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Le Web des Cheminots

cc27001

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Tout ce qui a été posté par cc27001

  1. Moi je ne pense pas que Marine ait gagné 10%. Je pense qu'elle y a même perdu quelques miettes. Et elle a surtout acquis la certitude que ce n'est plus un front républicain fait de bric et de broc qui s'opposera à elle, mais carrément un parti UM-PS fusionné. Pourquoi pas une co-présidence hollande-sarkozy en 2017 ? On peut s'attendre à tout.
  2. A force de voir du racisme partout, le vrai racisme deviendra invisible. Le vrai racisme, c'est celui-là : http://www.ouest-france.fr/cambrai-un-homme-tire-sur-un-turc-en-raison-de-sa-couleur-de-peau-3846172 Cambrai. Un homme tire sur un Turc en raison de sa couleur de peau
  3. Les sécurités rame désactivées, ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de sécurités. Les sécurités dont les seuils de déclenchement sont dépassés lors des essais sont nécessairement inutilisées.... Mais un train d'essai est copieusement équipé de matériels de mesures et de suivi des paramètres critiques, beaucoup plus qu'une rame normale. Et les sécurités qui en temps normal servent à suppléer les possibilité de défaillance d'un conducteur seul qui assure ses journées de service ne sont pas comparables aux sécurités d'une rame d'essai emmenée par des gens qui sont entièrement dédiés à ces opérations et qui ne sont pas seuls à bord. On voit bien sur les videos des vieux records de vitesse par exemple que rien n'est laissé au hasard. C'est pourquoi il est difficile de croire à un dépassement même involontaire de la vitesse maxi. Une rupture d'élément mécanique ou électrique, à la rigueur, ou un obstacle innatendu, ou... ce que l'enquête parviendra certainement à déterminer rapidement.
  4. "la motrice a percuté le pont et le train a ensuite déraillé". En toute logique, il est plus vraisemblable que la motrice a d'abord déraillé avant de percuter le tablier métallique du pont.
  5. Réponse des mis en cause : http://blog.adsav.org/7245/pontivy-halte-dsinformation/ Après un florilège d’insultes, les militants d’extrême gauche ont commencé à nous lancer des pierres. Une charge pour les disperser s’en est suivie. Les gendarmes mobiles se sont alors rapprochés une fois celle-ci finie. Certaines personnes sont revenues nous insulter. J’ai alors décider de lancer le défilé pour nous éloigner de la place et réduire ainsi les risques d’affrontements. Un de nos militants venait de recevoir un pétard jeté par ces gauchistes. Il a eu le doigt arraché et a dû être amputé. Mais ça, manifestement, ce n’est pas grave pour la presse, ni pour France Bleu Armorique qui n’en parle pas. Mais comment cette radio aurait pu en parler puisque leurs journalistes n’étaient pas là ? Cette radio dresse un témoignage digne de scènes de guerre et d’une ratonnade. En ce qui concerne l’altercation, il ne s’agit absolument pas d’une attaque raciste. Cette personne, qui faisait partie du groupe d’extrême gauche, est venue insulter nos militants, a commencé à donner des coups de poing. Notre militant agressé s’est donc défendu, apparemment aidé par des amis afin de mettre en fuite cet assaillant. Il ne s’est donc aucunement fait agressé puisque l’agresseur c’est lui. Son origine n’a donc absolument rien à voir. Mais les journalistes, absents, ne peuvent donc le savoir. Bon, encore un sac de nœuds entre extrémistes de tous poils sur fond d'indépendantisme breton.
  6. La conférence de presse SNCF indique les conditions théoriques de l'accident : Marche d'essai au dernier palier programmé de survitesse, 176 km/h sur le raccordement. Personnellement, je ne crois pas que les responsables des essais aient pu commettre des erreurs grossières, après 200 marches déja réalisées, et il m'est impossible de croire que la rame a déboulé à 350 à cet endroit sans que personne ne s'en aperçoive. Si il y a eu vitesse excessive, ça doit être dans une fenêtre proche de la vitesse maxi prévue (176km/h), et peut-être en raison d'autres problèmes en amont (ralentissement insuffisant, enrayage, ... ?)
  7. Peloux vient de dire que cet exercice avait eu lieu vendredi matin. Ce détail va alimenter les théories du complot. Bien que le risque d'attentat de grande ampleur etait connu et répété (voire attendu) depuis 1 an, et justifiait pleinement ce genre d'exercice.
  8. C'est un régiolis bourgogne fait avec les moyens du bord ?
  9. La France se réveille avec la gueule de bois, et semble "découvrir" en 2015 ce qu'est la peur des attentats n'importe où et n'importe quand. Pourtant le phénomène n'a rien de nouveau, même dans une période assez récente. Comme dans les années 80, comme dans les années 90. Et surtout comme le liban depuis 40 ans, et comme israël depuis 50 ans. L'histoire nous montre que ce que les parisiens ont vécu vendredi n'est qu'une goutte d'eau dans l'océan de la violence politico-religieuse qui secoue le monde. Alors les grands discours de nos chers dirigeants, les promesses, les coups de menton, les indignations de façade, les mesures de rétorsion, les plans vigipirate noir foncé ultra-renforcés, les congrès sécuritaires, c'est comme un pêt qui glisse sur un parquet ciré : ça fait du bruit, ça sent mauvais, et ça ne sert à rien.
  10. Pour résumer les incertitudes, et s'apercevoir que la confusion est probable dans les déclarations : "le TGV circulait à une vitesse de quelque 350 km/h" : source "proche de l'enquête" (non indiquée) "le TGV a déraillé en raison d'une vitesse excessive" : directeur de cabinet du préfet d'alsace "le TGV effectuait des essais de survitesse avant de dérailler" : syndicat SUD-rail "pas de confirmation de la vitesse excessive" : procureur adjoint "impossible d'établir les causes du déraillement à cet instant" : direction SNCF Pour le moment, il n'y a pas de source qui indique clairement que ce TGV a déraillé à la vitesse de 350. On peut seulement confirmer que ce TGV effectuait des essais de survitesse (320 +10%) et qu'il a ensuite déraillé à une vitesse inconnue pour le moment, et pour une cause inconnue pour le moment.
  11. D'après les images aériennes, et les dégats relativement "légers" sur le matériel, il est difficile de croire que ce TGV ait déraillé à 300. Si une vitesse excessive a été évoquée, ça ne veut pas dire forcément 300, mais peut-être 170 au lieu de 160 dans cette zone, en marche d'essais autorisée. Il est difficile aussi de croire à une erreur humaine "collective" si plusieurs conducteurs et CTT étaient présents. Rappelons-nous qu'à Brétigny les premières déclarations avaient parlé d'un train qui roulait trop vite. Le sujet est très sensible, politiquement et techniquement puisque cette dernière tranche du TGV-Est est très symbolique des choix de développement faits par les politiques.
  12. Les RRR sont intéressantes pour les circulations touristiques, avec des fenêtres ouvrantes. Ca ne fait pas "ancien" mais ça peut rendre bien des services.
  13. Si c'est marqué sur l'etiquette, ça doit l'être.
  14. Là encore la méthode est bien rodée : ceux qui monopolisent le pouvoir cassent le service public pour satisfaire l'appétit de leurs amis financiers, et laissent le seul parti qui ne sera pas élu faire campagne sur le thème de la défense du service public. Dans l'esprit des gens le raccourci est vite fait : "privatisation=avenir républicain, défense du service public=FN=facho=nazi". Pourquoi aucun autre parti ne fait campagne là-dessus et tous se contentent de faire campagne "contre le FN" ? Mystère.... Le FN a tout loisir de promettre monts et merveilles vu qu'il ne sera pas élu, ça ne coûte rien. Quand on veut tuer son chien, on dit que le FN veut l'adopter.
  15. Dans le même genre, il y a celui-là qui dépeint une réalité du quotidien qu'on essaie de cacher.... pourtant on peut y reconnaître des situations vécues.
  16. La solution serait d'autoriser les multinationales à mélanger un peu de viande de sanglier dans la viande étiquetée "100% boeuf", en quelques mois le gibier surabondant deviendra en voie d'extinction.
  17. Vous êtes en train de confondre le principe de Peter et le principe de Dilbert
  18. L'impôt progressif tel qu'il a été défini (il y a longtemps) est formulé selon un modèle qui se comprend facilement, pour peu qu'on prenne le temps de l'analyser un peu. Evidemment, pour une majorité de français occupés par leurs activités quotidiennes et distraits par les médias, ça ressemble à une usine à gaz incompréhensible. A cela se sont ajoutés au fil du temps des cadeaux faits à certaines catégories/corporations/groupes, des niches, des abattements pour stimuler tel ou tel secteur, ....., bref pour moduler le paysage economico-industriel de la france par des incitations ou par des dissuasions. Au final, les subtilités de l'imposition ont permis aux plus riches (entreprises et particuliers) de développer l'ingénierie fiscale pour exploiter les meilleures combinaisons de situations (légales ou presque légales) permettant de réduire voire d'annuler leur imposition, avec la pleine bienveillance de leurs amis au pouvoir. Ca va à l'encontre de l'esprit de cet impôt, mais c'est bien une réalité, et c'est pourquoi aujourd'hui on le trouve injuste. Personnellement, quand j'entends les politiciens professionnels habituels répéter en boucle les éléments de langage électoraux (rassembler, réformer, changement,...), j'ai en tête l'image d'un sale coup à venir. Réformer ? Les français pensent "réformer pour que l'impôt soit plus juste avec leur pouvoir d'achat en baisse", les politiciens pensent "réformer pour appliquer encore plus d'ultra-libéralisme calqué sur les demandes des banquiers". Simplifier ? Les français pensent "simplifier l'usine à gaz et que chacun paie selon ses revenus et son patrimoine", les politiciens pensent "simplifier pour faire passer une augmentation des impôts sur les classes moyennes et réduire encore ceux des riches qui menacent de partir ailleurs". Chaque "changement" promis par un politicien revient à imposer un nouveau système qui va profiter à certains et sera financé par tous les autres. Eternel recommencement.
  19. Ca se passe bien puisque les conditions Ouigo stipulent clairement le nombre, la taille et le poids des bagages : http://www.ouigo.com/fiches-pratiques/je-prends-un-bagage-supplementaire Et il y a l'option "bagage supplémentaire ou volumineux" pour 5€ si enregistré à la commande, ou 20€ à l'embarquement si il était pas prévu. Et il y a un bagage supplémentaire gratuit par voyageur à partir de 3 enfants inclus dans le billet. Donc les familles qui transportent habituellement 5 "malles" ne seront pas trop défavorisées en Ouigo.
  20. Ce qui transparaît dans l'article c'est qu'il n'y avait que .... 5 passagers dans ce TER. Et pour le TER accidenté à Serqueux, 7 passagers. On peut mettre ça sur le compte du 11 novembre férié et des vacances scolaires, mais quand même, un taux de remplissage aussi faible ça interpelle. Correspondances mal foutues ou désintérêt des usagers du secteur ?
  21. C'est un dossier très sensible qui se trouve – depuis près de deux ans – sur le bureau de la juge d'instruction parisienne Sabine Kheris. Si sensible que, depuis que cette juge s'est vu confier cette délicate affaire de "prise illégale d'intérêt", aucun acte d'instruction n'a été accompli. Il faut dire que la plainte vise un membre très en vue du gouvernement : Christiane Taubira, la ministre de la Justice et garde des Sceaux. http://www.francetvinfo.fr/politique/christiane-taubira/plainte-de-buisson-contre-taubira-des-e-mails-embarrassants-pour-la-garde-des-sceaux_1167001.html Anticor, qui traque les malversations des responsables politiques, accuse Patrick Buisson d'avoir réalisé, pour le compte de l'ancien président, pour près de 1,4 million d'euros de sondages d'opinion sans respecter les règles de l'appel d'offres. Mis en examen dans cette affaire, Patrick Buisson contre-attaque le 11 décembre 2012 en dénonçant la présence de Christiane Taubira dans le comité de parrainage d'Anticor : lui et son avocat, Gilles-William Goldnadel, déposent plainte à leur tour contre Christiane Taubira pour "prise illégale d'intérêt". Pour Patrick Buisson, la garde des Sceaux, qui est l'autorité hiérarchique du parquet, serait donc à la fois juge et partie. Après une longue bataille de procédure, cette plainte a été validée par la cour d'appel en janvier 2014. Une juge d'instruction a été saisie. Mais, depuis, le dossier est au point mort. Aujourd'hui, des documents versés au dossier d'instruction, que France 3 a pu consulter, apportent un éclairage sur les relations entre la chancellerie et Anticor. Et ils pourraient étayer les soupçons de "prise illégale d'intérêt".
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