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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. je ne suis pas impatient, lol...

    Je postule pour le poste d'ingenieur maintenance signalisation et telecom, tu peux m'en dire plus sur le métier et aussi sur le processus de recrutement, je passe la journée d'évaluation dans quelques jours...

    merci

    En ce qui concerne la description de l'emploi, le site de recrutement SNCF donne des indications :

    Son objectif :

    Assurer la maintenance des installations de signalisation et de télécommunication pour optimiser la sécurité des clients et du personnel.

    Son quotidien :

    • Organiser la maintenance et le contrôle des travaux effectués sur les installations de signalisation, d’énergie (caténaire, bâtiment) et de télécommunication sur une zone géographique donnée.

    • Animer et mobiliser son équipe sur la qualité de la production, l’organisation optimale du travail.

    • Choisir les méthodes de travail et planifier l’activité de son équipe.

    • Gérer un budget et optimiser les conditions financières des opérations de maintenance et des travaux d’investissement, notamment en relations avec des sous-traitants.

    Ses plus grandes qualités :

    Sens de l’engagement et des responsabilités, capacité à arbitrer et à négocier, sens de l’organisation, rigueur, aptitudes au management d’équipes de plusieurs dizaines de personnes.

    Formation interne spécifique

    Formation à la sécurité ferroviaire, à l’organisation et aux techniques de maintenance ferroviaire, au management d’équipe

    http://www.recrutement-sncf.com/metiers/ac...aspx?activite=5

    L'embauche se fait dans un établissement où tu seras pris en main au niveau d'une UP (unité de production) et tu suivras de nombreux stages. Au bout d'un an si tout va bien, tu seras dirigeant de proximité chargé d'un parcours et encadrant des équipes de surveillance des installations de signalisation (ou caténaires, ou telecom). Tu dois être manager, posséder les connaissances techniques (celles que tu auras apprises).

    Le recrutement : tu débuteras par un entretien par une chargée de recrutement de la direction des cadres ( je crois bien qu'elle se prénomme Christine !)

    Précision : t'auras beaucoup de boulot ; c'est pas des conneries. Si tu es de nature glandeur, tu te trompes de chemin. Pour un attaché cadre le commissionnement (titularisation) aboutit au bout de 2ans 1/2 , si tout va bien. Je préfère prévenir. lotrela

    Pousse Cailloux, je te donne la main. Moi je suis le gentil. A toi maintenant :)

  2. En fait, le CRO (Centre Régional des Opérations) envoie un fax à l'Escale. Le chef d'Escale transmet une dépêche aux postes d'aiguillage. Ensuite, on met en service les réchauffeurs d'aiguilles (dans les postes d'aiguillage, l'agent circulation aun commutateur par exemple pour les mettre en service sinon c'est l'Equipement qui met en service les réchauffeurs d'aiguille manuels).

    Comme on le disait plus haut, heureusement que les signaux restent fermés si les aiguilles décontrôlent sinon les conséquences seraient fâcheuses.

    Par ailleurs, hier un PN (passage à niveau) à Herblay a eu un râté de fermeture (le PN ne se serait pas fermé à l'approche des circulations). Ceci a perturbé très fortement le trafic sur l'axe PSL-Pontoise/Gisors/Boissy l'Aillerie/Mantes la Jolie via Conflans Ste Honorine. Le gardiennage a du PN a été assuré ce qui a permis une reprise progressive de la circulation. Là encore les conséquences auraient pû être terribles.

    Heureusement qu'en France le système ferroviaire nous permet encore de voyager en toute sécurité.

    Comme tu évoques ce sujet, le PN a été considéré en raté de fermeture parce qu'un tiers a fait ce signalement via le téléphone accessible au public impanté au dit PN. Branle bas de combat alerte radio par l'agent circulation, encore des clients dans les voies. Après l'arrivée des agents voie pour la reprise du gardiennage, le trafic a pu reprendre doucement puisque la reprise de gardiennage se fait avec l'utilisation des commutateurs de blocage des sémaphores encadrants sur chaque voie le PN. Puis les agents SE et le chef d'UP se sont tapés une première vérif jusque tard dans la nuit , une seconde vérif par une 2ème équipe à partir de ce matin de bonne heure jusqu'à 14h00 aujourd'hui.

    Bref à cause d'un guignol, c'était le plan orsec lotrela:) .

    Chers amis agents circulations, lorsqu'on vaut signale la non fermeture des barrières d'un PN à SAL ou l'extiction des feux, s'il vous plait prenez la précaution de relevé les coordonnées de l'individu qui a fait le signalement. Un entretien avec cette personne pourrait limiter les conséquences et les laborieues recherches inutiles.

    Excusez moi d'être sorti du sujet mais je ne pouvais pas faire autrement que de préciser que le PN 4 d'Herblay n'était pas en raté de fermeture; mais que certains ont perdu du temps sur l'affaire et que côté régularité c'était le patacaisse.

  3. J'aurais espérer que quelqu'un me donne au moins son avis de son expérience ou alors nous parle de son métier, comment cela se passe, comment cela évolue... bref nous fasse partager son expérience

    merci pour vos témoignages

    Sois pas impatient. Attends qu'on soit revenu du boulot après des journées harrassantes pour te consacrer un peu de temps.

    Voilà déjà pour te décourager.

    Sérieusement. Tu postules pour postuler ou bien tu postules pour un poste précis attaché cadre (bac+4 ou 5) en signalisation ou bien en Telecom ?

    Tu en es où dans le processus de recrutement ?

  4. Toutes mes excuses pour le terme amateurisme, mais il me semble qu'entre déclencher le réchauffage la veille et attendre que la neige -annoncée- ait bloqué les aiguilles, il y a peut-être un moyen terme.
    Dans le cas précis que j'ai évoqué, le gaz alimentant les réchauffeurs est conditionné en bouteille de 13 kg du commerce. L'allumage des réchauffeurs se fait quand la neige tombe, sinon on a vite fait d' épuiser le stock.

    Merci tout de même pour vos conseils Mr sdx.

    L'article de 20 minutes sur les conséquences de la neige sur Paris. La galère était pour tout le monde et même si des trains ont accusé du retard, la plupart sont arrivés à bon port dans des conditions raisonnables.

    http://www.20minutes.fr/article/295867/Par...lle-a-Paris.php

    Nota : faudrait éviter de mettre de mauvais poil le matin

  5. Si je ne me trompe pas, des amas de neige se mettent entre la lame de l'aiguille et le rail; donc la lame n'est pas bien collé et donc risque de déraillement (mais l'aiguilleur est averti par un systeme electrique que la lame n'est pas collé et tout les signaux se ferment)

    A 9h00 ce matin, il y a eu des dérangements d'aiguillages dus effectivement à de la neige. La plupart des aiguillages sont équipés de réchauffeurs électriques mais certains sont encore équipés de réchauffage au gaz à allumage manuel. A Pont Cardinet plusieurs aiguillages équipés ainsi ont posé problème.

  6. Salut Pousse Cailloux!

    Y a pas à dire, on me connait bien okok ...

    J'avais lu que selon les années le nombre de soudure alumino en voie variait entre 55000 et 60000, donc si 500 concerne tous les types donc incluant rupture de soudure c'est ultra raisonnable statistiquement parlant (statistiquement bien sûr car je comprends que pour vous ça reste un constat d'échec...)!

    Voilà voilou

    La technique de fabrication des soudures alumino en voie a bien évolué puisque le %de ruptures de soudures par rapport au total diminuent. Sauf que traînent en voie des soudures anciennes.

  7. Ça me rappelle quelque chose, c'était pas dimanche dernier sur la voie 2 du groupe II entre Pt-Cardinet et PSLA :blush: ? J'étais en poste ce jour là, et effectivement c'est un W sur la voie contiguë qui m'a signalé le rail cassé, et sans "zone au rouge".

    J'ai une petite question pour ceux qui voudront bien me répondre :

    Selon le mécano, le passage était possible en marche à vue, mais j'ai appliqué la procédure obstacle (donc aucun passage sur cette voie) en attendant l'agent voie. Est-ce qu'un conducteur est apte à déterminer si le passage est possible sur un rail cassé?

    Lorsqu'il y a signalement de rail cassé, l'agent circulation doit appliquer la procédure obstacle et arrêter les circulations jusqu'à constatation par un agent V. Suivant l'ouverture de la lacune, il y a un taux de LTV à appliquer. Seul un agent V (voie, caténaire ou SES ou dirigeant V) est apte à prescrire les mesures.

    Ca peut être un peu lourd parfois ; si un ADC constate une rupture qu'il franchit et arrête son train, avant que le train n'ait franchit totalement la rupture, il ne peut repartir qu'après constatation par un agent V qui fait ce qu'il peut pour arriver rapidement sur place (bon dieu d'embouteillages).

  8. (on a dit qu'il n'y avait pas de questions idiotes vous vous souvenez ??? hihi)

    Donc : la rupture que l'on peut voir sur ta photo, Kerguel, c'est à un point de soudure entre deux rails ou vraiment paf au milieu d'un rail ???

    Ce n'est effectivement pas une rupture de soudure mais une rupture en pleine barre (langage technique). Un grand nombre de ruptures est détecté grâce au circuit de voie, quand il y en a un, mais il y a des cas comme celui-ci où c'est le mécano qui le découvre ou bien les agents voie lors des tournées de surveillance.

    Pousse cailloux va à coup sûr venir donner des précisions mais à 12h15 c'est l'heure de l'apéro lotrelalotrela .

  9. Eh oui ça arrive surtout en période hivernale.

    Voilà une rupture qui s'est produite récemment sur ma région. Elle n'a pas été détectée par le circuit de voie puisque l'attache (griffond) qui ponte la rupture permet le passage du courant électrique.

    C'est un ADC d'un train circulant sur la voie contigüe qui a aperçu la rupture ; hardi petit, les agents voie d'astreinte sont intervenus rapido avec les éclisses et les cés pour consolider tout ça.

    Il se produit par an entre 300 et 500 ruptures de rail sur le réseau national.

  10. Un article dans 20 minutes

    Licenciée pour avoir envoyé 156 mails personnels en deux mois

    Une femme d'une trentaine d'années a été déboutée vendredi par le conseil des prud'hommes d'Angers...

    Une femme d'une trentaine d'années, licenciée pour avoir envoyé 156 mails personnels en deux mois depuis son lieu de travail, a été déboutée vendredi par le conseil des prud'hommes d'Angers saisi pour «atteinte à la vie privée», a indiqué une source judiciaire à l’AFP ce samedi.

    La jeune femme «avait besoin de dialoguer avec sa mère après le décès de son compagnon», avait plaidé son avocate, Brigitte Sublard, lors de l'audience le 4 juin 2008, selon le quotidien «Ouest-France» qui a révélé l'information samedi. Elle a ajouté que ces courriers étaient rédigés pendant les pauses alors qu'elle mangeait sur son poste de travail.

    La salariée réclamait 26.000 euros de dommages intérêts

    «Elle était en pleine déprime», il s'agissait d'une «conversation normale entre une fille et sa mère qui ne portait pas atteinte au bon fonctionnement de l'entreprise», a expliqué à l'AFP l'avocate, qui dénonce un «licenciement abusif».

    L'assistante de gestion, licenciée en mai 2007 pour «utilisation abusive d'Internet sur son lieu de travail», réclamait 26.000 euros de dommages intérêt de son ex-employeur, l'Association de gestion et de comptabilité du Maine-et-Loire.

    Une atteinte à la vie privée selon l’avocate

    «Ce dossier met en avant le problème grave de l'immixtion des employeurs dans la vie privée de leurs salariés», a souligné Brigitte Sublard, en se référant au code civil qui interdit de consulter les correspondances informatiques des salariés.

    L'employeur a affirmé qu'il avait découvert cette correspondance en recherchant l'origine d'un virus dans le système informatique et soutenu qu'il n'avait pas ouvert les messages mais seulement constaté leur existence. Il a estimé qu'une dizaine de courriers électroniques par jour représentaient «une heure de travail négligée».

    «Fréquence et importance de telles communications»

    Le juge départiteur qui a tranché l'affaire a reconnu qu'on pouvait utiliser occasionnellement la messagerie à des fins personnelles, tout en estimant qu'on pouvait reprocher à la salariée «la fréquence et l'importance en volume de telles communications».

    «Le licenciement pour motif personnel à caractère disciplinaire est pleinement justifié», a-t-il jugé, écartant l'atteinte à la vie privée au motif que «les messages n'ont pas été ouverts par l'employeur». L'avocate a indiqué réfléchir à l'opportunité de faire appel.

    http://www.20minutes.fr/article/295395/Fra...n-deux-mois.php

    176 mails en 2 mois ça représentent 4 à 5 mails par jour soit 10 minutes de clavier pendant la pause. Jugulaire, jugulaire sur la région d'Angers lotrela

  11. Les événements du vendredi 23 janvier en gare de Paris Saint Lazare expliqués par les services de la com de la région

    Incidents du vendredi 23 janvier 2009

    à la gare de Paris Saint-Lazare

    L’accident de personne :

    Vendredi 23 janvier 2009 17h25, le train 135 250, (Nanterre Université / PSL) à son arrivée en gare de Paris

    Saint-Lazare percute une personne titubant sur la voie 6. La victime, consciente mais coincée sous la rame,

    est rapidement prise en charge par les pompiers du poste de secours avancé et les équipes du SMUR. A

    cet instant, seules les voies 4, 5, 6 et 7 sont neutralisées afin de faciliter l’intervention des secours et

    d’éloigner les curieux.

    La victime est dégagée vers 19h15 et transportée vers un hôpital parisien à 20h05.

    Des voyageurs sur les voies :

    Dès 17h40, les premières alertes radio arrivent au CRO. Elles signalent la présence de personnes sur les

    voies. On constate rapidement qu’il s’agit de centaines de voyageurs qui quittent leurs trains bloqués dans

    l’avant-gare. Il est immédiatement décidé de constituer une équipe de volontaires (agents et cadres) pour

    diriger ces clients vers les quais. A 18h30, l’opération est terminée. On espère pouvoir faire repartir les

    circulations. C’est alors que des clients, bloqués dans des trains dans la zone de Pont-Cardinet, descendent

    à leur tour sur les voies. Des agents de la SUGE se rendent rapidement sur les lieux pour mettre les

    voyageurs en sécurité. Les premières circulations ne reprennent qu’à 19h50 avec ordre de marche prudente

    jusqu’à Asnières.

    Les restrictions de circulation sont définitivement levées à 20h30.

    Des voyageurs excédés face aux agents d’accueil :

    Entre-temps, cette coupure totale du trafic sur l’ensemble des lignes de PSL, en pleine pointe du vendredi

    soir, a eu pour effet de saturer très rapidement la plateforme de voyageurs. Des annonces sonores

    décrivant la situation sont lancées. Les écrans TFT délivrent aussi les informations utiles. Malgré cela les

    agents d’accueil sont rapidement pris à partie par les voyageurs. Vers 18h30, le DET de l’EEx PSL tente de

    se rendre au Centre accueil. Repéré comme dirigeant de la gare par certains usagers, il est aussitôt

    bousculé par la foule. Des agents de la SUGE le protègent et le font rentrer, ainsi que le DPx Réserve

    Escale dans le Centre accueil. Les voyageurs se mettent alors à taper sur les vitres du Centre accueil, l’une

    d’elle cède vers 19 h. Des morceaux de ballast sont également jetés contre le Centre accueil. Pendant toute

    la durée de l’incident, les agents de l’accueil ont su garder leur sang froid et rester professionnels. Sous la

    protection des agents de la SUGE, Ils sont mis à l’abri. La situation reste extrêmement tendue jusqu’au

    départ des premiers trains, vers 19h50. Les agents de l’Escale n’ont à aucun moment quitté leur poste, ils

    ont assuré la prise en charge des derniers voyageurs jusqu’à leur fin de service et au-delà.

    N.b. Les personnes qui ont tapé sur les vitres étaient des clients habituels de la gare, excédés et sous

    pression ; en revanche les jets de ballast depuis le buttoir étaient le fait de jeunes gens cagoulés. Au final,

    les agents de la SUGE ont procédé à 3 interpellations.

  12. Vous souhaitez être lu par un personnage de l'Elysée. Vous avez la possibilité d'envoyer un texte via internet. L'adresse se trouve :

    http://www.elysee.fr/ecrire/

    Mais attention tout de même aux dérives.

    Ivre, il menace de mort Sarkozy par mail

    Un homme a été placé 24 heures en garde à vue à Paris pour avoir, sou l'influence de l'alcool, envoyé à l'Elysée un mail menaçant de mort Nicolas Sarkozy. Il sera jugé en mars.

    Arrêté mardi dans l'Oise, un homme âgé de 40 ans, marié et père de trois jeunes enfants, a été placé en garde à vue à Paris pour avoir envoyé à l'Elysée un mail menaçant de mort Nicolas Sarkozy et visant également Michèle Alliot-Marie.

    Alors qu'il avait beaucoup bu, il a envoyé dimanche à l'Elysée un texte de 15 lignes "assez bien construit" mais avec des fautes, disant vouloir "tuer" Nicolas Sarkozy, "éliminer" deux élus de l'Oise, et détruire la maison de la ministre de l'Intérieur dans les Pyrénées-Atlantiques, selon le parquet de Compiègne. "J'ai fait 'contacter l'Elysée' sur Google et là j'ai eu le site (de la présidence). J'avais un peu la haine... il y a la crise, Sarkozy a augmenté son salaire, chez nous il y a du chômage partiel, tout ça quoi... et puis j'avais pas mal bu", a expliqué l'auteur du courriel, ouvrier chez un sous-traitant automobile de l'Oise.

    Il encourt cinq ans de prison

    Mardi, trois policiers parisiens de la section antiterroriste de la brigade criminelle de la PJ, armés et vêtus de gilets pare-balles, ont débarqué chez lui à Pierrefonds (Oise) alors qu'il dormait. Son domicile a été perquisitionné puis il a été emmené à Paris pour 24 heures de garde à vue, dans le cadre d'une enquête pour "atteinte à la sûreté de l'Etat".

    "Très vite il est apparu qu'on était loin du terrorisme", et que l'affaire relevait plus d'un "problème psychologique et d'alcool", a-t-on expliqué au parquet de Compiègne. L'homme a été relâché et a été convoqué pour le 16 mars au tribunal de Compiègne, où il sera jugé selon la procédure du plaider-coupable pour menace de mort sur personnes chargées d'un mandat électif et menace de destruction de biens. Il encourt cinq ans de prison.

    "J'ai fait une grosse connerie", reconnaît l'auteur du mail, qui dit avoir voté Nicolas Sarkozy à la présidentielle.

    Dans son courrier il insultait aussi la femme du président, Carla Bruni-Sarkozy, mais il n'est pas poursuivi pour ces écrits-là, selon le parquet de Compiègne.

    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/f...ml?XTOR=EPR-181

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