Lutin Grognon
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Le Tribunal de commerce de Nanterre vient de reporter sa décision au 10 avril... Dans les agences la température monte... "On se fout de notre gueule !" vient de me dire, par téléphone, un copain Sernamien... Dans plusieurs agences les sous-traitants, qui n'ont pas été payés depuis janvier malgré les engagements de l'administrateur, ont chargé leurs camions mais refusent de partir en livraison. Pendant ce temps les commerciaux du "repreneur éventuel" écument la clientèle Sernam avec un argument commercial... discutable : "Pourquoi attendre ? Venez chez nous" . Le chiffre d'affaire de Sernam s'effondre rapidement. Le 10 avril, il n'y aura plus rien à reprendre... Les Sernamiens, qui sont restés paisibles jusqu'à présent, pourraient bien changer de ton...
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Je ne suis pas certain que les copains de Sernam Miramas trouvent ça "marrant...
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Dans la messagerie, l'air du temps est plus à la débâcle qu'à l'euphorie... on peut toujours rêver à des reclassements dans le secteur... L'offre de "reprise" de Géodis ? Je persiste à penser que c'est du vent. Destiné à enfumer les Sernamiens jusqu'aux élections... "Après moi le déluge !" Selon des informations, vérifiées et recoupées, seraient repris en priorité les commerciaux et les affrêteurs (ben tiens, c'est eux qui connaissent les interlocuteurs, les tarifs, les particularités de chaque client...) et les sites de logistique. Toutes les plate-formes de transit seraient abandonnées (cf Miramas). Inutile de parler des administratifs qui feraient "doublon" avec les existants chez Calber. Pour ce qui est du "baroud d'honneur" des Camarades de Miramas, ils savent depuis longtemps qu'ils seront sacrifiés. Calber dispose d'un hub énorme à 50 bornes de Miramas. Hub par lequel les flux Sernam sont déviés depuis le début du mouvement (peut être même - partiellement - avant le déclenment du mouvement...) Les deux "séquestrés" sont, comment dire... "consentants" puisqu'ils font partie de la "charrette"... Gageons que, pour sa part, Monsieur Chevalier, "patron" de Sernam, ancien du Conseil d'Administration de Géodis et de SNCF participations n'a aucun soucis quant à son avenir !
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D'évidence toute discussion est stérile. C'est les Sernamiens eux-mêmes qui ont décidé de ne pas perturbé l'exploitation. Parce qu'ils ont bien compris que Sernam est à l'agonie. Mais qu'ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que les agences - avec leur clientèle - soient reprises par d'autres transporteurs. Et pour qu'une agence intéresse un repreneur, il faut qu'elle ait des clients. Et pour que les clients restent, il faut que le service soit maintenu. Jusqu'au bout. Evidemment les "petits camarades" de Géodis aimeraient bien que les sernamiens cassent tout, en commençant par l'outil de travail et la clientèle. Depuis le début de la crise, les commerciaux de Calberson démarchent les clients de Sernam avec un discours bien "huilé" : "Calberson va reprendre Sernam, pourquoi attendre, venez chez nous Et puis on vous accorde un rabais de 20% sur les tarifs que vous avez chez Sernam, profitez en". Et on voudrait faire croire aux sernamiens que Calber va les "sauver" ? C'est comme les promesses de "reclassement" à la SNCF. A quel titre ? Il ne reste chez Sernam qu'une vingtaine d'ex-cheminots. Et les camarades de SeaFrance ont bien vu ce que valent les promesses de la SNCF : 22 reclassements sur... plus de 900 licenciés ! Quant à affirmer que Quand on voit ce qu'ont apporté les dernières grèves à la SNCF, on est en droit de se demander si ce n'est pas la grève perturbatrice qui est devenue stérile... Des grèves dures, à Chalindrey, il y en a eu des quantités. Ca a changé quoi ? Combien reste-t-il de salariés aux ateliers de Chalindrey ? Et à Langres ? Et à Chaumont ? Et à Saint Dizier ? Elle est finie l'époque où les syndicats cheminots faisaient la pluie et le beau temps en France...
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Parce qu'ils n'en n'ont pas les moyens financiers et pour ne pas perturber le fonctionnement des agences, de nombreux Sernamiens n'iront pas à Paris le 15 mars. Ils manifesteront entre 12 et 14 heures (en dehors de leurs heures de travail pour ne par porter préjudice à leurs clients). A Troyes, par exemple, ils défileront de la Mairie à la Préfecture.
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L'offre Geodis est bidon, imposée par Naboléon et Mariani pour "endormir" les syndicats et les salariés jusqu'aux élections. Blayau n'a que faire de Sernam. Géodis n'en a pas voulu en 2002, pas plus qu'en 2005 et puis, surtout Bruxelles vient rendre sa décision : 642 millions d'euros à rembourser ! La Commission européenne a imposé vendredi que l'Etat français récupère 642 millions d'euros d'aides illégales versées au transporteur Sernam, en redressement judiciaire, une décision qui pourrait remettre en cause l'offre de reprise de Geodis. Le directeur général de Geodis (filiale de la SNCF), Pierre Blayau, avait en effet indiqué jeudi que la condition de son offre de reprise était de ne pas être débiteur des aides dont le remboursement serait exigé par Bruxelles. L'offre de Geodis porte sur 850 emplois sur 1.600. La Commission explique dans un communiqué qu'après une enquête approfondie, elle a conclu que "les conditions encadrant son autorisation d'une aide à la restructuration de 503 millions d'euros en faveur de Sernam n'ont pas été respectées et que l'aide est donc incompatible avec les règles de l'UE relatives aux aides d'Etat". L'enquête a également révélé que "la privatisation de Sernam a donné lieu à de nouvelles aides pour près de 100 millions d'euros", qui "s'ajoutent aux 41 millions d'euros d'aides jugées incompatibles dans une précédente décision d'octobre 2004 et qui n'ont pas été récupérés à ce jour". Selon la Commission, "toutes ces subventions ont conféré un avantage économique indu à Sernam par rapport à ses concurrents" et constituent donc une distorsion de concurrence. Sernam (Service national des messageries) a été créé par la SNCF en 1970 pour gérer le transport des colis et des bagages. Filiale de la compagnie ferroviaire jusqu'en 2005, il a ensuite été privatisé et est détenu majoritairement par le fonds Butler Capital. source : http://www.boursorama.com/actualites/sernam-bruxelles-impose-le-remboursement-de-642-millions-d-euros-10ec2bd962416db3170d220d95cb694c Jeudi 15 mars les salariés de SERNAM feront entendre leur voix. A Paris devant le ministère des Transports, mais aussi dans chacune des 53 villes abritant une agence... Prolétaires unissez-vous !
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Là je suis mort de rire ! Dès que quelqu'un ose penser autrement que vous c'est un troll ? Peut-être même dès que quelqu'un ose penser ? Certains d'entre vous n'ont pas de mots assez durs pour leur hiérarchie et ne cesse d'en dénoncer les "manquements" (réels ou supposés), mais qu'on vienne à mettre le doigt sur les "failles" ou les "fauts" de vos "rerésentants" syndicaux et hop, c'est le procès stanilien avec sentence sans jugement : TROLL ! (en gros caractères majuscules rouges pour bien marquer le caractère stanilien de la chose, hein, faut pas faire dans la demi-mesure, hein !) Trop drôle ! Faut un peu sortir de votre bulle ! Le monde ne se limite pas à la SNCF... Celà étant, je suis quand même obligé de constater que tout le monde ne me considère pas comme un troll ! Au fait, "Père Fouettard", c'est quoi qui te gêne ? Qu'on ose dire que tous les représentants syndicaux ne sont pas des "modèles" et qu'on peut être syndicaliste et un fieffé coquin ? Pourtant, regarde les décisions prises par le FGTE-CFDT concernant la CFDT SeaFrance et la CFDT Transport dans Ch'nord ! Même le camarade Chérèque a été obligé de reconnaître qu'il y avait là une belle bande de... coquins.
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Si les salariés français faisaient confiance aux syndicats, ça se saurait ! Rappelez moi le taux de syndicalisation en France... pas à la SNCF, pas chez EDF ou dans l'Education nationale... en France ! Dans le transport routier - par exemple - on en est à moins de 2%, oui, vous avez bien lu, moins de deux pour cent ! J'ai tellement vu de "cheffaillons syndicaux" disparaître du paysage social après que leur taulier leur ait payé le stage pour l'attestation de capacité ou qu'ils aient été promus agents de maîtrise que je comprends pourquoi les salariés ne font plus confiance aux syndicats. Et à la SNCF ? Tiens j'ai souvenir d'un "personnage" pas piqué des hannetons. Grande gueule, verbe haut, toujours un trac de la CGbiiip à la main ! Et puis un beau jour il vient me voir et me glisse à l'oreille : "dis donc, tes intérimaires, c'est bien beau, mais faudrait voir à ce qu'il n'y ait pas trop de gris clairs ou de gris foncés dans le lot, parce que, sinon, il pourrait y avoir des accidents de travail !" Choqué par son attitude, j'ai voulu en savoir un peu plus sur le bonhomme... Putain de surprise, c'était un des plus virulents des militants du Effhaine local ! Comme qui dirait une "grosse contradiction philosophique", non ?
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Et on en fait des tonnes sur les 82 "reclassées" de Lejaby ! Oyez oyez bonnes gens ! Elles ont repris le travail ! Et chez PSA on est en train de faire entrer le loup dans la bergerie... Tiens, une question qui n'a rien à voir : Où en est la situation des ateliers de Chalindrey ?
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Pour que chacun sache de quoi il est question : Question écrite N° : 124791 de M. Guillaume Garot ( Socialiste, radical, citoyen et divers gauche - Mayenne ) Ministère interrogé > Justice et libertés Texte de la question M. Guillaume Garot attire l'attention de M. le garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur la situation des délégués du procureur. Créés par la loi du 23 juin 1999 dans le but de désengorger les tribunaux et d'améliorer la qualité de la justice rendue, ces collaborateurs occasionnels du service public sont rémunérés à l'acte par les régies des tribunaux au titre des frais de justice. Il s'avère que, depuis leur création, ces délégués sont indemnisés sans que ces indemnités ne fassent l'objet d'aucune déclaration sociale et fiscale, et ce en complète contradiction avec la loi. Le décret du 17 janvier 2000 modifié par le décret n° 2008-267 du 18 mars 2008 et l'arrêté du 18 mars 2008 remplaçant celui du 21 janvier 2000 devaient apporter une solution à ce dysfonctionnent. Or à ce jour, la situation n'a pas évolué et le ministère de la justice ne déclare toujours pas les cotisations salariales pour ces collaborateurs occasionnels. Outre les problèmes que cela pose pour les collaborateurs occasionnels qui ne travaillent qu'avec le ministère de la justice et se retrouvent sans couverture sociale, les associations socio-judiciaires dénoncent cet état de fait qui conduit à créer une situation de concurrence déloyale entre les délégués du procureur personnes physiques intervenant hors cadre associatif, et ceux intervenant pour les associations, au détriment de ces derniers. En effet, les associations socio-judiciaires qui exercent des missions de service public déléguées dans le domaine judiciaire sont soumises à des obligations qu'elles respectent, notamment en matière de versement de charges inhérentes aux salaires et de contrôle budgétaire et financier. Le défaut d'application de ce décret entraîne une inégalité de traitement entre les salariés associatifs et les collaborateurs occasionnels du service public. Les associations socio-judiciaires constatent ainsi une baisse inquiétante du nombre de mesures alternatives aux poursuites qui leur sont confiées, ce qui n'est pas sans incidence financière sur leur budget. Aussi, il lui demande quelles mesures il compte prendre pour mettre un terme, dans les meilleurs délais, à ce dysfonctionnement source : http://questions.ass...13-124791QE.htm
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Je ne fais aucun procès d'intention. Je constate un état de fait et l'emploi persistant d'une expression qui avait le don de me faire "monter dans les tours" en 2001, et qui continue à avoir le même effet. Quant à trouver "tendancieux" d'inclure les sous-traitants au nombre des victimes de l'incurie de certains "pseudos entrepreneurs", a n'engage que toi. Perso, je ne vois ni "carottes" ni "poireaux", je vois des femmes et des hommes dont les revenus étaient assurés par leur travail quotidien pour Sernam, qu'ils soient "sernamiens" ou sous-traitants, et qui, demain, seront sur le sable... Vouloir "distinguer" ou "différencier" les cas, c'est tenir le même discour que Naboléon qui pratique, tous les jours, la "catégorisation". Quelle différence y a t il entre le gars qui livre des colis pour Sernam dans un camion marqué Sernam, avec une tenue marquée Sernam et une feuille de paye à l'en-tête de Sernam et l'autre gars qui livre des colis pour Sernam, dans un camion marqué Sernam, avec des vêtements marqués Sernam et une feuille de paye qu'il s'est établie lui même au prétexte qu'il est "entrepreneur individuel" ? Il n'y en a pas ! Ah si, une énorme : le "sernamien" aura droit à l'assurance chômage (pour combien de temps ?), l'autre n'aura droit à rien ! Vouloir différencier les "sernamiens" des sous-traitants c'est tenir le même discours que les "patrons" de la construction navale qui prétendent qu'il n'y a pas de licenciements dans les chantiers de Saint Nazaire. Ben oui, quoi, les mecs qu'ils mettent à la rue ne sont "que" des sous-traitants polonais, roumains ou... bengladeshis ! En 1848, Friedrich Engels et Karl Marx concluaient le "Manifeste du parti communiste" par cette phrase : "Prolétaires de tous pays, unissez-vous !" En 2012, les "nouveaux penseurs" nous servent un slogan bien différent : "Exploités de tout poil, jalousez-vous !" Bon, j'm'arrête là, j'vais prendre un lexomil avec une tasse de verveine !
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Du Naboléon "pur sucre" ! Focaliser l'attention des gens sur le "privilège" des enseignants qui ne travaillent "que" 18 heures par semaine ! Moitié moins que le maçon ou le magasinier du coin... En oubliant que l'enseignant, une fois chez lui, doit corriger des devoirs et préparer les cours du lendemain. Celles et ceux d'entre vous qui ont des mômes peuvent facilement imaginer la charge de travail que repésentent les corrections. J'ai à la maison deux jeunes ados (13 et 12 ans), élèves en 5e et en 6e. Quand je regarde leurs devoirs avant qu'ils les rendrent, il me faut souvent beaucoup de temps pour comprendre ce qu'ils ont écrit. D'abord parce qu'ils ont une approche de l'orthographe et de la grammaire assez éloignée de celle qu'on m'a enseignée. Ensuite parce que leur vocabulaire et leur syntaxe sont fondamentalement différents des miens... Alors, j'imagine la galère pour le prof qui doit corriger 30 devoirs du même accabit ! Et mes mômes sont loin, très loin, d'être les moins performants de leur classe. Mais notre brave Naboléon est très fort dans la stigmatisation des "privilégiés" : > les chômeurs qui trichent > les malades qui fraudent > les étrangers qui volent Les seuls qu'il oublie ce sont ses potes du Fouquet's et du CAC 40 ! Ceux à qui il a offert un "bouclier", ceux à qui il fait attribuer des "PPP" (partenariats Public Privé) bien juteux, comme celui de l'hôpital sud-francillien pour lequel Eiffage encaisse des loyers depuis un an, alors que les installations sont inutilisabes... Le pire c'est que bien peu de monde se mobilise : 150 pélerins à la manif contre l'austérité dans les rues du chef lieu de mon département hier... 150 !
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Et oui, 3.000 ! Oh bien sûr, officiellement on ne parle que de 1.600 personnes, mais c'est faire bien peu de cas des 1.400 sous traitants qui assurent les tractions de nuit entre agences et pas loin de 50% des livraisons... Pour ce qui est de l' ENORME reclassement des "gens" du Sernam, quil me soit permis de relever que : > 1) jusqu'en 2000 tous les "gens du Sernam" était Cheminots, avec des contrats SNCF. Ils étaient donc en droit de conserver leur statut. Surtout en constatant le différenciel entre leurs salaires et ceux qu'ils pouvaient espérer s'ils acceptaient la transformation de leur contrat en contrat de droit privé. Pour l'anecdote, les agents de quai que je dirigeais avaient un salaire quasiment double au mien, sans compter les différentes primes et avantages de toute nature... Ce n'est pas à des Cheminots que je vais expliquer l'étendue des services proposés par le CE... Soyez bien assurés que le CE Sernam "privatisé" ne proposait pas grand chose d'équivalent... > 2) l'expression même de "gens du Sernam" est révélatrice de l'état d'esprit qui prévalait (et semble encore prévaloir aujourd'hui) parmi les "vrais Cheminots" (?!?!?!) vis à vis des "Sernamiens" qui étaient regardés avec une certaine condescendance et considérés comme des "sous-cheminots"... J'ai connu des "vieux sernamiens" qui, après quelques semaines dans leur nouveau poste à "la grande maison", ont sombré dans la dépression parce qu'ils étaient vus comme des intrus par leurs nouveaux collègues qui leur faisaient bien sentir qu'ils n'étaient pas des "vrais" Cheminots... > 3) l'assourdissant silence des syndicats cheminots sur le cas Sernam est édifiant. On est très loin des "montées au créneau" et des déclarations ronflantes (mais sans réel résultat) auxquelles on a assisté pendant l'affaire SeaFrance... Tout celà est assez représentatif des résultats de la politique de Naboléon : atomiser le Peuple de France en une multitude de "sous catégories" qui ne pensent plus qu'à préserver "leurs avantages acquis" ou leurs "pseudos privilèges", rendant illusoire une mobilisation de masse contre les mesures anti-sociales qui pleuvent depuis des années. On en est au point où les salariés du privé jalousent les "avantages" (réels ou supposés) de ceux du public, ces derniers enviant les "gros salaires" de leurs camarades du privé. On en est au point où le statutaire a peur du vacataire, qui lui même a peur du CUI-CAE. On en est au point où l'embauché en CDI a peur de celui en CDD, celui-ci ayant peur de l'intérimaire, qui lui même a peur du chômeur qui attend devant la porte. Et le chômeur, lui, a peur du "RSA-iste", qui a peur du clandestin... Et tout ça, à qui ça profite ? A "Madame bleu foncé" ! Dont on prévoit qu'elle "raflera" autour de 30% des suffrages du monde ouvrier... Pour en revenir aux "gens du Sernam", je suis bien convaincu qu'ils apprécieraient beaucoup que les Cheminots et leurs syndicats leur accordent un peu d'attention... Une petite précision pour lever toute ambiguïté, je n'ai plus aucun lien professionnel avec Sernam.
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Le "foutage de gueule" continu ! Aucune offre de reprise sérieuse à la date prévue (27 février). L'administrateur judiciaire repousse l'échéance au 9 mars, affirmant que 4 candidats sont sur les rangs mais souhaitent en savoir plus sur la procédure en cours à Bruxelles. Mariani (le gros malin !) affirme que Bruxelles s'est engagé à prendre une décision pour le 10 mars. C'est à dire le lendemain de la date fixée par l'administrateur ! On croit rêver... La procédure est en cours depuis 2001, respectant scrupuleusement la réputation d'infinie lenteur des "technocrates" européens... et, après 45 minutes d'entretien avec Mariani, la commission se réveillerait brutalement ? Supeeeeer Marianiiiiiiiiii ! En attendant, les syndicats (et tout particulièrement la CFDT...) continuent à jouer un drôle de jeu... C'est ainsi que la CFDT Mory se glisse dans le rôle de "porte parole" du groupe Caravelle... pendant que la CFDT Calberson "fait la com'" du groupe Géodis... Et pendant ce temps 3.000 familles crêvent d'angoisse... et personne ne parle de leur situation ! Vous avez dit "pantalonnade" ?
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Interdiction de prendre le train pour Sarkozy
Lutin Grognon a répondu à kerguel situé dans Actualité ferroviaire générale
Que Naboléon prenne le train ou pas, de toute façon un avion gouvernemental fait le déplacement pour être disponible sur place au cas où... Même chose pour le premier sinistre. S'il rentrait dans la Sarthe en train, il faudrait quand même qu'un avion de l'ETEC de Villacoublay aille se poser au Mans pour le week-end ! On pourrait aussi parler de l'aérodrome de Troyes Barberey, maintenu ouvert à grands frais pour permettre au "Ministre-Maire" de Troyes de faire les trajets Paris-Troyes à bord d'un hélico militaire...