Nipou
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RFF l'avait signalé, la région politique le savait très bien mais le chèque à faire était un peu trop gros d'un coup.
Ils ont donc fait une moitié avec RVB et signalisation etjuste signalisation sur l'autre partie.
La SNCF a prévenu : avec ça, on ne fera pas mieux qu'avant (bé oui, sur une moitiié de ligne ...).
Le politique a exigé plus de trains pour les électeurs.
Plus de train il y a eu ... et ça a cassé.
Aujourd'hui ce ne sont pas travaux qui sont engagés mais des LTV posés en attente des travaux prévus pas avant 2014.
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Tout et son contraire :
SONDAGE. Hollande/Sarkozy : le croisement des courbes démenti
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A son petit niveau, la région PL avait bien obtenu une dualis d'alstom gratos en compensation des retards ... DB aurait tort de se priver.
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Je me souviens avoir fait appel au PC pour retrouver un EM via son GPS. Et en effet, il a pu me donner sa position ... là où il était 2 jours avant (l'actualisation ne se faisant pas en temps réel). Depuis ça a peut être évolé ...
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J'y ai participé une année, c'est intéressant de pouvoir constater cette dichotomie : les gens aiment à cracher sur la SNCF mais pour un job, ils viennent en masse lui cirer les pompes ...
Mais si c'est interressant, c'est aussi triste par certains aspects tant il y a de profils dont on doute qu'il trouve un job un jour.
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Tout près de chez nous et pourtant si loin sur certains aspects ...
Les Suisses pourraient refuser deux semaines de vacances en plus
Ce dimanche, les Suisses sont appelés aux urnes. Ils doivent notamment se prononcer sur l'allongement de la durée de leurs congés payés de quatre à six semaines. Selon les sondages, il y a de fortes chances qu'ils refusent cette proposition des syndicats, bon nombre de Suisses estimant que trop de vacances nuirait à leur compétitivité sur le plan international.
Augmenter le nombre de semaines de congés payés. Un rêve pour bien du monde. Sauf pour les Suisses. En effet, nos voisins Helvètes doivent se prononcer ce dimanche sur le passage à six semaines de vacances par an au lieu de quatre actuellement. Et selon les derniers sondages, il y a de fortes chances qu'ils refusent cette proposition des syndicats, bon nombre de Suisses estimant que trop de vacances nuirait à leur compétitivité sur le plan international. La réputation de peuple besogneux se confirmerait donc.
L'initiative a été lancée par la confédération syndicale « Travail Suisse », qui réclame l’octroi de deux semaines de congés supplémentaires par an pour remédier au stress au travail. « Il est temps que les travailleurs récoltent les fruits de la hausse de la productivité qui a augmenté de 20 % entre 1992 et 2007, alors que les salaires réels n’ont progressé que de 4,3 % », argumentent les instigateurs de la votation. Avec un minimum légal de 29 jours de congés par an (quatre semaines de vacances et neuf jours fériés), la Suisse est le pays en Europe où l'allocation du nombre de jours de repos est le plus faible. En comparaison, en France, il y a 40 jours garantis, et en règle générale, cinq semaines de vacances. Mais le gouvernement et les milieux économiques estiment que des absences prolongées dues aux vacances devront être compensées d'une manière ou d'une autre : soit les entreprises engageront du personnel supplémentaire, soit leurs employés devront mettre les bouchées doubles pour faire leur travail en moins de temps.
S'ils aiment travailler, les Suisses ont aussi pour habitude d'aller se reposer dans leurs chalets à la montagne. Aussi, l'initiative visant à limiter à 20% la part de résidences secondaires par rapport à l'ensemble des habitations de chaque commune pourrait bien être refusée dans les urnes. Mais il y a également d'autres votes clefs ce dimanche. Car, les Helvètes sont également appelés à s'exprimer sur un autre thème à caractère économico-social et décider si les bénéfices issus des loteries et des paris sportifs doivent être intégralement dévolus à des buts d'utilité publique.
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Le PHO proprement dit n'est pas une vitesse mais bien un point ou l'heure de passage ou de desserte doit être scrupuleusement respecté. (on pense par exemple aux conflits de circulation éventuels ou aux fermeture de PN juste en sortie des gares).
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Pour la première partie de la question, oui, il est très possible d'oublier un EM, un wagon ou une voiture dans un coin.
A partir du moment où on oublie de la faire apparaitre sur un tableau / registre / listing, et si personne ne la cherche, elle n'est pas perdue, elle n'est tout simplement plus.
C'est aussi pour ça, qu'au dela des programmes informatique, le GM de dépot devait de temps à autre prendre ses pieds pour aller faire le tour de sa boutique et confronter ses espoirs avec la réalité : "ce que j'ai sur l'écran est il là en vrai ?"
Pour avoir vécu pas mal de premier jours après grèves comme GM, quand on ne sait plus du tout où est quoi, y'a pas d'autres solutions.
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Petite précision : ne pas utiliser la VI pour retrouver goût à la conduite ne peut pas s'appliquer à tout le monde, tout le temps.
L'usage de la VI est propre à chacun :
Des conducteurs aiment la mettre quand ils sentent la fatigue venir afin de se donner une boucle de rattrapage.
D'autres au contraire ne l'utilisent surtout pas quand ils sont fatigués car pour eux, retirer une action (traction/ freinage) c'est laisser son esprit divaguer un peu plus.
Tous ont raison à partir du moment où leur comportement est basé sur leur connaissance d'eux même et de leur propre réaction.
Ajoutons à cela que la fatigue est un facteur mais les soucis perso en sont un autre et tout ce qui va concourir à se déconcentrer sont des ingrédients qui vont modifier notre réaction à la conduite et qui doivent donc, de fait, modifier notre usage de la VI.
Tout ça pour dire qu'il n'y aucune fierté à ne jamais utiliser la VI. Pas plus qu'il n'y a de honte à toujours l'utiliser. A chacun de se connaître et de se remettre en cause perpétuellement. La marche sur l'erre n'est qu'une conséquence de tout ça.
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Il doit bien y avoir quelqu'un avec une vision très optimiste non ? Ca serait interressant d'avoir une contradiction car on semble globalement tous d'accord (ceux qui ont témoigné) pour dire que c'est mort ... on peut espérer se tromper.
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Dans cette campagne, on est pas à une connerie près et puisque carlita les enfiles comme des perles, autant que ça serve. Car les pauvres journalistes doivent fatiguer à trouver tout et n'importe quoi (surtout n'importe quoi) pour faire des papiers. Avec carlita, la source est intarissables.
A visiter : http://www.marianne2.fr/Bobo-prolo-Sarko-les-perles-de-Carla-B_a215785.html
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Bien triste tout ça, et bien triste aussi de trouver déjà un tract qui s'appuie là dessus pour demander embauches, budget ... un peu de décence, de retenue envers les proches et les collègues ne nuirait pas à de telles demandes.
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Autant j'aime l'humour noir et je peux être très con parfois, autant là je vois pas du tout où est l'humour.
Aussi pour être raccord avec le sujet et afin de ne malgré tout pas l'alimenter, je vais proposer : cheyenne44. Drôle non ?
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Beaucoup de CRL disent s'ennuyer, la routine ... à ceux là je conseil souvent de retrouver le gout du travail sans VI. D'un coup plus de routine car ils redécouvrent que là où ça parait plat en fait c'est jamais totalement plat, que là où la marche est tracée au trait, sans VI il faut bosser pour s'y tenir ... la marche sur l'erre c'est pas juste couper et attendre, c'est couper là où il faut pour se faire une pente, une LTP, LTV sans freiner, faire l'heure sans tirer comme un bourin, et ça c'est tout un art.
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Je propose ici quelque chose qu'on a déjà fait voilà quelques temps (années ?) :
Donner notre vision de l'entreprise SNCF (pas du groupe) dans les 5, 10 ou 15 ans à venir. Une vision et pas spécialement un souhait, à savoir comment j'imagine la SNCF en 2025 et pas forcément comment j'aimerai qu'elle soit.
Je commence :
- SNCF infra est un prestataire de service parmi d'autres. C'est une filiale du groupe. Le GID et GI sont rassemblés dans une structure autonome adossée à RFF. Donc une partie des agents SNCF basculent dans ce nouveau "machin" issu des assises du ferroviaire.
- Proximités : TER SNCF n'existe plus en tant que prestataire unifié. Certaines régions ont fait le choix de fonctionnement sous forme de régie. D'autres ont été moins loin dans la démarche mais assurent malgré tout une maîtrise beaucoup plus prégnante du ferroviaire. Ainsi, chaque région gère son TER, que ce soit en termes de carrières, de salaires, et bien entendu, comme aujourd'hui, de desserte. Adieu mutations, parcours pro ...
- FRET SNCF n'existe plus. Les filiales l'ont absorbé.
- SNCF Voyages reste le seul représentant de la SNCF de 2012. Les conducteurs sont formés par des entreprises de formation et accèdent directement au TGV.
Le statut n'existe plus à l'embauche et ceux qui l'ont encore le gardent jusqu'a ce qu'ils partent. Certains ont fait le choix de basculer de régime bien avant quand une revalorisation salariale à été proposée contre un statut de droit privé.
Volontairement un peu triste comme vision mais je pense réellement que notre entreprise n'existera plus comme on peut l'entendre aujourd'hui. Elle sera grignotée par les régions et par elle même (filiales).
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Quand j'ai vu le titre de ce topic, je me suis dis : "voilà une bonne idée car même si ça a déjà été fait voilà un petit moment, notre vision de l'avenir de notre entreprise a sans doute évoluée"
Sauf que le titre est un peu trompeur.
Pour ce qui est du sujet ici :
La SNCF ne maîtrise ni la création des lignes, ni leur exploitation éventuelle donc associer embauche et nouvelles lignes, c'est faire du "madame irma"
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Poutou est arrivé là par hasard et après un temps de chauffe, il monte en puissance. Seulement il arrive en doublon sur Mélenchon.
Perso, je pense qu'Hollande sera élu, non par adhésion à son programme mais par rejet du Sarkozysme. Les équipes de com auront battre des bras, les gens n'oublie pas si vite les coups tordus par paquet de douze qu'il a fait pendant 5 ans.
Mélenchon aurait eu sa chance s'il n'y avait pas eu 2002. Il plafonne à 10 % et la monté du Poutou va pas l'aider à faire mieux. 2002 reste une étape marquante et si aujourd'hui on nous vole une campagne, en 2002 on nous a volé notre possibilité de choix. Tout mais pas ça à nouveau.
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La vraie question c'est : à quand le réveil, à quand des yeux qui s'ouvrent, à quand autre chose que de la représentation, à quand un peu de réalité face au paraitre ? Ça ne semble pas pour cette fois encore ...
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Concernant le droit de vote, le problème n'est pas de le donner ou pas aux étrangers mais bien de vouloir en faire un thème centrale de la campagne alors que franchement, je doute que ce soit la préoccupation majeure des Français actuellement.
On nous vole la campagne en nous gavant avec des thématique imposées pour faire du buzz.
Il est plus simple de faire un scandale avec une petite phrase que d'imaginer une grande idée, réfléchie à l'avance et qui serve au peuple.
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Que ce soir à droite ou à gauche, cette campagne me navre tant elle n'existe que par l'image.
Un concours de petites phrases, d'idées dont on peut douter qu'elle seront un jour appliquées.
Un seul but : faire le buzz, occuper l'espace médiatique. Il faut faire parler de soi, en bien ou en mal peu importe, il faut exister.
Dernière en date : guéant qui associe vote étranger et halal à ma cantine. Même Le Pen a du mal à faire aussi con comme raccourcie. Mais la droite occupe les médias, ils sont heureux, le clampin de base à l'impression qu'on s'occupe ed lui.
Et pendant qu'on discute du halal ou de la poignée de gens touchés par un hypothétique impôt à 75%, on ne parle pas du reste.
Mais il est vrai que le reste est beaucoup plus compliqué : logement, misère, environnement, mondialisation ... non restons sur l'important : les plus d'un million par an et la halal.
Triste France.
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Bien triste nouvelle.
Autant ce genre d'annonce me touche habituellement peu, autant celle là m'affecte tant elle fait revenir des souvenirs d'enfance.
Car si aujourd'hui faut être salement drogué pour apprécier les Charlots, étant petit c'était avec une impatience sans bornes qu'on attendait la diffusion à la TV d'un opus de ces hasbeen joyeux. L'humour était très potache, bien crétin, très enfantin, d'où le plaisir étant mome.
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Je crois que tu peux te reporter aux tests CRML qui sont sensiblement équivalents.
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Quand on voit le niveau de nos JT en France, je me dis que quitte à regarder de la merde, autant que ce soit visuellement beau.
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NS avait oublié d'annoncer une de ses mesures; Son équipe de campagne s'est bien rattrapée ce matin : "le primaire ne sera pas concerné par le non remplacement d'un fonctionnaire sur deux". Il faut comprendre : on fauit des efforts sur l'éducation.
Malheureusement, la presse s'est faite le relais d'une étude menée par le syndicat SE-UNSA :
Plus de 1 580 classes fermeront dans le primaire à la rentrée 2012, selon une enquête du syndicat SE-Unsa menée dans presque tous les départements, où les recteurs et les inspecteurs d'académie ont définitivement arrêté leurs décisions, selon un communiqué publié mercredi 29 février 2012.
« Dans les 91 départements qui ont déjà tenu leurs instances et arrêté leurs décisions définitives, 3 494 classes ont été fermées et seules 1 911 ont été ouvertes. Le solde négatif s’élève donc à 1 583 classes », selon un décompte du syndicat.
Les Rased à nouveau impactés - Cette enquête « confirme également qu’avec une amputation aggravée de 1 882 emplois, les Rased (spécialisés dans la lutte contre l’échec scolaire) paient à nouveau un lourd tribut à la razzia budgétaire. Dans chaque département, ils se retrouvent exsangues », déplore le secrétaire général Christian Chevalier.
« Nous voilà bien loin des engagements présidentiels », déplore M. Chevalier qui rappelle l’annonce du président Nicolas Sarkozy, en juin 2011, de « ne procéder hors démographie à aucune fermeture de classe de l’école primaire » à la rentrée 2012.
L’école primaire « sanctuarisée » - Le non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite « continuera mais nous sanctuariserons l’école primaire pour qu’à la rentrée 2012, le nombre de fermetures de classes n’excède pas le nombre d’ouvertures », avait assuré le président. Le budget 2012 prévoit la suppression de 5 700 postes dans le primaire, sur un total de 14 000 postes dans l’Education nationale.
Poussée démographique - « Annoncer qu’avec la suppression de 5.700 emplois budgétaires on ne toucherait aucune classe relève de la tromperie. Aucun acteur sincère, aucun connaisseur attentif du système éducatif ne peut l’ignorer », ajoute M. Chevalier. « Non seulement cette carte scolaire 2012 ne prend pas en compte la poussée démographique en primaire, mais elle abandonne toujours plus à leur sort les élèves en grande difficulté », poursuit le responsable syndical.
Mardi 28 février, l’entourage du candidat sortant Nicolas Sarkozy a annoncé que les instituteurs seraient exonérés de la règle du non remplacement d’un sur deux partant à la retraite, sans préciser la date d’application.
le spectacle est à l'ouest
dans Brin de causette
Publication:
J'ai essayé de regarder hier soir; J'ai même consulté des cartes du ciel et nada ... plein d'étoiles mais de là à trouver ces deux planètes parmi tout le reste ...