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Le Web des Cheminots

cc27001

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Messages publiés par cc27001

  1. Bonjour est ce que par sécurité je devrais revenir à 16 ans passer le BAC à l'alternance comme on y a penser familialement ?

    Essaie de penser plus largement, peut-etre qu'en te rapprochant du bac tu auras envie de suivre des études supérieures, ou de faire toute autre chose. Ne t'enferme pas dans un choix unique, laisse-toi des marges d'évolution. Ca ne t'empêche pas de t'orienter vers la conduite des RER, mais ça te laisse des portes de sortie au cas où....

  2. «Le trafic est totalement interrompu entre Auber et la partie Est de la ligne, les branches de Marne-la-Vallée Chessy et de Boissy-Saint-Léger depuis 20h», confirme la RATP.
    Cette interruption de trafic est due à un arrêt de travail inopiné des conducteurs après l'agression d'un conducteur dans la matinée à Vincennes», précise la Régie.
    Des bus de substitution ont été mis en place et la reprise du trafic est jugée peu probable ce mercredi soir. Le trafic pourrait être également être légèrement perturbé jeudi.

    http://www.leparisien.fr/paris-75/rer-a-trafic-interrompu-entre-auber-et-marne-la-vallee-chessy-boissy-apres-une-agression-12-08-2015-5006787.php 

  3. C'est à force de considérer le papier rose comme un saint graal à ne surtout pas remettre en question, un symbole des libertés fondamentales, qu'on se retrouve avec des conducteurs qui sont, dans les faits, inapte à la conduite, par soucis de santé ou de connaissance et d'application du code de la route.

    Il faudrait surtout remettre en préambule que la voiture est une machine, et que l'utilisation d'une machine sur la voie publique doit obéir à des règles de sécurité. La capacité d'utiliser une machine n'est pas une "liberté fondamentale". L'amalgame est souvent fait avec la liberté de se déplacer à sa guise, en utilisant une machine dont on a la capacité acquise et maintenue.

    Dans l'aviation, on n'imagine pas un pilote qui passerait le brevet et pourrait piloter indéfiniment sans que ses capacités ne soient jamais réévaluées régulièrement.

  4. http://www.lyonmag.com/article/74835/la-mise-en-place-du-pont-ferroviaire-a-confluence-a-debute

    Dans la nuit de mardi à mercredi, les travaux du pont reliant le quai Rambaud au cours Charlemagne ont commencé.

    A partir de 18h58 et jusqu’à lundi prochain , une centaine d’ouvriers vont trouer la voie SNCF sur une quarantaine de mètres fin de faire coulisser un pont-rail de 2000 tonnes.
    Le pont permettra donc de relier le quai Rambaud au cours Charlemagne afin que les véhicules qui veulent rejoindre le carrefour Pasteur évitent la rue Paul Montrochet. La reprise normale du trafic ferroviaire se fera lundi matin. En attendant les trains entre Lyon et Saint-Etienne circulent sur la rive gauche via Saint-Fons.
    Ce nouveau passage qui est loin d’être fini sera mis en service à l’automne 2016.

    • J'adore 1
  5. Merci beaucoup pour vos retours.

    Avec la distinction de Luz, est-ce que vous pourriez me confirmer ma bonne catégorisation des engins moteurs (la liste est celle des engins que j'étudie dans la thèse ):

    - cerclo : 6500, 7100, 7200, 7600, 16000, 17000, 25 500 (lesquels sont à cran ?)

    - manette / "joystick" à cran : 5300, 27 300, 

    - manette / "joystick" sans cran, qui permet également le freinage : Z50 000, Régiolys, Régio2N.

    J'ai bon ?

     

    Les vieux croutons sauront en dire plus sur ces antiquités qu'ils ont tripoté pendant de longues heures.:Smiley_51:

    Mais en gros pour résumer, les vieilles locos de ligne (diesel ou électrique) sont souvent à impulsion (un petit aller-retour du cerclo à gauche ou à droite pour monter ou descendre les crans: 6500,7100,16000,17000,25500), les plus "récentes" à cerclo sont à variation continue (le cerclo est tourné proportionnellement à la puissance demandée: 7200,15000), et les très récentes sont à.... commande par écran de smartphone ? ah non, pas encore ?

  6. Je n'avais pas vu que l'auteure était... une femme.... catholique :Smiley_50: Là effectivement ça ruine complètement son analyse, évidemment. Suis-je bête. Une personne de confession catholique ne peut absolument pas avoir un raisonnement correct sur un évènement socio-politique historique, par définition. J'en ai appris une bonne ce soir, je me coucherai moins bête. Et désormais je vérifierai l'arbre généalogique des auteurs des textes que je colle, pour être sur que ça ne soit pas mal interprété. :bow:

  7. Chacun en fonction de sa culture, de ses sensibilités, son éducation, manifestera ensuite d'avantage de compassion voir d'engagements, vers telle ou telle population...

    je me demande parfois si tu ne nous prends pas pour des neuneus.... On parle de l'interview d'une politicienne italienne (emma bonino), et tu parles de compassion individuelle.... Quel est le rapport ?

    On va faire un test : es-tu compatissant avec les populations russophones du Donbass ou de Crimée ? (attention, il y a un piège)

     

  8. Et n'est ce pas imposé comme avantage en nature ? Si c'est le cas, il est où l'intérêt ?

    l'intérêt est du même ordre qu'une prime ou qu'une augmentation : l'imposition ne représente qu'une partie seulement du revenu ou de la valeur estimée de l'avantage procuré (usage privé du véhicule sur x% du temps), selon le barême et les tranches marginales d'imposition.

    Heureusement, personne en France ne paie 100% d'impots sur les avantages en nature (pour le moment)

    • J'adore 2
  9. "incapable d'intégrer" ou "incapable de s'intégrer" ?

    Toute la subtilité du discours tient dans des terminologies bien lissées, bien conformes, bien marketées, pour faire oublier quelques "points de détail" un peu trop dérangeants pour les bienpenseurs.

    un peu d'histoire : http://www.histoire-immigration.fr/histoire-de-l-immigration/dossiers-thematiques/caracteristiques-migratoires-selon-les-pays-d-origine/portugais

    "En dix-sept ans, les Portugais en France passent de 20 000 (1958) à 750 000 (1975)."

    La France cherche dans d’autres pays la main-d’œuvre dont elle a besoin. Après 1945, c’est principalement à l’Italie de pourvoir la France en travailleurs. Cependant, à la fin des années 1950, l’immigration italienne vers la France se réduit alors que les besoins en main-d’œuvre augmentent en conséquence de la croissance économique et des effets de la guerre d’indépendance algérienne (suspension de la libre circulation entre l’Algérie et la France, mobilisation du contingent). Si l’Espagne devient la principale source de travailleurs immigrés, les autorités françaises commencent à tolérer plus amplement la venue irrégulière d’étrangers.

    Comme le gouvernement de Lisbonne bloque les sorties légales, l’administration française régularise les entrées clandestines de Portugais. Ces régularisations deviennent systématiques à partir d’avril 1964. Dès lors, les Portugais, informés par leurs proches et par les rabatteurs et passeurs qui diffusent amplement l’information, savent qu’ils pourront facilement trouver un emploi en France, rembourser les frais du voyage clandestin et y régulariser leur situation. De plus, le prix et la difficulté des voyages se réduisent considérablement à partir de 1965-1966.

    En prenant la décision de régulariser tous les Portugais entrés irrégulièrement en France, le gouvernement français désire volontairement favoriser l’immigration portugaise. Pour de nombreux acteurs politiques et administratifs, l’immigration portugaise n’est pas seulement considérée comme positive dans une logique économique (les Portugais sont perçus comme des travailleurs sérieux et dociles). Dans des perspectives non dénuées de présupposés racistes, ces migrants sont vus comme les derniers migrants européens, blancs, chrétiens et donc facilement assimilables dans une logique démographique. Favoriser la venue clandestine de Portugais revient pour certains à diminuer les migrations extra-européennes, particulièrement la migration algérienne, jugées comme problématiques car ces populations sont prétendument inassimilables. Dès lors, jusqu’en 1974, les Portugais bénéficient d’un traitement dérogatoire. Les différentes mesures prises à partir de 1968 pour réduire l’immigration irrégulière laissent de côté les Portugais.

    http://www.gisti.org/spip.php?article217

    En France, l’immigration de travail vient tout juste d’être suspendue et la crise économique que traverse le pays semble peu propice à l’accueil de nouveaux étrangers. Pourtant, après des mois ou des années d’attente, 128 531 ressortissants de l’ancienne Indochine, dont 47 356 Cambodgiens, entrent légalement sur le territoire français. Dès leur arrivée, ils bénéficient d’un accueil d’exception accompagné de discours empathiques, que formulent les dirigeants politiques notamment.

    Comment comprendre cette situation pour le moins paradoxale ? Comment expliquer que des réfugiés aient pu bénéficier d’un tel accueil alors qu’il est admis qu’« en période d’incertitude tout particulièrement, l’étranger est ressenti comme une menace pour le groupe enraciné » ? Quelles formes de mobilisation et/ou de luttes ont eu raison des réticences que la configuration française laissait présager à l’égard de tout nouvel arrivant ?

    [...] L’exemple des réfugiés du Sud-Est asiatique permet aussi de montrer qu’une nouvelle fois, le sort des étrangers est étroitement lié aux intérêts nationaux et ce, quels que soient le statut juridique de ces étrangers ou les raisons de leur venue.

    Par ailleurs, l’accueil, basé sur la mobilisation gouvernementale, dont ont bénéficié les réfugiés du Sud-Est de l’Asie a eu de nombreuses incidences. Outre qu’il a facilité leurs premiers pas en France, il a participé à modeler le regard porté sur eux et à légitimer leur arrivée en France. La qualité de cet accueil semble avoir été perçue comme ajustée à la qualité intrinsèque des étrangers auxquels il était destiné. Ce constat rappelle, in fine, l’importance des politiques d’accueil et des discours qui accompagnent l’arrivée des nouveaux migrants.

    L'argument humanitaire est une couverture habituelle pour dissimuler de gros intérêts politico-financiers. Les gouvernements se fichent éperduement de la misère ou de la détresse de populations qui ne les intéressent que si elles peuvent servir leurs intérêts à court terme.

  10. en mode syndicaliste :Smiley_16:

    Attention de ne pas faire des amalgames sur les termes.

    Ce sont des "avantages" vu de l'extérieur, mais ce sont des acquis sociaux négociés de longue date et faisant partie intégrante du contrat, vu de l'intérieur.

    Il faut modifier la rédaction de la question :

    "Quels sont les éléments habituels du contrat d'embauche qui pourraient apparaître comme favorables pour rendre plus attractif un poste à la sncf, généralement moins rémunéré que dans le privé mais présentant des particularités compensatoires ?"

    • J'adore 3
  11. l'exploitation navette, justement, ne necessite pas un AC en bout de ligne.. le conducteur est de ce fait requis pour constater son train "arrivé complet" ( en mode autorail, c'est assez evident), et en faire part à l'AC chef de ligne, de la gare Origine...

    Dans tous les cas, si son train n'est pas arrivé complet, il lui manquera la cabine de conduite pour repartir, non ?

  12. Des demain cette histoire de mistral sera supplantée, par la rentrée scolaire et une hypothétique gréves des enseignants, les scoops des listes aux régionales...(préoccupations bien franco françaises)etc etc

    Préoccupations des médias franco-français.

  13. six chefs d’accusation : récidive de conduite en état d’ivresse, sans permis, sans assurance et sans carte grise ainsi que récidive de délit de fuite et mise en danger de la vie d’autrui.

    Le verdict est assez clément, puisqu'il n'y a pas mandat de dépôt, donc aménagement certain de la peine (bracelet, ou TIG, ou jours-amende).

    Par contre au niveau financier, ça va faire mal.

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