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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. on pourrait en profiter pour mieux sécuriser l'accès aux TGV en controlant sur le quai les voyageurs...

    Je dis cela, sans aucun rapport avec le viol du TGV Lyon, sans aucun rapport avec le prochaine excédent de personnel suite à la diminution d'activité des guichets grace ou à cause du billet électronique.

    Indirectement cela remettrai les pendules à l'heure controleursncf

    Sur la ligne de Paris Rouen, ce genre d'action mené par les usagers/clients a déjà eu lieu. Dans le principe, le voyageur est malgré tout en règle sauf qu'il y a refus de présenter le titre de transport au contrôleur. Un collègue avait constaté que des voyageurs qui achetaient quotidiennement leur titre de transport, ne le faisaient plus pendant la période du mouvement. Parmi eux un leader politique local. koiquesse

    En bref, les fraudeurs en profitent. Les vendeurs doivent s'en rendre compte ; non ? controleursncf

  2. La situation avance, ECR est en train de répondre, ainsi qu'Europorte, la

    maison SNCF et sa filiale VFLI semblent ne pas vouloir repondre, malgres

    des relances.

    (Le Fret interresse t-il le groupe SNCF, en dehors de ses propres clients ? )

    VFLI est peut-être suffisamment occupé à tirer les TTX de l'Infra koiquesse

  3. Trouvé sur le net :

    http://you.leparisien.fr/actu/2011/01/18/ligne-h-ou-comment-la-sncf-renove-en-depit-du-bon-sens-6104.html

    Ligne H ou comment la SNCF rénove en dépit du bon sens

    Mais qu'a fait la SNCF du bon sens? Ligne H, ce matin. Je découvre le magnifique nouveau francilien, train pour lequel des travaux longs et coûteux ont été engagés pour mettre les quais aux normes du train et pour permettre aux personnes à mobilité réduite d'accéder à ce moyen de transport. Mais comment ces personnes pourrait-elle accéder à un train bondé ? Il est beau, propre, technologique avec luminothérapie mais, et c'est un grand MAIS, là où nous avions un train long sur deux niveaux nous avons désormais un train court sur un seul. Impossible pour une personne normale d'y rentrer lorsqu'il est plein, alors pour une personne handicapée... Je vous le demande, qu'a-t-on fait du bon sens à la SNCF ?

  4. Les usagers de la SNCF en «grève» refusent une indemnisation de 100 euros

    http://www.20minutes.fr/ledirect/654914/societe-les-usagers-sncf-greve-refusent-indemnisation-100-euros

    Les usagers de la SNCF en «grève» refusent une indemnisation de 100 euros

    Le geste n’est pas suffisant pour les passagers en colère. Des usagers de la SNCF, qui protestent contre la dégradation du service public de transports, ont rejeté ce mardi une proposition d'indemnisation de 100 euros de la direction de la société nationale, a déclaré à l'AFP un porte-parole.

    «La SNCF nous a proposé une indemnisation de 100 euros par abonné. Après consultation des différents comités d'usagers, nous avons refusé cette proposition», a déclaré Pascal Mignot, porte-parole de l'association des usagers en grève pour la ligne Angers-Le Mans-Paris, à l'origine du mouvement de protestation.

    Un badge «Abonnés en grève»

    «Tant que cette indemnisation ne sera pas égale à deux semaines de forfait par abonné, nous continuerons notre action, a-t-il dit. Nous attendons la réponse de la SNCF». Deux semaines d'abonnement SNCF représentent une moyenne de 300 euros, a-t-il évalué.

    Entre 160 et 200 abonnés ont effectué ensemble, mardi matin, le voyage vers Paris. Chacun d'eux arborait un badge «Abonnés en grève». Les voyageurs ont refusé de présenter leur carte d'abonnement aux contrôleurs de la SNCF. «Tout s'est très bien passé», a assuré Pascal Mignot. Des usagers ont également suivi ce mouvement sur les lignes reliant Tours et le Nord/Pas-de-Calais à la région parisienne.

    «La SNCF est consciente du dysfonctionnement»

    «Le fait que la SNCF admette de nous accorder une compensation montre bien qu'elle est consciente du dysfonctionnement de ses services», a estimé le porte-parole.

    Ces abonnés empruntant quotidiennement les lignes de la SNCF protestent contre la dégradation du service et la non-compensation du service qui n'a pas été assuré durant les grèves de l'automne.

    Vendredi, le président de la SNCF, Guillaume Pepy, a reconnu que la SNCF connaissait «une crise de croissance» et a promis un «plan d'urgence» pour une douzaine de lignes sensibles.

  5. Allez Martoche ça avance :blush:

    Trouvé sur le web une offre d'emploi par Capitaine Train ; ça date un peu http://www.railsfrance.org/node/1965

    Capitaine Train recrute un stagiaire développeur (Ruby on Rails/Sproutcore)

    Posté par jdguyot le Jeudi, 28 Octobre, 2010

    Si votre rêve est de bosser pour une grosse boîte pour faire des projets à papa et des réunions très intéressantes en costume, passez votre chemin. Si par contre vous êtes passionné et avez envie de bosser dans une équipe sympa, cette annonce vous intéressera.

    Nous créons un site de réservation de billets de train rapide et intuitif (http://www.capitainetrain.com). Nous recrutons un stagiaire développeur Ruby on Rails et/ou Sproutcore pour travailler sur de bien beaux projets au sein de l'équipe Capitaine Train.

    Nous n'exigeons pas une grosse expérience de Ruby on Rails ou Sproutcore mais certaines qualités : écriture et orthographe, créativité, efficacité, sens graphique, autonomie. La technique suivra pendant votre stage.

    Envoyez un mail pour vous présenter à jobs@capitainetrain.com. Nous sommes intéressés par vous, vos passions et vos projets personnels. Et si vous avez bien lu le troisième paragraphe, un CV moche est évidemment éliminatoire.

    Nos bureaux sont proches de Paris, RER B/C Massy-Palaiseau.

  6. Une automobiliste l'a échappé belle

    Un article d'Ouest france : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Un-poids-lourd-percute-une-voiture-devant-le-passage-a-niveau_40807-1658513------61001-aud_actu.Htm

    Un poids lourd percute une voiture devant le passage à niveau

    Un accident entre un poids lourd et une voiture s’est produit ce lundi, vers 10h, sur la RD338, à Juillé. La collision a eu lieu devant un passage à niveau. Alors que les clignotants du passage à niveau fonctionnent, l'automobiliste s'arrête mais le camion qui arrive derrière le percute.

    Le choc a propulsé la voiture, qui a traversé le passage à niveau sans causer de dommage aux rails. Légèrement blessée, l'automobiliste âgée de 54 ans, demeurant Alençon, a été évacuée vers le centre hospitalier du Mans. Et la voiture dégagée sans gêner le trafic ferroviaire.

  7. Un article de l'Expansion ; un journaliste empêché de filmer à bord d'un TGV transportant les abonnés faisant la grève de la présentation des titres de transport.

    Motif : Vigipirate !

    http://www.lexpansion.com/economie/comment-la-sncf-m-a-empeche-de-filmer-la-grogne-de-ses-usagers_247026.html

    Comment la SNCF m'a empêché de filmer la grogne de ses usagers

    Vendredi soir, un journaliste de L'Expansion.com devait tourner un reportage vidéo sur les "abonnés grévistes" de la ligne TGV Le Mans-Paris. La SNCF n'a pas aimé... Témoignage

    Gare Montparnasse, vendredi soir, vers 17h40, le train 8135 à destination du Mans est à quai. Une certaine tension est perceptible : plusieurs groupes de policiers sont présents alors même que la destination n'est pas spécialement sensible... Simplement, des abonnés font grève pour protester contre les retards à répétition, et depuis plusieurs jours, refusent de montrer leurs billets aux contrôleurs (voir l'article et la vidéo). Des confrères de France 2 et de RTL doivent, notamment, tourner quelques interviews à bord du train. Ils sont appréhendés sans ménagement par la police ferroviaire, elle-même dirigée par des membres de la direction de la SNCF.

    Pour ma part, je parviens à accéder au quai, billet valide et caméra en poche. Alors que j'achève une prise de vue du TGV en question, avant de monter dans la rame, six policiers, accompagnés d'une "responsable" de la communication de la SNCF m'interpellent. "Filmer ici est strictement interdit sans autorisation spéciale de la SNCF" me dit la communicante alors que me voilà cerné par la police. Je demande alors la raison de cet interdit et je comprends vite que je ne pourrai pas lutter : "c'est Vigipirate". Me voilà donc sous le coup des lois anti-terroristes!

    Suit un contrôle en règle de tous les papiers que je peux fournir : sauf-conduit professionnel, passeport et billet de train. Les journalistes, ce soir là, ont dû être les seuls à qui on a demandé les billets avant leur accès au train. Une partie de ma bande est effacée. Mais on est bien décidé à me faire louper le train : le contrôle dure, mon passeport est dans les mains de la police ferroviaire et la communicante débite les menaces, notamment sur la saisie de mon matériel.

    J'avais pourtant joint, dans l'après-midi, le service de communication de la SNCF. On m'avait promis de me rappeler...

    Je suis stagiaire, et la communicante de la SNCF se saisit de ce prétexte pour dénoncer le fait que je ne suis "pas un journaliste chevronné", et estimer que je suis inapte, de fait, à la couverture des actualités SNCF. Elle demande la saisie de ma caméra et contrôle mes papiers. Lui faisant remarquer qu'elle n'est pas habilitée à faire ce genre de choses, le ton monte. Et cette fois-ci, on atteint 10 policiers autour de moi. Dans le genre discret, on a vu mieux : c'est le journaliste qui se fait prendre en photo par les passagers qu'il devait interviewer.

    L'officier de police qui arrive reprend les choses en main, recadrant de fait la communicante : mes papiers sont en règle, je dois simplement cesser de filmer. Alors qu'un compromis est trouvé avec cet officier, plutôt professionnel, la communicante indique aux passagers que le retard du train est dû... aux journalistes récalcitrants... C'est pourtant la mise à quai tardive de la rame qui en est la cause. Les passagers, d'ailleurs, ne s'y trompent pas.

    Je réussis, malgré tout, à monter dans le train à la dernière seconde, suivi par des agents de la police ferroviaire. Je récupère alors mon passeport. Seule une courte interview, qui sera diffusée dans l'après-midi, pourra être réalisée d'autant que la plupart des grévistes se trouvent dans la première rame alors que je suis dans la seconde, où sont néanmoins rassemblés plusieurs d'entre eux. La SNCF aura partiellement réussi à empêcher mon reportage en me laissant monter au dernier moment.

    Arrivé au Mans, nouveau contrôle de la police. Je perds mes interlocuteurs grévistes, qui partent en réunion avec la direction régionale de la SNCF. Les agents des forces de l'ordre, quelque peu gênés par la situation, me demandent d'être coopératif et de ne plus filmer. De toute façon, les grévistes sont rentrés chez eux. Je repars plus tard dans la soirée avec un TGV qui arrivera en retard à Paris.

    Ce jour là, la communication de la SNCF a eu tout faux. Et les journalistes auront été bloqués par les lois anti-terroristes...

  8. Un article de Challenges :

    La SNCF face à la grève de ses abonnés

    http://www.challenges.fr/actualites/entreprises/20110117.CHA2225/la_sncf_face_a_la_greve_de_ses_abonnes.html

    La SNCF face à la grève de ses abonnés

    Lancé au début de l'année sur la ligne Angers-Le Mans-Paris, ce mouvement voit quelque 200 usagers quotidiens de cette ligne TGV refuser de présenter leurs titres de transport et arborer des badges "Abonnés en grève".

    La SNCF est confrontée à des mouvements de grèves inédits, celles de ses usagers. La "grève" de présentation des titres de transport lancée par des abonnés de la ligne SNCF Angers-Le Mans-Paris pour protester contre la dégradation du service va être étendue mardi à Tours et au nord de la France, ont annoncé lundi 17 janvier des porte-paroles des usagers en colère.

    "Nous rejoignons les équipes du Le Mans-Paris dans un souci de cohésion, car nous subissons la même dégradation de la qualité de service", a déclaré à l'AFP David Charretier, de l'association des usagers du TGV Tours-Paris.

    Dans le Nord-Pas-de-Calais, quelque 300 abonnés des lignes reliant Arras, Douai, Dunkerque et Lille à l'Ile-de-France vont également observer mardi cette "grève", a indiqué un porte-parole, Christophe Verger-Lecoq.

    42 heures en moyenne sur la ligne Tours-Paris

    Lancé au début de l'année sur la ligne Angers-Le Mans-Paris, ce mouvement voit quelque 200 usagers quotidiens de cette ligne TGV refuser de présenter leurs titres de transport et arborer des badges "Abonnés en grève".

    "Nous demandons un geste commercial pour tous les retards et annulations subis, le respect des horaires, des forfaits plus adaptés et un gel des hausses de tarifs", a résumé Pascal Mignot, l'un des initiateurs, soulignant que ces contretemps étaient "très préjudiciables en termes de carrière".

    Sur la ligne Tours-Paris, les retards subis en 2010 par les usagers sont estimés à "42 heures en moyenne par abonné".

    Dans le Nord-Pas-de-Calais, Christophe Verger-Lecoq dénonce en outre une "suppression de dessertes sur la ligne Douai-Arras-Roissy-Marne-la-Vallée". "Du fait de la libéralisation des transports, nous nous trouvons dans une logique purement comptable aux dépens des usagers", a-t-il déploré.

    Une réunion est prévue la semaine prochaine pour que ces collectifs d'abonnés se constituen en fédération. Ils espèrent être rejoints par les usagers des lignes Paris-Lyon et Paris-Reims.

    En attendant, côté belge, 300 abonnés de la ligne Bruxelles-Lille observeront eux aussi le mouvement de "grève", a indiqué Christophe Verger-Lecoq.

    Vendredi, le président de la SNCF, Guillaume Pépy, a reconnu que la SNCF connaissait "une crise de croissance" et a promis un "plan d'urgence" pour une douzaine de lignes sensibles.

  9. C'est pas gagné !

    Un article du Figaro du 16 01 2011 : TGV La Mecque-Médine : les Français redoutent un revers

    TGV La Mecque-Médine : les Français redoutent un revers

    La SNCF et Alstom semblent distancés par leurs concurrents espagnols pour bâtir et exploiter une ligne à grande vitesse reliant les deux villes saintes d'Arabie saoudite. Un contrat d'environ 10 milliards d'euros.

    La «maison France» jette ses dernières forces dans «sa» bataille du rail en Arabie saoudite. Un ultime effort, alors que le contrat du «train des pèlerins», un projet de 440 kilomètres de ligne à grande vitesse en plein désert reliant les villes saintes de La Mecque à Médine via Djedda, semble en passe de lui échapper. Et avec lui ses 10 milliards d'euros estimés: la moitié pour la construction de la ligne et la livraison de rames, l'autre moitié pour la maintenance et l'exploitation de la ligne pendant douze ans, soit près de dix milliards d'euros au total. À 300 kilomètres par heure, ce train doit permettre de relier La Mecque à Djedda en une demi-heure et Djedda à Médine en deux heures.

    Ce contrat est doublement important pour la France. Par son montant, bien sûr. Mais aussi pour sa symbolique, celle d'une équipe de France - en l'occurrence essentiellement formée par la SNCF et Alstom - qui gagne, par opposition à celle du nucléaire - EDF et Areva en tête - qui a perdu l'an dernier à Abu Dhabi. Doublée par les Coréens qu'elle snobait jusqu'alors, la filière nucléaire tricolore avait perdu le contrat de la construction de centrales nucléaires dans l'émirat, valorisée plusieurs dizaines milliards de dollars.

    Pour le TGV saoudien, les Français se sont, comme à Abu Dhabi, longtemps vus favoris du gigantesque appel d'offres. Mais au fil des semaines, l'orgueil tricolore s'est dégonflé. Selon des sources gouvernementales, le contrat serait même en train de leur filer dans les doigts au profit de leurs concurrents espagnols.

    Visite officielle

    Jeudi, le secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur, Pierre Lellouche, doit se rendre en Arabie saoudite. Pour lui, la bataille n'est pas encore perdue. Sa visite officielle pourra donc aussi être l'occasion de tenter une nouvelle fois de convaincre le royaume des qualités du projet français. Elle prolonge en tout cas les efforts diplomatiques déjà réalisés par les autorités françaises. La semaine dernière encore, en marge de son déplacement aux États-Unis, Nicolas Sarkozy a rendu visite à New York au roi Abdallah, sans que l'on sache toutefois si le dossier a été abordé.

    Aucun coup de théâtre ne peut en tout cas être écarté. Depuis que l'Arabie saoudite a lancé l'appel d'offres en 2009 pour construire une ligne à grande vitesse capable de transporter les deux millions et demi de pèlerins qui visitent chaque année les lieux saints de l'islam, le dossier n'a cessé de rebondir. Au départ, cinq candidatures «nationales» s'étaient déclarées: Alstom et la SNCF, Siemens et la Deutsche Bahn associés au groupe Ben ­Laden, les espagnols Talgo, Renfe et Adil, le chinois Railways Construction Corporation et enfin le coréen Samsung. Il y a presque un an, les Français avaient même décidé de se retirer de la course «provisoirement» à la suite d'une modification unilatérale des règles de l'appel d'offres. Finalement revenus dans la compétition, ils n'étaient plus que deux candidats l'été dernier. En effet, les Chinois, donnés favoris pour leur offre «low-cost», se sont retirés du jeu en juillet, laissant l'espagnol et le français face à face. «Les tensions ont été très fortes sur ce dossier, commente un dirigeant qui connaît bien le dossier. D'autant que les Espagnols auraient consenti un rabais de près de 30% par rapport à l'offre de départ.» Selon d'autres sources, outre le prix trop élevé, les rames duplex proposées par les Français n'auraient pas satisfait les Saoudiens.

    En attendant la réponse définitive du monarque sur les bâtisseurs retenus, les entreprises concernées font mine de garder espoir. Mais le cœur n'y est plus.

  10. 13 01 2011

    SNCF : trois heures de retard pour le Paris-Cherbourg

    http://www.leparisien.fr/transports/sncf-trois-heures-de-retard-pour-le-paris-cherbourg-15-01-2011-1228770.php

    SNCF : trois heures de retard pour le Paris-Cherbourg

    Une rame SNCF Paris-Caen-Cherbourg est arrivée à destination avec trois heures de retard dans la nuit de vendredi à samedi, a révélé le site internet du quotidien Ouest-France. Le train a été bloqué à Lisieux en raison d'une panne d'aiguillage à Caen, selon la SNCF.

    Le retard, dû à une panne informatique de l'aiguillage de Caen intervenue vers 22H30, a également affecté un autre train assurant la liaison Paris-Caen, soit un peu plus de 300 passagers au total.

    «Aucun autocar de substitution n'était disponible compte-tenu de l'heure tardive», a expliqué la SNCF, qui précise que des plateaux-repas ont été fournis aux passagers.

    Après avoir été regroupés dans un seul train, les voyageurs pour Cherbourg sont finalement arrivés samedi à 3H00 à destination, au lieu de 23h56. La liaison vers Caen a accusé 2 heures de retard.

    Samedi matin, les voyageurs du Caen-Saint-Lô Coutances ont fait le trajet à bord d'un autocar, faute de conducteur. Celui-ci ne pouvait être «réutilisé» compte-tenu de son précédent service qui s'est prolongé tard dans la nuit, a indiqué la SNCF.

  11. Et les modifications au titre du certificat de sécurité ? au pied levé....

    et les etudes de ligne des ADC VFLI ? au pied levé...

    :blink:

    Fabrice

    Qu'est qu'il me fait Fabr là koiquesse

    Quand j'ai utilisé le terme usuel au pied levé, il n'y avait aucune allusion sur un quelconque manquement.

    Si le marché avait été emporté par Fret SNCF j'aurai probablement utilisé le même terme.

    Je t'invite à relire le sujet que j'ai présenté à l'origine qui était Pénurie Sel de déneigement ; je l'ai complété hier par-Un trafic pour VFLI.

    Comme je l'avais dit dans le sujet, j'ai déjà connu cette situation il y a plus de 2 décennies, où en période d'hiver, Fret SNCF, unique opérateur certes, acheminait au dernier carat, les trains de sel pour reconstituer des stocks.

    Alors que fin décembre, la presse et les services d'état commençaient à évoquer la pénurie de sel et que de fait les camions étaient bloqués, la solution pouvait être le transport par voie ferroviaire. Le sujet date tout de même du 30 décembre ; sans aucun doute doute j'ai été été visionnaire :blush:

    Bon allez, pas de quoi se braquer d'avantage :cool:

    PS : j'espère que Fabr ne va pas se lever du "mauvais pied" ce matin lotrela

  12. Systra recherche du personnel pour la Chine ; les offres suivantes viennent d'être mises en ligne dans la Bourse de l'Emploi :

    Pour la Chine - Un Superviseur terrassement, travaux de pose de voie ( poste disponible immédiatement )

    Mission : Supervision des travaux de terrassement et pose de voie du tronçon Jiangxi (130km) de la LGV Shanghai-Kunming. Mise en service prévue en juin 2013.

    Compétences : Expérience d’au moins 10 ans de direction d’opération sur des grands projets ferroviaires et supervision de construction de lignes à grande vitesse. Connaissance de la voie sur dalle apprécié.

    Poste à pourvoir 01 03 2011

    Pour la Chine Un Superviseur travaux OA ( poste disponible IMMEDIATEMENT )

    Mission : Supervision des travaux de terrassement et construction d’ouvrages d’art du tronçon Jiangxi (130km) de la LGV Shanghai-Kunming. Mise en service prévue en juin 2013.

    Compétences : Expérience d’au moins 10 ans de direction d’opération sur des grands projets ferroviaires et supervision de construction de lignes à grande vitesse.

    Poste à pourvoir 01 03 2011

  13. d'parés le lien de Kerguel ....

    ...

    il s'agit d'un gros chantier de rénovation dont les amélioration pour les usagers seront le confort. pour la sncf ,le gain ,sera la fiabilité de nouvelles installations ,donc moins de risques de dérangements entre autres (je fait simple) . je ne connais pas le site je me fie donc au simple terme de remplacement d'appareils , il se peut que la signalisation soit améliorée ou modifiée à l'occasion ,mais seul quelqu'un du coin pourrait le dire

    On peut se déplacer sur les lieux avec raez pour faire un point plus précis, mais à condition d'être invité à découvrir les spécialités locales :blush:

  14. Des affiches dans les gares annoncent le remplacement de dix aiguilles en gare de Saumur, ainsi que de plusieurs kilomètres de rail, avec pour conséquence le remplacement de la plupart des trains par des cars sur Angers-Tours jusqu'à mi-mars.Simple RVB, ou modification plus importante du plan des voies ? L'ennui, c'est qu'il n'y a pas eu de fiche horaire "travaux" éditée à cette occasion pour la ligne Nantes-Angers-Tours. Du moins pour le TER PDL. Quelqu'un peut-il me dire s'il y a eu une telle fiche éditée du côté de TER Centre ?

    Trouvé ceci sur le site de TER Centre : http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Centre/Tridion/20101213_20110311_To_Ns_tcm-17-56245.pdf

  15. VFLI a enlevé un marché de transport de sel de déneigement au pied levé.

    L'information sur le site de VFLI : http://www.groupe-vfli.com/actualites/actualites.php?IDA=37

    07/01/2011 : VFLI REPREND UN TRAFIC DE SEL DE DENEIGEMENT A LA ROUTE

    Le 5 janvier à 17H24, le premier train de sel opéré par VFLI pour la société ROCK (filiale du groupe Salins, spécialisée dans la commercialisation des sels de déneigement) est parti d’Aigues Mortes (30) pour arriver à Riom (63) à 5h15. De nombreux camions l’attendaient pour alimenter les plateformes des Directions Départementales du Territoire de la région. La rame déchargée est repartie le soir même à 21h30 pour Aigues-Mortes. En juillet dernier, VFLI avait répondu à un appel d’offre concernant l’acheminement de trains de sel au départ d’Aigues-Mortes vers 5 destinations (Riom, Ambronay, Grenoble, Marles-en-Brie, Fleury-les-Aubrais). Soucieux d’assurer une prestation de qualité, VFLI a proposé au client de démarrer par une première campagne de 10000 tonnes sur la liaison Aigues-Mortes - Riom, du 5 janvier au 15 février 2011 (17 trains au total du 5 janvier au 15 février). A l’automne 2011, le trafic sera élargi à l’ensemble des relations souhaitées par le client. Depuis 3 ans, ROCK recourrait exclusivement à des solutions routières pour acheminer son produit.

  16. Un article de wk transport logistique du 7 01 2011

    http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/34778/transport-combine-rail-route-la-grande-distribution-cree-ecotrans.html

    Transport combiné rail-route : la grande distribution crée Ecotrans

    Réseau ferré de France (RFF) et sept enseignes de la grande distribution (Auchan, Casino, Castorama, Conforama, Ikea, Intermarché et Leroy-Merlin) ont créé l'association Ecotrans. Objectif : développer le transport combiné sur de nouveaux axes.

    Le 18 juin 2010, Réseau ferré de France (RFF) et les sept enseignes de la grande distribution avaient engagé des études de faisabilité économique et technique sur la mise en œuvre de services de transport combiné (TC) sur les axes Rennes-Lyon et Dourges (Pas-de-Calais) à Lyon.

    Les études, menées avec l'Ademe, ont confirmé l'opportunité d'une offre dédiée. "Sur l'axe Rennes-Lyon, ces distributeurs peuvent apporter un volume équivalent au remplissage d'un demi-train dans un sens et d'un peu moins dans l'autre. Le potentiel est plus significatif sur l'axe Dourges-Lyon", détaille Jean-Pierre Orus, responsable de l'unité développement des produits chez RFF.

    Des appels d'offre communs

    Qui de Novatrans ou Combiwest, entre la Bretagne et Rhône-Alpes en 2011 (peut-être dès le 10 janvier pour le premier et sûrement le 17 pour le second), captera ce volume ?

    "Indépendamment d'Ecotrans, ces distributeurs vont se structurer pour lancer des appels d'offres communs. Au premier trimestre 2011 pour Rennes-Lyon et au second pour Dourges-Lyon. En travaillant en collaboration, ils disposent d'une force de négociation auprès des opérateurs qu'ils ne pourraient pas obtenir en opérant seul", avance Jean-Pierre Orus.

    D'autres distributeurs en vue pour Ecotrans

    Cette démarche door-to-door est-elle un premier coup de canif au principe de non-concurrence entre l'opérateur de TC et ses clients transporteurs routiers ? "Nullement, car le choix du transporteur reste dans les mains des distributeurs. Mais ce sont eux qui effectivement négocient avec l'opérateur le tarif et le niveau de qualité attendu."

    Dans le cadre d'Ecotrans, RFF et les distributeurs visent d'autres axes transversaux nationaux. Un second groupe de distributeurs et d'industriels pourrait rejoindre l'association.

    L'article cite Combiwest qui doit débuter un trafic combiné sur l'axe Rennes Lyon à partir du 15/01/2011 ; ce serait repoussé au 17/01 ; la semaine prochaine quand même.

    Le sujet sur Combiwest :

  17. Selon le Nouvel Obs :

    http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20110112.REU9127/rff-prevoit-une-reprise-du-trafic-de-fret-en-2011.html

    RFF prévoit une reprise du trafic de fret en 2011

    RFF prévoit une reprise du trafic de fret en 2011

    PARIS (Reuters) - Réseau ferré de France (RFF) prévoit une reprise du transport de fret en 2011, mais moins vigoureuse en France que dans le reste de l'Europe, a déclaré son président mercredi dans une interview à Reuters.

    Le groupe public est propriétaire et gestionnaire depuis 1997 des 30.000 kilomètres de lignes du réseau ferroviaire français.

    "Nous assistons à une reprise très forte du transport de marchandises dans les pays voisins de la France, notamment dans les ports. A Rotterdam ou à Hambourg, on voit que la crise de 2008-2009 a été totalement effacée, le trafic repart tout feu tout flamme", a dit Hubert du Mesnil.

    "En France, ça repart doucement", a-t-il ajouté. "Je pense donc que 2011 sera meilleure que 2010 pour le transport de marchandises en France, mais ce sera une reprise molle."

    Le président de RFF a également dit s'attendre à ce que la concurrence dans l'Hexagone, déjà en place pour le transport ferroviaire international de fret, devienne également effective sur les lignes internationales passagers avant 2013.

    "Je prévois l'arrivée d'un opérateur étranger sur des lignes internationales dans moins de deux ans. La concurrence sur les lignes nationales viendra ensuite, il devrait y avoir un projet de directive européenne sur le sujet d'ici à 2012", a estimé Hubert du Mesnil.

    RFF discute notamment avec la Deutsche Bahn, qui aimerait faire circuler des trains jusqu'à Londres, et la compagnie italienne Trenitalia. Il voit dans l'ouverture à la concurrence un moyen d'augmenter le trafic de trains et donc ses recettes de péages.

    Le groupe, qui publiera ses résultats 2010 en avril prochain, a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires de 3,3 milliards d'euros, correspondant pour l'essentiel aux recettes des péages et aux produits locatifs du patrimoine du groupe - RFF est le deuxième propriétaire foncier de France.

    Il a également accusé une perte opérationnelle courante de 1,6 milliard d'euros et dégagé un bénéfice net de 304 millions. Pour 2010, le groupe vise un résultat net faiblement positif.

    La dette, qui a atteint 27,8 milliards d'euros en 2009, devrait s'être stabilisée sur l'année écoulée, "mais sur le fond, la tendance est à la croissance de la dette", a ajouté Hubert du Mesnil.

    RFF, qui compte faire appel au marché cette année pour un montant total de 3,5 milliards d'euros, a conclu avec l'État un "contrat de performance" couvrant la période 2009-2012 et dans lequel il a pris des engagements sur la réduction de l'impact des travaux non programmés et le renouvellement des voies et caténaires.

    Si Hubert du Mesnil se dit satisfait du respect de ces engagements, il estime en revanche que l'objectif financier de réduire l'endettement à moyen terme semble pour l'heure compromis, conséquence de la baisse des subventions et de la diminution structurelle du nombre de trains qui empruntent ses voies.

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