pompon

Ils étaient en train de la faire... bigbisous

De toute évidence oui. La pancarte "Gare" tient lieu d'avertissement.

Un zoom sur un téléphone?... un zoom numérique n'a aucun intérêt : autant zoomer l'image sur l'ordinateur après l'avoir récupérée. Quant à un zoom optique... on fait des miracles en matière de miniaturisation, mais quand même! Et puis on ne peut pas miniaturiser un appareil photo sans perdre en qualité. Par un objectif miniature, il ne passe qu'une quantité miniature de lumière. Pour augmenter la sensibilité, il faut allonger le temps de pose. Dans de mauvaises conditions d'éclairage, un téléphone fera toujours des photos floues, aussi hi-tech soit il. Bref, c'est juste un appareil photo de secours. Il m'a été utile un jour où j'avais des photos à prendre, et j'avais oublié mon appareil. Mais faut pas lui en demander trop. Pour tout savoir sur les appareils photos numériques : dossier sur les appareils photo numériques

Non, on arrive à s'en sortir en plein jour mais il ne fait pas de miracles. C'est d'abord un téléphone, et l'objectif de l'appareil photo n'est pas plus gros que celui des autres téléphones et dans l'ensemble il ne fait pas de plus belles photos. Ceci dit ça reste un beau joujou...

On gagnerait beaucoup à "revenir" aux voiliers, parce qu'aujourd'hui on a des connaissances en aérodynamique qui permettraient de faire des bateaux à voile aussi performants que des bateaux à moteur (sauf quand il n'y a pas de vent, bien sûr, mais c'est quand même très rare sur l'océan). Il ne faut pas oublier qu'à l'époque où l'on a abandonné la voile, les connaissance en aérodynamique était à peu près nulles.

ça n'attendra pas 25 ans. On continue de se voiler la face parce que nos automobiles (entre autres) fonctionnent toujours au pétrole. On se raconte des salades avec les réserves de sables bitumeux de l'Alberta. Il faut pour extraire ce pétrole là presque autant d'énergie qu'il peut en produire; c'est donc peut-être une solution pour la chimie, mais certainement pas pour les transports. Et de toute façon les réserves de l'Alberta font partie des "réserves prouvées", leur exploitation ne change donc absolument rien aux prédictions des experts en matière de "pic pétrolier". De deux choses l'une : - soit le pic pétrolier a bien eu lieu en décembre 2006 comme le disent certains experts, et le prix du pétrole va continuer de croître au même rythme que ces deux dernières années. Autant dire qu'il sera devenu inabordable bien avant 25 ans... - soit ce pic pétrolier n'a pas encore eu lieu (mais on en est très proche de toute façon) et la croissance du prix du pétrole n'est qu'une anticipation du marché. Et quand le pic arrivera, le décrochage entre l'offre et la demande sera tel que le prix ne sera plus un signal suffisant pour réguler le marché. Il faudra instaurer un mode de rationnement (avec priorité d'approvisionnement aux véhicules de secours, etc).

Oui OK mais on pourra le télécharger ? A propos, vous connaissez celle là : USB wine

J'allais le dire bon on peut peut-être ajouter un logo SNCF dessus, histoire de le reconnaître lotrela

Oui on dirait bien...

Ils ont tous deux un autre défaut commun : consommer inutilement de l'énergie. Car la lévitation consomme plus d'énergie qu'elle ne permet d'en économiser...

Un mythe? On dirait que tu n'as jamais vu une empreinte de patinage... Heureusement que les mécaniciens savaient démarrer sans patiner! Mais c'est quand même un problème plus délicat sur une machine à vapeur que sur une machine électrique. Le moteur électrique possède des propriétés naturellement anti-patinage (enfin jusqu'à un certain point...) mais dans une machine à pistons c'est le contraire. N'oublions pas qu'on démarre une automobile grâce à un embrayage, c'est-à-dire un dispositif qui permet de patiner sans en avoir l'air... Et c'était d'autant plus un problème que les roues avaient un grand diamètre. La solution idéale aurait été de disposer de pistons de très grand diamètre pour le démarrage, qui auraient permis de fournir un effort important même à très basse vitesse. Ce n'était pas le cas et la seule façon de fournir un effort important était de "lancer" le piston.

Ah, c'est bien ce que je pensais. Il faut mettre en mouvement la machine, mais relâcher tout de suite la pression pour ne pas patiner.

Tu sais que Jaurès, Clémenceau, Blum et De Gaulle étaient du 20ème siècle ? bigbisous

Pour moi c'est Jaurès, mais j'ai voté Robespierre à moitié par provoc'... En tout cas c'est marrant le résultat du sondage. C'est un forum plutôt marqué à droite, j'aurais pas cru... bigbisous

Y a-t-il des connaisseurs de la traction vapeur, ici ? C'est un peu obsolète bien sûr ;-) mais ça reste intéressant techniquement... Une question me trotte dans la tête depuis quelques temps : comment était résolu le problème de l'adhérence au démarrage? (intuitivement, si j'avais à résoudre le problème, j'essayerais d'envoyer la pression par à-coups, en quelque sorte de "hacher" la vapeur comme on hache le courant, l'inertie de l'embiellage et des roues se chargeant de lisser le mouvement comme une self lisse le courant... mais ça me semble bien compliqué à mettre en œuvre en pratique)

Oui si c'est une cale oubliée sur la loc, évidemment. Mais là on parlait au départ d'une cale oubliée sous un wagon, apparemment, puisque c'est un wagon qui a déraillé en bosse.

Oui d'autant plus qu'on leur reproche des incidents qui sont fréquents chez nous aussi. Bon OK on fait rouler 150 fois plus de trains, mais j'ai lu récemment un compte rendu d'incident dans lequel un train ECR était impliqué, mais c'était clairement la SNCF qui avait commis la faute. Et le conducteur d'ECR a freiné à temps pour que ça ne tape pas... Le jour où l'on cartonnera avec un train ECR mais que ce sera un AC qui aura fait la boulette, je vous raconte pas les gorges chaudes à la télé et dans les journaux. Alors il vaudrait mieux que nous soyons vigilants sur tout ce qui se passe, sans chercher à démontrer que les concurrents sont plus mauvais que nous sur la sécurité.

Je doute que l'on "sente" quelque chose... si la cale est sur un wagon éloigné de la loc, il y a peut-être 1000 tonnes qui poussent (ou tirent) sans que le mouvement de la machine n'en soit affecté... on peut voir un mouvement anormal d'un wagon, peut-être, au moment ou il escalade la cale. Je ne sais pas jusqu'à quelle vitesse une cale peut arrêter un train, mais ça doit pas être énorme. Un taquet dérailleur (qui présente une partie verticale) arrête un train jusqu'à 4 km/h si ma mémoire est bonne. Au-dela, ça passe par dessus. Bref, une cale c'est fait pour empêcher une dérive, rien de plus.

Oups! Désolé...

Je poursuis : PELI : Postes Electriques à Leviers Individuels MU45 : Mécanique Unifié type 1945 EMU : Electromécanique Unifié PRAW : Poste tout Relais à destruction Automatique Westinghouse PRS : Poste tout Relais à transit Souple PRSI : PRS Informatisé PRG : Poste à Relais à circuits Géographiques PRGS : PRG Sans enregistrement PRCI : Poste à Relais et à Commande Informatique PIVOS : Poste Informatisé de VOies de Service PAI SSI : Poste d'Aiguillage Informatique - "Solid State Interlocking" (je ne suis pas certain du sens de SSI, à vérifier) SEI : Système d'Enclenchement Intégré PIPC : Poste Informatique à technologie "Personal Computer" PAI : Poste d'Aiguillage Informatique (nouvelle génération) TVM : Transmission Voie Machine KCVB : Contrôle Continu de Vitesse sur les Branches (du RER A) KCVP : Contrôle Continu de Vitesse sur les Prolongements (du RER B) (branches ou prolongements? fallait bien distinguer les deux!) KVBP : Contrôle de Vitesse par Balises... et zut le P je ne sais plus! Bon c'est tout pour aujourd'hui... Les BAL, BAPR, BMVU, on verra ça un autre jour...

Je me permets quelques rectification, mineures : Dispositif d'Arrêt Automatique des Trains Veille Automatique à Contrôle de Maintien d'Appui (qui se distingue de la Veille Automatique... tout court) Identification Automatique des Véhicules La petite boîte noire se trouvait aussi sous les wagons, et sous les TGV. Sur les voies, il y avait 257 balises qui permettaient de savoir très grossièrement dans quelle région se trouve chaque véhicule. Dans le cas des locs, l'information est complétée par la commutation des stations de radio sol train, ce qui permet d'avoir une localisation précise à quelques km près. Dans le cas des TGV, ça sert surtout à connaître leur orientation, pour préparer l'affichage sur les quais. Dans le cas des wagons, chaque boîte noire pouvait enregistrer des informations au départ du chargeur, sur le chargement du wagon par exemple. Je parle au passé, parce que j'ai cru comprendre qu'on n'assure plus la maintenance du bastringue. Maintenant on veut du satellite, je ne suis pas convaincu que ça soit plus fiable, mais c'est plus à la mode.

Exact, mais c'est bien plus qu'un changement d'organigramme qui se prépare. On en reparlera en 2010. Peut-être même avant...

L'intérêt n'est pas pour Fret, ni même pour la SNCF en général. Je pense (mais je peux me tromper) que c'est un vieux fantasme de l'Etat, enfin disons surtout des Enarques, de liquider la SNCF qu'ils jugent trop puissante et pas assez malléable à leur goût. Et puis les amis de leurs amis aimeraient sans doute faire rouler des trains pour gagner beaucoup d'argent avec des subventions publiques (un peu ce qui s'est fait en Angleterre ces dix dernières années). Et puis ça tombe bien le copain de leurs amis vient d'être élu président de la république...

Suggestion : améliorer la prise en compte des FOH dans l'analyse des événements... lis la RA152, l'IN3038, la TT636 pour en savoir plus... et pose toi la question, comment on pourrait les décliner dans ton établissement (ou dans le cas de Zoufftgen). Méfie toi d'une chose : ce qui est vrai dans un établissement ne l'est pas forcément dans un autre. Pour traiter correctement le cas Zoufftgen, il vaudrait mieux que tu connaisse bien les particularités locales.

Oui. Ne pas délivrer un bulletin de franchissement sans avoir vérifié qu'on pouvait le faire.