Aller au contenu
Le Web des Cheminots

antoine

Membre SNCF
  • Compteur de contenus

    1 922
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par antoine

  1. surtout avec 3500euros par mois
  2. je donnais une information en direct. je ne commentais pas les incidents de la nuit. idem sur le post de cet aprés-midi qui était issu d'une dépéche et qui relatait les incidents de la nuit( sans aucun commentaire de ma part) Encore une fois arréte de me prendre pour un imbécile,lache moi les baskets s'il te plait.
  3. ça me génerait sur le fait que tu te serves de documents SNCF pour aller alimenter la concurence. Et que les retraités SNCF aillent bosser dans les EF privés me géne ègalement énormément.
  4. 730 voitures brûlées,592 interpellations La police a revu à la hausse le bilan des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre dans la nuit de dimanche à lundi pendant laquelle 35 voitures ont notamment brûlé dans la capitale. Sept cent trente voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 592 personnes ont été interpellées, selon un bilan définitif obtenu lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN). Selon la même source, ce bilan précise que sur 730 voitures brûlées, 35 l'ont été à Paris, et que parmi les 592 interpellations, 79 sont également intervenues dans la capitale. Par ailleurs, 78 policiers et gendarmes ont été blessés au cours des incidents qui ont émaillé le second tour de la présidentielle. Dans un premier temps, la DGPN avait fait état de 367 voitures brûlées et 270 interpellations, ajoutant que 28 policiers et gendarmes avaient été blessés. Ce bilan, arrêté à 6h00 du matin, ne semblait pas faire état de la totalité des dégâts enregistrés dans le pays si l'on tient compte de chiffres obtenus auprès de préfectures et d'institutions régionales. La préfecture de police de Paris fait ainsi état à elle seule de 33 policiers blessés. La DGPN n'en recense que trois dans la capitale. D'autres bilans régionaux font état de dégâts matériels supérieurs. Magasins pillés à Lyon Le bilan de la DGPN ne fait ainsi pas mention d'attaques de bus au cocktail Molotov en région parisienne, ni de l'incendie criminel de l'école de la Lanterne à Evry (Essonne), ni d'une tentative d'incendie contre un centre d'action sociale dans la même ville, attestés de source policière. Il ne fait pas état non plus de magasins ravagés et pillés, comme à Lyon, où selon un décompte réalisé par Reuters, une vingtaine de devantures de magasins de la Presqu'Ile ont été brisées, ainsi que des abribus et des cabines téléphoniques. Dans la ville, la préfecture de police fait état de 13 blessés, dont 10 dans les rangs de la police, et 54 voitures incendiées. Dans le département du Nord, une centaine de voitures ont été incendiées, en particulier dans les villes de Lille et de Roubaix, rapportent les pompiers. Des dizaines d'abribus ont été brisés, des feux de poubelles observés. Environ 70 personnes ont été interpellées à Lille, selon la police. 10.000 manifestants Dans un document interne, dont Reuters a eu connaissance, la DGPN estime que "le second tour des élections présidentielles n'a pas généré de grandes manifestations de violences urbaines dans les quartiers sensibles". Elle estime le niveau des violences de la nuit "au-dessus de celle d'un 14 juillet, mais inférieures à celles d'un Réveillon de la Saint-Sylvestre". Selon elle, environ 10.000 personnes ont manifesté dans toute la France contre le résultat de l'élection présidentielle qui a vu Nicolas Sarkozy accéder à l'Elysée. La police estime que les violences ont été provoquées par deux milieux distincts, des jeunes des banlieues pauvres, notamment autour de Paris, et des militants d'extrême gauche, anarchistes ou "autonomes" dans les centres des grandes villes. Les seconds ont par exemple affronté les forces de l'ordre durant plusieurs heures place de la Bastille à Paris, lieu traditionnel de rassemblement de la gauche lors des soirées électorales. Les manifestants, qui jetaient feux d'artifice et bouteilles, n'ont pu être dispersés que par un véhicule anti-émeute blindé équipé de canons à eau, a constaté un journaliste de Reuters sur place. En province, outre Lyon et Lille, des échauffourées similaires se sont déroulées à Bordeaux, Nantes, Rennes et Toulouse notamment. A Nantes, où une manifestation contre Nicolas Sarkozy a rassemblé un millier de personnes dans la nuit de dimanche à lundi, 26 personnes ont été placées en garde à vue, selon Yves Monard, directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) de Loire-Atlantique. Parmi elles figurent trois mineurs accusés d'avoir cassé un abri de bus. Six policiers ont été légèrement blessés et du côté des manifestants, une personne a été touchée par un tir de Flash Ball, mais ses jours ne semblent pas en danger. Dans des quartiers sensibles de la ville, 33 véhicules ont été incendiés ainsi que de nombreuses poubelles. Par ailleurs, plusieurs vitrines de commerçants ont été endommagées. "Il ne s'agissait pas d'une manifestation spontanée, mais d'un mouvement préparé par un noyau dur de militants anarchistes et d'extrême gauche", a estimé Yves Monard. En Normandie, la police a procédé à vingt interpellations à Rouen et à Caen, lors d'incidents survenus en marge de manifestations dans la nuit de dimanche à lundi. Quatre policiers ont été légèrement blessés à Caen où d'importants dégâts matériels - dégradations, bris de vitrines, voitures endommagées, tentative d'incendie de la permanence UMP - ont été commis, en marge d'une manifestation. Dans l'agglomération de Rouen, une dizaine de voitures ont été incendiées. (avec Reuters)
  5. Je ne suis pas surpris par les résultats de ce sondage mis à part pour le vote des 25/34 ans.
  6. non pas oublié, je sais qu'il y a un appel à la solidarité. on peut faire des dons.
  7. 367 voitures brûlées,270 interpellations 35 voitures ont brûlé dans la capitale, entre 70 et 100 dans le Nord et environ 200 en Rhône Alpes dans la nuit de dimanche à lundi où des affrontements entre manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre ont éclaté dans les grandes villes. Trois cent soixante-sept voitures ont été brûlées en France métropolitaine au cours de la nuit du second tour de l'élection présidentielle, et 270 personnes ont été interpellées, a-t-on appris lundi 7 mai auprès de la direction générale de la police nationale (DGPN). Trente-cinq voitures ont été brûlées et soixante-dix-neuf personnes ont été interpellées à Paris lors des incidents qui ont eu lieu dans la soirée du second tour de l'élection présidentielle, selon un bilan communiqué lundi 7 mai en fin de matinée par la préfecture de Police (PP). <!--[if !supportLineBreakNewLine]-->Selon la PP, trente-cinq véhicules ont été brûlés dans la capitale ainsi que 13 poubelles. La police a procédé à soixante-dix-neuf interpellations et trente-trois membres des forces de l'ordre ont été blessés lors des incidents. C'est à Bastille que les échauffourées ont été les plus violents. Les violences ont éclatées au milieu d'un rassemblement de près de 5.000 personnes qui s'étaient réunis spontanément sur la place de la Bastille peu avant 22h00 afin d'exprimer leur déception et leur colère après la victoire du candidat UMP à la présidentielle. Dans le département du Nord, environ 70 véhicules, selon la police, une centaine, selon les pompiers, ont été incendiés dans la nuit de dimanche à lundi. 60 interpellations dans le Nord Une soixantaine de personnes a été interpellée, et une quinzaine d'entre eux étaient encore en garde à vue lundi vers 11H30, a précisé la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP). Les pompiers du Nord ont réalisé -essentiellement à Lille, Roubaix, Tourcoing, Valenciennes et Cambrai- plus de 220 interventions au cours de la nuit, dont une centaine pour des feux de véhicules, selon le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis). Les autres interventions ont concerné des incendies de mobilier urbain (poubelles, bennes), de granges ou d'écuries désaffectées, toujours selon le Codis. Un incendie a également détruit la bibliothèque d'un centre social à Emmerin. Des manifestations émaillées de heurts avec les forces de l'ordre ont eu lieu dans plusieurs quartiers de Lille dimanche soir. 52 voitures brûlées à Lyon En Rhône-Alpes, environ 200 véhicules ont brûlé, dont plusieurs bus et des camions-poubelles, a-t-on appris auprès des pompiers et de la police. A Lyon, où des échauffourées ont opposé manifestants anti-Sarkozy et forces de l'ordre jusqu'à 2h00 du matin, faisant une dizaine de blessés parmi les policiers et trois parmi les manifestants, 52 voitures ont brûlé. Plusieurs vitrines, du mobilier urbain et un bungalow de vente immobilière ont été vandalisés. Trente-quatre personnes on été interpellées, selon la préfecture. Les chiffres dans le Rhône correspondent à ceux d'une soirée sensible "mais pas exceptionnelle", a-t-on précisé de même source. En Isère, 91 véhicules ont été incendiés, et un début d'incendie a été rapidement maîtrisé dans une école d'un quartier dit "sensible" de Grenoble. Environ 500 manifestants ont été repoussés par les forces de l'ordre en centre-ville de Grenoble, près de la préfecture et du siège de l'UMP. En Savoie, trois bus ont été incendiés et deux dégradés dans l'entrepôt des transports en commun à Aix-les-Bains.A Saint-Etienne, des manifestants ont lancé des pierres sur l'hôtel de ville, brisant des vitres, et une trentaine de véhicules ont brûlé dans la Loire. Cinq camions poubelles ont été détruits par des incendies volontaires à Saint-Vincent Boisset, près de Roanne (Loire). Cocktail molotov contre un commissariat Une dizaine de véhicules a brûlé dans l'Ain, 16 dans la Drôme. En Auvergne, 8 véhicules ont brûlé dans le Puy-de-Dôme, et un cocktail molotov a endommagé un commissariat de Clermont-Ferrand. En Franche-Comté, les pompiers ont éteint de nombreux feux de poubelles. En Bourgogne, une trentaine de véhicules a brûlé. A Dijon, plusieurs vitrines ont été vandalisées en marge d'une manifestation anti-Sarkozy. Les pompiers ont été la cible de jets de pierre lors de leur intervention sur deux départs de feu dans une médiathèque en construction du quartier sensible des Grésilles. A Nevers, les forces de l'ordre ont été visées par cocktails molotov dans le quartier des Courlis. Ces incidents n'ont pas fait de blessés.
  8. Le Monde met Sarkozy en garde Dans son éditorial, le président du directoire du quotidien Jean-Marie Colombani appelle le président élu à respecter les "valeurs fondamentales" de la France. "Le Nicolas Sarkozy prêchant le nationalisme et le protectionnisme s'en éloigne", estime-t-il. Jean-Marie Colombani (Sipa) Nicolas Sarkozy ne doit pas oublier l'attachement des Français aux "valeurs fondamentales" du modèle français, "à savoir l'humanisme, le dialogue, le vivre ensemble et la fraternité", écrit le président du directoire du journal Le Monde, Jean-Marie Colombani, dans un éditorial publié dans l'édition datée de mardi 8 mai. "Si les électeurs ont choisi la modernisation du modèle français, ils ont aussi signifié leur attachement aux valeurs fondamentales de ce modèle, à savoir l'humanisme, le dialogue, le vivre ensemble et la fraternité. Cette France-là ne doit pas être oubliée. Le Nicolas Sarkozy prêchant le nationalisme et le protectionnisme s'en éloigne", estime Jean-Marie Colombani, qui s'était prononcé en faveur de Ségolène Royal avant le second tour. "La France du repli" "La France du repli ne pourra reprendre aucune place en Europe, ni ailleurs. La France de la confiance en l'homme ne sera elle-même que si elle sait être ouverte et généreuse", conclut-il. Le président du directoire salue la victoire du candidat UMP à l'élection présidentielle et note que "les Français ont privilégié l'énergie" face à Ségolène Royal, "Mère Courage". Jean-Marie Colombani explique le succès de la droite et de Nicolas Sarkozy par "la conjonction de deux mouvements": "la force et l'intensité de la demande d'ordre et d'autorité" et la tendance démographique qui veut qu'une population qui vieillit privilégie en général la droite. "Ces deux caractéristiques, qui ancrent la supériorité de la droite, seront donc, pour le président Sarkozy une première source de contradiction à surmonter", selon Jean-Marie Colombani. Le vote qui l'a porté est "conservateur au sens politique du terme" alors que le futur président "s'est engagé sur une promesse de mouvement, de changement". "Enfin et surtout, le nouvel élu va devoir tenir sa promesses: il va falloir vraiment 'changer', c'est-à-dire passer du statut de candidat à celui de président. Le candidat n'a jamais hésité à radicaliser son propos, à catégoriser, à dénoncer -ceux qui travaillent d'un côté, les tricheurs de l'autre par exemple- (...). Mais le président doit maintenant prendre la figure du 'rassembleur'", estime le président du directoire. (AFP)
  9. tu le fais exprés ou c'est naturel chez toi? :Smiley_35:
  10. pire que moi, oh la technik-looseuse!!!!
  11. Meuuuhhhhhhh est le cri que la France entière entend sur ses ondes depuis ce matin. Meuuhhhh font ceux qui comme à chaque élection rêvent au père noêl en plein mois de mai et à la mère Noêl en String. Le bovin est un animal respectable, c'est une bête qui mange du foin et produit du lait. On ne lui en demande pas plus. Si seulement les bovins sarkozystes pouvaient au moins fournir du lait, la France serait sauvée. Ils ne le peuvent pas. Par contre pour la bile, c'est par hectolitres !
  12. Modérez moi s'il vous plait: Vas te faire mettre et utilise plutot le pois chiche qui te sert de cerveau pour raconter moins de conneries.
  13. ou alors pour repeupler la France" on s'aime et on récolte" bigbisous
  14. de toute maniére on aura pas d'autres choix sinon.....................
  15. Terminé on verra bien. Ton discours provocateur en ce lendemain d'élection prouve ton ignorance face à beaucoup de dossiers et de problémes. Si tu penses que les cheminots baisseront les bras face au futur gouvernement ultra-libéral tu te trompes. Si tu penses que ta vie, ton salaire, ta retraite, ta couverture sociale, tes libertés seront améliorés prochainement parce que les cheminots n'auront plus droit de faire gréve tu as bien fait de voter NS. Tu risques de trés vite déchanter et ton discours te reviendra sur la tete comme un boomerang. a ciao bonsoir. Et arrete de regarder les infos sur TF1.
  16. a LYON aussi c'est chaud au centre ville.
  17. ce soir c'est déjà la merde dans beaucoup de villes. Charge des CRS contre des manifestations spontanées. Comme l'a dit Tsesofasurfer la résignation serait le pire pour tous les salariés et notamment les cheminots. La droite a gagné les élections, ce n'est pas la premiére fois, le seul choix que nous avons c'est de nous défendre. restons unis et solidaires tous ensemble.
  18. UP: dégustation d'un bon CROZE HERMITAGE DOWN: 5 ans en enfer
  19. Toi tu as déjà la corde au cou koiquesse
  20. Le Soir( journal belge) annonce ... Modere par KM315 On annonce pas plus que l'on donne de lien.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.