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Leter

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Leter's Achievements

  1. Je ne suis pas complètement d'accord. Je crois au contraire que l'on peut s'entraîner et s'améliorer aux tests psychotechniques. Il existe des livres et des applications en ligne pour comprendre la logique des tests et s'y préparer. A titre personnel, j'étais une véritable tanche intersidérale pour ces tests. Je me suis entraîné et depuis je les ai repassés avec succès. Je suis convaincu que sans entraînement, je me serais systématiquement viandé.
  2. Les EPIs bleus sont distribués aux externes qui viennent visiter le site de Crespin. Il s'agit d'une délégation de collaborateurs Alstom venus en visite sur le site de Crespin. Parmi eux, on distingue M. Henri Poupart-Lafarge (au niveau de la lisse de la porte de la NAT), PDG d'Alstom et élite des élites (Polytechnique).
  3. Héhé... Voici la véritable dernière NAT (Last NAT) au départ du triage de Valenciennes St-Saulve le mardi 29 novembre 2022 avant sa livraison au TC de Clichy-Levallois.
  4. Bonjour, Les liens dirigent vers des tests "savile" (du nom du psy qui les a inventés). Il s'agit de tests (3 si ma mémoire est bonne) qui évaluent la compréhension de texte, la logique (suite de figures), des exercices de calcul et raisonnement. Il est essentiel de faire les exercices avant le test en lui-même. Les exercices permettent de s'entraîner et d'avoir une idée de ce que l'on va rencontrer dans les vrais tests. Les tests sont chronométrés. Sur le net, on trouve des exemples de test savile, mon conseil je le répète est de bien s'entraîner. Il est impératif d'avoir une bonne connexion internet qui ne rame pas, d'être au calme et reposé. Ne pas hésiter à faire une pause entre chaque test.
  5. En ce qui me concerne, l'entretien a duré une bonne heure. J'ai trouvé que j'avais à faire à de véritables recruteurs professionnels. J'entends par là que ça change de certains entretiens menés par des cadres ou des dirigeants qui ne savent pas orienter ou poser les questions. J'ai trouvé les questions posées très précises, nécessitant des réponses argumentées. Chaque question était orientée pour voir des traits de ma personnalité et de mon comportement. A plusieurs reprises, on m'a demandé des mises en situation: faire une annonce voyageurs, comment je réagis si j'ai un problème de fumée se dégageant du train, etc... La tonalité globale était plutôt bienveillante et cordiale mais je suis toujours resté sur mes gardes. Un excès de confiance se ressent et peut être apprécié négativement. Les recruteurs vous mettent en confiance, vous vous sentez bien, vous parlez naturellement et vous "baissez la garde" progressivement. C'est à ce moment-là que vous risquez de commettre une erreur. Je suis convaincu que les recruteurs cherchent avant tout une personne calme et responsable avec la tête sur les épaules. Un excès de confiance manifeste ou au contraire un candidat qui montre des signes de manque de confiance en lui seront rédhibitoires.
  6. Boobs (drôle de pseudo), il est normal de douter au cours de la formation conducteur. Vous n'êtes pas le premier et vous ne serez pas le dernier. Repenser à vos anciennes fonctions de cadre, avec la rémunération associée peut vous faire regretter certaines choses mais ce n'est pas comparable. Conduire un train, ce n'est pas donné à tout le monde, ce n'est pas rien! Il est dommage de s'arrêter uniquement au salaire même s'il est vrai que si l'on travaille, c'est avant tout pour faire bouillir la marmite. Comme le dit Km315, il faut voir plus loin. Abandonner une formation en cours de route, si on a le niveau pour la suivre, il faut aller au bout et on verra après. Peut-être êtes-vous encore jeune avec des possibilités d'évolution, essayez de vous projeter un peu. Le ferroviaire bouge, des EF se montent, des opportunités apparaîtront dans le futur. Et si vous êtes décidé, assurez-vous que vous pouvez revenir à votre précédent emploi avant de prendre une décision que vous pourriez regretter.
  7. Bonjour Sblaow, Le principe du grand déplacement est de partir à la semaine. En général, on découche tous les soirs de sa période de travail. Les nuits, cela peut être du 20h-04h ou 22h-06h par exemple. J'imagine que les interventions se font après le dernier train de la journée et avant la circulation du premier train de la journée.
  8. Bonjour Armata, Sur le site emploi SNCF, il y a une sorte de logigramme d'avancement du traitement de la candidature. Sous la forme d'une barre de progression avec l'étape associée. Cela peut être "candidature en cours d'étude", "échange sur vos motivations", "candidature non retenue". Plus on progresse dans l'avancement des étapes de la candidature et plus la barre de couleur jaune se remplit. Je vois bien le carré jaune sans observation. Cela signifie que la candidature est comme qui dirait "figée". Elle n'est pas refusée ni à un stade précis. C'est le temps qu'un recruteur intervienne dessus et elle reprendra ensuite le chemin de traitement défini.
  9. Bonjour Hugo37, Je comprends et respecte tes principes et ta volonté d'être honnête. Je suis quasiment certain que la SNCF ne prendra pas de références auprès de ton ancien employeur. Je connais beaucoup de personnes qui sont rentrées à la sncf sans que jamais l'employeur précédent soit appelé. Il y a bien une vérification de "moralité" comme indiqué dans l'annonce mais rien de plus. Pour le licenciement, je te conseille de parler plutôt de réduction d'effectif, d'une mutation qui ne te convenait pas etc...
  10. Bonjour Pierregouez2930, En règle générale, les conducteurs sont affectés à un dépôt d'attache. Cela signifie que c'est l'endroit où ils prennent et terminent le service. Par exemple, un conducteur affecté à Rennes y prend le service à l'heure figurant dans sa programmation et y termine dans les mêmes conditions. La seule variante, c'est en cas de découcher. Par exemple, vous prenez le service à Rennes, conduisez votre train jusque Chartres où vous découchez pour repartir le lendemain de Chartres à Rennes. Si vous souhaitez un dépôt d'attache en particulier et qu'il coïncide avec les besoins de recrutement, tant mieux mais ce n'est pas garanti. Vous serez fixé sur ce point dans votre processus de recrutement.
  11. Bonjour, Félicitations et bon courage pour la formation. SVP, pouvez-vous indiquer le dépôt d'attache et l'activité (Fret, voyageurs, ...) pour mieux évaluer la proposition. Merci.
  12. Bonjour Celeste544, J'ai déjà entendu cela. Que la maison mère SNCF ne recrutait pas chez VFLI mais c'est du "radio-ballast". Légalement, il s'agit de deux entités distinctes et le marché de l'emploi est théoriquement libre. J'ai connaissance en revanche d'un conducteur ayant quitté SNCF pour rejoindre VFLI/Captrain... Au delà des racontars etc, je pense qu'il est préférable que vous postuliez sur le site SNCF et vous serez fixé. Bonne chance pour la suite.
  13. C'est délicat, sans être dans le métier et surtout sans formateur, de se plonger dans le référentiel traction. C'est un coup à faire des contresens et risquer des incompréhensions, ce qui est dommage lorsque la finalité est la sécurité. Pourquoi ne pas commencer par faire le MOOC conducteur de trains sur le site SNCF dédié? Puis après, lire le référentiel mais uniquement le chapitre A (il est divisé en 6 chapitres) où c'est relativement clair.
  14. Bonjour, Cela fait une bonne décennie au moins que le recrutement de conducteurs n'est plus conditionné au fait d'avoir un profil technique. C'est lié au matériel roulant. Auparavant, il fallait être capable de dépanner le matériel, on parlait alors de mécanicien. Désormais, le dépannage est beaucoup plus limité car le matériel comprend tellement d'électronique que le dépannage est vite limité. Il y a même des engins avec un guide de dépannage électronique pour assister le conducteur. Donc voilà, même une personne sans profil technique, avec de simples notions, est tout à fait capable de conduire un train. Bien entendu, le fait d'avoir de solides connaissances ou diplôme en électricité, mécanique va beaucoup aider pour comprendre comment fonctionne le train (les électrovalves inverses, les différents circuits et tensions à bord du train, la traction électrique, le frein pneumatique, ...).
  15. Bonjour Okce8, Il semble que SNCF ait du mal à recruter des AC en effet. Entre les sélections assez rudes, les aptitudes psy et médicale, la formation lourde, ... il faut beaucoup brasser pour arriver à "sortir" un AC au bout du processus. Une chose qui effraie beaucoup les candidats sont les horaires décalés... ça fait fuir énormément de monde. Beaucoup de personnes, et je ne juge pas, ne veulent pas d'horaires décalés qui peuvent s'avérer délétères sur la vie de famille, la vie de couple etc... Alors oui, beaucoup répondront qu'ils l'ont fait par le passé mais les générations actuelles n'ont peut être pas les mêmes priorités. On nous explique aussi l'effet Covid19 qui éloignerait encore un peu plus les gens des boulots ferroviaires... Il est normal et plutôt sain que vous réfléchissiez et doutiez de la justesse de votre choix. Ce n'est pas rien de s'engager dans une nouvelle voie. Les contraintes horaires peuvent devenir des avantages: ça peut donner du temps libre en semaine pour faire certaines démarches ou travailler dans sa maison. Personnellement, ce métier, c'est beaucoup de responsabilités et aussi d'autonomie. Dans certains postes, on est seul pendant tout son service. Quel bonheur de ne pas avoir de collègues sur le dos! Et la SNCF reste une référence, quoi qu'on en dise. C'est une grande société avec une histoire, un savoir faire unique! Essayez de dissocier les choses. Une fois la formation franchie et l'adaptation au poste de travail réalisée, vous y verrez plus clair. Dans votre métier actuel, il y a sûrement des contraintes auxquelles vous échapperez en devenant AC. Je pense que ça vaut le coup de franchir le pas. C'est un univers unique et intéressant. On ne peut le ressentir qu'une fois qu'on est dedans. Et au pire, si ça ne convient pas, il sera peut être encore possible de revenir à votre métier d'origine?
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