Aller au contenu
Le Web des Cheminots

dilidou

Membre SNCF
  • Compteur de contenus

    647
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages publiés par dilidou

  1. les conducteurs sont des surhommes ! ils n'ont aucun besoin et sont forts mentalement ! alors pourquoi dépenser du fric pour eux ?

    et faut admettre qu'entre nous, on n'affiche pas les problèmes persos pour ne paraitre comme " faible " donc on en parle pas !

    on peut encore attendre une 50aine d'années avant que les pontes commencent à se pencher sur le problème.

    au fret, on demande rien, on s'arrête n'importe ou et sans contraintes de temps... de toute façon vu nos retards et/ou garage pour laisser passer les vo........................... c'est pas les arrêts qui manquent ! ;)

    ca fait une raison pour rester au fret tiens okok

  2. http://www.ville-rai...os-cette-année

    « Pour Fret SNCF, nous représentons un danger car nous sommes en train de prouver qu’une entreprise de fret ferroviaire peut être rentable… mais avec d’autres conditions de travail que celles appliquées à la SNCF. »

    tout est résumé dans cette phrase ! on ne peut faire des bénéfices que sur le dos des salariés... ou comment rendre légitime le dumping social !

    vous avez raison, en nivelant tout par le bas, tout le monde en sortira gagnant y compris les salariés évidemment ! nonmais ........ belle mentalité.... de merde !

    • J'adore 1
  3. http://www.lemonde.f...8;xtor=RSS-3208

    Guillaume Pepy : "Les trains de la vie quotidienne sont ma priorité absolue"

    Retards, rames surchargées, pannes, incivilités... Chaque jour, les millions d'usagers des transports franciliens craignent le nouvel incident qui rallongera leur parcours de RER. Dans un rapport parlementaire, publié mercredi 7 mars, les députés tirent la sonnette d'alarme et demandent à la RATP et à la SNCF de "placer les usagers au centre du système". Guillaume Pepy, le président de la SNCF, donne ses pistes pour régler les dysfonctionnements.

    Dans son rapport, l'Assemblée nationale juge que la SNCF est "plus intéressée par le TGV que par le RER et les trains de banlieues". Que répondez-vous ?

    Ce n'est plus vrai ! Depuis quatre ans, les trains de la vie quotidienne sont ma priorité absolue. Ces trains transportent 90 % de nos 4 millions de voyageurs journaliers. Le rapport sur les RER est salutaire. C'est la première fois que le Parlement se penche sur ce sujet. La question de la modernisation des RER est un véritable enjeu national. Je m'en réjouis ! Nous nous engageons à mettre en oeuvre les recommandations de ce rapport et à consulter les associations d'usagers.

    Des incidents quotidiens rendent la vie des usagers impossible. Que faites-vous pour améliorer leur sort ?

    Dès 2013, des progrès seront visibles sur plusieurs lignes. Par exemple, sur le RER A, quinze nouvelles rames à deux étages circuleront avec 50 % de places assises en plus. Le tronçon nord du RER B aura été reconstruit et ses trains rénovés. Sur cette ligne, les trains seront à la fois plus fréquents en première couronne et plus rapides en seconde couronne. Pour les RER C et D, l'Etat et la région Ile-de-France ont signé un contrat de modernisation à hauteur de 500 millions d'euros. Le RER E sera, lui, prolongé vers la Défense et Mantes, ce qui permettra de doubler le RER A. Les travaux débuteront dès 2014. Avec Jean-Paul Huchon, le président de la région, nous nous sommes engagés pour que, en 2016, 100 % des trains d'Ile-de-France soient neufs ou rénovés. Le pari sera tenu.

    Cela signifie-t-il la fin de la "galère" des usagers ?

    Non. Le système RER souffre de deux maux. Il est saturé et il a vieilli. Sa fréquentation augmente de 4 à 5 % chaque année. Le système est de plus en plus sensible au moindre incident. Par exemple, en 2011, deux fois par semaine en Ile-de-France, un suicide a paralysé le trafic pendant deux ou trois heures. Cela n'excuse rien, mais c'est l'une des causes des retards sur le réseau. Le RER fut une magnifique invention, mais le modèle s'est essoufflé du fait d'un sous-investissement dans les années 1980 et 1990. Désormais, il faut réinvestir. Massivement.

    Avec la RATP, vous partagez la gestion des lignes A et B du RER. Ne serait-il pas plus efficace d'avoir un opérateur par ligne ?

    Non. En pratique, cela prendrait trop de temps avec de longues négociations sociales. Avec Pierre Mongin, le PDG de la RATP, nous préférons travailler sur des améliorations de service concrètes. Nous avons mis fin aux rivalités du passé. Désormais, nos équipes travaillent main dans la main. Nous avons supprimé le changement de conducteur à la gare du Nord. Nous unifions la gestion du RER B, comme demandé par le chef de l'Etat. Nous ferons la même chose pour le RER A. Cette démarche apporte des progrès concrets sur l'information et la ponctualité.

    La semaine dernière, la RATP a bouclé son contrat quadriennal avec le STIF, l'autorité francilienne des transports. Pourquoi le vôtre traîne-t-il ?

    Il ne traîne pas. Nous cherchons un équilibre financier satisfaisant pour tous. Notre objectif est de signer le 11 avril avec des engagements de service forts. Le bonus-malus sur la régularité sera plus exigeant. Nous nous engageons par ailleurs à réinvestir une part du résultat encore plus importante qu'aujourd'hui.

    CDG Express, la liaison directe entre Paris et l'aéroport de Roissy promise depuis 2007, va-t-elle voir finalement le jour ?

    Il y a unanimité entre Aéroports de Paris, RFF, la RATP et la SNCF pour créer cette liaison rapide entre la gare de l'Est et Roissy. Le préfet d'Ile-de-France a remis la semaine dernière une proposition dans ce sens au premier ministre. On peut décider vite !

    En Ile-de-France comme en province, les régions se plaignent de ne pas obtenir le détail des coûts engagés par la SNCF. Que comptez-vous faire ?

    En Ile-de-France comme en province, je me suis engagé à mettre en place une gestion par ligne et à apporter des informations précises sur nos coûts. Je propose aussi de régionaliser davantage la SNCF. Nous avons lancé le mouvement avec la Bretagne et le Limousin. Nos managers locaux auront plus de marge de manoeuvre et nous serons mieux à l'écoute des régions et des clients.

    L'Etat vous a demandé de vous rapprocher de RFF, le gestionnaire du réseau ferroviaire. Un scénario calqué sur l'actuel secteur électrique voudrait que RFF devienne votre filiale, tout en conservant une grande autonomie. Est-ce bien d'actualité ?

    Plusieurs schémas sont effectivement à l'étude. J'ai pour ma part proposé d'étudier la mise en place d'une holding regroupant, comme dans plusieurs pays européens, l'ensemble des compétences ferroviaires. L'Etat nous a demandé d'étudier plusieurs scénarios. Nous y travaillons tous ensemble. Pour nous, l'essentiel, c'est d'améliorer le fonctionnement quotidien du train. Il ne faut pas ériger des barrières entre des équipes qui doivent travailler ensemble pour que le ferroviaire fonctionne.

    Propos recueillis par Philippe Jacqué

  4. tiens... j'hésitais à ouvrir un sujet la dessus la semaine dernière mais j'y ai renoncé en n'y voyant que ma propre parano... finalement c'est un sentiment partagé par d'autres alors ?! les psys vont avoir du boulot dans quelques temps...

    Ce que je me demande:

    quand vont ils abandonner officiellement le fret ?

    1. on transforme en filiale privée, on reprend les volontaires à perte de statut, de conditions de travail, de salaires inférieurs pour s'aligner sur le privé en promettant du boulot... ( 2015 )
    2. on reclasse chez TER ceux qui ne veulent pas encore perdre leur statut.

    après ça, combien de temps garderont nous TER ?

    1. les inuts générés font que tous se tirent dans les pattes pour tirer un train
    2. les couts sont répercutés, les régions nous trouvent trop cher, ont durci leurs exigences. les résultats ne sont pas la, elles prennent la gestion des ter ou la confient au privé. ( 2017 )
    • les crl volontaires sont repris à perte de statut, de conditions de travail et de salaires.
    • la droite est repassée à la présidentielle de 2017. les réfractaires sont montrés du doigt puis finalement, pourquoi s'appeler encore SNCF lorsque l'on peut faire des bénéfices sur le TGV pendant quelques temps ?

    on transforme la SNCF en SPCF, elle vire les " coûtes trop cher " avec leur statut de privilégiés, embauche de nouveaux crl pour le tgv sans expérience + bas salaire et redistribue ses bénéfices à ses actionnaires tant que le réseau le permet. ( 2018 )

    Les voyageurs toujours aussi mécontents ne savent plus sur qui déverser leur haine vu que la sncf n'existe plus. Jusqu'à la renationalisation en 2040, les pouvoirs publiques constatant l'abandon des privés qui ne font plus de bénéfices, la dégradation du réseau faute d'entretien et d'absence de règlementation.

    ... bien sur je peux me tromper sur les dates :ph34r:

    • J'adore 2
  5. J'adore ! ca fait peut être une 15aine d'années que je les écoute :)

    le groupe n'a plus rien à voir avec ceux du début, il est souvent renouvelé.

    c'est quand même physique et faut voir la gueule des bidons à la fin :tongue:

    une qui est sympa pour nous ;)

    c'est pas ma préférée mais faut tenir le rythme !!!

    • J'adore 1
  6. oula... le pauvre préfet va se faire virer ! :tongue:

    ...

    Juste que le nabot à oublié ce que c'était que des gens mécontents à force de les faire reculer à 3 km de ses déplacements présidentiels...

    heureusement pour le préfet, c'est un déplacement de candidat... ouf !

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.