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Le Web des Cheminots

Nipou

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Messages publiés par Nipou

  1. Moi je préfère le jour de l'An car j'en ai rien à cirer de cette fête du fric et de l'Eglise.

    :Smiley_52:

    Sans vouloir me la jouer cosette, étant mome mes parents n'avaient pas des masses de tunes et pourtant, noël était magique.

    Des tout petits cadeaux mais pas grave, magie quand même.

    Alors dire "fête du fric", pffff

    A part ça, j'ai voté noël car du coup, je suis resté un peu émerveillé par cette période et en plus, avec un ou plusieurs enfants , c'est :(

  2. Je sais que mon oncle a récupéré exactement ce type de cuve dans un atelier SNCF. Il contenait du détergent (ça peut te permettre de cîbler lorsque tu demandera).

    Il l'a connecté au chéneau via des tuyaux en pvc pour récupérer l'eau de pluie. Et le réservoir est équipé d'origine d'un robinet ce qui est très pratique pour remplir l'arrosoir.

    Merci, en effet chez nous, la boite de nettoyage (entreprise externe) utilise ça pour ses produits.

    Et le robico, je l'ai repéré :Smiley_76:

  3. Bon alors j'avais mis des points d'exclamation, mais je vais ajouter ce qui te manque Nipou puisque tu aimes ca:

    Un point d'exclamation n'exprime pas le même sentiment qu'un :Smiley_76: , c'est pourquoi, pour rester dans le droit fil de cette discution, qui se veut être un gros n'importe quoi, mieux vaut y mettre un ou deux smileys, ça évite d'être mal interprétée. :Smiley_03:

    De toute ta longue liste, je n'en retiend qu'un : :Smiley_24:

  4. RSS pour moi... Régulateur sous-station. Je me suis dit qu'est-ce qu'il raconte le super-modérateur-plus  :Smiley_35: !!!

    Blonde en action!  :Smiley_35:

    +1 pourtant je ne suis pas blonde :Smiley_57:

    Me suis dis : c'est quoi ce délire entre un régul sous stas et le forum ????

    Ps : bon, j'ai une excuse, je me lève de ma sieste, mais bon, comme une blonde, sniff :Smiley_65:

  5. Ti indice, regarde du coté des imprimerie, ce sont des cuves a vernis...

    En fait, ce sont des cuves à ce qu'on veut : ils sont faits de différentes matières en fonction du produit qu'on veut y mettre.

    Mais merci pour l'info :Smiley_57:

  6. C'est à dire que j'ai moi aussi une certainne idée de ce qui est acceptable et j'ai pas franchement envie de faire "camp de caravanes" dans le fond de mon jardin.

    Récupérer soit, mais si c'est pour gacher le paysage, la nature y gagne peu ...

    Surtout que pour 1000 litres, ça fait beaucoup de bidons....trop.

    Non, le truc bien avec le type de cuve présenté, c'est que tu as une grosse contenance en peu d'espace.

  7. L'idée est d'installer plusieurs tonneaux les uns a coté des autres, et les remplir avec le principe des vases communiquants. Enfin je t'ai proposé ça au cas où tu ne trouvailles pas ton bonheur  :Smiley_57:

    Oui, j'y ai pensé mais bon, c'est compliqué :

    Des tonneaux à la suite les uns des autres, ça fait un poil pas top.

    Et déjà, j'ai ramé à convaincre madame nipou que ça serait discret, alors je dois me limiter à un truc.

  8. Pour ceux qui trouvent ça trop long, voici la conclusion.

    Et là, y'a matière à commentaires nombreux.

    CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES 26

    AUDIT RÉSEAU FERRÉ NATIONAL RAPPORT

    8 Conclusions et perspectives

    La SNCF et RFF (depuis 1997) ont fourni leurs meilleurs efforts pour maintenir l’exploitation et la sécurité ferroviaire sur un réseau très étendu malgré les ressources nettement insuffisantes pour la maintenance (entretien et renouvellement) de l’infrastructure durant les 30 dernières années.

    Ces efforts ont été réalisés grâce à la mise en oeuvre d’une politique de maintenance s’accommodant de cette situation de restrictions budgétaires tout en faisant le maximum pour maintenir l’ensemble du réseau en exploitation et favoriser les gains de productivité.

    Une comparaison internationale confirme ce fait et démontre que la France investit sensiblement moins dans la maintenance de son réseau ferré que ne le font la Grande-Bretagne, l’Italie, l’Espagne et la Suisse, et ce, pour toutes les catégories de lignes chargées du réseau classique.

    La grave contrepartie de ce processus est un vieillissement très important du réseau classique et une perte correspondante de capital (durée de vie résiduelle moyenne de l’infrastructure).

    Ainsi, l’état moyen de l’infrastructure, sur une part importante du réseau, se dégrade continuellement et les prémices d’une dégénérescence apparaissent. Concomitamment, la fiabilité des composants du système ferroviaire décroît lentement mais sûrement.

    La poursuite de cette situation ne peut qu’augmenter la fragilité du réseau ferré et menacer la pérennité du réseau classique.

    La seule manière de garantir la pérennité du réseau classique consiste à investir pour rajeunir ce patrimoine. Cette diminution de l’âge moyen est la seule façon durable de maîtriser l’évolution de la qualité du réseau et celle des coûts de maintenance de l’infrastructure à long terme.

    Le maintien de la qualité et des hautes performances du réseau à grande vitesse nécessite un accroissement progressif des ressources destinées à sa maintenance. Les composants des premières lignes construites arrivent en fin de vie et doivent être renouvelés. Leur remplacement engage des

    sommes importantes.

    Par ailleurs, les installations ferroviaires des gares doivent être réduites au plus juste afin d’éliminer la patrimoine inutilisé.

    D’autre part, les auditeurs recommandent un réaménagement des plages travaux et de la méthode de protection des chantiers qui permettront de dégager de substantiels gains de productivité.

    L’introduction massive d’outils d’aide à la décision et à la gestion ainsi qu’une meilleure organisation de l’information entraîneront également une amélioration de l’efficacité de la maintenance.

    Les auditeurs ont évalué les conséquences de 3 scénarios budgétaires et de politiques de maintenance à l’horizon 2025, avec l’hypothèse de la conservation de la totalité des lignes exploitées en 2005.

    Le premier scénario, scénario A, établit l’évolution probable de l’état du patrimoine à budget de maintenance constant, à euros courants. En d’autres termes, l’inflation n’est pas compensée et le budget perd 3% par année de sa valeur réelle. Ce scénario mène à la cessation d’exploitation sur 60% du réseau à l’horizon 2025. Ne subsisteront à cette date que les lignes à grande vitesse ainsi

    que quelques axes majeurs nationaux et de banlieue. Le scénario A n’est pas recommandé car il va à contresens d’une mobilité durable des personnes et des marchandises en France.

    CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES 27

    AUDIT RÉSEAU FERRÉ NATIONAL RAPPORT

    Le deuxième scénario, scénario B, établit les dépenses de maintenance nécessaires au maintien de l’état du patrimoine du réseau au niveau constaté en 2004. Les budgets nécessaires s’élèvent à 3'000 M€ par année, ce qui signifie une augmentation de 500 M€ à 550M€ par rapport à la situation actuelle (2'500 M€).

    Ce scénario n’a d’intérêt que s’il s’avère souhaitable de conserver le réseau classique dans son état actuel jusqu’en 2025. En effet, Il n’est donc pas sensé de recommander ce scénario néfaste et coûteux à long terme.

    Le dernier scénario, le scénario C, préconise une amélioration de l’état du patrimoine grâce à une augmentation des ressources financières de maintenance afin d’aboutir à un coût moyen annuel de maintenance qui soit minimal à long terme tout en garantissant un réseau de qualité.

    Ce scénario passe par une croissance des investissements en renouvellements destinés à rajeunir l’infrastructure ainsi que par un programme d’entretien soutenu des plateformes de la voie et des ses abords. Les budgets nécessaires seront, à l’horizon 2015 – 2020 de l’ordre de 3'100M€/an. Une période située entre 2011 et 2015 nécessitera un effort annuel supplémentaire d’environ 350M€, permettant un certain rattrapage de substance ainsi que la compensation de la montée en puissance progressive des budgets entre 2006 et 2010.

    Les auditeurs recommandent donc le scénario C ainsi que l’implémentation des éléments deproductivité qu’ils proposent.

    Lausanne, le 7 septembre 2005

  9. Non c'est un rail assez spécial qui en plus du passage à 300 km/h résiste au passage du chaud au froid contrairement aux lignes classiques. Sur les lignes classiques quand le rail chauffe il se rétracte ou c'est le contraire je ne sais pas.

    si il y a contradiction surtout n'hésitez pas. :Smiley_18:

    Rail = métal

    Métal + chaleur = dillatation.

    ---> le rail s'allonge.

    Sinon, ça me parait encore bien faible le coup du mètre de rail à 45 kilos.

    M'en vais peser une chutte que j'ai, et je vais claculer ça :Smiley_57:

  10. Oui mais pourquoi grillagé ? Si c'est bien pour recuperation d'eau de pluie, un tonneau nu en plastique (300 L modèle standard) suffit largement.

    En fait, il faut un truc avec une armature métallique car :

    -C'est plus solide.

    -J'ai besoin de ce "grillage" pour camoufler cette cuve avec une plante grimpante.

    Et non, 300 litres ne suffisent pas. 500 non plus.

    Car pour un arrosoir de 10; 12 litres, tu en fais 25; 30 avec 300 litres.

    Soit pas grand chose quand tu vois que chez moi, il est tombé 2 litres par mettre carré depuis le début aout.

  11. Plus de commande à domicile des agents à ma connaissance... depuis que le téléphone existe. A Nîmes on nous fourni même un téléphone portable par agent pour pouvoir être commandé.

    Y'a pas à dire, y'a des coins où la Sncf est riche.

    Chez nous, c'est portable pour les Tgvistes (surtout pour le PAC) et pour les autres c'est téléphone perso et remboursement de l'abonnement.

    J'ai entendu parler que fut un temps, certains dépots commandaient via minitel.

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