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kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. Un article du Figaro : http://www.lefigaro.fr/sante/2011/05/19/01004-20110519ARTFIG00716-vers-un-depistage-de-l-usage-de-drogues-au-travail.php

    Vers un dépistage de l'usage de drogues au travail

    Le Comité d'éthique propose d'étendre les contrôles à tous les postes à risque pour la sécurité.

    Aujourd'hui très peu pratiqué, le dépistage de l'alcool et des drogues illicites en entreprise pourrait se banaliser dans les années à venir. Dans un avis rendu jeudi, le Comité consultatif national d'éthique (CCNE) ouvre en effet la porte à une utilisation à grande échelle des tests de détection. Selon le comité, aucun argument éthique ne s'oppose à ce que les employeurs recourent à des mesures de dépistage systématique ou inopiné, si le but est de garantir la sécurité de leurs clients et de leurs salariés.

    «La loi autorise actuellement ces contrôles, mais pour un nombre très limité de postes dits à risque», précise Étienne Apaire, président de la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), à l'origine de la saisine du CCNE.

    La SNCF a, par exemple, dressé dans son règlement intérieur la liste des postes de sécurité, incluant les conducteurs, les contrôleurs ou encore les agents assurant la maintenance des trains. Tous sont susceptibles de subir des contrôles surprises. EDF autorise de son côté les responsables des centrales nucléaires à procéder à des éthylotests.

    Mais le Comité d'éthique a désormais une conception beaucoup plus large du poste de sécurité, qu'il définit comme «tout poste exigeant une vigilance particulière». Les traders, les informaticiens ayant accès à des données sensibles, les médecins ou même les policiers pourraient ainsi se voir contraints de subir de tels tests. «Ces mesures doivent être étendues à l'ensemble du monde professionnel: dans les entreprises, petites ou grandes, dans le monde agricole, l'artisanat et la fonction publique», estime Claude Burlet, médecin et rapporteur de l'avis.

    Premier facteur de risque en entreprise, l'alcool serait impliqué dans 10 à 20% des accidents du travail déclarés. Environ 10% des salariés consomment par ailleurs des produits illicites - dans l'ordre: cannabis, cocaïne, amphétamines. «Les médecins du travail et les directeurs des ressources humaines s'accordent sur l'usage de plus en plus préoccupant de ces substances» , relève le rapport, pour justifier la mise en place du dépistage. Le CCNE, dont le précédent avis sur la question remonte à 1989, pointe aussi une prise de conscience de la société sur les dangers liés à la consommation de drogue.

    Mais le dispositif est strictement encadré. Chaque entreprise ou entité de la fonction publique devra ainsi recenser, dans le cadre d'une négociation collective, «les postes et fonctions de sûreté et de sécurité» concernés par les mesures de dépistage. Ces contrôles devront être précisément prévus par le règlement intérieur et les contrats de travail. Les salariés seront en outre prévenus au moment de l'embauche.

    Seuls les tests salivaires et les contrôles d'alcoolémie seront par ailleurs autorisés. Le CCNE exclut les prélèvements urinaires, sanguins et capillaires, qui permettent de retrouver des traces de consommation ancienne. «Compte tenu des marges d'erreur des tests, qui produisent entre 11 et 16% de faux positifs, les contrôles devront avoir lieu sous la seule responsabilité du service de santé au travail», ajoute Claude Burlet. La procédure sera couverte par le secret professionnel et le secret médical. Quant au dépistage d'une éventuelle consommation de médicaments psychotropes, indétectable par tests, il aura lieu lors des visites médicales.

    En cas de contrôle positif, les membres du groupe de travail préconisent plutôt un accompagnement médical des salariés chez lesquels une addiction a été diagnostiquée, puis un reclassement lorsque leur santé est rétablie. Dans l'esprit du comité, «l'addiction est une pathologie, et non une faute pouvant conduire à un licenciement».

  2. Des opérateurs de maintenance voie, demeurant dans le département de l'Eure et affectés sur la région de Paris St Lazare, il y en a quelques uns. :blush:

    Le trajet d'Evreux à Paris St Lazare c'est 55 mn ; il y a mal de trains TER et intercités. Que ce soit pour travailler en journée ou de nuit, il y en a suffisamment pour pouvoir faire le trajet tous les jours, surtout si l'affectation est à Mantes ou bien très proche de Paris St Lazare.

  3. C'est curieux, je suis aussi sur un forum auto ou les membres tirent a boulet rouge sur DSK parce qu'il est de gauche, avec a peu pres les même reproche (trop d'argent pour un homme de gauche) ici c'est la même chose mais parce que vous le pensez trop a droite .....

    Dans les deux cas, je suis affligé par tant de parti pris car ici comme là bas, il n'y a pas l'ombre d'un debut d'analyse et surtout dans les deux cas ce qui c'est vraiment passé ne vous interesse pas vraiment, c'est juste un moyen d'enfoncer quelqu'un que vous n'aimez pas

    Sur cette affaire je suis tres prudent, j'ignore ce qui a pu ce passer mais je trouve un certain nombre de chose assez curieux

    - DSk avait evoquer avec un journaliste de Libé le fait qu'on essaie de la salir avec une affaire comme celle-ci, il s'etait juste trompé d'étage puisqu'il avait parlé d'un viol dans un parking

    - le femme de chambre affirme qu'elle ne connaissait pas DSK, certes mais elle ne pouvait ignorer que c'etait un VIP puisque sa photo etait affiché dans le local du personnel (pratique qui semble habituelle ici)

    Nous verrons comment l'affaire evolura par je n'aprécie pas le principe de la justice US qui travaille uniquement a Charge

    Tu aurais pu rajouter que DSK a été coupable d'une agression sexuelle à Paris en 2002 sur une journaliste écrivain. Et également qu'il a fait une erreur de jugement en ayant une soit disant aventure consentie avec une subordonnée au FMI alors qu'en réalité il s'agissait d'un véritable harcèlement sexuel. Ca c'est pour les 2 affaires qui ont eu un écho.

    L'objectif de la défense de DSK est de salir coûte que coûte la femme de ménage agressée ; pour un peu son titre de séjour ne sera pas valable et elle sera donc coupable. Non ! cartonrouge

  4. C'est plus qu'un texte , c'est une loi

    Mais y a un hic l'article 60

    http://admi.net/jo/loi84-16.html

    Autre chose, vont-ils jouer sur le fait que ni nous, ni les agents de la CPAM ne sont fonctionnaires mais employés de services publics

    Il me semble qu'en ce qui concerne le rapprochement de conjoint pouur cause de mutation de l'un d'eux, les choses sont claires seulement dans le cas où les deux sont agents SNCF. Si l'un est muté à l'autre bout du territoire, l'autre suit en priorité.

  5. En même temps, on peut se faire tous les piétons qu'on veut, ils ne sont jamais signalés par les panneaux.

    Il est condamné pour conduite en état d'ivresse mais pas de défaut de maîtrise du véhicule, ça parait surprenant.

    Si l'alcool ne joue pas sur la capacité à maîtriser un véhicule, pourquoi le condamner pour conduite en état d'ivresse.

    Je ne comprends pas tout.

    En plus, il a un peu forcé le passage. Non ?

  6. La SNCF fait appel du jugement http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/19/97001-20110519FILWWW00441-voiture-percuteetgv-appel-de-la-sncf.php

    Voiture percutée/TGV: appel de la SNCF

    La SNCF et le parquet ont décidé de faire appel de la condamnation à quatre mois de prison avec sursis d'un automobiliste qui, après avoir consommé de l'alcool et du cannabis, avait abandonné son véhicule sur les voies, provoquant le déraillement partiel d'un TGV, a-t-on appris ce jeudi auprès du parquet de Niort.

    Lors de l'audience le 19 avril, le parquet avait requis six mois de prison avec sursis et l'avocat de la SNCF avait estimé "de l'ordre d'un million d'euros" le préjudice subi par la Société nationale des chemins de fer qui avait porté plainte contre X après l'accident. L'affaire ira donc devant la cour d'appel de Poitiers dans les prochains mois.

    Dans son jugement rendu mardi, le tribunal correctionnel de Niort a débouté la SNCF de l'ensemble de ses demandes d'indemnisation. Seules les infractions concernant l'usage de stupéfiants, la conduite sous l'emprise alcoolique et le défaut d'assurance ont été retenues contre le conducteur.

    Ce jeune homme de 23 ans, qui n'avait pas assuré sa BMW toute neuve, dont le taux d'alcoolémie dépassait légèrement la limite autorisée et qui avait consommé du cannabis 24 heures auparavant, s'était échoué sur un passage à niveau condamné en cherchant son chemin le 18 février à Mauzé-sur-le-Mignon (Deux-Sèvres) où il venait passer la soirée. Son véhicule avait percuté une barrière avant de s'immobiliser sur la voie. Puis l'automobiliste avait réussi à quitter le véhicule après qu'un TER circulant sur la voie parallèle avait frôlé sa voiture.

    Mais, un peu plus tard, le TGV La Rochelle-Paris avait percuté à 140 km/h la voiture abandonnée, la sectionnant en deux. Le choc avait provoqué la "sortie des rails d'une partie des roues" du TGV et d'importantes perturbations. Le tribunal a considéré que le conducteur qui avait emprunté cette route condamnée à la circulation ne s'est pas rendu coupable d'un défaut de maîtrise du véhicule et qu'il ne saurait lui en être fait grief de ne pas avoir pu éviter une barrière non-signalée par des panneaux.

  7. Et on reparle du rapport Grignon arrivé sur le bureau de Mariani.

    L'article de Ville Rail Transport

    http://www.ville-rail-transports.com/node/15942

    TER : le rapport Grignon prépare la fin du monopole SNCF

    C’était l’un des documents les plus attendus par les acteurs du secteur ferroviaire : le rapport Grignon sur les « conditions pour une expérimentation portant sur l’ouverture à la concurrence des services de transports ferroviaires régionaux de voyageurs » est enfin, depuis ce mercredi matin 18 mai, sur la table du secrétaire d’Etat aux Transports.

    C’était l’un des documents les plus attendus par les acteurs du secteur ferroviaire : le rapport Grignon sur les « conditions pour une expérimentation portant sur l’ouverture à la concurrence des services de transports ferroviaires régionaux de voyageurs » est enfin, depuis ce mercredi matin 18 mai, sur la table du secrétaire d’Etat aux Transports. Ce document, qui a été distribué à la presse en début d’après-midi et qui est téléchargeable sur le site du ministère, ne contient pas de changement d’orientation par rapport au prérapport dévoilé il y a tout juste un an par Ville, Rail & Transports, il précise tout de même un certain nombre de points. Notamment les plus saillants, portant sur le périmètre de l’expérimentation, le matériel roulant et surtout les transferts de personnel.

    Francis Grignon propose de commencer l’expérimentation sur un périmètre restreint, soit sur un groupe de lignes « territorialement cohérent et économiquement équilibré », soit sur un ensemble de lignes d’aménagement du territoire. Pour définir en toute connaissance de cause le périmètre, la SNCF devra mettre à la disposition des régions, autorités organisatrices des transports, « des comptes par ligne » transparents. Ce que se garde bien de faire actuellement la SNCF. Dans ce cadre, le sénateur UMP du Bas-Rhin se prononce pour le recours, comme dans le secteur urbain, à la délégation de service public, « ce qui obligerait l’opérateur à prendre en charge le risque industriel sur les coûts et tout ou partie du risque commercial lié à l’exploitation du service ». Le sénateur rappelle que pour ouvrir à la concurrence l’exploitation des TER, il faudra auparavant modifier la loi d’orientation sur les transports intérieurs (Loti), qui institue le monopole de la SNCF.

    Les régions devront pouvoir devenir légalement propriétaires du matériel roulant aujourd’hui possédé à 93 % par la SNCF, « sans perte financière » pour cette dernière, précise le rapport. En clair, les régions devront racheter une partie de leurs TER. Les AOT pourront ainsi transférer le matériel à l’opérateur sélectionné, qui ne sera pas obligé d’investir lourdement en apportant son propre matériel. Les régions pourront alors devenir les gestionnaires du matériel, voire recourir à une société de portage, afin de mutualiser la gestion du matériel roulant si plusieurs régions se prêtent à cette expérimentation. Les opérateurs concurrents devront aussi pouvoir accéder aux ateliers de maintenance de la SNCF contre une redevance.

    Le chapitre social, ô combien sensible, est particulièrement développé. C’est sur ces questions que les débats entre les acteurs ferroviaires, SNCF d’une part, opérateurs concurrents d’autre part, ont été les plus âpres. « La loi posera le principe du transfert des contrats de travail des salariés à l’occasion de la reprise d’un service de transport ferroviaire de voyageurs par un nouvel opérateur », précise le rapport. Un transfert sur la base du volontariat, les cheminots conservant leurs droits à la retraite et leurs régimes spéciaux de prévoyance et de sécurité sociale.

    Le rapport recommande l’abrogation de la loi du 3 octobre 1940, qui exclut le personnel sous statut du droit commun du travail. Il invite les partenaires sociaux à conclure un accord collectif national qui édictera des règles relatives, notamment à la durée du travail, qui s’appliqueront à toutes les entreprises, y compris la SNCF. Les syndicats de cheminots, habituellement hostiles à tout changement sur ces questions, n’y seraient, d’après nos informations, plus opposés. Pour la SNCF, la question de l’évolution de ces règles est fondamentale, condition sine qua non d’une ouverture loyale à la concurrence. Faute de quoi, estimait-elle, elle partait d’emblée avec un désavantage compétitif face à des opérateurs concurrents disposant de personnels plus flexibles.

    Le rapport souhaite enfin que soit mise en place une formation professionnelle de branche, notamment de tous les conducteurs, qui aurait pour objectif une culture de la sécurité ferroviaire commune à tous, quelle que soit l’entreprise.

    Reste maintenant à connaître précisément le calendrier prévu par le gouvernement. Les pouvoirs publics seraient prêts à aller plus loin, affirmait il y a peu le sénateur Grignon. Le gouvernement voulait d’abord laisser passer les élections cantonales, puis surtout les élections professionnelles à la SNCF. C’est fait. Les pouvoirs publics pourraient désormais souhaiter ne pas perturber la campagne de l’élection présidentielle de 2012.

    Francis Grignon estime qu’il faudra environ trois ans avant de pouvoir ouvrir le marché. Cela mène vers 2014, une année où de nombreuses conventions TER arriveront à échéance. Le sénateur propose de mettre en place un comité national de suivi, sur le modèle de ce qui avait été fait lors de la régionalisation, pour permettre aux acteurs concernés d’échanger régulièrement sur la mise en œuvre de l’expérimentation. Du côté des régions, on affiche une préférence marquée pour la poursuite des relations contractuelles avec la SNCF. C’est la position affichée par l’ARF. Mais en privé beaucoup ne seraient pas fâchés de pouvoir lancer des appels d’offres pour faire leur choix… et notamment bénéficier de prix plus bas que ne devrait pas manquer d’apporter la concurrence. En période de disette budgétaire, cette perspective est des plus séduisantes pour des régions qui peinent de plus en plus à financer leurs TER.

    Marie-Hélène Poingt

  8. Et concernant la formation en elle même, quelles sont les matières?

    Merci pour vos réponses.

    koiquessekoiquessekoiquesse

    Histoire, géographie, mathématiques, physique, chimie, SVT

    Pour les autres questions tu peux trouver des éléments dans ces sujets :

    http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/16359-formation-technicien-circulation/page__p__221489__hl__%22technicien+circulation%22__fromsearch__1#entry221489

    http://www.cheminots.net/forum/index.php?/topic/10449-recrutement-technicien-circulation-lille/page__p__145549__hl__%22technicien+circulation%22__fromsearch__1#entry145549

  9. :Smiley_48: Tout à fait le fond de ma pensée.

    Le Tribunal correctionnel de Niort a débouté la SNCF, qui demandait un millions d'euros à une jeune conducteur de Charente-Maritime responsable du déraillement d'un train.

    Il y a peut-être une confusion de la part du journaliste. 1 millions d'euros correspond au préjudice subit. Il y a forcément un payeur ; le fond de garantie des assurances peut-être qui se retournera contre le responsable qui ne sera pas en mesure de payer bien sûr.

  10. L'article du Parisien d'aujourd'hui :

    Un voyageur handicapé tombe d'un train sur la voie: plainte contre la SNCF

    Difficile à comprendre comment la porte s'est ouverte, surtout s'il s'agit d'une voiture Corail comme je l'ai lu. Même en abaissant la poignée, ça ne s'ouvre pas. koiquesse

    "J'ai été obligé de me mettre sur la porte qui donne sur la voie. En m'appuyant sur la poignée, quand le train a freiné, la porte s'est dépressurisée et je suis tombé sur la voie", a témoigné le jeune homme, soulignant avoir eu "beaucoup de chance qu'il n'y ait pas eu de train à ce moment-là".

    Selon Mme Vallé, le système de verrouillage de la porte ne fonctionnait pas et "une autre personne aurait pu tomber de la même manière".

    La SNCF a évoqué "un fait exceptionnel extrêmement regrettable qui ne doit pas se reproduire".

  11. Je ne ferai aucun commentaire contre ce genre de provocation ou ce genre de propos bien bas et complètement déplacés

    Toujours est il, en parlant de cinéma, il y en a certain qui se font des films... un manque peut être ?

    C'est toujours bien regrettable de lire ce genre de commentaires sur ce site.

    Monsieur est vexé.

    Relis ce que tu as écrit et tu comprendras mon commentaire.

    Il aurait mieux valu que tu prennes cela à la dérision, c'était le but.

    Pour l'instant, je n'ai aucune intention de disparaître de ce forum et j'y dépose des commentaires et des sujets de façon régulière. En principe ça devrait se poursuivre encore. :cool:

  12. As tu contacté l'association TVT ? N'hésites pas à le faire. Demandes à avoir les coordonnées du Vice Président car c'est lui qui s'occupe du relationnel avec le ciné en plus il est jeune et super sympa. Quittte à venir sur place avec le Réal.

    Si le Vice Président était d'âge mûr, ça enlèverait tout intérêt. Vas comprendre pourquoi ! koiquesse

    Car tu sais la Touraine n'est qu'à deux heures de Paris, c'est super joli, il y a les fameux Châteaux de la Loire et en plus il y a du bon vin !

    Le Chinon ou le Bourgueil et j'en oublie!! Au moins, si vous venez sur place, vous ne repartirez pas les mains vides !et je suis sûr que vous serez séduits de l'environnement pour la réalisation de votre tournage.

    Alors a bientôt... Peut être...

    Si ce n'est pas de la corruption ça y ressemble un peu quand même koiquesse koiquesse

  13. Un article des Echos du 6/05/2011. Il s'agit du point de vue du Président du Conseil régional des Pays de Loire, Jacques Auxiette.

    http://lecercle.lesechos.fr/node/34968

    Pour une autre politique du rail

    Le système ferroviaire français va mal. Réseau peu ou pas suffisamment entretenu par un opérateur (RFF) surendetté, régularité des trains compromise et image de l'exploitant (la SNCF) dégradée, voyageurs de plus en plus critiques et mécontents. Une réforme s'impose.

    Et si elle s'inspirait de l'expérience conduite par les régions depuis qu'elles sont devenues autorités organisatrices du transport ferroviaire régional ? Cette idée n'est pas absurde au regard de l'exceptionnel développement des TER depuis dix ans alors qu'à la fin des années 1990 le transport ferroviaire de proximité était moribond.

    Personne n'a eu à pâtir de la compétence ferroviaire confiée par la loi aux régions. Quelques chiffres en témoignent : 7 milliards d'euros d'investissement pour les nouveaux matériels, 12.000 circulations quotidiennes, 9 millions de voyageurs par jour (Transilien et TER), 30.000 agents de la SNCF au service du TER.

    Pourtant, le paysage ferroviaire français est complexe. Pour les seuls TER, les régions, autorités organisatrices, confient à la SNCF l'exploitation des trains mais sont soumises aux règles fixées par RFF pour accéder au réseau et composent avec les industriels ferroviaires pour acheter des rames. Pis : les régions financent les nouveaux trains, mais ceux-ci sont achetés par la SNCF, qui en conserve de fait la propriété.

    Pour toutes ces raisons, les régions françaises espèrent aujourd'hui la naissance d'un nouveau modèle de développement du ferroviaire, basé sur des règles claires, dans lequel la collectivité régionale pourrait être un chef de file efficace, doté de ressources adéquates.

    La parution annoncée du rapport Grignon ouvre la voie au scénario classique de la libéralisation comme remède à tous les maux, permettant à l'Etat de se dédouaner de ses manquements. Les nombreux incidents de l'hiver auront très utilement contribué à préparer les esprits à une libéralisation programmée, pour laquelle un premier texte d'orientation semble être prévu avant l'été.

    Les régions s'opposent fermement à ce choix, non par dogmatisme ou immobilisme, mais parce que la libéralisation des transports ferroviaires de voyageurs n'apportera ni solution aux dysfonctionnements actuels, ni diminution des coûts. Seule la rentabilité importera au détriment d'un véritable service de qualité, de la solidarité territoriale et de la sécurité du réseau.

    Si l'opinion n'y suffit pas, il faudra convoquer à l'argumentation l'Union européenne. La libéralisation des transports est imposée par Bruxelles ? Inexact ! Le législateur français devra transposer en droit national le règlement européen sur les obligations de service public de transport de voyageurs par chemin de fer et par route. Mais, contrairement à la lecture qui en est volontairement faite par les tenants du libéralisme, ce règlement n'imposera pas à l'autorité organisatrice de mettre l'exploitant historique en concurrence avec d'autres opérateurs. Au contraire ! Si le cadre européen imposera, d'ici à 2019, de rendre possible la mise en concurrence des exploitants, il permettra aussi aux collectivités organisatrices de choisir une attribution directe à la SNCF, ou même d'exploiter en propre le service régional de transport ferroviaire.

    L'évolution à venir du transport ferroviaire ne passe donc pas obligatoirement par sa libéralisation. Il passe peut-être au contraire par le renforcement du service public, incluant une régionalisation accrue de son organisation. Les régions françaises considèrent qu'un service efficace de transport ferroviaire implique au contraire le maintien de l'unité du réseau. Elles s'opposeront à tout projet de démantèlement ligne par ligne.

    Entre une libéralisation inacceptable et un statu quo impossible, il y a une troisième voie : parachever la décentralisation du transport régional. Les régions françaises revendiquent la possibilité et les moyens d'une véritable régionalisation du service public de transport.

    Jacques Auxiette

  14. Une question me vient a l'esprit, comment la cycliste a pu être happée au PN?

    Elle a forcécent dû passer les barrières en slalom, non?

    Si c'est le cas, elle a payé sa bêtise au prix fort...

    Quand est ce que les gens comprendrons que on ne passe aps un pn baissé?

    Condoléances a la famille de la victime, au mécano, et au gendarmes, de toute facon, qd un inconscient en vélo veut faire un duel avec un train lancé a 160, c'est tjs le train qui gagne...

    koiquessekoiquessekoiquesse

    L'enquête avait conclu à un suicide.

  15. Le jugement rendu aujourd'hui : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/05/16/97001-20110516FILWWW00520-incendie-du-paris-munichla-sncf-relaxee.php

    Incendie du Paris-Munich:la SNCF relaxée

    Un steward de la compagnie ferroviaire allemande Deutsche Bahn (DB) a été condamné aujourd'hui à un an d'emprisonnement avec sursis pour homicides et blessures involontaires lors de l'incendie du train Paris-Munich, qui avait fait 12 morts en 2002, à Nancy.

    Le tribunal correctionnel a en revanche relaxé la SNCF et la DB, poursuivies des mêmes chefs de prévention et contre qui l'accusation avait requis 150.000 euros d'amende chacune."Mes clients vont être en partie déçus de ce jugement. On peut avoir l'impression que c'est le lampiste qui est puni", a réagi l'avocat de plusieurs familles de victimes, Me Alain Behr, à l'énoncé du jugement.

    Le drame s’était produit dans la nuit du 5 au 6 novembre 2002. Un incendie s’était déclaré peu après 02 heures, en raison de vêtements suspendus au-dessus d'une plaque chauffante, dans la cabine du steward du wagon-lit de la DB, situé en tête du train de nuit Paris-Munich. Le train venait de quitter la gare de Nancy.

    Pris de panique, le steward n'avait pas cherché à éteindre le feu mais était parti en courant pour prévenir ses homologues français, situés plusieurs wagons plus loin. Il avait alors verrouillé derrière lui la porte reliant le wagon-lit avec les autres voitures, enfermant les passagers. Douze d’entre eux périrent, les autres parvenant à se sauver, notamment en brisant avec des moyens de fortune les fenêtres de sécurité.

  16. Un article de WK-Transport-Logistique : http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/39697/le-port-d-anvers-est-desormais-connecte-par-rail-a-la-ville-chinoise-de-chongqing.html

    Le port d'Anvers est désormais connecté par rail à la ville chinoise de Chongqing

    Une nouvelle liaison ferroviaire, assurée par l'opérateur intermodal Hupac, a vu le jour début mai 2011 entre le port d'Anvers et la ville chinoise de Chongqing. Anvers entend attirer du fret d'Europe, mais aussi d'Afrique de l'Ouest et du continent américain.

    Une liaison ferroviaire entre le terminal Combinant, au nord du port d'Anvers, et la ville de Chongqing, dans le sud-est de la Chine, a vu le jour au début du mois de mai 2011.

    Cette liaison quotidienne est assurée dans les deux sens par l'opérateur intermodal Hupac, "avec ses partenaires Russkaya Troyka et Eurasia Good Transport", précise un communiqué du port d'Anvers publié le 9 mai 2011. Le périple de 10 000 kilomètres traverse l'Allemagne, la Pologne, l'Ukraine, la Russie, et la Mongolie.

    Anvers veut ratisser large

    L'idée de cette connexion ferroviaire est née lors d'une mission commerciale en Chine organisée en juin 2010 par l'Autorité portuaire d'Anvers, la Société provinciale de développement d'Anvers (POM) et l'administration douanière belge.

    Mais compte tenu des déséquilibres des flux, la difficulté consistait à trouver du fret dans le sens Europe-Chine pour garantir la viabilité de la ligne. "Maintenant qu'Anvers a trouvé un certain nombre d'entreprises intéressées, d'autres devraient suivre", veut croire le port.

    Pour cela, Anvers entend ratisser large, en s'imposant comme hub pour l'ensemble de l'Europe, mais aussi pour l'Afrique de l'Ouest, l'Amérique du Nord et l'Amérique du Sud. "Les marchandises seront acheminées de toutes ces zones vers le port d'Anvers, par voie maritime ou ferroviaire, et avant d'emprunter la connexion vers la Chine. Et Anvers servira aussi de hub dans l'autre sens", détaille le communiqué du port. "Les compagnies maritimes n'ont rien à craindre. La connexion ferroviaire est complémentaire des flux maritimes et génère donc même du trafic supplémentaire", affirme Marc Van Peel, président de l'Autorité portuaire.

    Du pain sur la planche pour les administrations douanières

    Le déploiement du projet se fait avec le concours des autorités douanières belges, qui veulent faire de cette liaison ferroviaire une liaison commerciale sécurisée ("green lane"). Pour cela, des discussions sont en cours avec les administrations des douanes des différents pays concernés, mais compte tenu de la longueur de la ligne, le programme est ambitieux. "De bons accords" sont pourtant "cruciaux pour éviter des délais et des contrôles superflus", souligne le communiqué du port d'Anvers.

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