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kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. Un article de WK-Transport-Logistique :

    Le premier OFP entièrement dédié à la gestion d'infrastructures voit le jour en Bourgogne

    Le premier OFP entièrement dédié à la gestion d'infrastructures voit le jour en Bourgogne

    L'OFP du Châtillonnais et de l'Auxois a démarré ses activités le 30 janvier 2012 suite à un appel d'offres lancé par RFF. C'est le premier en France à assurer exclusivement des prestations de maintenance ferroviaire.

    Les innovations en matière d'exploitation des lignes ferroviaires spécialisées fret se multiplient en Bourgogne. Après la Compagnie Ferroviaire Régionale (CFR) qui a été le premier opérateur de fret de proximité (OFP) à assurer à la fois des dessertes fret et un contrat de "prestataire gestionnaire d'infrastructure" (PGI), l'OFP du Châtillonnais et de l'Auxois est le premier à avoir démarré ses activités en tant que seul PGI.

    En clair, ce nouvel intervenant assure la maintenance des lignes Nuits-sous-Ravières - Chatillon-sur-Seine - Brion-sur-Ource (50 km) et Les Laumes - Epoisses (35 km), pour le compte de RFF. Le contrat conclu avec la société ATIF (Assistance Travaux et Ingénierie Ferroviaire), en groupement avec la Dijonnaise de Voies Ferrées (DVF), court sur une durée de trois ans.

    Une structure de proximité réactive

    Basée à Chenove, près de Dijon, ATIF va embaucher quatre personnes supplémentaires dans le cadre de la création d'une agence à Montbard. Celle-ci sera chargée de la surveillance et de l'organisation de la maintenance des installations ferroviaires du projet, les moyens de traction et de travaux étant fournis par DVF.

    Comme l'explique Antoine Favre, gérant d'ATIF, "nous allons essayer d'apporter à RFF une structure de proximité adaptée et réactive composée de compétences ferroviaires reconnues. Nous pourrions nous intéresser à d'autres lignes situées en Bourgogne, sous réserve que RFF lance de nouveaux appels d'offres".

    Travaux à venir

    Pour RFF, ce contrat attribué au groupement ATIF-DVF "permet d'expérimenter un deuxième modèle en matière de maintenance des lignes à voie unique à vocation fret. Notre ambition est d'en optimiser l'entretien afin de les pérenniser et de favoriser ainsi le développement du transport ferroviaire de marchandises", souligne Antoine Latouche, chef du service commercial et gestion du réseau RFF.

    Sur ces lignes desservies principalement par Europorte et Fret SNCF, les convois transportent majoritairement des céréales. Le trafic est d'environ 300 000 tonnes annuelles sur Nuits-sous-Ravières - Chatillon-sur-Seine - Brion qui fera l'objet d'un programme de rénovation courant 2013. Les 6 millions d'euros investis dans l'opération permettront notamment de porter la masse à l'essieu des trains à 22,5 tonnes contre 20 t actuellement sur la section Châtillon-sur-Seine - Brion-sur-Ource.

    Le trafic sur la seconde ligne, Les Laumes-Epoisses, est plus modeste puisqu'il s'établit à environ 70 000 tonnes. Cette ligne est cependant apte à voir circuler des convois chargés à 22,5 t par essieu. La relance du trafic bois dans le châtillonnais pourrait apporter un surcroît de trafic, de l'ordre de 100 000 tonnes par an.

  2. Ca existe les ratés de fermeture.... hélas.

    Il y a tout de même beaucoup de ratés de fermeture de PN à SAL qui n'en sont plus après les recherches et vérifications par les agents du SES. Bien souvent une mauvaise interprétation d'un tiers. Dès le signalement d'une situation semblant être un raté de fermeture, les mesures du raté de fermeture sont prises immédiatemen. ; brièvement ça se traduit par l'arrêt des circulations jusqu'à l'arrivée d'agents V sur place. Donc le CNO est mis au parfum.

  3. Apparemment il est question d'une réouverture aux voyageurs et au Fret. Il me semblait qu'elle devait être rétablie pour le Fret uniquement. Ca aurait évolué alors ?

    Aux dernières nouvelles c'était Inexia qui avait en charge la maîtrise d'oeuvre. Maintenant qu'Inexia, Xelis et Systra ne font plus qu'un, la maîtrise d'oeuvre sera peut-être assurée par Systra alors.

  4. L'article du Figaro vient de paraître

    RER B: un conducteur grièvement blessé

    Un conducteur du RER B a été grièvement blessé ce matin par la chute accidentelle d'une partie d'une caténaire en gare de Sevran-Livry en Seine-Saint-Denis, entraînant de très fortes perturbations sur le réseau nord de cette ligne RER.

    Vers 6h15, à hauteur de la gare de Sevran-Livry, "une caténaire, qui avait été abîmée par le passage d'un premier train, a été arrachée par le train suivant et une partie est tombée sur la cabine conducteur, faisant éclater la vitre", a expliqué un porte-parole de la SNCF. Le cheminot a été immédiatement hospitalisé et son état est "assez grave", a-t-on précisé.

  5. Début des travaux de régénération pour la réouverture : deuxième semestre 2012. L'article de paris Normandie SNCF : Gisors-Serqueux, le retour

    SNCF : Gisors-Serqueux, le retour

    La liaison entre le Vexin et le pays de Bray va être rétablie en 2013 après des travaux sur la ligne abandonnée en 2009. Réunion d'information jeudi.

    GISORS (Eure). La ligne ferroviaire reliant Serqueux (Seine-Maritime) dans le pays de Bray à Gisors (Eure) va être remise en état à partir du second semestre 2012. Pour présenter le projet, la direction régionale de Réseau ferré de France organise une réunion publique, demain jeudi 2 février à Gisors. « Nous tenons à ce que les acteurs locaux et les riverains soient parfaitement informés du déroulement des travaux », souligne Sandrine Chinzi, directrice régionale.

    Suspendue en 2009, l'exploitation de la ligne Serqueux-Gisors va reprendre pour les voyageurs et le fret à partir de mi-2013. Il s'agit d'une avancée pour tous les usagers des transports en commun de la région. Elle marque la volonté commune de l'Etat, de Réseau ferré de France et de la Région Haute-Normandie d'améliorer le réseau existant et de soutenir le développement économique local.

    Les trois partenaires participent chacun pour un tiers au financement de l'opération, d'un montant total de 105 M€.

    50 km de travaux

    Pour permettre la reprise de la circulation des trains, des travaux de remise en état de la double voie sont nécessaires. Plusieurs opérations vont donc intervenir sur 50 km : mise en place de longs rails, de traverses en béton et de ballast neufs, rénovation de sept ponts ferroviaires, consolidation de talus, renouvellement des revêtements et de la signalisation des passages à niveau, amélioration des aménagements routiers au droit des passages à niveau, travaux de débroussaillage, d'élagage, de nettoyage des fossés.

    La sécurité fait aussi partie du projet. Aussi, la remise en état de la ligne est-elle l'occasion d'intervenir sur les passages à niveau. Le tronçon en compte trente-six au total. La suppression est envisagée pour six d'entre eux (en cours d'étude ou d'enquête publique). Pour quatre autres dotés d'un panneau « stop », des barrières automatiques vont être installées.

    La sécurité suppose aussi que les riverains soient bien préparés au retour des trains sur la ligne, d'abord pendant les travaux puis après la remise en circulation. Ce sera l'un des thèmes de la réunion d'information

  6. Pourquoi ne pas avoir titré"Société de conducteurs de trains intérimaires" ?

    T'as raison. Me suis rapidement rendu compte que je n'étais pas concerné :Smiley_63:

    Avec un nom comme rail intérim, j'étais déjà prêt à sortir tout l'outillage ; tenailles, pinces, tronçonneuses à rail, tirefonneuses, pelle mécanique,......

    Et puis me suis rendu compte que c'était réservé aux barons du rail. Pffffffffffffffffffff

    • J'adore 1
  7. Refonte SNCF et RFF. Les gains de productivité seraient une priorité mais sur la maintenance des infrastructures. Je me disais aussi , il n' ya qu'à enlever une traverse sur 2, un signal sur 2 et on devrait y arriver :Smiley_53:

    Rail: des gains de productivité doivent accompagner la refonte RFF/SNCF (Araf)

    Rail: des gains de productivité doivent accompagner la refonte RFF/SNCF (Araf)

    La réorganisation du secteur ferroviaire entre le gestionnaire Réseau ferré de France (RFF) et l'opérateur historique SNCF est "nécessaire", mais doit être accompagnée de gains de productivité, a estimé mardi l'Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf).

    Les Assises du ferroviaire, qui se sont déroulées à l'automne dernier, "ont montré la forte préoccupation sur la gouvernance dans le domaine ferroviaire", a déclaré Pierre Cardo, président de l'Araf.

    "Mais si la réorganisation de la gouvernance est nécessaire, ce n'est pas elle qui résoudra les problèmes du ferroviaire. La réforme devra être accompagnée de gains de productivité tant du capital que du travail", a-t-il estimé lors d'une conférence de presse consacrée au Document de référence du réseau (DRR) pour les horaires 2013.

    Le DRR, véritable "règle du jeu" du réseau ferré français, est établi chaque année par RFF et examiné pour avis par l'Araf. Cet avis en trente points, rendu le 25 janvier, était présenté mardi à la presse.

    Une loi de 1997 a séparé la gestion des infrastructures, attribuée à RFF, de l'exploitation du réseau dévolue aux entreprises ferroviaires (l'opérateur historique SNCF, et les nouveaux entrants). Mais la SNCF abrite toujours et gère pour le compte de RFF la Direction de la circulation ferrovaire (DCF) ou SNCF Infra (maintenance et entretien).

    En clôture des Assises en décembre, la ministre de l'Ecologie et des Transports Nathalie Kosciusko-Morizet avait annoncé "la décision d'unifier le gestionnaire d'infrastructures" en réunissant "en un seul lieu, SNCF Infra, DCF" et RFF.

    Selon M. Cardo, cette réforme "doit être progressive, en procédant par étapes" pour que "l'infrastructure soit totalement indépendante de l'exploitation des sillons" (créneaux de circulation des trains) dans un contexte d'ouverture à la concurrence.

    De plus, cela permettrait de répondre à plusieurs préoccupations de l'Araf au sujet de RFF qui gère la circulation des trains mais "n'a pas d'informations suffisantes sur l'état du réseau ou sur les problèmes de maintenance", ni possibilité de maîtriser les coûts de maintenance.

    L'Araf a également noté le manque de transparence dans les tarifications entre intervenants sur le réseau: des sillons par RFF aux opérateurs, de SNCF Infra à RFF ou encore de Gares et Connexions (qui gère plus de 3.000 gares voyageurs en France) dont la grille de tarification 2013 a été suspendue "en l'absence des règles approuvées permettant de la justifier".

    L'Autorité demande également à RFF de fournir le prix définitif d'un sillon au moment où il est affecté à un opérateur, alors qu'actuellement le prix n'est connu qu'à la facturation lorsque le train a circulé. Le gestionnaire devra présenter un projet de barème des coûts en mai 2012.

    Plus largement, la SNCF et RFF devront fournir "au plus tard le 31 juillet 2012" les éléments nécessaires pour déterminer les coûts et tarifs d'infrastructures de services.

    En ce qui concerne son activité d'organe de surveillance du secteur, l'Araf a été saisie à cinq reprises (règlements de différends ou procédures de sanction) en 2011 pour sa première année d'existence, et déjà à quatre reprises en 2012. Le secteur "sait que l'on existe maintenant", a relevé M. Cardo, qui s'attend à une forte augmentation des saisines cette année.

  8. Un article de WK-Transport-Logistique : Fret ferroviaire : OSR France ambitionne de tripler son activité en 2012

    Fret ferroviaire : OSR France ambitionne de tripler son activité en 2012

    L'opérateur de transport ferroviaire OSR France prend sa place au nord d'une ligne Le Havre - Troyes - Strasbourg. Treize mois après son premier train de fret, la filiale du groupe SNCB Logistics espère tripler son chiffre d'affaires en 2012.

    Treize mois seulement après avoir assuré son premier train de fret entre Aulnoye et Calais, l'opérateur de fret ferroviaire OSR France, filiale de SNCB Logistics, estime pouvoir passer à la vitesse supérieure.

    Implantée à Lille, la société répond en effet actuellement à trois appels d'offres dont deux majeurs. Le premier concerne l'acheminement d'un million de tonnes de granulats alors que le second porte sur un trafic de 700 000 tonnes. Le troisième apparaît plus modeste avec 300 000 tonnes.

    Comme le confirme son directeur Olivier Deprez, "OSR France devra procéder à une extension de son certificat de sécurité si elle obtient tout ou partie de ces nouveaux contrats. Nous attendons la réponse dans le courant du premier trimestre 2012".

    Montée en puissance

    L'obtention de ces nouveaux marchés consoliderait encore un peu plus la montée en puissance de la fin d'année 2011. Cinq nouveaux trains complets hebdomadaires ont, en effet, été mis en marche à l'occasion du changement de service annuel. Trois sont assurés pour le compte du producteur d'engrais Yara entre Le Havre et Tergnier. À la plus grande satisfaction du client puisque ce dernier envisage de passer à la cadence de cinq trains par semaine dès le second semestre 2012. "Notre nouveau partenaire nous garantit une livraison le jour B. Grâce à la rapidité de ce service, nous pouvons d'ores et déjà envisager une réduction de notre parc wagons courant 2012", souligne Claudy Dalne, responsable transport ferroviaire Europe de Yara.

    Deux autres trains sont acheminés sur le même parcours pour la branche pétrochimique de Total. Alimentant les hubs de Tergnier et d'Aulnoye spécialisés dans l'acheminement des wagons isolés, ces nouveaux trafics sont venus s'agglomérer aux premiers trains complets de céréales et d'acier lancés fin avril 2011.

    Rentabilité visée pour 2013

    Cette accélération du développement au travers notamment des trains complets va considérablement modifier la répartition du chiffre d'affaires de la société. Les opérations au sol, qui représentaient encore 34% de l'activité de la société en 2011, ne compteront plus que pour 10% en 2012, alors que le trafic diffus et les trains complets se partageront, à parité, les 90% restants.

    Si la société n'a pas souhaité indiquer le montant de son chiffre d'affaires, elle confirme cependant que celui-ci devrait être multiplié par trois cette année. Son effectif devrait franchir la barre des 100 personnes à la fin 2012. Les moyens de traction, dix locomotives Diesel pour l'heure, devraient être renforcés par l'arrivée de trois unités supplémentaires.

    Intégralement détenu auparavant par IFB, le capital de la société a été considérablement augmenté à la fin 2011, passant de 300 000 à 3,5 millions d'euros. À cette occasion, Xpedys, filiale de SNCB Logistics assurant l'offre commerciale d'OSR France, est devenu le seul actionnaire de la société française. Selon Pascal Herroelen, PDG d'Xpedys, "les premiers bénéfices d'OSR France sont attendus en 2013".

  9. Merci pour cette répone rapide^^

    Je voudrais savoir de quoi est composé le système de pendulation et quelles sont les caractéristiques des composants comme les vérins (pneumatiques, hydrauliques....).

    Les trains pendulaires ne circulent pas en France. C'est principalement les Suisses qui les ont adoptés.

    Sur le site de Alstom Transport tu as quelques éléments.

    Sinon sur Cheminots.net, il y a ce sujet :

  10. Bonjour

    Je suis actuellement en classe préparatoire PSI au lycée Raspail à Paris.

    Je projette de produire un TIPE sur les trains pendulaires.

    Alors je voudrais demander gracieusement de l'aide ou des contacts pouvant m'aider à avancer mon projet.

    Merci beaucoup!

    Un document de 156 pages produit par un étudiant qui a travaillé sur le sujet en 2004 : http://upcommons.upc.edu/pfc/bitstream/2099.1/3277/1/32049-1.pdf

  11. Pour ce qui concerne l'incident sur voie 2 du côté du Mans, le journal Ouest France connaît les résultats de l'enquête : SNCF. Énormes retards des trains entre la Bretagne et Paris

    La rupture de caténaire aurait été causée par le dysfonctionnement d’un pantographe, ce bras articulé situé au-dessus du train et servant à capter le courant électrique issu de la caténaire.

    Le fautif serait vraisemblablement le TGV 8006, qui est parti ce matin à 6 h 30 de Rennes, et a fini par à Paris-Montparnasse, avec plus de 3 h 30 de retard…

    Le fautif peut s'attendre à être interrogé quand il sera en état de parler. :Smiley_63:

  12. 100m de voie de service, " à sec ", ça tourne autour de 12 000€ la pose. Faut rajouter la came: rails vignoles de recup, traverses, un tout petit peu de ballast..

    Rails 50kg/m longueur totale 200m, soit 10 t, à 100€/t : 1000€

    Traverses 150 prix unitaire de recup 20€ piece : 3000€

    Ballast 50t :

    Eclisses tirefonds boulons : 400€

    Aux alentours de 18 000€..à la louche.

    Qu'en pensent les taupiers ???

    Fabrice

    Ce serait "une bonne nouvelle" car sans rien y connaître j'avais misé sur du 50 000 €...

    En tout cas vraiment les gars vous êtes à la hauteur de ce que je pensais des cheminots ! Pas de jugements sur une idée d'un gars qui n'est pas "de chez vous" et vous lui donnez un max d'infos. Vraiment au top ! (ou au taupe :tongue: )

    Un renouvellement de voie sur ligne exploitée avec du matériel neuf coûte de l'ordre de 1 million/km ; pour 100 m ça représente donc 100 000€. Ce coût est forcément motivé par la logistique importante nécessaire, par le personnel affectés pour des missions de sécurité (annonce des circulations, renfort dans les postes, consignation caténaires,accompagnement des TTX, pilotage des engins,.....) et de surveillance et par les installations de sécurité à démonter puis à remonter et à vérifier chaque jour avant la remise en circulation de la voie.

    En site propre facilement accessible, et utilisation de matériel de réemploi, la fourchette de prix [18 000- 50 000] est bonne en intégrant dans l'estimation le coût de la cérémonie d'inauguration de la voie nouvelle. :Smiley_62:

  13. Up.

    Jugement mardi 31 janvier 2012 La SNCF assignée par une femme ayant perdu son emploi à cause des retards des trains

    La SNCF est assignée à comparaître mardi devant le TGI de Paris par une jeune femme de 25 ans qui assure avoir perdu son emploi à Lyon en raison des retards répétés de son train.

    Embauchée comme secrétaire en CDI à temps partiel dans un cabinet d'avocat de Lyon en juin 2010, la requérante, qui habite à Ambérieu (Ain), s'était vu signifier la fin de son contrat le 22 juillet 2010, au terme de sa période d'essai. Motif invoqué: "Les nombreux retards accumulés pendant votre période d'essai en raison de votre domicile très éloigné de votre lieu de travail perturbent le fonctionnement de l'entreprise (...) La persistance de ces retards y compris pendant la période de renouvellement de votre période d'essai me contraint donc à prendre cette décision", peut-on lire dans la lettre de l'employeur, reproduite dans l'assignation consultée par l'AFP.

    La jeune femme met ces retards sur le compte de perturbations récurrentes sur la ligne SNCF reliant Lyon à Ambérieu (Ain), alors même qu'elle s'était efforcée de prendre un train plus tôt, afin d'éviter tout contretemps.

    Son avocat, Me David Metaxas, entend produire à l'appui de ces explications plusieurs bulletins de retard, allant de 5 minutes à 1 heure 15 et portant sur la période juin-juillet 2010.

    "C'est regrettable que quelqu'un qui vient de trouver un emploi fasse les frais de dysfonctionnements des services publics", a déclaré Me Metaxas à l'AFP.

    Il réclame pour sa cliente 15.000 euros de préjudice moral et 30.000 euros de préjudice financier, jugeant que la SNCF n'a pas rempli ses obligations contractuelles.

    En septembre 2010, la cour d'appel de Paris avait condamné la SNCF à indemniser un passager qui n'avait pu remplir ses obligations professionnelles, à la suite du retard d'un train directement imputable à l'entreprise.

    La direction juridique de la SNCF avait alors indiqué être visée par "environ 30 affaires de ce type par an, pour un volume de plus d'un milliard de voyageurs", et que cette condamnation n'était pas une première.

  14. Bon, déjà, merci au journaliste de mentir pour se faire mousser ...

    L'adolescent est vivant, et même pas en danger de mort. Il s'est fait électriser.

    Donc, le môme est vivant, c'est déjà une bonne nouvelle. Et j'imagine qu'il ne recommencera pu, car effectivement ça aurait pu être dramatique. C'est le genre de connerie qu'on ne fait qu'une fois, quelle que soit l'issue.

    Christophe

    Très bonne chose que le gamin s'en sorte ; tu as raison sur la différence de notion entre électrisation et électrocution. On en a déjà parlé sur ce forum.

    D'ailleurs, l'ami Capelanbrest devrait modifier le titre du sujet.

  15. Je crois que l'on ne doit pas parler du même sujet....

    Ici AUCUN message n'a été invisibilisé. Un message a été modifié, avec l'accord de son auteur.

    Et ce qui relève du "totalement intolérable" est très personnel : il y a donc systématiquement débat en arrière boutique sur ces sujets et ces notions.

    Etonnant ! La notion de propos intolérable sur un accidents comme celui-ci est soumis au débat .

    J'ai souvenir d'autres accidents évoqués sur ce forum, par exemple l'électocution de jeunes montés sur des wagons pour lesquels des propos du même genre avaient été tenus ; je les avais signalés et la modération n'avait point tergiversé comme cette fois-ci.

    Sur ce , bonne journée (quand même) si tu veux avoir le dernier mot, je te le laisse.

    Commentateur morbide, le champ est libre. revoltages

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