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Le Web des Cheminots

Gom

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Messages publiés par Gom

  1. Salut

    Tu te trompes en disant que seule la CGT voulait des CRTT. Personne ne voulait de CRTT au départ, du moins pas à ce tarif là. J'en parle d'autant mieux que j'ai personnellement suivi la mise en place du projet Bondy-Aulnay. Toutes les OS ont avalisé la réforme traction (je veux dire par là que personne ne l'a condamnée). Toutes sauf FO, il faut le reconnaitre.

    La CGT n'a pas plus, pas moins à se reprocher que les autres sur ce coup là.

    Un TA position 6 (position que tu as dès ton commissionnement) à Gargan comme ailleurs en France, ça fait environ 1300€ brut de traitement. Soit 1080 net + 400 de prime traction, + 150€ d'heures de nuit et dimanches et fêtes. Ajoutes enfin quelques EVS mineurs ça te fait autour de 1650€ net au final.

    TA1 6 = 1229.36€ de Traitement brut (pour le mois de Novembre dernier. Oui, je range mal mes papiers ! :) )

    Je vois qu'aucune OS au niveau local comme national ne bouge son cul. Moi aussi je les ai avertis, mais il ne se passe rien. C'est regrettable, mais toi comme moi n'avons pas de baguette magique.

    Et pour ce qui est de la prime traction d'un CRTT, elle ne dépend pas du nombre de kilomètres parcourus car forfaitisée. Et pour le logement, là encore, j'ai fait remonter l'info que les solutions mises en oeuvre pour les nouveaux embauchés sur Paris doivent aussi s'appliquer à la côte d'Azur et au Genevois vu le prix des loyers.

    A+

    Le soucis, comme le dit Marc, c'est que ça ne donne pas envie à un TA de s'investir. J'espère que ce que tu as fait remonté aura un impact...

    Gom

  2. Dans les Antilles, un béké du nom d'Alain Huges Despointes, a contribué a faire tourner la vinaigrette en parlant du côté "positif" de l'esclavagisme. Il disait qu'il y avait des "abus", mais on oublie de parler des "colons très humains avec leurs esclaves" qui ont permis aux esclaves "d'acquérir des choses", de "s'affranchir" "d'avoir un métier" etc.

    http://www.dailymotion.com/relevance/searc...a-martiniq_news

    A partir de la 4 : 27 minutes, il en parle. Son discours n'est en cela, pas très différent de celui que peut tenir le patronat d'aujourd'hui qui veut faire le distinguo entre "sympas" et "pas cool" pour masquer le débat politique, celui qui le remet en cause en tant que classe sociale.

    On en arrive à des discours qui peuvent paraître absurde aujourd´hui (mais qui n'ont pas toujours été perçu comme tel) au vu des avancées sociales obtenues, où on va se dire que "tel esclavagiste, il était quand même vachement sympa comparé aux autres, il donnait moins de coups de fouets et des meilleures rations!".

    Il en est de même ici dans la société capitaliste du salariat. Tout les patrons - même ceux du CAC 40, même Laurence Parisot - vont parler des "abus", des "patrons voyous" pour les mettre en contraste par rapport aux "mauvais cadres dirigeants qui s'en mettent plein les poches" pour ramener tout ça à un problème d'individus.

    Comparer les patrons avec des esclavagistes, il fallait oser... Réformer le système, mettre des règles pour éviter les abus, on est d'accord sur ce point. Mais j'insiste, mettre tous les patrons dans le même sac, non je ne suis pas d'accord.

    Edouard Michelin, ça a été un grand patron de la communication. Libre à chacun de s'en souvenir comme il le souhaite, je tiens néamoins dans ces cas à rappeler qu'il s'est avant tout fait connaitre le 8 septembre 1999 en annonçant 7 500 suppressions de postes et un bénéfice en hausse de 20 %, donnant par la naissance médiatique au terme "licenciement boursier". Tout comme Alain Huges Despointes, descendant des premiers colons esclavagistes français, Edouard Michelin était de la même façon un descendant direct du premier Edouard Michelin, né en 1859.

    Oui, tu retiens très bien son plus gros mauvais point, qui date de son arrivée à la tête du groupe. Je me permets donc de mettre une citation un peu contradictoire, tirée de wikipedia :

    Peu rompu à la communication, Édouard Michelin provoque une polémique en annonçant le 8 septembre 1999 des bénéfices en hausse de 20 % et la suppression de 7 500 postes en Europe. L’expression de licenciement boursier est largement employée et resservira pour d’autres entreprises. Cet épisode malheureux va cependant renforcer sa détermination. Pour la première fois depuis l’histoire de Michelin, il ouvre des négociations sociales, négocie la mise en place des 35 heures, met en place un plan d'actionnariat salarié et relance le comité d’entreprise européen.

    Parallèlement, il réorganise l’entreprise par marchés et ouvre des usines en Chine, aux États-Unis, en Russie, en Amérique latine et en Inde. On lui doit également le retour de la firme en Formule 1.

    Après le réel scepticisme qui accompagna ses débuts, Édouard Michelin aura réussi à moderniser et dynamiser son entreprise.

    J'ai beau faire quelques recherches sur google, je ne trouve pas d'autre "défaut" que celui que tu mentionnes. Au contraire, on trouve pas mal d'éloges sur ce qu'il a apporté en dialogue social.

    Quant aux petits patrons, encore une fois, je dis bien qu'il s'agit la de couches intérmédiaires, aux intérêts plus contradictoires que le grand patronat, et donc au comportement plus contradictoire. Une couche différente du grand patronat, en ce sens où elle peut être "salarié-patron", être soumis à des pressions incroyables de la part des grands patrons, (souvent donneur d'ordre unique) côtoie au jour le jour les milieux populaires, n'a pas des revenus beaucoup plus élevé que le salarié lambda. Mais une couche également proche par bien des aspects de la grande bourgeoisie, puisque propriétaire et chef de ses (certes petits) moyens de production, ne voit pas d'un bon oeil le syndicalisme, la grève, réclame des avantages fiscaux en faveur du patronat au détriment des salariés.

    Ces contradictions se sont également manifestés en Guadeloupe au point même qu'une scission au sein du patronat est apparu, et où les petits patrons ont soutenus assez rapidement un accord avec le LKP, en cela dénoncé avec virulence par le MEDEF.

    Cela dit, l'exploitation la plus féroce est souvent enraciné dans ces petites entreprises, notamment dans la restauration où j'ai eu maintes fois, en tant que syndicaliste, à porter des affaires où on réclame le paiement des heures supplémentaires pour des salariés qui travaillent souvent sur la base de 48H/semaine minimum. Mais qui ont "peur" de "vexer" le patron qui est également un "ami" ou rien que "compter les heures serait mal vu". D'ailleurs Gomen, moi aussi j'ai travaillé à Quick, tu y étais il y a combien d'années?

    Tu donnes l'impression de mélanger beaucoup de choses. Le problème qui s'est posé dans les Antilles est-il comparable à ce qu'on vit en métropole ? J'en doute. Tu parles des petites entreprises de restauration, qui est un cas particulier et reconnu de malaise "social", avec bcp d'heures, souvent non payées. N'y ayant jamais travaillé, je m'abstiendrai de tout jugement. Juste que je n'ai pas l'impression de voir les patrons de ces PME vivre dans des grands manoirs et rouler en grosse voiture. Peut être que je me trompe ?

    Quick n'est pas une PME de restauration pour moi (hormis peut être pour les franchisés, que je ne connais pas). J'y ai travaillé de Juillet 2002 à Décembre 2004, et je n'ai pas eu l'impression d'y être exploité.

    En revanche, pour ce qui est des suites à donner du "mouvement" en cours... Je ne peux que t'approuver. Ce n'est pas avec 24h de grève tous les 6 semaines qu'on va faire pression.

    alors nuance tes posts , ça facilitera la conversation.

    Alain01 a eu, si je ne m'abuse, qu'un seul de ses posts pouvant paraitre provocant. Celui-ci ayant été écrit au soir de la journée de grève, qui a visiblement été difficile pour lui... On peut peut-être le comprendre ? S'il doit faire des efforts pour nuancer ses propos, je pense qu'il y en a beaucoup d'autres qui devront le faire aussi alors ! Personne n'est parfait... :)

    Gom

  3. En effet Antoine, comment fausser le résultat... 2 solutions :

    - Faire de même, à chacun d'aller prêcher sa paroisse ;

    - Considérer simplement qu'un vote sur un forum n'a pas une grande valeur. C'est vrai, ça aurait pu donner une indication, m'enfin c'est le résultat final qui importe, pas les sondages koiquesse

    Edit : Merci Toz59 au fait... lotrela

    Gom

  4. je la connais cette décision. Je trouve que ce n'est pas normal. Un train de fret c'est UN client , un voyageurs des centaines !

    ensuite, les patates ou les frigos ne se rendent aucunement compte qu'ils sont en retard. Et si l'entreprise destinataire n'a plus de stock, c'est qu'elle travaille très mal.

    Tous ces camions sur les routes, c'est pour ça. Pour le soi-disant flux tendu, en fait pour que l'argent rentre plus vite. Les êtres humains que nous sommes peuvent bien poireauter dans leur train ou dans leur gare ...

    Un client voyageur rapporte beaucoup moins qu'un client Fret. Entre un train TER avec 10 personnes à bord et un train Fret de 1800 T, lequel rapportera le plus ?

    Pour cette phrase "Et si l'entreprise destinataire n'a plus de stock, c'est qu'elle travaille très mal." => Certains dans d'autres sujets pensent que c'est à cause de ce genre de raisonnement que Fret SNCF a perdu des clients. La SNCF n'est pas là pour apprendre à ses clients à mieux travailler, elle n'est que prestataire de service. A ce titre, si on la paye pour un service, elle se doit de l'honorer. Dans ce service est inclue notamment la notion d'horaire, que ce soit pour des patates ou pour des denrées périssables à destination de Rungis.

    Gom

  5. Pourquoi merci à la CGT ?

    EMB de Saint Gervais est une résidence traction de l'UP d'Annemasse. A l'époque où j'y étais, quand j'ai entendu parler du projet de passer la voie métrique en tram-train (donc conduit par des CRTT, sans aucune autre modification), j'en ai parlé aux délégués CGT d'Annemasse. J'attends toujours de voir une réaction de leur part.

    J'ai réussi à avoir une demi réponse, qui sous-entendait que les TB de St Gervais, on ne les aime pas, donc on ne va pas les défendre. Bien sûr, à confirmer, j'ai peut être mal compris.

    Donc pour moi, s'il y a des CRTT à St Gervais, c'est en partie de la faute aux OS qui ont laissé faire, et j'en rajouterai sur les délégués CGT locaux que j'ai mis au courant. Ils n'ont aucune excuse, ou tout du moins ils ne m'en ont pas donné.

    giorgio494, pour le salaire de base brut, c'est normal, la CGT n'y est pour rien. On touche moins que le SMIC, c'est normal aussi. Il faut rajouter la prime traction, que tu toucheras en fonction des kilomètres parcourus dans le mois. Et pour te loger dans la région, j'espère pour toi que tu vas beaucoup rouler...

    Gom

  6. on ne s'éloigne pas tellement, si la mobilisation d'hier est reconnue par tous (à part le gvt) comme très forte, c'est aussi parce qu'il y a des gens dans ce genre de situation qui commencent à la trouver saumâtre .

    Simplement parce qu'elle n'est pas normale, "bon" patron ou pas ... le salarié ne devrait pas être soumis à son bon vouloir ou aux bons ou mauvais résultats.

    De plus, là, tu confonds à mon avis patron de Quick qui est une grosse firme de droit belge (865 M€ de CA) et gérant. Que le gérant ne gagne guère plus que toi ne m'étonne guère, ils sont de facto dans le même sac que "leurs" salariés, même encore pire quelquefois, et même s'ils n'en ont pas conscience ...

    Non, il y a méprise. Je reformule : Avant d'être embauché dans la petite PME d'informatique au SMIC, je bossais chez Quick : le choix entre les 2 a été vite fait.

    Quick est pour moi une bonne expérience de petit boulot d'étudiant, ou pour une personne au foyer souhaitant un temps partiel pour élever ses enfants. A moins d'y faire carrière...

    Pour le reste, dans une PME, difficile de ne pas être soumis aux bons résultats. S'il n'y a pas de bons résultats, comment le patron peut il faire pour payer ses employés ? Il ne peut pas, donc il licencie, ou il ferme la boite. A choisir, je préfère être payé au SMIC de manière stable, avec des primes quand c'est possible, plutôt qu'on me dise "Allez, je te paye 2000€/mois", et que la boite ferme faute de chiffre suffisant. Cas réel vécu aussi.

    Gom

  7. par curiosité comment on peut être payé au SMIC (moins même puisque tu ne comptais pas tes heures) dans une boîte d'informatique en étant au moins technicien si ce n'est plus ????

    Simple : à l'époque où j'y suis entré, je bossais au Quick, et je n'avais rien trouvé d'autre. Ensuite, cette boite n'avait à l'époque pas les moyens de rémunérer avec une base supérieure, préférant le système de primes lors des bons mois. Et puis je débutais dans l'informatique, difficile d'espérer beaucoup mieux. Bref, on s'éloigne du sujet cartonrouge

    Gom

  8. Je ne raisonne pas en termes de gentils ou méchants. Je ne me pose vraiment pas de savoir si le DET, le DUO, le PDG de la SNCF est "gentil" avec sa famille, aime bien les plantes, va au théâtre, est donneur de sang ou pas, a des états d'âmes quand ils "licencient" des collaborateurs ou fait stagner les salaires. Je n'aborde pas les choses d'un point de vue sentimental, humain.

    Je me pose la question de savoir où se place chacun des acteurs qu'on considère dans le processus de production, dans la machine économique, car c'est cela qui en dernière analyse, détermine les intérêts du groupe social en question et sa conduite générale dans la société.

    Pour les petits patrons, c'est des couches intermédiaires. Intermédiaires parce qu'elles sont à la fois patron (et défendent donc leur propriété privée, leur pouvoir sur leur petit truc, des avantages fiscaux pour les patrons, augmentation du temps de travail pour les salariés, baisse des salaires etc.) mais elles ont aussi un pied dans l'autre camp (car soumis à extrême pression des donneurs d'ordres, de la concurrence de grands trusts, revenus assez modestes en comparaison avec les grands patrons), celui du monde du Travail. C'est pour cela que leur conduite peut être tout à fait contradictoire, et on observe régulièrement des petits patrons, commerçants et autres qui baissent les rideaux en solidarité avec des ouvriers licenciés. Ou être plus "proches" de leurs salariés, tout en organisant l'exploitation la plus féroce dans le monde du Travail. Comme par exemple dans la restauration. On peut également les voir être "solidaires" d'un mouvement social, tout en souhaitant qu'il ne soit pas trop long, parce que ça va être "mauvais pour les affaires".

    Quant à des travailleurs "fainéants", de qui parles tu exactement? Ceux qui réclament une réduction du temps de travail et des augmentations de salaires? Les chômeurs? Les retraités? Ceux qui font le strict minimum au travail parce qu'ils pensent pas que leur patron mérite mieux? Je fais très attention à ce terme "fainéant", car dans d'autres secteurs, comme par exemple l'industrie automobile, le taux d'absentéisme peut être très très élevé pour certains secteurs, à certaines périodes de l'année. Non pas temps parce que les gars sont "fainéants" par nature, mais en ont marre de se péter les vertèbres à la chaîne pour un salaire de misère qui sera de toute façon bientôt amputé par soit le chômage partiel ou total.

    Je raisonne du point de vue des classes, parce que je pense que oui, il y a en effet des classes sociales qui s'affrontent dans cette société et dont les intêrets ne sont pas les mêmes. C'est un constat que je suis amené à faire. Après, libre à chacun de s'auto-convaincre pour nier leurs existences (moi je trouve que ça, c'est utopique, plutôt que de dire le contraire), de dire comme Laurence Parisot que la "lutte des classes", c'est dépassé, alors qu'elle mène la bataille de façon très déterminée pour son camp social.

    Pas d'accord avec toi pour les "petits patrons". J'en ai fait l'expérience, dans une PME d'informatique en bordure de région parisienne. Oui, j'étais payé au SMIC, et je ne comptais pas mes heures. Sauf que le patron nous faisait tellement confiance qu'il nous laissait libre accès à la base de données gérant le chiffre d'affaire de la boite. On pouvait donc voir qu'il ne gagnait pas beaucoup plus d'argent que nous. On pouvait aussi voir que lorsque l'activité augmentait, le chiffre aussi (évidemment), il s'empressait de nous filer des primes. On peut aussi rajouter tous les pleins d'essence payés, parfois pour un petit déplacement de 50km... Pourquoi fait-il tout ça ? Évidemment, on peut invoquer le fait qu'il souhaite peut être simplement garder ses employés, qu'ils ne partent pas dans un endroit où ils seront mieux payés, etc... Mais dans ce cas, quel a été son intérêt de m'inviter en vacances l'été dernier, et l'été prochain, alors que je ne suis même plus dans sa boite ?!

    Il ne faut pas voir le mal partout chez les chefs. Même dans les grandes entreprises, le précédent patron de Michelin (décédé du côté de la Pointe du Raz) était très apprécié de ses salariés.

    Oui, beaucoup abusent, et il faut se battre contre ça. Mais il faut aussi éviter de mettre tout le monde dans le même panier, sous prétexte que c'est un chef/patron, avec le risque de radicaliser ceux qui auparavant étaient "sympas".

    Quant aux travailleurs "fainéants", je parle de ceux qui abusent du système, comme une ancienne collègue de mon ancienne boite. Du genre, refuser un déplacement tous frais payés chez un client, alors que c'était la seule disponible sur l'effectif. Du genre chercher à faire la note de frais la plus élevée possible. Du genre prévenir au dernier moment lors d'un arrêt maladie. Idem pour un congé parental de 3 ans (le genre de choses qui se prévoient pourtant). Du genre attendre 6 mois avant de rendre le PC fournit gratuitement par la boite. Liste non exhaustive.

    Là aussi, une majorité de salariés font la force vitale des entreprises, peut être même que beaucoup ne sont pas rémunérés à leur juste valeur. Mais une partie abuse du système et font que les règles deviennent de plus en plus strictes.

    Gom

  9. Alors, pourquoi ne pas s'inspirer de tous ces exemples de travailleurs qui gagnent face aux patrons?

    Essaie de mettre des nuances quand tu sors des phrases comme ça. Là, ça fait juste penser "ces gentils mignons travailleurs qui se tuent à la tâche" face à "ces vilains capitalistes esclavagistes de patrons". Médiatiquement, on se rend compte qu'il y a pas mal de grands patrons qui ne pensent qu'à s'enrichir, en faisant le plus de profits, certes. Mais crois tu réellement qu'ils soient tous comme ça ? N'y a-t-il pas des patrons "sympas" qui savent rétribuer leurs employés à leur juste valeur, dans la mesure que les comptes de l'entreprise le permettent ? De la même manière, ne crois tu pas qu'il y a aussi des travailleurs bien fainéants, qui magouillent pour en faire le moins possible ?

    Je pense que tout le monde connait un ou deux cas dans chaque camp... Rien ni personne n'est tout blanc ou tout noir.

    Gom

  10. Coucou

    mode Yaya découvre la vie

    UP : jardinage avec mademoiselle cette après-midi... préparation du carré de terre pour les tomates et les fraises, taille des rosiers...

    UP2 : faire ça par une belle après midi ensoleillée

    DOWN : bah y'a pas okok

    Yaya

    UP : Même chose, mais uniquement pour les fraises... Eh oui, simples petits bacs sur le balcon. Il faut bien commencer un jour :(

    DOWN : Questions en tous genres... Ça passera !

    Gom

  11. Pour la cause... Aucune idée, s'il y a des agents d'Achères qui passent par là, faites signe :blush:

    Pour le dispositif anti incendie, il pose 2 problèmes :

    - Le coût. Installation + entretien. Serait-ce rentable pour des machines en fin de vie ?

    - Le poids. Quelle serait la surcharge induite par ce système ? Bon, si on faisait un bon nettoyage de ces machines, on gagnerait sûrement en légèreté, m'enfin... Je doute que ce soit envisageable :p.

    Gom

  12. comment ca ? Apres il faut voir si ce sont les memes causes à chaque fois .

    ET pis ca doit pas etre tout jeune ces locos .. ou bien l'entretien qui est plus du cartif que preventif ..

    http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=13536

    Ces machines sont petit à petit remplacées par les BB15000 (et BB15000R sur les V2N, en remplacement des BB16100). En ce qui concerne l'entretien... Comme tout le monde, si on prévoit de remplacer sa voiture à court terme, l'entretien de la "vieille" se trouvera alors réduit au strict minimum. Enfin j'imagine que c'est ce qu'il se passe, je ne suis plus là bas pour voir :blush:

    Gom

  13. Pendant mon stage en formation (été 2007), je suis passé quelques fois par l'Evangile. On y passait pour aller chercher des 15000 à La Villette, et les ramener à La Chapelle, pour le transfert des 15000 du dépôt de Strasbourg pour celui d'Achères, avec l'arrivée du TGV Est. On y passait aussi pour aller faire le plein du 63000 qui restait en réserve à Paris Nord.

    Soucis : la voie était dans un sale état, et le sectionnement en rampe (côté La Villette) n'est peut être pas aisé à prendre avec du poids derrière.

    Gom

  14. Et puis la conclusion qui agite la menace de la DB qui débarquerait dès 2010 pour écrémer sur Paris<->Marseille, ce n'est pas encore fait...

    A moitié HS : il me semble que l'ouverture à la concurrence de 2010 ne concerne que les relations internationales sans cabotage. Ca permettrait par exemple à la DB de proposer des relations Allemagne/Paris, Allemagne/Lyon, Allemagne/Marseille (etc) en s'affranchissant du partenariat actuel avec la SNCF.

    A confirmer !

    Gom

  15. Non non c'était juste une réflexion sexiste ou plutôt de non galanterie... pas de quoi en faire tout une histoire :Smiley_20:

    Enfin je ne sais pas mais perso si je suis EV sur le train de ma collègue et qu'il faut se taper la DCO à pattes de nuit j'y vais (bon toute façon elle n'irait pas j'suis sûr ^^)

    Ça, c'est clair ! Je me souviens une sombre histoire de bâche ouverte, où j'ai dû me faire un aller/retour entre l'avant dernier wagon et la loc pour aller chercher du fil de fer, avec une lanterne "batterie faible"... ^^

    Gom

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