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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. Selon un article de WK-Transport-Logistique, un terminal va être construit dès 2012 à Calais. A terme des trains de transport combiné Calais Leipzig.

    Transport combiné : CargoBeamer va lancer ses premiers trains entre Calais et Leipzig

    Transport combiné : CargoBeamer va lancer ses premiers trains entre Calais et Leipzig

    La société allemande CargoBeamer devrait lancer en 2012 à Calais la construction de son premier terminal de transbordement rail-route. Sa technique de chargement latérale des trains ouvre de nombreuses perspectives au transport combiné.

    Le site du projet logistique Calais Premier mené par DCB International devrait voir, en 2012, la construction du premier chantier de transbordement rail-route utilisant le système de chargement latéral des trains développé par l’Allemand CargoBeamer, installé à Leipzig.

    Le dispositif permet de transférer sur le rail à peu près toutes les semi-remorques existant sur le marché, sans qu’elles doivent disposer d’aucun équipement de prise par pince ou de fixation spécifique.

    Passer d'un train à l'autre d'un même mouvement

    Chaque véhicule est installé sur un plateau – qui lui peut être manutentionné si besoin par un portique ou un reachstacker – chargé par une sorte de convoyeur intégré au quai, sur des wagons spéciaux.

    Au moment de la manutention, ces wagons aux ridelles rabattables automatiquement forment une plate-forme unique avec le quai. Toutes les semi-remorques sont chargées, déchargée ou transférées simultanément. Et sur un même chantier de transbordement possédant plusieurs voies parallèles, les véhicules routiers peuvent passer directement d’un train à l’autre dans le même mouvement.

    Un projet Marco Polo

    L’option est particulièrement intéressante pour le franchissement de frontières ferroviaires entre des réseaux aux normes UIC et des réseaux munis de voies à écartement large. Un terminal CargoBeamer devrait ainsi être construit dans ce but en 2013, à Mockava, en Lituanie, près de la frontière polonaise, dans le cadre du projet ESTRAB soutenu par le programme européen Marco Polo.

    En outre, à la fin 2011, une expérimentation d’une semaine a été menée ente Leipzig et Hambourg avec l’appui de l’opérateur Kombiverkhers et du gestionnaire de terminal rail-route Duss (groupe DB), pour démontrer la possibilité de transborder des semi-remorques sur le train au moyen de portiques conventionnels et des plates-formes Cargobeamer.

  2. Déterrage du sujet because actualité du jour .

    Un article de Vie Rail et Transport : Les chemins de fer grecs sont à vendre, la SNCF soutient n’être pas intéressée

    Les chemins de fer grecs sont à vendre, la SNCF soutient n’être pas intéressée

    Alors que la situation économique grecque préoccupe toujours les institutions financières, le plan de privatisation de larges pans de l’économie hellénique se précise (télécoms, énergie, transport, loterie nationale, etc.). Parmi ceux-ci, la privatisation du secteur ferroviaire, lourdement endetté, semble de plus en plus d’actualité.

    Alors que la situation économique grecque préoccupe toujours les institutions financières, le plan de privatisation de larges pans de l’économie hellénique se précise (télécoms, énergie, transport, loterie nationale, etc.). Parmi ceux-ci, la privatisation du secteur ferroviaire, lourdement endetté, semble de plus en plus d’actualité. Déjà, en mai 2010, le groupe géant chinois Cosco avait approché le gouvernement grec pour l’acquisition d’un réseau qui occupe une position centrale entre l’Europe du Sud, les Balkans et la Turquie. Le groupe chinois a déjà investi dans le port du Pirée, le plus grand port du pays. Mais la donne a aujourd’hui changé devant l’insistance des bailleurs de fonds, qui conditionnent le plan d’aide de 130 milliards d’euros adopté en mars à une privatisation rapide de certains grands groupes publics grecs.

    Aujourd’hui, selon une dépêche publiée par Reuters le 13 avril, trois compagnies européennes montrent leur intérêt. Les chemins de fer russes seraient intéressés par l’achat de l’ensemble du réseau géré par OSE et par l’opérateur Trainose. Egalement sur les rangs, la première compagnie ferroviaire privée roumaine, GFR (Grup Feroviar Român), lorgne sur les activités de fret. Enfin, la SNCF, qui conseille le groupe grec en vue de sa restructuration depuis 2010, serait intéressée par le service voyageurs et par les activités de fret, toujours selon Reuters. Contactée, la SNCF a pourtant démenti être intéressée par un rachat total ou partiel des chemins de fer grecs. Un officiel grec a déclaré que des discussions sur une éventuelle acquisition avaient eu lieu en septembre 2011. Des discussions ont bien eu lieu à Paris et à Athènes en 2010 et à la fin de 2011. Mais la SNCF affirme que ces rencontres n’étaient motivées que par son rôle de conseil et d’expertise dans la restructuration du groupe public grec.

    Selon l’agenda imposé par l’UE, l’appel d’offres pour Trainose devrait s’ouvrir au quatrième trimestre 2012. Le processus de vente devrait s’achever au printemps 2013.

    Au total, le réseau grec affiche 2 550 km de lignes. Depuis le plan de restructuration lancé par le gouvernement grec, la masse salariale a été divisée par deux et de nombreuses lignes jugées non rentables ont été fermées. Dans ce dossier, le gouvernement grec marche sur des œufs tant la situation sociale du pays est tendue. Les syndicats ont déjà promis de faire la guerre à tous ces projets de privatisations, arguant que le gouvernement grec était en train de brader « les bijoux de famille ». Privatisations qui devraient tout de même rapporter au pays près de 50 milliards d’euros d’ici à 2015.

  3. Interview de Sarkozy par Bourdin sur BFM TV. Un extrait

    http://www.bfmtv.com...-actu26418.html

    L'article du Parisien qui en parle :

    VIDEO. Soldats tués en Afghanistan : le ton monte entre Sarkozy et Bourdin

    Sa façon de poser des questions, directes, précises et souvent provocatrices, en a piégé plus d'un. Jean-Jacques Bourdin a récidivé ce mercredi matin sur RMC-BFM TV en interrogeant Nicolas Sarkozy sur le nombre de soldats français tués en Afghanistan depuis le début de la guerre. Un échange très tendu, pendant lequel les deux hommes se sont coupé la parole à de multiples reprises.

    Sarkozy : «Ce n'est pas un jeu, on n'est pas à l'école»

    «Rappelez-nous combien de soldats français ont été tués en Afghanistan ?», lance d'abord le journaliste. «Ecoutez, à mon souvenir, il doit y en avoir 80, quelque chose comme ça, 70. Plusieurs dizaines de soldat Français», répond le candidat-président. «Mais combien ?» insiste Jean-Jacques Bourdin. «Je ne me souviens pas à l'unité près», avoue l'interviewé. «Vous ne connaissez pas le nombre de soldats français tués en Afghanistan ? semble s'étouffer l'animateur radio et télé. Je vous pose la question : est-ce qu'ils sont morts pour rien ?» «Non. Permettez-moi de vous dire j'ai été quatre fois en Afghanistan, j'ai présidé toutes les cérémonies, rappelle Nicolas Sarkozy. Ce n'est pas un jeu, on n'est pas à l'école.» «83 soldats ont été tués en Afghanistan, les derniers morts tués par les balles des soldats afghans que nous avons formés», le coupe Jean-Jacques Bourdin.

    C'en est trop pour Sarkozy qui réplique : «N'élevez pas la voix, c'est un sujet trop grave. Tous nos soldats ont le sentiment de faire leur devoir et sont heureux d'être là-bas. Tous les camarades des soldats qui sont morts m'ont dit : Il était heureux parce qu'il avait le sentiment de faire son devoir, son travail. Ils ne sont pas morts pour rien. Ils ont aidé un pays de 25 millions d'habitants à redevenir un pays normal».

    Avant de conclure comme un défi : «A mon tour de vous poser une question : combien de victimes en Libye ?» «Zéro», répond Jean-Jacques Bourdin.

    L'implication française en Afghanistan est un enjeu de la campagne présidentielle, François Hollande étant partisan d'un départ des troupes françaises à la fin 2012. «J'ai été suffisamment clair», a rappelé ce mercredi matin sur France Inter. «Je l'ai dit il y a maintenant quatre ans, c'était en 2008, que je considérais que la France n'avait plus de mission à accomplir en Afghanistan», a-t-il poursuivi. «Je n'ai pas attendu un drame ou une tragédie pour accélérer le retrait», a-t-il fait valoir, en allusion à la décision du président Nicolas Sarkozy annonçant fin janvier, après la mort de soldats français, ce retrait avancé à 2013 au lieu de 2014 comme décidé par les alliés.

    • J'adore 1
  4. Hélas la SNCF et RFF sont les premiers fossoyeurs du patrimoine. C'est vraiment dommage pour cette ligne (Orléans-Rouen si on la délimite totalement), j'ai passé toute mon enfance le long de sa partie entre le petit village de St-Georges-Motel et Dreux. Enfin bref.

    Tu fais une confusion, il ne s'agit pas de la même ligne. Le projet de réouverture est Evreux Louviers Rouen mais en rejoignant la ligne de Paris Le Havre au niveau de Val de Reuil . Toi tu parles de celle-ci : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligne_de_Rouen_%C3%A0_Orl%C3%A9ans. Une portion de la ligne que tu cites est exploitée par le chemin de fer touristique de la vallée de l'Eure http://www.cfve.org/.

  5. La vie duraille des Marocains de la SNCF

    La vie duraille des Marocains de la SNCF

    Embauchés dans les années 1970, les salariés marocains de la SNCF n’ont jamais eu les mêmes droits que les cheminots français. Ils sont 744 à assigner leur employeur en justice. Un front commun, malgré des situations individuelles très différentes.

    Des durs à la tâche, respectueux de la hiérarchie, pas râleurs. Souvent préposés aux tâches ingrates, les salariés marocains, ou d’origine marocaine, de la SNCF n’ont jamais eu les mêmes droits que les agents français.

    Mais depuis que les plus anciens sont partis avec des retraites de misère, ils ont dit «stop». Sept cent quarante-quatre d’entre eux assignent en justice l’entreprise publique pour discrimination tout au long de leur carrière. Le bras de fer a débuté devant les tribunaux en 2003, avec 70 dossiers. Depuis, il traine, ce qui a laissé le temps au rang des plaignants de grossir.

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    La première plaidoirie devant les prud’hommes de Paris doit se tenir ce mercredi 18 avril. Soixante-deux dossiers de salariés devraient y être épluchés. A moins que les avocats de la SNCF n’en demandent une nouvelle fois le renvoi, le temps de peaufiner la défense de leur client –ce qui est probable «à 90%», nous a indiqué Me Michel Bertin, avocat de l’entreprise publique. Car l’affaire est complexe, le puzzle délicat à reconstituer.

    Des statuts différents pour un même boulot

    En pleines Trente glorieuses, la Société nationale des chemins de fer a besoin de force de travail bon marché pour construire et entretenir les voies, atteler les wagons, composer les trains. Du boulot pour des gars forts, habitués au grand air et résistants au froid. A cette époque, le recrutement se fait essentiellement au Maroc. Il y en aurait eu environ 2.000 (selon le syndicat Sud rail, la SNCF ne communique pas les chiffres).

    Ces hommes ont signé avec la SNCF un contrat de droit privé,«pour travailleur étranger». Dans le jargon du rail, on les appelle les «PS25».En tant que Marocains, le statut plus avantageux de «cheminot» (autrement appelé «cadre permanent») est en théorie hors de leur portée. En vertu d’une clause de nationalité, il est réservé aux Français (et ressortissants de l’UE depuis peu) de moins de 30 ans. Pourtant, le travail effectué est le même.

    Un cheminot part à la retraite à 55 ans, avec une pension calculée sur les six derniers mois de salaire. Cotise à une caisse de prévoyance et de soins spéciale, a un déroulement de carrière calqué sur la progression de sa notation, peut voyager quasi gratuitement en train. Sa famille aussi.

    Un contractuel cotise, lui, à l’assurance vieillesse et maladie du régime général. Il part à la retraite quand il a fait ses trimestres, généralement vers 62 ans. Sa pension est calculée sur la base de ses 25 meilleures années de travail; il n’est pas intégré au processus de notation de la SNCF, ni aligné sur la même grille salariale; les concours internes ne lui sont pas tous ouverts. De plus, ses facilités de circulation sur le réseau ferroviaire étaient très limitées avant un accord avec la direction en 2009.

    Une égalité de papier

    Pourtant, le contrat de travail des PS25 précise que «le travailleur étranger a droit au même régime de travail que les ouvriers français», qu'il «doit recevoir à travail égal une rémunération égale à celle de l'ouvrier français de même catégorie» et que «l'égalité de traitement s'étend également aux indemnités s'ajoutant au salaire».

    Ces différences flagrantes de traitement ont motivé Me Léopold Mendès, l’avocat des 744 plaignants, à se saisir de cet énorme dossier.

    Il tient le raisonnement suivant: si la clause de nationalité est légale (le Conseil d’Etat l’a déjà reconnue comme telle), elle ne peut cependant justifier un traitement discriminatoire. La SNCF a d’ailleurs déjà été plusieurs fois condamnée pour discrimination à l’égard de travailleurs étrangers, malgré la clause.

    «Et comme les emplois qu’occupent mes clients sont les mêmes que ceux occupés par les cheminots, sans qu’ils aient le même traitement, il y a discrimination.»

    Un profond ras-le-bol

    L’exemple de M’Hammed El Alaoui est emblématique. A 62 ans, c’est le doyen de son équipe. C’est aussi le seul Marocain. Le second plus âgé, un cadre permanent est, à 49 ans, à six ans de la retraite. M’Hammed devra, lui, attendre encore trois ans pour partir avec une pension à taux plein. Ça va être dur. Depuis qu’il a intégré l’entreprise, le 29 mai 1974, il fait «le travail le plus pénible»:

    «Pour 1.900 euros nets par mois en comptant les primes, je travaille de nuit, sur les voies. Je change les rails, le ballast, les traverses. J’ai voulu un moment prendre la nationalité française pour passer cadre permanent, mais on m’a dit que j’étais trop vieux, que c’était trop tard. Alors je suis resté où j’étais, toujours à faire le sale boulot. Je suis cassé. J’ai deux hernies. Mais si je suis malade une semaine, j’ai trois jours en l’air! Quand mes collègues sont souffrants, ils sont toujours considérés comme présents et leur caisse leur paie les consultations et les médicaments. C’est de l’injustice. J’en ai ras-le-bol!»

    M’Hammed fait partie des 62 agents marocains ou d’origine marocaine dont le cas doit être plaidé le 18 avril.

    «D’origine marocaine», parce que plus de la moitié des plaignants (environ 400) ont acquis la nationalité française. Certains ont ainsi pu accéder au statut de cadre permanent bien qu’ils aient dépassé la limite d’âge de 30 ans. Alors que d’autres, devenus Français, sont restés PS25.

    «C’est un mélange de situations compliquées, sans qu’on sache pourquoi les carrières ont évolué si différemment d’une personne à une autre», soupire Ahmed Katim, 63 ans et PS25 à la retraite depuis un mois.

    C’est lui qui porte ce dossier à bout de bras depuis qu’il s’est rendu compte des écarts de traitement entre salariés. C’était en 2001, avec les premiers départs à la retraite des contractuels marocains.

    «Après 32 ans de travail, un collègue ne touchait que 1.943 francs de retraite! Nous, quand on est arrivé du Maroc, on a signé et on a fait confiance, on n’a pas négocié notre salaire ni notre contrat. On a fait le travail le plus pénible, on n’a pas accès aux soins, et voilà ce qu’on touche!»

    Même ceux qui sont devenus cheminots sur le tard (passé l’âge de 30 ans) n’ont pas eu un traitement identique à celui de leurs collègues Français d’origine. Leur ancienneté en tant que PS25 n’a pas été prise en compte lors de leur changement de statut. «Ils sont repartis de zéro!», explique Me Mendès.

    «Mis à la marge et humilié»

    Le cas se corse encore un peu plus avec la situation de Mostafa Rharib. Lui a été embauché sur concours par la SNCF en 1975, dans le cadre d’un partenariat avec l’Office national des chemins de fer marocain. Il avait 20 ans, son BTS tout juste en poche.

    Dans le cadre de cet accord, il a obtenu –malgré sa nationalité marocaine– le statut de cadre permanent. Mais «assimilé» seulement. S’il n’est donc pas PS25, il n’est pas tout à fait cheminot non plus. «Je suis dans l’entre-deux», dit-il. Car la SNCF refuse qu’il cotise au régime de retraite de l’entreprise. Il est affilié au régime général, moins avantageux. Et ce bien qu’il soit devenu Français.

    Ainsi, à 57 ans, alors que ses collègues cadres permanents sont déjà à la retraite depuis deux ans, Mostafa a encore six années de travail à accomplir pour partir avec une retraite à taux plein. Cette situation le «dégoûte». Lui aussi a décidé de porter plainte pour ne plus se sentir «mis à la marge et humilié». Il fera le 18 avril le déplacement depuis le sud de la France.

    Pour son avocat, la difficulté de ce dossier est liée au fait que «selon les cas, la discrimination dont [ses] clients sont ou ont été victimes a muté en fonction des carrières. Il y a des cas de discrimination liée à la nationalité, à l’âge ou à l’origine. C’est beaucoup plus compliqué à saisir que les différences de traitement homme / femme».

    Pour chacun des plaignants, il demande à la SNCF 400.000 à 500.000 euros en guise de réparation des dommages. Ce qui, en tout, représenterait 334 millions d’euros.

    De son côté, la SNCF dit «ne pas avoir pour habitude de commenter des affaires en cours» mais «espérer que cette affaire se règle au plus vite».

    Comment? Au rythme actuel, il faudra des années. Par un accord à l’amiable alors? Possible, quand on sait que la France a gros à jouer avec la construction d’une ligne grande vitesse au Maroc, qui représente un marché de plus d’un milliard d’euros pour les entreprises hexagonales. Ce n’est donc pas vraiment le moment pour les autorités françaises de se mettre à dos leurs homologues marocains, qui suivent de très près cette affaire.

    Mais au ministère des Transports, promis juré, on ne se mêle pas de politique. Et on se contente de dire que «bien que la SNCF soit une entreprise publique, il s’agit d’une problématique de droit social qui est gérée en interne».

  6. C'est donc mort pour le projet Rouen Evreux ??? Ils ont eu gain de cause ????

    Avec la flambée des prix du carburant, celà pourrait faire une belle victoire à la Pyrrhus....

    Des gens "raisonnables"... ils ne sont pas contre les voies, si c'est assez loin de leur pitoyable pavillon de Banlieue....

    RFF cherchait des conciliateurs???, il est certain que ce type de poste ne me conviendrait point...)))

    Fabrice

    Même si ça n'a pas été clairement dit, le projet de LNPN condamne la réouverture de l'ancienne ligne puisque dans certains scénarios de tracé, la LNPN pourrait relier quasiment Evreux à Rouen ; je dis quasiment puisqu'il faudrait construire une gare nouvelle au nord d'Evreux à 7 ou 8 km de distance.

    Pour ce qui est du projet de LNPN, les rêveurs y croient. Entre 13 et 15 milliards d'euros pour la construire, on peut rêver dans l'état actuel des choses.

  7. Ils sont contre la voie ferrée Rouen - Evreux qu'ils jugent "archaïque", mais aussi contre la ligne nouvelle... Il faudrait savoir !

    Le tracé de l'ancienne ligne, qu'il était question de réouvrir, se trouve dans la vallée de l'Iton donc les habitants sont contre.

    Dans les scénarios de tracé de la LNPN, certains traversent également en partie la vallée de l'Iton donc les habitants sont contre. Par contre dans les 2 cas, ils ne sont pas opposés que chaque projet passe loin de chez eux.

    Sinon il y a déjà un sujet ouvert sur la réouverture de Rouen - Evreux, si un modérateur charitable peut le déterrer et fusionner...

    EDIT : L'expert en déterrage est passé, y a plus qu'à fusionner ou fermer...

    Volià comment on arrive à faire passer un copain pour un blaireau :Smiley_04:

  8. Un sujet que j'ai connu dans mes débuts. L'odeur de rat crevé dans le bureau du chef de service d'une gare normande. A à qui on fait appel dans ces cas là? Et bien à V (équipement) en charge à l'époque des batiments de service. Et me voilà à 4 pattes dans la galerie technique du batiment où s'emmêlent câbles électriques et tuyauteries diverses à la recherche de victimes d'appats empoisonnés. Il suffit d'une victime et franchement ça pue. Et le problème n'est réglé que quand le cadavre est découvert. :Smiley_41:

    Les rats à la balle saison ça prend l'air, mais à l'approche de l'hiver, ces petites bêtes regagnent les abris ; l'entreprise de dératisation intervient en automne avec des appats frais et appétissants et pendant l'hiver, il y a comme une épidémie de décès chez les petites bêtes.

    • J'adore 1
  9. Bonjour,

    j'aimerais intégrer la sncf. J'ai 33 ans... Le poste qui me plairait est technicien de la circulation.

    Existe t-il des interlocuteurs à la sncf avec qui je pourrais étudier la faisabilité de mon projet ?

    Cordialement.

    Postule aux offres d'emploi sur le site de recrutement de la SNCF http://www.emploi.sncf.com/acces/eRecrutement_WebApplication-SNAPSHOT/. Dans le processus de recrutement tu rencontreras les interlocuteurs que tu cherches.

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