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Toujours droit dans ses charentaises.

On peut comprendre la tentation du groupe de jeunes d'aller skier la seule vraie piste noire du domaine.... Parce que les deux alpes, c'est un peu le royaume des pistes qui montent. Et on se surprend parfois à exploiter l'entre-pistes pour éviter de mourir d'ennui. Ou alors il faut passer du côté de la Meije (hors piste légal).

Ton job c'était de gratter la neige avec un baton de ski pour éviter les avalanches ? Ca doit prendre du temps....

L'échelle des valeurs est assez variable d'une juridiction à une autre. Une photo de primate diffusée sur un "réseau de cas sociaux" avait été sanctionnée en 1ere instance de 9 mois de prison ferme. En comparaison, 9 mois ferme pour une séquestration physique, c'est plutôt clément comme verdict. Habituellement, quand l'affaire passe en appel ou en cassation c'est un peu recadré, la jurisprudence et "l'esprit des lois" sont ajoutés dans la balance de l'aveugle.

Pourtant ça avait l'air simple.... http://www.dailymotion.com/video/x2kusi_cc-72000-demarrage_tech

Argh, à la pompe on s'est repris 5 à 6 centimes sur le litron de gazole, pour cause d'application de la taxe carbone de +3.5centimes au 1er janvier. (au passage, ça fait +2 centimes évaporés, mais pas pour tout le monde)

Oui : les riches dans les trains, les pauvres dans les bus

Et si il venait l'idée saugrenue à un terroriste d'acheter un billet de 1ere classe ?

Vue mer à 180° à Rosa-Parks ? Il doit y avoir émanation de substances suspectes dans la ventilation...

Non Monsieur, la Fiat 124 avait un moteur moderne et des ressorts hélicoïdaux. Tu confonds avec sa cousine la Fiat 125, équipée de ressorts à lames, et qui a été produite longtemps en pologne chez Polski.

Genève Conartin ?

Air France rend hommage à ses deux derniers 747 qui se poseront définitivement (du moins sous les couleurs AF) le 14 janvier après un tour de France. http://www.lefigaro.fr/voyages/2015/12/08/30003-20151208ARTFIG00234-dernier-vol-du-747-air-france-en-tenue-de-gala.php

Dans ce genre de cas, malgré les avis contraires des médecins, l'assistance accepte tout de même la décision de la patiente et programme le rapatriement malgré les risques ? Et si ça se passe mal pendant le trajet ?

Le problème c'est l'hystérésis de la loi de consigne, pour recoller rapidement à la vitesse imposée. Le régulateur ne voit pas arriver les pentes et les virages (il y a eu des essais pour corréler avec une carte GPS, mais peu concluants), et ne peut pas anticiper comme peut le faire un bon conducteur. Tout comme un bon mécano connaissant bien le comportement de sa machine et de la ligne est capable de gérer la traction et le freinage au poil près. Sur mes voitures perso je m'arrange toujours pour le débrancher (parfois c'est compliqué). Deux petits accidents, ça m'a suffi pour comprendre que je devais m'en passer. Quand je conduis des voitures qui ne sont pas à moi (genre loc ou entreprise), je fais avec mais je garde une marge plus importante. De toutes façons, ce n'est pas l'Anti-Blocage de Roue qui fait l'efficacité du freinage, mais la qualité du trio pneus-suspensions-freins, avec la vigilance du conducteur en préambule.

Tu parles de quel genre de voiture ? parce que sur les voitures récentes il n'y a pas de "déclenchement", l'ensemble ABR-ESP est actif en permanence, le conducteur ne s'en rend pas compte.

N'en sois pas si sur. Si tu prends un conducteur lambda, qui n'a pas une connaissance et une maîtrise poussée de la voiture qu'il conduit, l'ABR dans les versions récentes améliore la distance de freinage. Mais dans un certain nombre de cas, on peut voir l'inverse. On peut s'en rendre sur une route enneigée, avec une voiture produite avant les années 2000/2005, l'ABR refuse de freiner. Même un conducteur novice qui écrasera la pédale s'arrêtera moins loin (le tas de neige poussé par la roue bloquée freine). A l'origine, il faut savoir que l'ABR sert à conserver le pouvoir directionnel permettant d'éviter un obstacle même si le conducteur a le réflexe naturel d'écraser la pédale de frein. Mais cela s'est fait au détriment d'une capacité à aller aux limites réelles de l'adhérence du pneu. Les systèmes ont ensuite beaucoup évolué, avec des algorithmes de calcul temps-réel très puissants et des capteurs sophistiqués (accéléromètres, centrale inertielle, capteur de vitesse de braquage, capteur de vitesse d'enfoncement pédale), mais la sureté de fonctionnement leur impose de rester dans une "fenêtre" de conditions très stricte, pour éviter les cas limites où le système fait l'inverse de ce qui est voulu par le conducteur. Le système doit donc rester dans une plage optimale des paramètres, ce qui réduit son efficacité dans les situations extrêmes (forte adhérence ou adhérence fortement variable). Un exemple concret : un conducteur maîtrisant bien son véhicule voit un accident sur l'autoroute 200m devant lui, et perçoit qu'il y a une grosse flaque d'huile sur la chaussée, il va freiner au maximum sur la partie la plus adhérente, et relâchera ensuite en sachant très bien qu'il risque de partir en vrille sur la flaque d'huile. Le système ABR lui ne voit pas la flaque d'huile et va perdre des précieux mètres en n'allant pas au maximum de l'adhérence sur la partie sèche..... Car sa calibration le force à interpréter le début de glissement comme un seuil d'adhérence, ce qui est faux dans cette configuration.

Ca fait consommer un peu plus (pour ceux qui connaissent bien leur auto et savent anticiper). Tout comme l'ABR augmente un peu la distance de freinage (pour ceux qui connaissent bien leur adhérence et savent anticiper). Tout comme le GPS n'indique pas toujours le meilleur itinéraire (pour ceux qui connaissent bien le réseau routier local et savent anticiper). Mais dans l'ensemble, ça permet au conducteur lambda "interchangeable" un grand progrès dans le confort de conduite et la sécurité.

Un vieux guichetier de banlieue m'a expliqué pourquoi : la séparation des activités impose aussi une parfaite séparation comptable, d'autant que l'activité banlieue est essentiellement financée par le Stif, et que le Stif n'a pas à financer une quelconque activité grandes lignes, même partielle (occuper un morceau de local dans une gare banlieue, occuper un agent, occuper le matériel informatique, occuper des présentoirs à fiches, pour des clients grandes lignes). Je ne connais pas bien la forme juridique de cette séparation, mais ce qu'il raconte à l'air de tenir debout.

Certains intervenants du forum m'évoquent le "mutant" de Gotlib (Rubrique-à-brac) : une sorte de surhomme doté d'une intelligence exceptionnelle, et capable de décrypter une fiche horaire de chemin de fer ou de replier une carte routière sans se tromper.... du premier coup. Les non-mutants eux sont plutôt contents que la technologie numérique permette de faciliter leur quotidien. Mais forcément, ça fait une concurrence déloyale aux mutants, qui promettent alors le feu de l'enfer sur ceux qui osent douter que c'était mieux avant. Mais c'est la vie, le changement c'est maintenant, la terre tourne....et père y colle au zoo ce porc jerzy http://4.bp.blogspot.com/-BdJLlfoaKWo/VIM7cWSrgzI/AAAAAAAAH3M/_41mix-pOcA/s1600/porcjerzy.jpeg

Ce scenario pose un problème : ce système doit être compatible avec les exigences de sureté de fonctionnement. En l'occurence, l'absence d'un conducteur au volant est un paramètre qui doit rendre impossible un redémarrage par le système. Si il y a eu erreur dans la conception de la stratégie stop-start, ça sera un problème pour la totalité des voitures produites, donc un rappel immédiat en concession. Pour l'instant, ça semble peu probable. D'autant qu'il serait très facile de le prouver en reproduisant la manip'. Les journalistes et les constructeurs concurrents se feraient un plaisir de publier des videos..... Le propriétaire de l'auto n'a même pas de certitude que le moteur a redémarré, il le suppose à cause de la "contre-pente". Il devait être déja à une bonne distance de l'auto. Qui sait ce qui se passait autour ? Tant qu'à faire des hypothèses dans le vide, on peut imaginer un autre véhicule qui fait une marche arrière sans visibilité, genre camping-car ou camionnette, et qui vient pousser tout doucement sur le parechoc jusqu'à l'amener dans la pente, sans même s'en apercevoir. Enfin, si la justice s'en occupe, les analyses techniques diront rapidement si il y a un défaut de conception. Si rien n'en ressort, le "bug électronique fugitif" impossible à reproduire, restera une hypothèse à probabilité très très faible.

non, mickey c'est à marne la vallée

J'ai du louper quelques changements dans le fonctionnement du pays... La SNCF (ou entité gigogne administrative plus ou moins liée à l'exploitation du chemin de fer en france) n'aurait donc plus le droit de garer son matériel réformé sur des voies ferrées, sans prévenir les riverains ? Ca remet en cause pas mal de choses. Il y a une vingtaine d'années, c'est plutôt la SNCF qui aurait déposé plainte pour intrusion dans ses emprises et dégradation de son matériel avec des risques sur la sécurité des circulations. Mais aujourd'hui, c'est l'inverse ? En tout cas, l'édile a l'air sur de lui.

ils ont pas encore pensé à mettre une résistance chauffante sur l'archet acier ? ou des gicleurs avec du glycol ? enfin je sais pas, mais des principes qui sortent un peu du 20e siècle.

Moi je suis d'accord pour les accueillir quand ils veulent, mais ils amènent l'apéro. Donnant-donnant.

Invention astucieuse. Les tournées d'inspection peuvent être simplifiées : une voiture équipée d'une antenne roule à proximité et collecte les datas. Plus besoin d'un oeil averti.