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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. Bon on va essayer :

    - le traitement de l'ordre de 1200€ net par mois ; sans doute un peu plus puisque âgé de plus de 30 ans tu ne seras pas au statut et donc tu n'auras pas de prime de fin d'année équivalent grosso modo à un mois de traitement. Donc celle-ci est répartie sur les 12 mois.

    - les CREQ interviennent très souvent en dehors de leur résidence administrative et par conséquent bénéficient d'allocations de déplacements pour compenser les frais

    - suivant la région où tu interviens tu peux travailler très fréquemment de nuit et peut-être les week-ends. Ceci est compensé par des indemnités.

    Avec ses allocations et indemnités ton salaire peut être doublé. Bien sûr le mois de congé il n'y a pas ces émoluments complémentaires.

    Un petit tour sur tes questions :Smiley_63:

    - les horaires jour, nuit sur gros chantiers 2x8 ou 3x8 , week-ends. Lors de la chute des feuilles fauut faire tourner les draines brosseuses ou les trains laveurs

    - les tests que tu as réussi il y a 2 ou 3 ans- je suis pas sûr mais je crains qu'il faut remettre ça

    - ton âge ne pose de problème - embauche en CDI mais régime sécurité sociale.

  2. Une ligne de ce type necessite t'elle un entretien aussi lourd qu'une VU à ecartement standard, sachant qu'il n'y a pas de Fret...

    Le gain pour Veolia a peut être reposé sur ce point...

    Fabrice

    Le rail 20 kg/m est d'origine ; il reste très peu de traverses métalliques d'origine. La caténaire a été remplacée il y a moins de 20 ans. Apparemment la maintenance de l'infra a toujours été soutenue.

  3. Salut tout le monde,

    TALENTPEOPLE m'a demandé l'autorisation de publier ce sujet et d'intervenir sur le forum. Ils ont eu mon aval.

    Concernant le sujet plus ancien dans lequel je me plaignait de TP, on va dire que c'est du passé. Je n'ai pas pu retrouver dans mes mails la discussion que j'avais eu avec une personne en particulier.

    TALENTPEOPLE a fait la démarche de venir à la rencontre des gens directement sur le forum, c'est une démarche inhabituelle mais qu'il faut justement bien accueillir. Maintenant à eux de nous démontrer qu'il ne s'agit pas juste de venir faire de la publicité pour leurs services, mais aussi de répondre aux questions des internautes. Merci de rester corrects avec eux svp.

    Il y a un grand nombre de personnes qui consultent cheminots.net pour la recherche d'information sur des recrutements ; il est donc évident que des informations sur le site Emploi-ferroviaire.fr a toute sa place ici.

    Ma suggestion :

    - le sujet mérite d'être épinglé

    - le sujet devrait être accessible dans la rubrique "Recrutement SNCF" et dans une autre rubrique "Recrutement autres opérateurs ferroviaires" (même si ça fait doublon).

  4. Effectivement, nous avons recherché en interne et auprès de l'administrateur de ce forum l'orgine de cet incident. A notre connaissance, personne au sein de notre structure n'est à l'origine de quelconques menaces. Si vous avez des éléments supplémentaires, je suis preneur. En outre, étant "actif" dans le secteur ferroviaire depuis plusieurs année, ce forum est source d'avis importants dans notre volonté de pertinence et de qualité.

    Je reste à votre disposition.

    A TP Martinez, les questions de JL Chauvin méritent une réponse :Smiley_63:

    Quelques petites questions:

    - venez vous de la SNCF, TPMartinez?

    - certains de vos recruteurs viennent-ils de la SNCF?

    - recrutez-vous pour la SNCF?

  5. Nouvel article de La République des Pyrénées sur la reprise de la gestion par un établissement public sous maîtrise du CG 64.

    La Rhune : Altiservice voulait aussi le train

    La Rhune : Altiservice voulait aussi le train

    Le réseau Altiservice, qui exploite Artouste et donc aussi son train touristique (100 000 voyageurs annuels), s'était positionné pour « récupérer » la gestion du petit train de la Rhune. Mais, comme nous l'écrivions dès samedi, l'exploitation de ce dernier passera prochainement dans le giron public.

    Le conseil général va en effet proposer au vote, lors de la prochaine session les 2 et 3 février, l'exploitation de cet outil touristique qui accueille chaque année 330 000 voyageurs pour un chiffre d'affaires dépassant les 4 millions.

    Le train de la Rhune était jusqu'à présent opéré, et depuis près de 20 ans, par la CFTA (Chemin de fer et transport automobile), filiale du groupe Véolia. Cette délégation de service public devait prendre fin en octobre.

    Voyant là une belle opportunité économique, la nouvelle majorité départementale a l'intention de confier cette mission à l'Epsa. Pour mémoire, l'Etablissement public des stations d'altitude exploite déjà les sites de Gourette et la Pierre Saint-Martin. A noter que les 17 salariés à temps plein de la Rhune seront tous conservés.

  6. Fraude à Pôle emploi : 19 000€ dans la poche chaque mois. Deux ans de prison requis contre l’employé de Pole emploi qui avait détourné 317 000 euros

    Deux ans de prison requis contre l’employé de Pole emploi qui avait détourné 317 000 euros

    La peine a été requise jeudi soir pour des faits s'étant déroulés entre février 2008 et octobre 2011.

    Le mis en cause se constituait des dossiers fictifs pour s’ouvrir des droits, récoltant ainsi en moyenne 19 000 euros par mois. Le ménage était surendetté explique le Progrès. La femme avait fini par être mise au courant. Deux ans de prison avec sursis ont été requis contre elle pour recel. Le jugement a été mis en délibéré au 26 janvier.

  7. Contrôle musclé pour le trafic de clopes pour les trains en provenance de La Tour de Carol : Trains et gares placés sous contrôle

    Trains et gares placés sous contrôle

    Policiers, gendarmes, douaniers, agent de la sûreté SNCF ont mené hier toute la journée une vaste opération de sécurisation dans les gares et les trains qui circulaient en Haute-Garonne. Quatre-vingts personnels assermentés ont réalisé 350 contrôles d'identités. Les douaniers ont saisi 4 kg de tabac soit l'équivalent de 17 cartouches dans le train « jaune » qui relie l'Andorre à Toulouse via La Tour de Carol. « La limite autorisée quand on vient d'Andorre est de 300 cigarettes par personne », rappelle Serge Audoynaud, le directeur régional des douanes. Deux personnes ont fait l'objet de vérifications par les membres de la police aux frontières. « Ils ont été laissés libres mais des investigations complémentaires sont en cours », précise le commissaire Authier, patron de PAF. Le préfet Comet a rappelé : « La sécurité dans tous les lieux, tous les espaces et notamment dans les transports publics reste une priorité ». Il a également confirmé que ce type d'opération coordonnée « pourrait être renouvelé ». Un plus pour la SNCF dont le directeur régional Pierre Meyer a souligné : « La sécurité des passagers et des biens reste notre priorité absolue ».

    On va être tranquille pendant un bout de temps maintenant :Smiley_04: . Vont pas remettre ça tout de suite quand même :Smiley_04:

  8. Selon le lien wikipedia cité plus haut: "L'ensemble du parc, motrices et voitures, a été complètement restauré, contrôlé et mis aux normes peu après le changement de concessionnaire en 1996, par des entreprises spécialisées, certaines disposant des plans d'origine."

    Le concessionnaire qui a financé la remise aux normes du matériel il y a 15 ans est surement ravi !

    Avec plus de 300 000 passagers par an, le retour sur investissement s'est fait dès les premières années. Pas fou le concessionnaire qui est CFTA donc Veolia Transdev :Smiley_63: .

    Par ailleurs comme l'a rappelé DU94 LGV, Veolia Transdev lâche la branche Transport.

  9. Et les Chrétiens devront se déclarer pour Noël et lundi de Pâques...

    C'est comme pour le service minimum quoi

    Et les autres (j'allais dire les crétins... :Smiley_53::Smiley_63: ) ?

    Et le nouvel an Chinois plutôt que le nouvel an ordinaire...(c'est quand même rentré dans les moeurs...)

    Vais remettre une couche sur les jours fériés. Et les fêtes druidiques en Bretagne ? 7 jours fériés quand même ; d'accord le 1er novembre et le 1er mai font doublon.

    Eva Joly, on fait comment là ?

    http://calendrier.celtique.free.fr/

  10. 3 projets de LGV sont actuellement financés sous la procédure dite PPP, Partenariat Public Privé. Il s'agit des LGV, Tours Bordeaux, Nîmes Montpellier et Connéré Rennes (LGV Bretagne).

    Un article intéressant, sans doute tendancieux, mais qui explique les travers des PPP. Partenariat public-privé, fabrique de dette cachée

    Le titre de l'article en dit déjà long !

    Partenariat public-privé, fabrique de dette cachée

    Quel rapport entre les prisons à venir, le futur stade Vélodrome à Marseille et la ligne ferrée de contour- nement Nîmes-Montpellier ? Le PPP, partenariat public-privé. Régis Rioton, architecte, décrypte les travers d’une méthode vendue comme providentielle par le gouvernement.

    Basé dans les Alpes-de-Haute-Provence, Régis Rioton est architecte, membre du Conseil national de l’ordre en charge de la commande publique.

    Le partenariat public-privé (PPP), qu’est-ce que c’est ?

    Dans le cadre des marchés publics, le maître d’ouvrage, autrement dit le commanditaire, emprunte et fait construire un bâtiment qui lui convient sur un terrain qui lui appartient. Avec le PPP, il signe un contrat administratif qui lui permet de confier le travail à un groupe souvent créé pour l’occasion : trouver de l’argent et construire le bâtiment. Mais on ajoute aussi la maintenance, ou encore d’autres missions, comme dans le cas des prisons, telles la restauration, l’accueil des familles et même la gestion du travail des détenus. La puissance publique se retrouve « locataire », elle paye un loyer durant une trentaine d’années. Une période durant laquelle elle ne pourra pas modifier le bâtiment, ni changer les clauses du contrat sauf à signer un avenant et accepter les nouvelles conditions financières qui iront avec. Sachant qu’il est toujours difficile de prévoir tout ce qui peut se passer sur une période de trente ans.

    Quelles sont les motivations ? Les collectivités locales désargentées ou l’Etat qui se désengagent ont trouvé les moyens de continuer à construire tout en répondant aux critères sur une dette inférieure à 60% du PIB imposés par l’Europe puisque les PPP ne figurent pas dans l’investissement mais dans le fonctionnement ?

    Ne figuraient pas. Depuis un an, les règles se sont légèrement modifiées et une partie est obligée d’apparaître dans les investissements. Mais la construction représentant la plus petite partie du PPP, les trois quarts des sommes concernées restent affectées au fonctionnement et continuent de fabriquer ce qui est une dette cachée.

    Entrer dans les clous de Maastricht est effectivement une des raisons avancées. Il y a aussi le manque d’entretien et de maintenance des bâtiments publics. Si le constat n’est pas faux, le raisonnement qui en découle me semble stupide. Il aurait mieux valu se doter des outils permettant d’entretenir ce patrimoine, plutôt que se « coincer » pour trente ans dans ce type de contrats que l’on ne peut renégocier comme cela est possible pour un emprunt par exemple, ou pour la maintenance quand celle-ci est dissociée.

    Si l’Angleterre, initiée aux PPP dès 1992, est aujourd’hui critique sur ce système, la France prend le relais et devient le leader européen avec 60% de tels contrats signés sur le vieux continent ?

    Cela résulte d’une vraie volonté politique. Le gouvernement propose une mission d’appui qui assure un lobby pour faire évoluer vers ce nouveau mode de commande publique. C’est un véritable VRP du PPP. Si l’ordre des architectes a toujours dénoncé ce système, nous étions peu écoutés. Aujourd’hui, on commence enfin à entendre dire que cela coûte cher et est très contraignant, qu’on pourrait avoir des prestations identiques, voire meilleures, à des coûts inférieurs et offrant davantage de libertés.

    Vous dénoncez le coût, très important pour les contribuables. Pour exemple, le siège du ministère de la Défense : 720 millions d’investissement mais 3,5 milliards de remboursement.

    Ou le stade de Marseille : 267 millions d’investissement dont 100 assurés par Arema qui percevra 12 millions par an pendant une trentaine d’années.

    Oui c’est plus cher mais c’est normal. Il y a tout d’abord l’emprunt, forcément plus cher pour des privés que pour le public. Ce sont ensuite des entreprises dont l’objectif est tout à fait normalement de réaliser des bénéfices. Il y a donc des marges à tous les niveaux : construction, mais aussi maintenance et fonctionnement. Outre le coût, se pose la question du contrôle. Le privé sait faire un certain nombre de chose, mais logiquement le public doit être là pour le contrôler et doit pouvoir le remercier s’il ne donne pas satisfaction. Avec le PPP, ce n’est pas possible.

    Vous dites d’ailleurs que les collectivités publiques vont perdre ce savoir-faire de maître d’ouvrage. En tant qu’architecte et donc maître d’œuvre, vous pointez une perte d’indépendance ?

    L’architecte peut effectivement avoir un contrat à géométrie variable. S’il est nécessaire au groupement qui répond à un PPP pour la conception, on peut s’en passer pour l’exécution et le contrôle comme cela s’est déjà vu. Quand un architecte travaille pour un maître d’ouvrage, il a la responsabilité de le satisfaire mais aussi, au travers lui, de répondre aux intérêts des usagers. Ce pour quoi nous avons prêté serment même si le terme semble aujourd’hui un peu désuet. L’architecte n’est pas là pour servir les intérêts des entreprises même si, nous pouvons comprendre leurs problématiques. Or, quand l’architecte est payé par un groupement il devient difficile de faire refaire des choses qui posent problème.

    Vous soulignez enfin le problème des PME qui sont exclues de ces PPP alors même qu’elles sont le premier employeur en France ?

    Seules des Majors et leurs filiales ont les épaules pour porter des contrats d’une telle envergure. Non seulement la concurrence est faussée, ce qui fait forcément monter les prix mais les PME sont condamnées à la sous-traitance, contraintes d’accepter les conditions financières et de calendrier. Et le contexte de crise actuelle leur permet encore moins de refuser un contrat ou de regimber sur les conditions au risque de perdre un marché.

  11. L'article d'aujourd'hui de La République des Pyrénées :

    Le conseil général veut prendre en charge le petit train de la Rhune

    Le conseil général veut prendre en charge le petit train de la Rhune

    Lors de sa prochaine session, la majorité du conseil général va proposer à l'assemblée de prendre en charge l'exploitation du petit train de la Rhune, jusqu'alors assurée par Veolia.

    http://memorix.sdv.f...272?pays-basque

    C'est une proposition qui sera soumise aux élus lors de la prochaine session du conseil général, les 2 et 3 février. Sous réserve d'adoption - ce qui ne fait guère de doutes - l'exploitation du petit train de la Rhune, au Pays basque, va basculer dans le giron public. Et devrait être confiée à l'EPSA, l'établissement public des stations d'altitudes, présidé par le conseiller général d'Aramits Jean-Claude Coste et dirigé par Laurent Dourrieu. Rappelons que l'EPSA, qui du coup va changer d'envergure, emploie 65 salariés (plus 220 saisonniers) et exploite les stations de ski de Gourette et la Pierre-Saint-Martin.

    Depuis 1994 par Véolia

    Propriété du conseil général, le petit train est lui exploité depuis 1994 par une filiale de Veolia, la CFTA (chemin de fer et transport automobile). Mais la délégation de service public prenant fin en octobre prochain, Georges Labazée et son équipe souhaitent confier cet outil à l'EPSA. « Ce n'est pas un choix politicien ou idéologique, indique le président du conseil général. C'est le fruit d'une longue démarche, avec des consultations, des études, un cheminement de plusieurs mois. » Notons que les élus locaux, comme le maire de Sare ou le conseiller général d'Espelette Vincent Bru, dans l'opposition départementale, ont été associés à cette démarche.

    Par ailleurs, l'EPSA s'engage à reprendre les 17 salariés qui travaillent à temps plein à la Rhune, aux mêmes conditions salariales que celles qu'ils ont actuellement. Cette « reprise en main », permise par la fin du contrat de concession, est aussi une belle opportunité économique pour le conseil général. A la Rhune, en accueillant chaque année 330 000 voyageurs (2e train touristique de France), la CFTA dégage un chiffre d'affaires de 4,2 millions d'euros. Objectif du département, « garantir la poursuite de l'exploitation mais aussi son développement. »

    ===> Un groupement avec la Navarre

    Parallèlement à l'intégration du petit train de la Rhune dans le giron de l'EPSA, le conseil général devrait mettre en place un groupement européen de coopération transfrontalier (GECT) avec la Navarre, à l'image de ce qui a été fait récemment pour le déneigement et l'aménagement du col du Pourtalet. Le GECT avec la Navarre permettra aux collectivités de s'accorder sur plusieurs projets comme l'organisation des secours mais aussi les projets touristiques.

    Avec ses quatre trains comptant chacun deux voitures, le petit train de la Rhune accueille chaque année 330 000 voyageurs.

  12. L'article du Parisien :

    Mantes-la-Jolie : un train d’engrais AZF sème la pagaille en gare

    Le 10 janvier 2011

    Des dizaines de policiers et de pompiers ont été déployés cet après-midi à Mantes-la-Jolie (Yvelines) à la suite d’une alerte sur un train de marchandises. Peu avant 14 heures, un convoi transportant des engrais de la marque AZF a perdu une toute petite partie de son chargement alors qu’il traversait la gare de Mantes-Station.

    Immédiatement, les pompiers ont été appelés et un imposant périmètre de sécurité a été mis en place.

    Le trafic ferroviaire a également été suspendu plusieurs dizaines de minutes. Dans certaines conditions précises, l’engrais est en effet une matière potentiellement explosive. Finalement, après une inspection minutieuse des pompiers, le périmètre a été levé vers 15 heures. Selon les premières constatations, les billes d’engrais se sont échappés depuis une vanne mal fermée.

  13. On devrait se réjouir que des syndicats RFF aillent a l'encontre du gouvernement, et,

    veuillent une réunification SNCF / RFF ???? Non ??

    Des doublons il y en a encore que doublon n'est pas le terme exact ; un ancien collègue me racontait que quand il se déplaçait à RFF pour des dossiers, il y avait 3 en face qui lui demandaient des explications.

  14. je trouve qu'il y a quand même un peu trop de conditionnels dans l'article .... Il a été dit la même chose pour la SNCM. Et rien de fait non plus ... et la CGT dans divers CE ... depuis des années sans qu'aucune preuve ne vienne.

    j'ai dit ce que je pensais des chances de succès pour cette SCOP. Malgré ça, j'accueille avec prudence ces infos qui tombent trop bien.

    Sont quand même doués dans les affaires immobilières les deux compères : http://www.liberation.fr/economie/01012381889-les-purs-plans-immobiliers-de-la-cfdt

    Trouvé une affaire en Normandie dont j'avais souvenir : 2 délégués du port du Havre condamnés pour pour avoir profité de la caisse du syndicat : http://www.liberation.fr/economie/01012301619-escroquerie-deux-cgtistes-du-havre-condamnes

  15. Des salariés de SeaFrance dénoncent le «système CFDT»

    http://www.lefigaro....ysteme-cfdt.php

    Comme je suis un peu curieux j'ai cherché ce qui se disait sur les malversations au sein de Seafrance. L'article de L'Expansion balance

    SeaFrance: ce qui est reproché à la CFDT en 5 liens

    SeaFrance: ce qui est reproché à la CFDT en 5 liens

    Elle porte le projet de reprise de l'entreprise, mais depuis plusieurs jours la CFDT SeaFrance fait l'objet des plus vives contestations. Y compris de la part de ses propres instances confédérales. Les accusations qui sont portées contre elles sont très graves...

    Depuis la semaine dernière, les responsables CFDT de SeaFrance, porteurs du projet de reprise de l'entreprise via une coopérative (Scop), sont accusés des pratiques les plus viles. Au départ le syndicat était critiqué pour s'être opposé à la solution de relance portée par Louis Dreyfus Armateur (LDA) et la société danoise DFDS. Mais la controverse a pris une nouvelle tournure avec le déballage par la presse de faits graves de violence, d'intimidation, de malversations ou encore d'enrichissement personnel ... Retour sur les principaux reproches faits à la CFDT SeaFrance.

    Le refus des autres offres de reprises

    Jeudi dernier François Chérèque a jeté un pavé dans la mare, en accusant la CFDT SeaFrance de porter "une lourde responsabilité" dans la situation de la compagnie de ferries transmanche. Dans un communiqué commun avec la Fédération générale des transports-équipements et l'union régionale, la confédération a en effet exprimé son "désaccord" avec les leaders de ce syndicat "qui n'ont pas voulu examiner d'autres projets " dont ceux de Louis-Dreyfus Armateur et de la compagnie danoise DFDS.

    Ce lundi, le secrétaire général de la CFDT en a remis une couche en affirmant qu'il serait amené à proposer des exclusions au sein de la CFDT SeaFrance si les soupçons de malversation et de fraudes concernant certains leaders syndicaux étaient avérés. Une condamnation de la base par le sommet qui reste exceptionnelle chez les syndicats. Historique même, comme le rappelle cet article de la Tribune.

    Soupçons de malversations

    Début 2010, suspectant des détournements de produits à bord des navires, les patrons de SeaFrance portent plainte pour "abus de confiance". Une information judiciaire est ouverte, mais depuis, aucune mise en examen n'a été prononcée. Selon le JDD de ce week-end, les malversations étaient en réalité courantes à bord des navires SeaFrance. Le quotidien détaille en effet toute une série de pratiques, allant du détournement de fonds au trafic de cigarettes et d'alcools au coeur desquelles se retrouvent... les marins CFDT! Mais à en croire le journal, tous les salariés de l'entreprise, même les non syndiqués, en auraient profité.

    Des responsables syndicaux multipropriétaires

    Au coeur de ce système de fraudes, deux noms sont régulièrement cités: celui de Didier Cappelle, le secrétaire du syndicat maritime Nord, et de Eric Vercoutre, secrétaire du comité d'entreprise. A en croire une récente enquête de Libération les deux ouvriers leaders de la CFDT ont chacun accumulé des fortunes gigantesques ces dernières années. Le quotidien révèle en effet qu'à eux deux, ils posséderaient pas moins de dix-huit biens immobiliers...

    La cooptation comme technique de recrutement

    "Il ne semble pas que SeaFrance ait une véritable politique en matière de recrutement". Dès 2009, la Cour des comptes dresse ce constat sévère, comme le révélait en début de semaine dernière un article d'Atlantico.fr. Pour la Haute juridiction en effet, amenée à enquêter sur le dossier SeaFrance "le recrutement s'effectue largement par cooptation selon des critères peu transparents". Les recommandations familiales ou encore la formation syndicale seraient déterminantes pour entrer dans les compagnies de ferries. Outre son aspect contestable, cette politique aurait eu pour conséquence d'importants sureffectifs, qui pourraient entre-autre expliquer les difficultés de l'entreprise.

    Des méthodes musclées pour faire régner l'ordre

    Pour asseoir son autorité au sein de l'entreprise, la CFDT n'aurait pas hésité à user de méthodes musclées. A en croire un article du Monde, Eric Vercoutre aurait même frappé à plusieurs reprises des membres de syndicats opposés, et aurait été condamné par la justice pour de tels faits. Des journalistes auraient également fait les frais de menaces d'intimidation : en 2003 des salariés emmenés par Didier Cappelle auraient envahi les locaux de Nord-Littoral à Calais après un article déplaisant.

    Si ces faits sont avérés, la justice doit faire son boulot. Non ?

    Les 2 leaders CFDT très présents auprès des médias ces jours-ci vont continuer à profiter en toute liberté des gains amassés pas malversation. Pas normal tout ça. cartonrouge

    La presse ne peut pas inventer des faits aussi graves quand même. :Smiley_63:

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