antoine

qu'il soit en rupture avec son parti peut se concevoir et c'est une réaction assez fréquente. Mais ralier le camp adverse en pleine campagne électorale, alors qu'il venait à peine de casser Sarko par des écrits,est digne des plus grands traitres. Il est toujours député et j'espére que s'il se représente devant les électeurs qu'il subira une défaite à la hauteur de sa trahison.

sur le site du nouvel observateur c'est sérieux ils en ont parlé sur plusieurs radios également.

Eric Besson prend la tête du pôle de gauche de l'UMP L'ancien secrétaire national à l'Économie du PS va coordonner un nouveau pôle de l'UMP rassemblant des intellectuels et des personnalités de gauche ralliés à Nicolas Sarkozy. L'ancien socialiste Eric Besson a expliqué lundi 23 avril que Nicolas Sarkozy, qu'il a rallié dimanche soir, l'avait chargé de "coordonner" le pôle de gauche que va créer l'UMP. "Il y a un certain nombre de personnes qui, à gauche, se retrouvent dans la démarche de Nicolas Sarkozy et de ce qu'il a dit hier soir: son appel à la fois plus fraternelle, une France qui puisse s'adresser à ceux qui souffrent et à ceux qui sont exaspérés", a expliqué l'ancien secrétaire national socialiste sur France-Inter. "Il m'a proposé samedi matin de coordonner les intellectuels, les politiques, les personnes de sensibilité de gauche qui peuvent se retrouver dans sa démarche, et j'ai accepté", a-t-il ajouté. "De l'anecdote" pour Hollande Alors qu'on lui demandait son sentiment après l'annonce du ralliement d'Eric Besson, François Hollande a dit lundi éprouver "de la tristesse, pour lui". "Pour Nicolas Sarkozy, avoir des soutiens de cette sorte, c'est à mon avis pour l'avenir peu encourageant", a-t-il commenté, rappelant que Eric Besson avait présenté le 10 janvier un rapport intitulé "L'inquiétante rupture tranquille de Nicolas Sarkozy" où il qualifiait le candidat UMP de "néo-conservateur américain à passeport français". "Quelle est la crédibilité" d'Eric Besson, s'est-il interrogé, visiblement amer. "Pour moi, c'est de l'anecdote". Pôle centriste et pôle de gauche François Fillon a précisé lundi matin que l'UMP allait développer "un pôle centriste avec un certain nombre d'élus du centre qui ont rejoint Nicolas Sarkozy, et un pôle de gauche dont Eric Besson sera l'un des animateurs". Interrogé sur son ralliement à Nicolas Sarkozy, Eric Besson a répondu: "j'ai le sentiment aujourd'hui que les valeurs auxquelles je crois, les convictions que j'ai sont, paradoxalement, mieux portées par un candidat républicain de droite que par la candidate du Parti socialiste". (Avec AP)

Dis-moi ce que tu regardes,je te dirai ce que tu votes Selon CSA, les téléspectateurs de TF1 et France 3 sont plutôt sarkozystes, ceux de M6 et France 2 plutôt royalistes.Côté radios, en dehors des auditeurs d'Inter, on est plutôt Sarko. Quant aux lecteurs de l'Obs, ils ont voté à 35% Royal, 28% Bayrou et 21% Sarkozy. Les téléspectateurs de TF1 et de France 3 ont plutôt voté Nicolas Sarkozy alors que ceux de France 2 et de M6 ont plutôt choisi Ségolène Royal lors du premier tour de l'élection présidentielle, a -t-on appris lundi 23 avril par un sondage sortie des urnes réalisé par l'institut CSA pour Télérama à paraître mercredi. 36% de ceux qui regardent le journal TF1 ont voté pour le candidat de l'UMP, contre 21% pour la candidate socialiste, et 17% pour François Bayrou. Les habitués des informations de France 2 ont voté pour Ségolène Royal à 33%, pour Nicolas Sarkozy à 25% et pour François Bayrou à 23%. Les résultats sont moins tranchés pour les téléspectateurs de France 3 : 28% ont voté pour Nicolas Sarkozy, 26% pour Ségolène Royal et 22% pour François Bayrou. Les auditeurs d'Europe 1 favorables à Nicolas Sarkozy Concernant la radio, les auditeurs d'Europe 1, France Info et RTL se sont majoritairement prononcés pour Nicolas Sarkozy, à respectivement 37%, 35% et 33%, contre 28%, 25% et 26% pour Ségolène Royal. Cette tendance s'inverse chez les auditeurs de France Inter, parmi lesquels le candidat de l'UMP (22%) est devancé à la fois par Ségolène Royal (37%) et François Bayrou (24%). 47% des lecteurs de Libération votent Royal Du côté de la presse, les lecteurs du Figaro ont, sans surprise, massivement plébiscité Nicolas Sarkozy (54%), 16% se sont prononcés pour le candidat centriste et 13% pour la candidate socialiste. Les habitués du Monde se sont prononcés à 37% en faveur de Ségolène Royal, à 28% en faveur de François Bayrou et à 22% en faveur de Nicolas Sarkozy. Ceux du Parisien ont choisi Nicolas Sarkozy (36%), devant Ségolène Royal (31%) et François Bayrou (28%). Les lecteurs de Libération ont majoritairement voté pour Ségolène Royal (47%), devant François Bayrou (25%) et Nicolas Sarkozy (12%). Les lecteurs du Point et de l'Express se sont nettement prononcés pour le candidat UMP (à respectivement 52% contre 17% pour Ségolène Royal et 14% pour FrançoiS Bayrou et 37% contre 27% pour Ségolène Royal et 23% pour François Bayrou). Les habitués du Nouvel Observateur ont voté à 35% pour Ségolène Royal, 28% pour François Bayrou et 21% pour Nicolas Sarkozy. Ceux de Télérama ont opté à 44% pour la candidate socialiste, à 28% pour le candidat de l'UDF et à 14% pour celui de l'UMP. Enquête réalisée par l'institut CSA à l'occasion du sondage sortie des urnes du dimanche 22 avril, auprès d'un échantillon national représentatif de 5.006 personnes.

il parait que la "lutte des classes" n'existe plus. il n'y a que les ouvriers et les employés qui croient à de tels propos. A force de regarder les infos à la télé et de n'écouter que certains chroniqueurs, leur cerveau se lobotomise. Le MEDEF et tous leurs amis politiques , eux pratiquent "La lutte des classes". Beaucoup de salariés en subissent les conséquences désastreuses. J'invite tous ceux qui ont une demi-journée à perdre à se rendre dans un conseil prud'homal ou dans un centre social. Ils verront les pratiques d'un grand nombre d'entreprises et les conséquences sur la vie des salariés concernés. Certains ici me traiteront de ringards, de gauchistes mais pour moi une société ne doit pas etre élitiste. La valeur d'une personne ne peut se limiter à sa productivité ni à son seul investissement dans une entreprise.

up: le soleil down: pour la énieme fois de ma carriére commandé à deux sur le meme train me suis levé tot pour rien. un cadre de mon up pro sarko avec son sale sourire en coin la gauche francaise à 35% tout cassé BREF UNE SALE JOURNEE

+1 cestachier

je ne fait de bien pensance de gauche, certains ont voté Bayrou c'est leur choix et il est respectable mais je le répéte Bayrou est de droite, voilà c'est tout.

tu as raison c'est sans doute pas la bonne réponse pour le battre mais c'est plus fort que moi ...........désolé

Tu as tout a fait raison. un matin, des gens bien pensant ont décidé que Bayrou n'était plus de droite mais du centre. Pour tout ceux qui ont cru à cette escroquerie, relisez son programme et faites des recherches sur son parcours politique.

je pense qu'il y a beaucoup d'électeurs du fn qui voteront ségo certes pas majoritairement la rationnalité?................... il y a bien des gens se disant de gauche qui ont voté à droite pour Bayrou

moi je pense que ça sera plus pour ségo meme largement plus le pen 1/4 pour ségo

tu as raison, seule chose c'est les électeurs de bayrou, ils vont aller ou?

et son discours d'un polulisme digne de le pen le 22 avril 2002

il faut qu'il soit battu......

tous contre sarko

tout sauf sarko..................

suis d'accord mais certains problémes peuvent etre amplifiés, d'autres problémes peuvent aparaitre avec certains candidats nauséabonds ou ne désirant pas par exemple maintenir un chemin de fer digne de ce nom.

L e dernier que j'ai trouvé est interdit en France il a été publié cet aprés midi sur dle site de La Tribune de Genéve. Un sondage interdit montre un resserrement entre les trois favoris EXCLUSIF | 17h05 Depuis vendredi minuit, les sondages ne peuvent plus être publiés dans les médias français. Mais ils continuent de circuler dans un petit cercle d’initiés. La Tribune de Genève et 24 heures ont pu avoir accès à l’un d’eux. Qui montre que rien n’est encore véritablement joué. Le blog de Claude Ansermoz, notre correspondant à Paris Ce samedi matin, les sondages sont officiellement interdits de publication dans la presse française. Ce qui n’empêche pas les instituts de poursuivre leurs enquêtes d’opinion et de les présenter à quelques happy few (garde rapprochée des candidats, journalistes, politologues, chefs d’entreprise) lors de petits déjeuners « exclusifs ». La Tribune de Genève et 24 heures ont pu avoir accès à l’un de ces précieux et derniers sondages, sous couvert de la protection des sources (on rappelle que les médias français risquent 75 000 euros d’amende en cas de divulgation de ces chiffres). Réalisé vendredi 20 avril auprès de 1 000 personnes selon la méthode des quotas, ce sondage montre que Nicolas Sarkozy baisse à 26% et le Pen à 12,5%. Chemin inverse pour Ségolène Royal (23 %) et François Bayrou (20,5%). Notre insider nous a également fourni, chose extrêmement rare, les données brutes de cette étude. C'est-à-dire avant que ces chiffres ne soient redressés par les instituts pour corriger certaines estimations, notamment le vote caché des électeurs du Front National. A ce jeu là, Nicolas Sarkozy (25%) est toujours en tête, mais son avance sur Ségolène Royal et François Bayrou (tous les deux à 24%) est minime. De son côté, Jean-Marie Le Pen est à 5%. C’est le cas du candidat centriste qui est le plus intéressant. D’abord, parce que le nombre d’électeurs qui sont désormais certains de voter pour lui a explosé en deux jours (de 39 à 61%). Ensuite, parce qu’il l’emporterait assez facilement s’il se qualifiait au second tour, quel que soit son contradicteur (à 55% contre Sarkozy et à 58% contre Royal). « Enfin, poursuit notre interlocuteur, le vote des indécis, des nouveaux inscrits et des jeunes de banlieue semble incliner vers le président de l’UDF ». Il semble que ce resserrement, toujours selon notre spécialiste, se constate chez tous les instituts de sondage, sauf CSA. Pour ce dernier, selon des chiffres publiés hier sur le site internet du Parisien, c’est Jean-Marie Le Pen qui serait désormais le troisième homme (16,5%) juste devant François Bayrou (16%). Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal seraient loin devant et au coude à coude, avec respectivement 26,5% et 25,5%.

je suis étonné de ce choix mais je le respecte

tu votes pas Ibrahima ?

mon pronostic grosse participation entre 80 et 90%

cécilia a voté aussi!!!!!!!!!

le nain est inscrit sur le site? il vient de voter pour lui.....................

oui je le connaissais bien c'était lié à des problémes externes.