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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. comme tu dis.

    J'te remettrai ces typoes à gratter du caillou...

    mais pas sûr qu'ils sachent par quel bout tenir une fourche !

    Il n' y aurait pas une petite place dans la "chaire" pour Marc Véron qui est sur le carreau depuis quelques jours :cool: : http://www.lexpress.fr/actualite/politique/grand-paris-marc-veron-quitte-la-presidence_1012314.html

  2. Un article de L'Expansion : Les autocars vont-ils vraiment pouvoir concurrencer la SNCF?

    http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/les-autocars-vont-ils-vraiment-pouvoir-concurrencer-la-sncf_259099.html

    Les autocars vont-ils vraiment pouvoir concurrencer la SNCF?

    Eurolines vient de lancer ses premières lignes de bus longue distance en France grâce à la mise en application d'une nouvelle loi. Mais le processus ne va pas très vite...

    22 euros un Nantes-Paris, 8 euros pour un Paris-Rouen... Cela fait longtemps qu'on n'a pas vu ça sur le site de la SNCF. Et pour cause, c'est Eurolines qui propose ces tarifs attractifs, de 50% inférieurs au moins à ceux de la compagnie ferroviaire. Il y a quelques jours, le spécialiste du transport international par autocars a ouvert à la vente ses six premières liaisons interrégionales en France (Caen-Paris, Rouen-Paris, Rennes-Paris, Rennes-Rouen, Nantes-Paris et Angers-Paris). En toute discrétion. Jusqu'à présent cette possibilité lui était tout bonnement interdite. La législation donnait en effet à la SNCF un droit de regard sur toutes les autorisations de lignes interrégionales. Ce que bien sûr elle refusait de faire, craignant l'émergence d'une nouvelle forme de concurrence.

    Résultat, en France aucun bus, aucun autocar, n'avait la possibilité de transporter des voyageurs de région en région, laissant tout le monopole du transport national à la compagnie ferroviaire. Mais la nouvelle loi sur le transport votée en 2009, et dont les derniers décrets d'applications sont parus en janvier dernier, est venue assouplir cette réglementation. Désormais, les autocars peuvent proposer des liaisons interrégionales, dès lors que ces liaisons sont accolées un voyage international plus long. Par exemple, le Nantes-Prague, faisant escale à Paris, pourra prendre des passagers sur la distance Nantes-Paris. Ceci dans des conditions encore très restrictives. Ce cabotage ne devra pas représenter plus de 50% du trafic ou du chiffre d'affaires de la liaison. En clair, il est toujours interdit aux spécialistes d'autocars de créer des lignes uniquement nationales. Eurolines en est d'ailleurs très conscient, puisqu'il explique vouloir seulement remplir les 30 à 40% de places vacantes dans ses autocars. C'était en effet l'une des exigences du gouvernement qui ne voulait pas rajouter des cars sur les routes françaises, pour des raisons environnementales évidentes.

    De quoi déstabiliser la SNCF? Pas vraiment. Car pour le moment Eurolines devra se contenter de 6 nouvelles lignes, contre les 500 qu'il projetait ouvrir il y a quelques mois. Les autorités "peuvent refuser nos propositions si elles estiment qu'elles mettent en péril l'économie régionale", expliquait récemment Céline Heller, la responsable marketing et communication d'Eurolines. Est-ce justement ce qui explique le nombre si faible d'autorisations accordées? Toujours est-il que les régions, qui consacrent chaque année quelques milliards d'euros aux transports ferroviaires, n'ont pas non plus intérêt à la désertion du réseau ferroviaire français. Pour l'heure Eurolines se refuse à tout commentaire, tant sur le nombre de réservations déjà enregistrées sur ces lignes, que sur la vitesse de déploiement des 494 autres liaisons prévues... "L'ouverture de trajet en cabotage sur lignes régulières internationales est soumise à autorisation, que nous avons reçue pour les six trajets ouverts à la vente le 8 juillet 2011", se contente d'expliquer Céline Heller. La révolution de l'autocar français n'est peut-être pas pour demain...

  3. Le Télégramme se réveille...

    Bretagne. A la recherche du mystérieux météore ...

    http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/bretagne/bretagne-a-la-recherche-du-mysterieux-meteore-19-07-2011-1375622.php

    Ils ont des chapeaux ronds, les petits hommes verts...

    Ce ne serait pas l'Ankou par hasard :Smiley_04:

  4. La rumeur, elle court, elle court...

    sur Ouest-France

    Marrant ... rien sur le Télégramme !

    Mystérieuse explosion dans le ciel breton.

    Pas un avion de chasse, pas un orage...

    Un train peut être ?

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Mysterieuse-explosion-dans-le-ciel-breton.-Pas-un-avion-de-chasse-pas-un-orage..._39382-1878513_actu.Htm

    Ah, les Celtes ; z'ont toujours peur que le ciel leur tombe sur la tête mdrmdr mdrmdr mdrmdr mdrmdr

  5. Le TGV français se prend une claque en Arabie Saoudite

    http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/le-tgv-francais-se-prend-une-claque-en-arabie-saoudite_259006.html

    Le TGV français se prend une claque en Arabie Saoudite

    Selon la presse espagnole, le projet de TGV entre Médine et La Mecque, estimé à 7 milliards d'euros, aurait été remporté par le consortium espagnol. Une défaite cinglante pour Alstom et la SNCF.

    Le TGV français vit une mauvaise passe. Selon la presse espagnole, le consortium espagnol candidat au projet de train à grande vitesse Jeddah-La Mecque-Médine en Arabie saoudite, estimé à 7 milliards d'euros, aurait remporté l'appel d'offres.

    Contacté par l'AFP, Renfe, un des leaders du consortium avec Talgo, Adif, OHL et huit autres entreprises espagnoles, n'a pas souhaité s'exprimer, renvoyant au ministère des Transports. "Le processus est très avancé, la candidature espagnole est en bonne position, mais ce n'est pas encore finalisé", a indiqué un porte-parole du ministère. Le journal El Economista affirme pourtant que le ministre lui-même, José Blanco, a confirmé lundi aux membres du consortium qu'ils avaient remporté ce contrat. Selon Cinco Dias, le consortium a aussi reçu "la confirmation officielle d'Arabie Saoudite".

    Le quotidien El Pais assure quant à lui que le partenaire saoudien du consortium espagnol a lui aussi reçu cette confirmation, avec l'invitation à discuter des derniers détails techniques au cours des prochaines semaines. L'attribution de ce méga-contrat, dont la valeur était d'abord estimée à 10 milliards d'euros et avoisine désormais les 7 milliards, était fortement disputée entre l'Espagne et la France. Elle a été l'un des sujets de discussion lors du déplacement en février du Premier ministre français François Fillon en Arabie saoudite.

    Les Espagnols pourraient avoir bénéficié du rabais de 30% qu'ils ont appliqué à leur projet, mais aussi de leur expérience en matière de grande vitesse, l'Espagne étant devenue en décembre le champion européen, en nombre de kilomètres installés, passant devant la France. Côté français, le consortium est composé d'Alstom et de la SNCF. Le projet consiste en la construction du train à grande vitesse (TGV) "Al Haramain" (les deux lieux saints), destiné à aider au transport des pèlerins entre Jeddah et les deux villes saintes de l'islam, soit 450 kilomètres de lignes.

    Le pèlerinage annuel de La Mecque attire quelque 2,5 millions de musulmans de par le monde pour un séjour de deux semaines en moyenne. Le consortium vainqueur fournira le matériel roulant et assurera la maintenance et l'exploitation de la ligne à grande vitesse pendant 12 ans.

  6. Ca y est ; ça roule controleursncf

    Autocars: ouverture de lignes nationales

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/07/19/97001-20110719FILWWW00223-autocars-ouverture-de-6-lignes-nationales.php

    Autocars: ouverture de lignes nationales

    Jusque là interdites, les sociétés d'autocars de type Eurolines ont désormais le droit de mettre en place des lignes nationales régulières. Le transporteur, jusque là spécialisé dans le transport vers les grandes capitales européennes à prix réduit, vient d'ouvrir six lignes nationales, révèle RTL : Paris-Caen, Paris-Rouen, Paris-Rennes, Paris-Angers, Paris-Nantes, et Rennes-Rouen. Le prix du billet varie entre 8 euros (Rouen-Paris) et 24 euros (Rennes-Paris).

    Ces prix attractifs ont leurs contreparties : il n'y a que trois allers-retours par semaine sur chaque ligne, et sur la plupart des trajets, le rail reste plus rapide que le car (6 heures pour un Paris-Rennes contre 2 heures en TGV).

  7. Quelques déboires pour les TGV chinois : http://www.lefigaro.fr/societes/2011/07/17/04015-20110717ARTFIG00200-la-chine-embarrassee-par-les-rates-de-son-tgv.php

    La Chine embarrassée par les ratés de son TGV

    Les pannes et les retards s'accumulent sur l'emblématique ligne Pékin-Shanghaï.

    On n'est pas loin de la «perte de face». Les malheurs du nouveau train à grande vitesse Pékin-Shanghaï font les gorges chaudes de toute la Chine, tandis que la presse se déchaîne et que les autorités tentent de limiter les dégâts. Il faut dire qu'il était mis en avant comme le symbole de l'éclatante réussite ferroviaire chinoise, prête à partir à l'assaut du monde. Or, les débuts sont calamiteux.

    La semaine dernière, les trains sont tombés plusieurs fois en ­panne. Les forums Internet et les journaux sont remplis de témoignages indignés de passagers racontant s'être retrouvés en rase campagne, bloqués dans des rames fermées et transpirant à grosses gouttes par la chaleur accablante de l'été. Le ministère des chemins de fer a dû promettre vendredi que ces problèmes allaient être «réglés» avec célérité. Son porte-parole, Wang Yongping, a présenté des «excuses». Et reconnu que la ligne avait connu des «douzaines de coupures de courant» et une série d'autres «problèmes». Les tempêtes estivales seraient les grandes responsables.

    Cette emblématique ligne de TGV a été inaugurée en grande pompe le 30 juin dernier, très fièrement avec «un an d'avance» et, tout aussi symboliquement, la veille du 90e anniversaire du Parti communiste. Elle était présentée comme le fleuron de la haute technologie nouvellement maîtrisée par la Chine, et une de ses armes pour partir à la conquête du monde. Le premier ministre, Wen Jiabao, avait déclaré la ligne «opérationnelle», avant d'embarquer à Pékin pour le premier voyage vers le Sud. Ce train doit relier les deux plus grandes villes chinoises, distantes de 1300 kilomètres, en moins de cinq heures. La construction de la ligne a coûté 23 milliards d'euros. En mars, le bureau d'audit de l'État a révélé que 187 millions de yuans (20 millions d'euros) avaient été détournés du chantier par des particuliers ou des entreprises.

    Des projets ferroviaires colossaux

    Les projets ferroviaires chinois sont colossaux. En 2009, il a été annoncé que 42 lignes à grande vitesse avaient été planifiées pour 2012, pour un investissement de 210 milliards d'euros. La Chine a déjà le réseau de ce type le plus grand au monde, avec plus de 8000 kilomètres de voies, et elle veut l'étendre à 25.000 kilomètres d'ici à 2015 et 50.000 kilomètres en 2020. Cette année, comme l'an dernier, Pékin devrait y investir 70 milliards d'euros. Depuis la fin de l'année 2009, le «train le plus rapide du monde » circule à 350 km/h entre Canton et Wuhan. Et en décembre dernier, la Chine a annoncé fièrement avoir battu le record mondial de vitesse avec une rame non modifiée, à 486,1 km/h. Mais de nombreuses voix émettent des doutes sur la viabilité économique de certaines lignes, moins stratégiques que celle reliant Pékin à Shanghaï. En février, les autorités ont décidé de réduire la vitesse des TGV chinois, à des fins d'économie et pour améliorer leur sûreté. Et le spectaculaire limogeage pour corruption du ministre des Chemins de fer Liu Zhijun, en février aussi, a relancé des spéculations sur un ralentissement des projets ferroviaires.

    En attendant, ce sont les compagnies aériennes qui se frottent les mains. On les avait dites condamnées - ou presque - sur cette liaison Pékin-Shanghaï. Les prix d'un aller simple en train varient entre 410 yuans (44 euros) et 1750 yuans (190 euros), selon les trois classes, contre environ 1300 yuans (140 euros) pour un billet d'avion en classe économique. Les transporteurs aériens avaient déjà commencé à baisser leurs prix, avec des réductions allant jusqu'à 65 % pour faire face à ­cette terrestre concurrence. Ils devraient ralentir un peu le ­mouvement…

  8. Novatrans débouté dans son litige avec RFF et Combiwest

    http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/42062/novatrans-deboute-dans-son-litige-avec-rff-et-combiwest.html

    Novatrans débouté dans son litige avec RFF et Combiwest

    Les demandes de Novatrans à l'encontre de RFF et Combiwest ont été rejetées à l'unanimité par l'Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf). Le gendarme du fer a fait connaître son avis le 12 juillet 2011.

    L'avis de l'Araf, l'autorité de régulation qualifiée de "gendarme de fer", a été communiqué le 12 juillet 2011, après une audience le 8 juillet 2011. Il rejette toutes les demandes de Novatrans à l'encontre de RFF et Combiwest

    L'autorité publique avait été saisie le 19 avril 2011 par Novatrans qui s'estimait lésé face à son concurrent breton. Selon la filiale de SNCF Geodis, Combiwest aurait bénéficié d'un traitement de faveur de la part du gestionnaire des infrastructures, Réseau Ferré de France (RFF).

    RFF accusé de partialité par Novatrans

    Novatrans considérait que RFF n'avait pas respecté "les règles d'impartialité et de non-discrimination qui pèsent sur lui" (terme de la saisine, ndlr) en attribuant à Combiwest un sillon plus matinal que le sien en début d'année 2011. Du coup, Novatrans jugeait aussi se trouver en position très défavorable pour l'appel d'offres d'Ecotrans (association de distributeurs et industriels) pour la ligne Rennes-Lyon.

    Ces arguments, qui avaient déjà été balayés par l'Araf à l'audience du 4 mai 2011 portant sur les demandes de mesures conservatoires formulées par Novatrans, sont à nouveau rejetés.

    Novatrans : un échec commercial ?

    Son avis final va-t-il stopper le bras de fer entre les deux opérateurs ? Novatrans va-t-il reconnaître que son retour sur la ligne Rennes-Lyon, une réaction épidermique au lancement de Combiwest, est un échec commercial ? Si Combiwest assure cinq trains aller-retour par semaine sur cette liaison, avec un taux de remplissage de l'ordre de 60%, Novatrans est à la peine.

    Certes, le choix d'Ecotrans peut modifier la donne. Reste que tous les observateurs en conviennent : il n'y a pas suffisamment de demandes pour deux opérateurs depuis et vers la Bretagne.

  9. http://www.paris-normandie.fr/article/faits-divers/evreux-le-train-a-eu-jusqua-4-heures-de-retard

    Evreux : Le train a eu jusqu'à 4 heures de retard

    Un éboulement de terre et la chute d'un arbre sur la voie ferrée, survenus hier, jeudi 14 juillet, aux alentours de 8 h du matin à Evreux (Eure) sont à l'origine du blocage puis du retard d'au moins huit trains de la SNCF.

    « La ligne Paris-Caen-Cherbourg a été principalement impactée », explique-t-on à la direction régionale de Haute-Normandie de l'entreprise. Les faits se sont produits à l'entrée du tunnel de la justice. D'après les premières informations, « une entreprise de travaux avait laissé une bouche d'incendie ouverte : le terrain détrempé s'est affaissé », explique-t-on à la SNCF. « La circulation a été coupée entre Mantes-la-Jolie et Evreux. Ensuite, l'une des deux voies a été dégagée par nos équipes de techniciens. Nous avons fait passer les trains mais en marche lente. »

    Huit trains ont subi des retards compris entre une et quatre heures. « Les autres, ceux qui ont suivi tout au long de la journée, ont eu de 20 à 30 minutes de retard. » L'opération de déblaiement de la voie ferrée s'est poursuivie hier soir. « Le retour à la normale n'est prévu que pour demain matin », soit aujourd'hui, vendredi.

    Une image pour aldo :Smiley_04:

    Où est prise cette photo ????

  10. Hier l'hypothèse d'un attentat était avancée. Cela ne semble plus être le cas.

    http://www.lepoint.fr/monde/quatre-vingts-morts-dans-un-accident-ferroviaire-en-inde-11-07-2011-1351352_24.php

    Quatre-vingts morts dans un accident ferroviaire en Inde

    Le train transportait environ un millier de personnes. Une quinzaine de voitures ont subitement déraillé.

    Le bilan du déraillement d'un train de passagers dimanche dans le nord de l'Inde, à 150 kilomètres de la ville de Lucknow (Uttar Pradesh), est monté lundi à 80 morts, selon de nouveaux chiffres donnés par la police. "Les opérations de secours sont maintenant terminées. Quatre-vingts corps ont été dégagés et 350 personnes sont blessées, la plupart sont soignées à l'hôpital", a indiqué Brij Lal, un responsable local de la police. Un ressortissant suédois figure parmi les personnes tuées dans l'accident, selon l'agence de presse PTI. Ce ressortissant suédois a été identifié par un autre homme avec lequel il voyageait, selon S. P. Bharose, un policier cité par PTI. Selon ce policier, un autre Suédois est porté disparu dans l'accident.

    Le train transportait environ un millier de personnes et une quinzaine de voitures ont déraillé alors que le convoi roulait presque à la vitesse maximum de 108 km/h, selon PTI qui précise, en citant un responsable de la compagnie de chemins de fer, que le conducteur du train est parmi les blessés. "Nous étions assis à notre place lorsque soudain tout a basculé", a raconté un passager à la chaîne de télévision CNN-IBN News Channel. "Lorsque le train s'est arrêté, nous avons brisé la vitre de la fenêtre pour sauter sur la voie", a-t-il ajouté. Des habitants des environs se sont précipités au secours des victimes aussitôt après l'accident, a indiqué l'agence.

    Le Premier ministre Manmohan Singh a exprimé dans un communiqué "sa profonde douleur et son émotion en raison de la perte en vies humaines" et s'est engagé à tout mettre en oeuvre pour porter secours aux victimes. Deux hélicoptères ont été envoyés sur place et un train spécial est prévu pour emmener les familles des victimes sur les lieux de l'accident, ont annoncé des responsables gouvernementaux. Le réseau ferré indien, géré par l'État, transporte 18,5 millions de personnes chaque jour et reste le principal moyen de transport longue distance dans ce vaste pays. Chaque année, on recense quelque 300 accidents. Jeudi, dans la même région, 38 personnes ont trouvé la mort dans une collision entre un train et un autocar ramenant les invités d'un mariage sur un passage à niveau non surveillé. Le plus grave accident ferroviaire jamais recensé en Inde s'était produit en 1981, lorsqu'un train avait chuté dans un cours d'eau, dans l'État oriental du Bihar, faisant environ 800 morts.

  11. Comme Dom et Rigolo, je trouve ceci tout à fait étonnant. Ca ne change rien, mais l'article d'Ouest France ne précise pas s'il s'agit d'un suicide ou d'un accident du travail.

    L'accident se serait produit le vendredi et des restes auraient été retrouvés le lundi par conséquent les pompes funèbres pouvaient encore intervenir je présume. Je dis ceci parce que j'ai déjà entendu une affaire un peu similaire : plusieurs jours après un accident de personne, des agents voie en tournée de surveillance avaient découvert un reste et après s'être rapproché des services de police et des services funèbres, il avait été répondu qu'il fallait se débrouiller à enterrer au besoin sur place. Ce qui avait été fait. Mon histoire date de la période 1985/1990.

  12. Un article d'Ouest France. Ca se passe surla région d'Angers :

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Le-cheminot-avait-du-enterrer-les-restes-du-corps-d-un-collegue_39382-1867139_actu.Htm

    Le cheminot avait dû enterrer les restes du corps d’un collègue

    Une histoire sordide. En 1997, ce cheminot angevin a dû enfouir un sac-poubelle contenant des morceaux humains. C’est son chef d’équipe qui lui en a donné l’ordre. Depuis, cet homme a sombré dans la dépression. Avant de pouvoir se confier quelques années plus tard. Et de saisir mercredi le conseil des prud’hommes de Paris.

    «Mon chef d'équipe a voulu qu'on les ramasse»

    « C’était un vendredi soir, se souvient-il, l’un de mes chefs s’était fait renverser par un TGV près d’Angers. Le corps en charpie a été restitué à son épouse. Le lundi matin, en retournant sur les lieux, on a découvert des morceaux du corps qui étaient restés là. Mon chef d’équipe a voulu qu’on les ramasse. J’ai refusé. L’après-midi, il m’a donné le sac-poubelle avec plusieurs kilos de tous ces lambeaux. Il m’a ordonné de les enterrer dans un terrain vague. À partir de ce moment-là, je suis parti en vrille. »

    Plainte pour inhumation sauvage

    En 2008, aidé de son avocat, Me Mickaël Boulay, il a porté plainte pour inhumation sauvage. Au cours de l’enquête ordonnée par le Parquet, le chef d’équipe a avoué. Mais les faits étant prescrits, l’affaire n’est pas allée plus loin.

    Mercredi, il va saisir le conseil des prud’hommes de Paris pour manquement à l’obligation de loyauté dans le cadre des obligations contractuelles. « Je n’attends pas de dommages et intérêts de la direction de la SNCF. Mais qu’elle reconnaisse au grand jour sa responsabilité. »

    « L’entreprise va tenter d’obtenir des informations sur ces faits relativement anciens qui risquent de choquer », affirme la direction.

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