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Oui, d'après la Nouvelle République c'est bien un PN à SAL.

En effet, tir croisé : ce quotidien ayant confondu avec le Transilien le point commun n'était pas visible aussitôt.

Discret suicide ce jeudi. Et un conducteur choqué de plus.

Dans un forum équivalent parlant des RD et RN, on trouverait bien plus souvent des accidents provenant de stops ou cédez-le-passage non respectés, voire de feux rouges grillés. L'erreur est humaine on l'a maintes fois dit : le but serait de trouver une méthode pour éviter au maximum ce type d'accident. Car contrairement aux routes, il est facile de trouver des arguments pour fermer les voies ferrées !

Une personne est décédée sur le POLT à proximité d'Issoudun, au niveau d'un PN croix de Saint-André :

Certains s'en sortent bien : Emplacement de la photo : http://goo.gl/maps/ALMRL

Justement, c'est malheureux mais beaucoup de monde se contrefiche de porter un peu d'attention à cela. L'effet « Coca-Cola™ / temps de cerveau humain disponible » y est pour quelque chose, pas mal de personnes agissent comme des animaux. Tout ce qui est nouveau parait formidable, beaucoup achètent pour quelques centaines d'euros quelque chose qui en moins de cinq ans n'en vaudra plus que 10 fois moins, beaucoup ne se rendent pas compte que par chez nous c'est déjà bien et qu'à trois ou quatre heures d'avion on trouve facilement pire, etc. Certains sont nés avec les nouvelles technologies et ne sauraient se passer d'Internet, auraient du mal à survivre en pleine campagne, à arrêter de regarder la télévision. Et tout cela oblige, même pas la peine de se soucier des élections ! À dire que « boaf de toute façon j'vais pas voter, ça sert à rien, ils font tous la même chose… » alors que par chez nous tout le monde se doit de participer, même si c'est pour voter blanc ou nul. Alors si déjà c'est compliqué pour eux de comprendre que le vote a de l'effet de manière locale, dur de leur faire passer l'idée que pour le ministère des transports ça joue aussi.

Mais pour rappel tout cela a un prix. Rien n'oblige un conducteur à avoir un GPS, et inversement, rien n'assure ceux qui en ont un qu'il faut suivre mot pour mot ce que l'engin propose. C'est un appareil à caractère "informatif" et susceptible de contenir des informations fausses, pas à jour : la responsabilité est dans la main de celui qui conduit. Tout PN est signalé par les balises blanches à traits rouges, toute personne ayant le permis se doit de savoir porter attention avant de passer.

Petit bonus, RFF fournit depuis peu les coordonnées des PN pour GPS : http://www.securite-passageaniveau.fr/les-coordonnees-gps/

Effectivement, souci récurrent du manque de connaissance des différentes nouveautés de la signalisation, des carrefours giratoires, de certains feux, des trams et trams-trains, etc. Rappelons quand même que la carte de permis de conduire est maintenant à renouveler : Le défaut reste que pour les PN, trop peu de monde pense à forcer la barrière, faire marche-arrière, appeler pour signaler un problème

En frenchy c'est bien aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bellegarde#.C2.A0France

Comme déjà dit, normalement une personne souhaitant aller à Triffouilly-les-Oies se doit de savoir dans quel canton est cette commune, et il n'y a plus qu'à suivre les panneaux (qui eux disent tout, et ce n'est pas ce qui manque dans nos contrées) d'où l'attention à porter lors du franchissement de PN. Le GPS a un bon côté, un peu comme la calculatrice, mais est parfois décérébrant car il n'encourage pas l'utilisateur à réfléchir.

À propos du GPS, et pour ne pas trop sortir du sujet : son rôle est de donner la latitude et la longitude le plus précisément possible (en général à 1 m près, en tentant compte du mouvement en cours). Et c'est tout. Vient ensuite le type d'appareil : à la base il affiche ces deux nombres, et son utilisateur prend un plan pour s'y situer (très simple avec un Top25, par exemple, qui a l'échelle 1:25000 et des lignes GPS pour y gagner du temps). Sauf que faire cela dans un véhicule, ça fait perdre un peu de temps et de la sécurité. D'où ces boîtiers comprenant les fichiers des cartes et les affichant, tout en y ciblant l'emplacement actuel grâce aux données GPS, comme l'humain regardant le papier Sauf que dans un cas comme dans l'autre, hé bé dur de s'en sortir si la carte n'est pas à jour. C'est pour cela que le primordial pour le routier ou chauffeur lambda est de suivre l'évolution des travaux et autres déviations : les cartes sont informatives, certes, mais ne reflètent pas l'état des voies à l'instant T. Un exemple est Google Maps, qui n'a modifié certaines zones supprimés ou déviations créées que quelques semaines voire mois après concrétisation. Or actuellement, beaucoup de monde passe par un mobile interactif à la place d'un GPS type Garmin.

Si l'action a bien eu lieu moins de deux minutes avant le départ, déjà c'est un mauvais point pour le voyageur (« au delà de ce délai, l'accès au train n'est plus garanti »). Et puis rappelons-le encore et encore, sur Internet n'importe qui peut dire n'importe quoi : ce n'est parce que la personne raconte sa version des faits qu'elle s'avère être assez objective.

Pas trop d’auto-satisfecit, quand même : sinon, c'est se reposer sur le nuage et chuter sans trop s'en rendre compte.

Comme expliqué : « Des analyses de sang seront effectuées, notamment pour la recherche d’alcool et de stupéfiants. ». L'erreur, humaine, peut être du côté de la victime, mais cela n'est souvent pas évoqué par les médias. Pour exemple, dans une agglomération une première actualité était arrivée disant qu'un homme venait de décéder en ayant été écrasé par un bus : aussitôt, bla bla bla, plein de commentaires pour dire que les conducteurs s'y prennent n'importe comment, honte à eux, c'est pareil avec les cars, les tramways, les trains, etc. Sauf que peu après est arrivée l'information comme quoi cet homme était à taux d'alcoolémie bien élevé. Et là, pschitt, fin des commentaires, la discussion cesse. Mais au final, l'image restée pour beaucoup de monde (grâce au on-dit) est que la faute vient du véhicule de transport en commun.

Pas évident, une réouverture, alors que pourtant nombre des lignes actuellement fermées correspondent à de la demande. Très fréquemment (reportages, analyses et sondages à l'appui), pas mal de monde souhaiterait que des lignes soient utilisables pour les voyageurs. Sauf que comme la route a maintes fois été sponsorisée, pétrole oblige, le rail est laissé en arrière-plan. Ce qui fait que pour chaque réouverture une durée de dix à vingt ans en moyenne semble nécessaire. Le chiffre est grand, mais il n'y a qu'à voir : il faut des analyses de la demande, du coût de réalisation, et… de la future rentabilité. Sans ça, on laisse fermé, mais quand même en gardant le terrain (voire même les rails qui y traînent). 'Faut pas déconner

Une explication d'il y a plus de deux ans : http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Loisirs/Patrimoine-tourisme/n/Contenus/Articles/2011/11/04/Blois-Chambord-change-de-braquet Il faut noter que le changement de nom pour ces deux gares est plutôt en rapport avec le tourisme.

Chambord est maintenant propriété à 100 % de l'État : c'est peut-être une des raisons.

Pour la fiche complète et détaillée à propos de la portion Chartres - Voves, là voilà en version complète : http://www.rff.fr/IMG/pdf/PLAQUETTE_RFF_EN_PLANCHE.pdf

Une simulation du pont-rail de la part de la DREAL : Et donc l'article du jour dans l'écho répubicain :

Déviation côté ouest le temps de faire les travaux du pont, le passage de la chaussée sous la voie ferrée. Après cela, retour des véhicules sur l'équivalent de la voie actuelle (en orange) : « Une voie et un passage à niveau provisoires seront tout d’abord réalisés. Après réalisation de l’ossature du passage souterrain, le pont supportant la voie ferrée sera pré-construit à côté de l’actuel PN 3bis et glissé en lieu et place de celui-ci grâce à la technique du « ripage ». »

Tout à fait : un rond-point de plus sera créé, légèrement au sud de l'actuel (près de la RD 105.7), et le lien entre les deux sera une légère déviation côté ouest de la rocade / RN 123.

Et d'ailleurs, dès qu'il a vu que le camion était bloqué sur un PN, pourquoi son conducteur ne l'a-t-il pas signalé aussitôt ? Par automatisme, beaucoup préfèrent essayer, réessayer de s'en sortir, sans même penser qu'un train peut arriver.

Euh… cet article date quand même d'il y a bientôt quatre ans