigilance reste de mise. Classée en zone II, soit à sismicité moyenne, cette région demande au préalable que les règles de construction parasismique soient rigoureusement appliquées.

    Sommaire [masquer]

    1 Séisme

    1.1 Secousses préliminaires

    1.2 Secousses principales

    1.3 Répliques

    2 Dégâts

    3 Témoignages

    4 Annexes

    4.1 Article connexe

    4.2 Liens externes

    4.3 Bibliographie

    4.4 Références

    Séisme [modifier]

    Secousses préliminaires [modifier]

    Plusieurs secousses préliminaires se produisent à divers endroits de Provence : le 26 mai 1909, au Puy-Sainte-Réparade et le 28 à Saint-Cannat[1]. Peu avant la secousse principale, le 11 juin, on remarque le comportement anormal d'oiseaux volant bas, avec des cris de frayeur, de chiens hurlant à la mort, et de chevaux piaffant[1].

    Secousses principales [modifier]

    Le 11 juin 1909, à 21h15, deux secousses très violentes ébranlent la Basse-Provence, et, plus particulièrement, l'est du département des Bouches-du-Rhône. La profondeur du tremblement de terre est évaluée à 10 kilomètres.

    Le 14 juin, on fait état d'un bilan de 43 morts. Le 15 juin, le sous-secrétaire d'État au ministère de l'Intérieur, M. Mauzan, sous les ordres du ministre Clemenceau, visite les villages détruits.

    Le 16 juin, le bilan est porté à 46 morts et plusieurs centaines de blessés. On évalue les dégâts, le 19 juin, à 15,5 millions de francs, dont 4,6 millions à Salon-de-Provence, 2 millions à Saint-Cannat et 1,55 millions à Rognes.

    Répliques [modifier]

    Dans les semaines suivantes, des répliques, parfois violentes, surviennent, jetant l'effroi parmi la population : le 10 juillet, à Meyrargues, les 12, 13, 14 et 16 juillet à Puyricard, Arles, Lambesc, Marseille et Toulon.

    La population, sous le choc, craint la violence des répliques et passe ses nuits à la belle étoile, sur les places ou dans les jardins publics, dans la crainte de l'effondrement de bâtiments. Ainsi, à Aix-en-Provence, « la place des Prêcheurs se remplit de gens dormant sur des matelas », comme en témoigne la mère d'un académicien[1].

    Dégâts [modifier]

    Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) : La toiture de la vermicellerie Augier s'effondre.

    Cornillon-Confoux (Bouches-du-Rhône) : Destruction partielle de l'église (écroulement du tympan).

    La Barben (Bouches-du-Rhône) : Destruction d'une tour du Château

    Le Puy-Sainte-Réparade (Bouches-du-Rhône) : Plus de vingt maisons détruites. Deux morts. L'eau devient boueuse dans plusieurs puits.

    Mouriès (Bouches-du-Rhône) : La partie supérieure du clocher est abattue.

    Pertuis (Vaucluse) : Dommages causés à plusieurs ponts du canal de Marseille.

    Rognes : dégâts considérables. Quatorze morts[2]. L'effondrement d'une bergerie provoque également la mort de 150 moutons.

    Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) : Dégâts considérables. Vingt mètres de murs du château de l'Empéri sont abattus.

    Venelles (Bouches-du-Rhône) : Le haut du village est rasé dans sa plus grande partie[3].

    Vernègues (Bouches-du-Rhône) : Effondrement du château. La quasi-totalité des maisons est détruite. Deux morts. Le village a depuis été rebâti plus bas.

    Témoignages [modifier]

    Plusieurs témoins du tremblement de terre en ont livré un récit réaliste :

    Alfred Émile Sorel, romancier : « Un vacarme de vaisselle qui tombe, un plancher qui fléchit, une supension qui se met à décrire un cercle fantastique, un grondement qui augmente et assourdit, des meubles qui roulent sur le sol ; enfin le fracas d'un bombardement, un obus qui éclate. Une voix, à mes côtés : "Un tremblement de terre". Cela n'a duré que vingt secondes ; il y a des instants où les forces se centuplent[1]. »

    Un habitant de Pertuis se trouvant à son cabanon(Archives municipales):"les arbres sont secoués comme si des enfants quand ils veulent en faire tomber les fruits. Les blés environnants agitent les épis en se heurtant font un bruit qui n'est ni celui du vent, ni de la faux".

    Annexes [modifier]

    Article connexe [modifier]

    Tremblement de terre

    Liste de catastrophes sismiques

    Liens externes [modifier]

    Témoignage de l'abbé Moreux

    Le séisme de 1909 à Rognes

    Note du commandant Spiess, membre de la Société Géologique de France

    Site officiel de la commémoration du centenaire du séisme

    Contexte géologique régional, études sismologiques et recherche de la faille active

    Bibliographie [modifier]

    Francis Brun, Liliane Larrea et Robert Larrea : Meyrargues au temps de nos grands-parents, éd. Mairie de Meyrargues, 1990.

    André Brahic, Michel Hoffert, André Schaaf et Marc Tardy : Sciences de la Terre et de l’univers, éditions Vuibert, 1999.

    André Dagorne et René Dars : Les risques naturels, PUF, collection « Que sais-je ? » n° 3533, 4e édition, 2005.

    Henri Joannet ... "et le 11 juin 1909, la Provence trembla!" (éd Alan Sutton,2008)

    Références [modifier]

    ↑ a  b  c  d  Deux siècles d'Aix-en-Provence, 1808-2008, éd. Académie des sciences, agriculture, arts et belles lettres d'Aix-en-Provence, 2008, p. 165-9.

    ↑ (fr) Site internet des amis du vieux Rognes. [archive]

    ↑ (fr) Page dédiée sur le site officiel de la mairie de Venelles. [archive]

    Autre lienhttp://www.seisme-1909-provence.fr/

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