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Le Web des Cheminots

kerguel

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Messages publiés par kerguel

  1. Bonjour à tous,

    Comme vous le savez peut être, avec l'aide d'un conducteur, nous faisons une revue de presse quotidienne.

    Cette revue de presse est accessible à tout le monde.

    Nous sommes plus de 830 inscrits !

    Si vous souhaitez la recevoir, je vous invite à m'envoyer à l'adresse indiqué sur le fichier votre NOM PRENOM et SERVICE si agent SNCF ou nom EF et votre courriel (Perso ou/et pro si vous recevez les courriels externes)

    Pour info, voici celle du 09 septembre 2011

    Bonne lecture

    Très intéressant. Est-ce que ce serait compliqué de la mettre en lecture quotidienne sur ce site ?

  2. Je ne suis pas sûr que les usagers réguliers qui ont un tant soit peu de jugeote (oui, il yen a ;)) poussent à la construction d'une LGV qui leur ferait gagner 20 minutes à tout casser. Les connaisseurs connaissent (:cool:) les difficultés sur leur secteur : l'exiguité de Saint-Lazare et la saturation dans le secteur de la proche banlieue ; ces inconvénients n'étant pas réglés par une LGV qui partirait de Mantes.

    Petit HS.

    Ta connaissance de la région de Paris St Lazare ne présagerait-elle pas une mutation à venir mdrmdr lotrela

  3. euh, sauf erreur de ma part : c'est l'Axe Paris/rouen/ et le Havre qui serait concerné par une L G V,

    et là la résa obligatoire devient à l'ordre du jour sur l'Axe Paris/caen/cherbourg/trouville/deauville....

    certes des Normands toujours, mais il y a les hauts et les bas Normands....

    Il y a plusieurs scénaris dont une LGV jusqu'à Caen. Le scénario le plus amibitieux c'est Caen à 1h15 de Paris au lieu de 1h47 actuellement en train direct.

  4. Un article de WK-transport-logistique du 8 09 2011

    http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/43333/fret-ferroviaire-europorte-signe-un-partenariat-avec-trenitalia.html

    Fret ferroviaire : Europorte signe un partenariat avec Trenitalia

    Trenitalia, premier opérateur ferroviaire en Italie, et Europorte, filiale de Groupe Eurotunnel, ont signé un accord stratégique établissant une liaison internationale de fret ferroviaire entre la France et l'Italie.

    Europorte poursuit le développement de son maillage européen. Après la Grande-Bretagne, où elle opère par le biais de GB Railfreight, troisième opérateur de fret, la filiale d'Eurotunnel se lance en Italie via un partenariat avec l'opérateur historique, Trenitalia.

    450 000 tonnes de céréales transportés par an

    Europorte assure la collecte de céréales dans une trentaine de silos en Bourgogne puis leur transport vers le Sud-Est pour le compte du logisticien TMF. La connexion se fait à Ambérieu (Ain) avec Trenitalia, jusqu'à Modane, avant de desservir plusieurs destinations en Italie.

    Cette liaison, qui démarre sur la base de 5 allers-retours par semaine, représente un tonnage de 450 000 tonnes par an. "Une telle circulation permet d'éviter le passage sur les routes d'environ 30 000 camions par an", affirme Europorte.

  5. Mode "Avocat du diable" ON :

    Une bonne partie de ces migrants, ainsi que leurs élus, appellent de leurs voeux la construction d'une LGV-Normandie avec, en corollaire, une desserte 100% TGV.

    Et dans les TGV, c'est Résa obligatoire, non ?

    Donc, cette éventualité de Résa obligatoire sur les IC leur permet de se rôder et de se projeter dans l'avenir radieux qu'ils souhaitent.

    Mode "Avocat du diable" OFF

    Nuance l'ami. C'est Sarkozy qui a fait l'annonce d'un TGV Normand en avril 2009 lors d'une de sa campagne "C'est moi le maitre du monde" au Havre. Après des élus y ont cru mais beaucoup sont très sceptiques même si le projet est soumis au débat public à partir d'octobre.

    Pour ma part je n'y crois guère.

  6. Pour avoir fréquenté quotidiennement cette ligne pendant 12 ans, il y a des problèmes de suroccupation de quelques trains dans le sens province Paris le lundi matin et dans le sens Paris province le vendedi soir. A cela il y a lieu de rajouter quelques AR de WE vers Trouville en période estivale et quelques trains du dimanche après mididans le sens province Paris.

    Les rames 2 niveaux de banlieue ou de TER, VO2N et VB2N pourraient résoudre certaines situations mais dans un confort très peu satisfaisant pour des trajets de 2h00 ; Paris Trouville par exemple.

    Enfin trouver la réponse aux problèmes en augmentant les tarifs par la réservation obligatoire est insensé.

    Ca va remuer dans "le landerneau" je le répète cartonrouge

  7. Puisque la SNCF a réussi à imposer une hausse des tarifs accompagnée de la résa obligatoire sur les lignes Téoz, pourquoi en effet ne pas faire de même sur les Intercités rentables ?

    Toutefois, en l'occurrence, la région qui a participé au financement du matériel devrait en bonne logique avoir son mot à dire.

    Sinon, la transparence demandée par les usagers arrive à grand pas : maintenant, il y a les Intercités sur lesquels on doit réserver, ceux sur lesquels on peut réserver, et ceux sur lesquels on ne peut pas réserver.

    A mon avis il va y avoir du "barouf". Si c'est une réponse au fait que les étiquettes de réservation sont fréquemment pas mises en place, ça ressemble à du foutage de gueule. Plus besoin de les mettre en place du coup et petit prélèvement supplémentaire à chaque voyageur. cartonrouge

  8. http://www.deplacementspros.com/Quand-deux-Presidents-de-region-s-opposent-a-la-SNCF_a11018.html

    Quand deux Présidents de région s'opposent à la SNCF

    Laurent Beauvais et Alain Le Vern, Présidents de basse et Haute Normandie ne sont pas contents. La raison de cette colère : un projet présenté par la SNCF qui devrait rendre obligatoire la réservation sur les lignes inter cités. Selon La Gazette des Communes qui révèle l'information, seule la la ligne Cherbourg-Caen-Evreux-Paris est concerné mais à terme ? Le danger s'appelle le "Paris-Rouen-Le Havre" menacé de la même punition.

    La mise en application de cette décision, le 11 décembre prochain, inquiète les élus qui reprochent à la SNCF de ne pas prendre en compte les besoins réels des voyageurs. La Normandie n'avait pas caché sa colère en janvier dernier suite aux retards à répétitions des trains vers Paris. "La ponctualité, et la qualité de services sont les deux éléments de base du service public ferroviaire" avait expliqué Laurent Beauvais. Résultat, ce sont aujourd'hui les associations de voyageurs qui prennent le relais en menaçant de faire "la grève de la réservation". D'autant qu'à 1,50 euros la résa, ce sont quelques 60 euros supplémentaires qui seront dépensés pour un salarié qui se rend à son travail en train. Alain Le Vern ne cache pas qu'il faudra remettre à plat ce projet qui ne correspond pas aux attentes des voyageurs. Un combat qui ne fait que commencer.

  9. Une annonce de FR3 Normandie http://haute-normandie.france3.fr/info/ligne-paris-evreux-caen-resa-obligatoire--70309616.html

    Ligne Paris-Evreux-Caen: résa obligatoire !

    Désormais sur cette ligne SNCF, les réservations seront obligatoires ce qui implique une hausse des tarifs.

    Dès le mois de décembre, sur la ligne Paris-Evreux-Caen-Cherbourg, les réservations seront obligatoires. Or qui dit réservation, dit hausse de tarif. En clair l'abonné qui emprunte cette ligne chaque jour, sera dans l'obligation de réserver son train. Une deuxième démarche pour lui et une augmentation de 60 euros par mois de l'abonnement.

    Réunis hier à l'Hôtel de Région, les présidents de Haute et Basse-Normandie Alain Le Vern et Laurent Beauvais s'élèvent contre ce projet.

  10. 230 lignes interrégionales pour Eurolines. Thierry Mariani a signé aujourd'hui.

    270 projets sous le coude.

    Un article de L'Expansion : http://lexpansion.lexpress.fr/entreprise/eurolines-obtient-l-exploitation-de-230-lignes-interregionales_261884.html

    Eurolines obtient l'exploitation de 230 lignes interrégionales

    L'association de transporteurs européens va pouvoir exploiter ces lignes grâce à la nouvelle loi sur le cabotage. 270 autres demandes de dessertes sont encore en cours d'examen.

    Eurolines, le spécialiste du transport international par autocars, va pouvoir exploiter plus de 230 dessertes interrégionales en France dans le cadre de la nouvelle loi sur le cabotage, a annoncé lundi le ministre des Transports Thierry Mariani. "Je viens d'autoriser (le) réseau d'entreprises de transport de voyageurs françaises et européennes (Eurolines) à exploiter plus de 230 dessertes interrégionales de transport par autocars", a déclaré M. Mariani lors d'une conférence de presse à Bagnolet, près de Paris, où se trouve la gare routière internationale d'Eurolines.

    Eurolines, qui est une association de 32 transporteurs européens, a ouvert à la vente cet été ses six premières liaisons interrégionales en France, après le vote d'une loi sur le transport votée début 2010. Ces dessertes interrégionales "seront réalisées dans le cadre de services internationaux préalablement autorisés", desservant près de 70 villes sur l'ensemble du territoire français, a précisé M. Mariani.

    Les autocars Eurolines pourront désormais "prendre et déposer des voyageurs entre des arrêts en France" sur des lignes internationales, ce qui n'était pas le cas jusqu'à présent, a précisé M. Mariani. Pour le ministre, cette nouvelle mesure "permettra à un nombre croissant d'usagers d'accéder à de nouveaux services de transport par autocar longue distance, à l'intérieur des pays membres de l'Union européenne". Quelque 270 autres demandes de dessertes sont encore en cours d'examen, a fait savoir Thierry Mariani.

    Pour autant, "il ne s'agit pas de concurrencer les services existants, par exemple ferroviaires", a assuré le ministre, en référence aux trains express régionaux (TER). Pour s'en assurer, des restrictions existent: le nombre de passagers nationaux dans les autocars devra par exemple être inférieur à celui des voyageurs internationaux.

    Concernant l'ouverture possible de dessertes entre des villes en France qui ne sont pas situées sur des lignes internationales, M. Mariani a estimé qu'il était encore "trop tôt" pour se prononcer. Une "réflexion" sur le sujet est en cours, a-t-il seulement indiqué. "Nous visons dès la première année 50.000 voyageurs", a pour sa part indiqué Antoine Michon, directeur général d'Eurolines France. Pour ce faire, le groupe compte, selon M. Michon, sur l'attractivité de ses tarifs.

    Sur le même sujet

    Les autocars vont-ils vraiment pouvoir concurrencer la SNCF?

    Eurolines, un nouveau concurrent pour la SNCF?

  11. Une histoire de valise disparue à bord d'un TGV Le Havre Marseille relatée dans Le Paris Normandie Dimanche d'aujourd'hui. Une affaire qui ne se passe pas comme sur des roulettes. Voilà qui risque de contrarier le service clientèle de Normandie quand il découvrira cette histoire.

    L'article est en ligne : http://www.paris-normandie.fr/article/societe/cest-du-vecu-ma-valise-a-disparu-dans-le-train-le-havre-marseille

    Un complément d'information. Des soit-disants explications du côté de la SNCF

    Les explications de la SNCF Haute-Normandie

    Aucun interlocuteur ne souhaite apparaître clairement dans cette rubrique destinée justement au traditionnel « questions-réponses ». La direction de la SNCF de Haute-Normandie refuse donc toute interview et donne, gênée, des explications sur cette expérience rocambolesque. « C’est incroyable cette histoire ! Il y a des procédures à respecter en matière de sécurité », affirme, en début de semaine, un responsable. Le deuxième interlocuteur affirme que cette situation est « regrettable » et constate « les désagréments occasionnés », mais relève que la SNCF n’est pas à l’origine de cette méprise. Elle comme les clients n’auraient pas dû se comporter ainsi. « Cette situation est anormale et de part et d’autre, il y a du recel. Pourquoi prendre une valise qui ne lui appartient pas ? Et pourquoi lui dire de la prendre aussi ? » Que faire ? Les règles sont strictes et connues du personnel SNCF. Une valise abandonnée doit suivre le chemin de Vigipirate c’est-à-dire être « écartée, voire détruite ». Ce qui signifie qu’elle aurait été ouverte et cassée dans le même cadre que les objets trouvés. La loi est rappelée : il ne peut y avoir d’envoi et de déplacement de bagages à bord du train.

  12. Bonjour à tous

    Psychologue clinicienne de formation, je recherche actuellement des informations concernant les éventuels postes qui pourraient être en adéquation avec mon profil au sein de la SNCF.

    En effet, après avoir eu la chance, il y a deux ans de cela, de m'entretenir par téléphone avec une psychologue du pôle de Paris, j'ai appris qu'il était peu probable d'obtenir un poste directement en lien avec ma formation initiale (très peu de postes et demande d'expérience en victimologie)

    Actuellement, je réfléchis alors à l'utilisation de mes compétences dans le domaine de la psychologie du travail.

    Hors, d'après les "alertes" que je reçois par le biais du site SNCF, et qui concerne les postes en lien avec la psychologie et/ou le recrutement il est souvent inscrit dans le profil recherché : " M2 en psychologie du travail" et/ou "expérience de 5 ans minimum dans les secteurs RH"

    Pensez-vous que je puisse me permettre de postuler tout de même à ces offres? Ais-je des chances d'être embauchée dans la mesure où ma formation initiale ne correspond pas au profil type demandé ?

    Si certains d'entre vous sont psy ou connaissent des psy du travail/recrutement que je pourrais contacter pour de plus amples renseignements?...

    merci par avance !!

    Google est ton ami. :blush: Trouvé un recrutement de Psy à la SNCF avec une adresse mail d'une correspondante : http://www.psychologues-psychologie.net/forum/showthread.php?t=31647

  13. Tu peux faire que commercial comme je t'avais dit ou à la SuGe, les autres sont des postes de sécurité donc ton handicap en particulier ne pourra pas satisfaire aux exigences du ministère des transports via l'EPSF !

    Désolé de te dire cela comme ça ! :blush:

    Je suis du même avis que Rigolo : "Commercial en gare" est repris dans la liste des emplois proposés.

  14. Une histoire de valise disparue à bord d'un TGV Le Havre Marseille relatée dans Le Paris Normandie Dimanche d'aujourd'hui. Une affaire qui ne se passe pas comme sur des roulettes. Voilà qui risque de contrarier le service clientèle de Normandie quand il découvrira cette histoire.

    Ma valise dans le train Le Havre-Marseille a disparu

    Samedi 18 juillet

    Pour la première fois, j’ai décidé de partir en vacances en train. Le Havre-Marseille direct sans embouteillage, la belle aubaine…. Dès 7h45 sur le quai de la gare, c’est tôt mais la sieste est possible, et la perspective d’être à 15h dans mon bungalow au soleil, plus forte que la grasse mat’.

    Vers 13 heures

    Je viens de passer Lyon, le ciel s’éclaircit, pas mon avenir. « Monsieur ou Madame Salmon est prié de se rendre voiture 4 auprès du contrôleur ». L’annonce est laconique, pas le sang qui gicle à mes oreilles. Je me déplace et me présente. « Pouvez vous vérifier si votre valise est bien dans le train », me dit l’homme à la casquette. Second tour de sang : effectivement, elle n’y est plus. J’apprends alors qu’une passagère descendue à Rouen a pris mon bien et qu’elle est actuellement dans le train en direction de Strasbourg…

    Vers 14h30

    Comme me l’a ordonné le contrôleur, j’attends que tous les passagers sortent pour me coltiner la valise abandonnée (évidemment cela évite une alerte à la bombe !). Et suivant ses consignes, je me présente à l’accueil de Saint Charles pour demander le CRO. « Le CRO, connais pas, allez aux objets trouvés ». Là, après un coup de fil (certainement au CRO), on me donne le nom et le numéro de portable de l’emprunteuse, mais on m’ordonne (toujours) de conserver la valise pour l’échange. Et si elle contient une bombe ou bien de la drogue ? Elle est passée au scanner, puis ouverte : « rien de dangereux, au revoir ». Un premier coup de fil cependant à Madame X : sans succès.

    Vers 19h30

    Avec deux heures de retard, j’arrive à destination. Avec rien. Pour me changer, me laver, me coucher, me baigner, me chausser. Rien pour passer MA semaine de vacances tant attendue. Madame X décroche enfin vers 19h30. « Votre valise ? Je l’ai laissée à Saint Lazare et moi je suis à Montbéliard. Comment ça vous avez la mienne ? Ce n’est pas normal ! ». L’impasse se referme sur moi.

    Dimanche 17 juillet

    Je retourne à Saint Charles (une heure aller-retour en train) habillée comme la veille et cette fois, qu’on ne me parle plus d’échange. Je laisse la valise aux objets trouvés et je tente de savoir comment je peux récupérer la mienne. « Impossible ce n’est pas l’affaire de la SNCF et surtout pas de bagage non accompagné. Le confier à un contrôleur ? N’y pensez pas ». Bref, débrouillez-vous. Mais, m’affirme t’on, c’est à l’emprunteuse de payer les frais d’acheminement. Oui mais comment faire ?

    Lundi 18 juillet

    Les objets trouvés de Saint-Lazare répondent enfin : ma valise est bien là. J’appelle un transporteur pour connaître le prix de l’acheminement : 250€ environ. Et si je comprends bien le calcul, ça me mène à mercredi midi…Je refuse dépitée. Plus qu’une solution : acheter le minimum vital. Cet après midi, ce sera shopping !

    Les vraies vacances commencent le mardi, même si chaque soir la petite lessive est de rigueur. Bilan : il ne reste vraiment que quatre jours de détente.

    Lundi 25 juillet

    Depuis samedi soir, j’ai retrouvé mes aises chez moi. Le train, j’en ai soupé alors je prends ma voiture pour récupérer ma valise à Saint Lazare. Midi trois, et bien sûr ça ferme à midi. La poisse continue. Je reviens à treize heures. La jeune fille commence par me réclamer 9€ de consigne. C’est comme ça, elle n’y peut rien. Et m’apporte mon bien tant espéré. Là c’est la goutte d’eau. La fermeture a été coupée à ras, rendant la glissière inutilisable. "C’est pour vérifier s’il n’y a pas de denrées périssables » me répond-elle. Je n’en avais pas, je repars furieuse mais rassurée. Pour finalement m’apercevoir au retour qu’il manque le paquet de café, le sel, le poivre et un rouleau de papier toilette. Chacun en conviendra : des denrées évidemment hautement périssables.

  15. Ce n'est pas à moi qu'il faut le dire mais à la Dir'com, service des visites du CNOF.

    Lorsque la communicante a parlé de l'électrification, elle avait sous les yeux la carte avec en vert les lignes en 1500 et en rouge les lignes en 25 kV.

    Je n'ai pas osé la contredire sur les feuilles mortes et l'électrification, elle bosse "pour SNCF", pas moi, et pour PAZ, je lui ai dit que je pensais que la gare était rattachée à PRG, et elle m'a répété le contraire.

    C'est pour elle que j'ai corrigé. Elle doit consulter cheminot.net :Smiley_04:

  16. J'ai par ailleurs appris de sa bouche :

    - que les feuilles mortes sont tellement méchantes qu'à l'automne, elles provoquent carrément des déraillements ;

    - que les lignes classiques électrifiées le sont en 1500 volts, ce sont les LGV qui sont en 25 kV (en face de la gare de l'Est, on est bien placés pour le savoir...) ;

    - que la gare d'Austerlitz est rattaché au réseau sud-est, tandis que la région de Paris Rive-Gauche correspond en fait à la gare de Montparnasse (je me le suis fait confirmer, et elle m'a bien répété que "PAZ et PLY font partie de PSE").

    Quelques coreections :

    - Les feuilles mortes : le risque est l'enrayage par conséquent un signal fermé peut-être franchi. Des cas de déraillements suite à enrayage sur feuilles mortes, je ne suis pas certain que quelqu'un pourrait en citer !!!Mais bon c'est ce genre d'accident, collision ou/et déraillement qui est craint.

    - Toutes les LGV sont électrifiées 25 kV mais un sacré paquet de lignes classiques également

    - La gare de Paris Austerlitz est située sur la région de Paris Rive Gauche (PRG) et non sur Paris Sud Est (PSE)

  17. Re,

    lol, assez militaire comme réponse mais merci. cela dit plusieurs mécano m'ont dit que la sncf prêtais des logements durant la formation et +, évidement il faut payer un loyer ... donc si quelqu'un avait une réponse un peu plus développée ... oui je sais, j'insiste mais bon ... L'avenir comme y zy disent, l'avenir.

    merci,

    Ton souci 1er semblant être l'hébergement pendant la formation, ci-dessous la photo de ton hôtel. Sous réserve que ta formation se déroule à St Malo :blush:

    Pour ce qui est de la réponse "militaire" de Roukmoute, j'avais déjà remarqué, il est coutumier. A coup sûr il possède une collection de soldats de plomb planquée sous le sommier mdrmdr

  18. La Compagnie des Transports Strasbourgeois a décidé de mettre le paquet contre la fraude à bord. Les mesures prises : embauche de 6 contrôleurs supplémentaires et augmentation des tarifs des amendes.

    Article de WK Transport Logistique : http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/43078/la-compagnie-des-transports-strasbourgeois-serre-la-vis-pour-les-fraudeurs.html

    La Compagnie des transports strasbourgeois serre la vis pour les fraudeurs

    La Compagnie des transports strasbourgeois (CTS), qui exploite le réseau de bus et tram de la capitale alsacienne, renforce en septembre 2011 son dispositif anti-fraude. Avec des amendes plus salées et davantage de contrôleurs.

    Estimant qu'elle représente un coût d'environ trois millions d'euros par an, la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) déploie, depuis le 5 septembre 2011, son nouveau dispositif anti-fraude.

    Elle se dote d'abord d'une équipe supplémentaire de six contrôleurs, portant l'effectif à 50 salariés sur cette activité.

    Des amendes plus chères

    Le transporteur compte également appliquer une nouvelle grille de tarifs pour les amendes à compter du 12 septembre.

    Ainsi les fraudeurs devront dorénavant s'acquitter de 45 euros, au lieu de 42,50 euros s'ils n'ont pas de titre de transport, et de 30 euros, au lieu de 28,50 euros, si celui-ci n'est pas valide. Une addition qui se corse avec des frais de dossier avoisinant 20 euros s'ils règlent leur amende dans les quinze jours et 38 euros au-delà

    Un exemple à suivre ? controleursncf

  19. Un article du figaro du 1.09.2011

    http://marches.lefigaro.fr/news/societes.html?OFFSET=0&ID_NEWS=203546249&

    SNCF : hausse de 7,4% des péages TGV en vue

    Réseau ferré de France a proposé ce jeudi une hausse de 7,4% des péages, que la SNCF et ses éventuels concurrents devront payer pour faire circuler des TGV en 2013.

    Le gestionnaire du réseau ferroviaire français, Réseau ferré de France (RFF), a proposé ce jeudi une hausse de 7,4 % des péages, que la SNCF et ses éventuels concurrents devront payer pour faire circuler des TGV en 2013. Après une augmentation de 1,5%, qui sera appliquée en 2012, RFF qualifie sa proposition de «modérée».

    Ces tarifs font toujours l’objet d’une âpre bataille entre la SNCF, qui répète que ces péages mettent en péril son modèle économique, et RFF, qui a besoin de ressources financières pour entretenir un réseau ferroviaire en piteux état. La hausse avait été de 6,4 % en 2009, de 11% en 2010 et de 11,7% en 2011.

    Pour les trains express régionaux (TER), la hausse des péages est généralement plus douce : elle devrait atteindre 2,5% en 2012 et 5% en 2013. En moyenne, l’augmentation devrait donc être de 4,3% en 2013, alors que «l’inflation ferroviaire » subie par RFF s’élève à 5,8%, souligne le gestionnaire du réseau.

    Ces propositions seront discutées jusqu’à fin octobre et seront ensuite soumises à l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (Araf).

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