aldo500

il y a 10 minutes, Pascal 45 a dit :

 

Celui qui me trifouilera la narine n'est pas encore né ...

🤣

Ah, les gars de la narine!

il y a 17 minutes, jackv a dit :

c'est un article de france bleu alsace  ,va savoir , c'est peut être seulement sur la ligne bleu des Vosges.

Ben, t'as qu'à pas relayer des infos sans vérifier, voyou!

On dirait un complotiste, Hi Hi

Disons que c'est une participation volontaire aux dépenses de la sécu majorées par l'épidémie de Covid entretenue par les non vaccinés. Si c'est un problème de sous, le vaccin ne coûte pas cher.

Pourquoi les sous de mes cotisations serviraient à te payer un test pour que tu ailles au cinéma, tu rigoles?

Et sinon, quand on est malade, on va voir un médecin.

il y a une heure, jackv a dit :

Prix des trains : du simple au double entre la Deutsche Bahn et la SNCF

Le problème, c'est qu'il n'est pas si accessible que ça, surtout selon les pays. De plus, les usagers ne savent pas forcément qu'ils peuvent avoir le choix sur la compagnie de transports pour voyager en Europe. Ils ne savent pas non plus que les prix peuvent aller du simple au double sur un même trajet selon que l'on choisisse la Deutsche Bahn ou la SNCF. Par exemple, si vous voulez partir à Berlin pendant les vacances de la Toussaint, un aller le 31 octobre vous coûtera au minimum 57,90 euros en passant par la Deutsche Bahn et 181,60 euros via la SNCF. La technique marche également pour un Strasbourg-Paris en TGV.

https://www.francebleu.fr/infos/transports/prix-des-trains-du-simple-au-double-entre-la-deutsche-bahn-et-la-sncf-1633535839

 et la ce n'est pas une question de coût des sillons.

Ah oui?

J'ai regardé sur les Sites de la DB et SNCF, pas vu de différence, moi. Suis je bête?

Bien sûr que j'ai vroumé la haut.

Un peu d’instruction pour Verane:

https://www.derives-sectes.gouv.fr/sites/default/files/publications/francais/guide_sante_mars_2018_web.pdf

Bon, question design, ma douce en connait un rayon, rien à voir avec le métier d'un ouvrier qui fabrique ni avec un simple dessinateur. Son boulot commence avec le cahier des charges , les normes, la fabrication, le choix des matériaux, de la forme, le prix, la longévité, le coût d'entretien , l'empreinte écologique et le bien être engendré par exemple par un mobilier urbain bien conçu qu'on voit peu mais qui change complètement l'ambiance d'une rue ou d'un paysage mais discrètement.

C'est des mois de travail. Elle bosse depuis des années avec des plus anciennes fonderies de France, elle signe les contrats avec le patron puis après, elle se plonge dans le savoir faire des ouvriers pour savoir où sont les contraintes de fabrication. Chacun s'enrichit et le résultat leur donnent des sacrées satisfactions.

Le mieux, c'est le jour où elle a visité une cabine de TGV Duplex avec un conducteur plein d'humour.

En voyant le pupitre et en particulier le module KVB, elle a poussé un cri d'horreur ne disant: mais comment on peut vous faire travailler la dessus, ça n'a aucun sens, que c'est moche et mal conçu, quelle honte! 

On a bien rigolé mais elle avait raison, comparé à un pupitre d'ICE, il n'y a pas photo.

Autre caractéristique du design, un bon designer sort des produits qui sont forcément innovants et qui bousculent nos habitudes mais avec le temps, la beauté se révèle, notre oeil s'éduque et le monde avance. je parle des bons designers pas forcément les plus connus.

Moi aussi, parfois je dis: quelle horreur et puis j'entends : Tsss Tsss! non, c'est  allez, regarde mieux. Alors je l'écoute et je lui fais confiance, elle me fait comprendre certains choix que je ne comprends pas et puis je change d'avis au bout d'un certain temps (pas toujours quand même).

Des fois, j'entends: oh, oui, quelle honte, que c'est moche. Ah, non mais!

Bon bref, ça fait 50 ans qu'elle éduque mon oeil de paysan, c'est intéressant.

Tout ça pour dire que j'ai mis du temps à apprécier les 27000 mais que j'ai fini par bien les apprécier même si le design est assez sommaire.

Son avis sur le design en France: pas du tout intégré dans la conception ni dans les mentalités, elle rêve de certains pays étrangers comme l'Italie ou autres.

il y a 11 minutes, katamiaw a dit :

 alpha3175 a mis un lien vers le forum sur son site:

https://cheminot-transport.com/2021/02/les-sites-blogs-et-forums-conseilles.html

 

De plus il s'agit d'un site/blog purement ferroviaire, avec des informations que l'on ne retrouve généralement pas ailleurs ou en tout cas pas sous cette forme, donc avec des contenus de qualité.

 

Personnellement, ça ne me dérange pas qu'il fasse sa "pub" ici, tant qu'on peut ensuite échanger ici avec lui des sujets abordés dans ses écrits.

 

Ok mais il serait plus logique de mettre un lien permanent sur cheminots.net  plutôt qu'un lien sujet par sujet, à mon sens.

il y a 48 minutes, Laroche a dit :

Fort heureusement je n'ai jamais été confronté à ce type de situation. Et je ne faisais que rapporter des réflexions entendues dans mon entourage.

Mais tu es beaucoup mieux placé que moi, pour connaitre les tourments de la nature humaine, que ce soit du coté des soignés et des soignants.

Oui mais le Covid semble avoir multiplié par 1000 ce genre de situation. Je pense que les sociologues auront des chose passionnantes à raconter. Névrose collective?  J’ignore beaucoup de choses là dessus. Ça me fait penser à l’état de sidération décrit dans les catastrophes. 
c’est sûr que le jugement de valeur n’apporte rien mais bon, des fois, la colère sort de la lassitude   

il y a 3 minutes, Laroche a dit :

Même avant le Covid, le mot hopital était, pour certains, un épouvantail. Dans l'inconscient de nombreuses personnes, entrer à l'hopital c'est la certitude d'en resortir les pieds devant. Pas facile de faire face à la maladie avec un peu de recul.

Ouais, c'est comme quand tu regardes ton gosse se noyer dans la piscine, tu prends un peu de recul...

Le 18/09/2021 à 18:00, alpha3175 a dit :

Mises en service avant la guerre de 14/18, les automotrices de première série ont eu plusieurs vies dans leur carrière qui s'est terminée plus de 60 ans après avoir commencé.
La deuxième série aura une vie active moins longue mais continuera à être visible à Mulhouse.

https://cheminot-transport.com/2021/09/les-automotrices-de-premiere-et-seconde-serie-des-chemins-de-fer-de-l-etat.html

 

Dans la charte du forum:

• Le rabattage systématique vers un autre site web non partenaire de www.cheminots.net est interdit.

Un collègue urgentiste a vu une personne de 55 ans pour Covid à domicile hier. Difficultés respiratoires majeures, saturométrie à 80% donc risque vital à court terme: réponse de la dame à la proposition d'hospitalisation: non, ça , jamais, ils vont en profiter pour me vacciner, plutôt mourir. Explication pour lui dire que justement, elle ne risque pas d'être vaccinée.

Elle est donc allée directement en réa. Pas sûr qu'elle s'en sorte. Mon collègue et moi, on est déboussolé : qu'est ce qui peut rendre les gens aussi crétins. Ça nous dépasse vraiment. Le simple réflexe de survie semble même un luxe pour certaines cervelles. Ça doit être la 5G, ça abime vraiment le cerveau.

PS: aucune co-morbidité, bien sûr.

Le 14/08/2021 à 18:26, jackv a dit :

 

 

« Une voiture électrique produite avec sa batterie en Norvège et circulant dans ce pays ne devra parcourir que 8 000 km pour compenser les émissions de CO2 qui ont été nécessaires à sa production et sa circulation. Ce pays offre en effet un bilan CO2 très vertueux grâce à un mix de production électrique hydraulique de 97 %” (l'industrie norvégienne qui construirait des voitures électrique pollue peu)

 

Si on ne prend pas en compte sa production de pétrole. Je me marre, moi, quand je lis ça.

Et c’etait à l’heure malgré les 14 voitures. 

Et la 22378, sûr et certain

Grand merci

Problème:  certains nous mettent des liens vers des « études scientifiques » et font des commentaires ad hoc. 
L’analyse critique d’une étude demande de longues années de formation, non?
En parlant de prudence, il faudrait éviter de prétendre avoir des certitudes sur des sujets qu’on ne maitrise pas du tout. 
Bon, le ridicule tue moins que le Covid il parait. 

il y a 1 minute, ADC01 a dit :

Pfizer, ce n'est pas le labo qui produit le Viagra ? Ils ont du en mettre dans le Comirnaty. Dommage pour moi, j'ai eu la Margarine 

La Margarine, ça peut donner une bonne frite aussi. 

Moi, j’ai fait ma 3eme hier. 
Une info importante et véridique: le Pfizer a impact positif sur la vigueur sexuelle. Déjà une injection, c’était pas mal mais alors trois, je ne vous dis pas. 
Mes cheveux ont eux aussi commencé à repousser. 
Et ce sujet m’amuse de plus en plus. 

Le 30/01/2019 à 21:35, Doudoune a dit :

Les 2D2 9100, je les ai conduites à partir de 1971 après être venu à la "filière conduite", en provenance de la filière maintenance des locomotives que l'on appelait à l'époque, filière "matériel".

Ces "bêtes", impressionnantes, uniquement utilisables sous courant continu 1500 Volts, à vitesse limite 140 Kms / h, étaient munies d'une électro -  mécanique imposante,  compliquée, bruyante, mais fiable.  Elles étaient Inconfortables, mal chauffées, les cabines étaient de plus assez étriquées, les sièges des plus sommaires, voire encore parfois la selle de moto du côté aide-conducteur  !!! Et, en général, les collègues conducteurs de relève les voyaient arriver en faisant la grimace, surtout si ils avaient un parcours important à assurer  !.

Elles ne convenaient pas très bien aux trains de voyageurs lourds à arrêts fréquents, les démarrages étant un peu "lourdingues" avec une tendance marquée pour les patinages, surtout sur les itinéraires sinueux aux aiguillages nombreux où il était interdit de "sabler", (injection de sable  sur les rails), pour améliorer l'adhérence.  Mais une fois lancées ...

Leur conduite, très manuelle, était si particulière... Sur une 2D2, il fallait, au démarrage (Couplage des 4 moteurs en série, 375 volts  aux bornes de chaque moteur une fois le rhéostat éliminé), passé le brutal premier cran (d'où leur surnom de boeuf), éliminer progressivement ce rhéostat (Ensemble de résistances, dites de démarrage) en respectant bien les intensités maximales aux moteurs électriques de traction et en évitant les patinages. On les a appelées aussi les "batteuses" sans doute à cause du bruit qu'elles faisaient une fois lancées, en plein effort.

Lorsque le rhéostat était éliminé (cran 16), avec le même manipulateur principal, il fallait entreprendre le "shuntage" des inducteurs des moteurs qui permettait l'augmentation de l'intensité dans les induits des moteurs (crans 17 à 23), sans changer de couplage.

Pour progresser encore en puissance, il fallait "déshunter" (23 à 17), puis réintroduire le rhéostat dans le circuit des moteurs  en revenant avec la manipulateur principal sur certains des premiers crans rhéostatiques, (Un énorme répétiteur de crans, rond, trônait sur le pupitre, une grosse aiguille rouge entraînée par le manipulateur que vous tourniez grâce à un volant et une noire entrainée par le servo-moteur électro- pneumatique, permettant de contrôler que le servo - moteur suivait bien la cadence du passage des crans, en progression et en régression), puis procéder au changement de couplage des moteurs, de "série" à "série- parallèle", (Deux groupes de deux moteurs en série, chaque groupe branché en parallèle avec l'autre,  750 v aux bornes de chaque moteur, rhéostat éliminé). Ce changement de couplage étant réalisé avec un autre manipulateur particulier pour les changements de couplage , qui commandait un combinateur, lui aussi électro-pneumatique.

Derrière la paroi dans votre dos, l'électro - mécanique vivait intensément, bien perceptible, malgré les bruis de roulement et de traction, bien perceptibles eux aussi  !, ( L'énorme servo - moteur électro - pneumatique entraînait pignons, chaînes, arbres, et cames, qui ouvraient ou fermaient les contacteurs électriques), Les blocs électriques de contacteurs à commande à cames étaient en effet éparpillés aux 4 coins de la machine et il fallait bien les entraîner avec cette  incroyable mécanique, et quand le combinateur de couplage s'enclenchait durement, clang  !,   les ampèremètres-moteurs en cabine s'affolaient brièvement.

A nouveau, pour progresser encore en puissance sur ce nouveau couplage, il fallait éliminer le rhéostat jusqu'au cran 16, shunter jusqu'au 23, puis, si on voulait augmenter la puissance, à nouveau "déshunter", à nouveau réintroduire une partie du rhéostat, et passer au dernier couplage  : "parallèle", ( 1500 v rhéostat éliminé ... ) Re-clang  ! ...

  Sur les lignes à profil facile (ne comportant pas de rampes et pentes trop importantes), Paris à Lyon par exemple, si l'on excepte bien sûr la section Les Laumes-Alésia à Dijon, une fois la vitesse désirée obtenue et le bon couplage sélectionné, la vitesse moyenne pour "faire l'heure" pouvait être assez facilement maintenue en jouant sur le shuntage et en anticipant les réductions de puissance avant les pentes et les augmentations avant les rampes. Certaines pentes nécessitant toutefois un freinage du train, pneumatique bien sûr, à commande par robinet mécanique à l'époque. ( Le frein "PBL", à commande électrique, n'était pas encore installé sur tous les engins et il n'existait pas de freinage électrique, dit rhéostatique, agissant électriquement sur les moteurs, sur les 2D2 ).

En cas de gros retard, ce n'était pas la même histoire ! Pour regagner les minutes, pour parvenir à "tenir le trait" (vitesse maximale la plus constante possible), il fallait tenter de bien mener la bête en jouant constamment sur les couplages et le shuntage ! Toujours avoir un oeil sur le tachymètre, bien connaître le profil de la ligne pour anticiper les nombreuses manipulations à l'approche des rampes et des pentes. Un vrai bonheur  !!! On ne voyait pas passer le temps  !. C'était grisant d'essayer de maîtriser cette lourde " drague " (autre surnom) de 144 tonnes, pour en tirer le maximum  !

Aucune autre locomotive du Réseau Sud-Est ne pouvait lui être comparée, c'était une marginale  ! On a retrouvé  aussi, plus tard, avec les magnifiques CC 6500, cette conduite particulière de jouer sans cesse avec les couplages et le shuntage, les manipulations étant toutefois plus aisées avec les CC 6500, en cas de retard, pour galoper à la vitesse maxi, surtout avec les trains de voyageurs de composition lourde (18 voitures par exemple), et pour tenir le 160 km/h.

Honnêtement, dans les années 1970, on ne conduisait pas tous les jours une 2D2, il n'y en avait que 35 unités ! (qui ont parcourus des millions de kilomètres à leurs heures de gloire sur les trains rapides - express, appellation ancienne) ... C'est  peut-être pour cela aussi, que l'on aimait leur conduite ,  malgré leur inconfort, et qu'elles restent bien présentes dans nos mémoires !!!

 

Je confirme. Il m’est arrivé d’en conduire une quand j’étais AICR sur un voyageur. J’ai fait l’heure à Dijon, j’étais plutôt fier mais avec un peu mal aux bras. Je ne me souviens plus de l’année exacte ( entre 72 et 76). 
Si tu as osé laisser le manche à un étudiant, ben c’était moi. 

il y a 38 minutes, Vérane12 a dit :

Je viens d'entendre quelque chose d'intéressant dans un documentaire intitulé les enfants du 11 septembre sur ARTE.

Farès, un jeune homme qui a grandit au Yemen dit:

 

Un jeune homme a dit…

Oui, c’est passionant. 
Je ne sais que dire. 
Ben y’a du travail, effectivement. 

Super content, même.

Ma douce arrive de province samedi et Zut, plus d'iPhone.

Je le localise, toujours à la gare. Le temps de réfléchir, localisation mouvante, la rame est repartie.

Que faire que faire? Conseil pris auprès d'un éminent membre du forum, je fonce à la gare et explique ma situation à un agent de l'Escale qui contacte son chef après que je lui ai expliqué où je localise le téléphone.

Pour assurer, j'interpelle un conducteur qui vient de faire une remonte. No une no deux et très gentiment, il appelle le répartiteur qui me rappelle en me disant qu'il est allé voir mais ne l'a pas trouvé. Dommage qu'il ne m'ai pas appelé de la rame, j'aurais fait sonner le téléphone.

Il m'explique que la rame est en rideau et ne repartira pas prochainement donc pas moyen de revenir en gare chercher moi-même.

J'ai bien le numero de portable du répartiteur mais le lendemain dimanche, je n'ose pas insister pensant que c'est son numéro perso.

Dimanche matin, j'attends une heure raisonnable et j'appelle un autre éminent membre du forum que je réveille (horreur !) qui me confirme le numéro du répartiteur, c'est bien un numéro professionnel.

J'appelle celui-ci, explications rapide et il me rappelle une fois dans la rame, je fais donc sonner l'engin et hop, magique!

Je récupère l'iPhone à la sortie du Technicentre auprès de ce répartiteur super sympa à la fin de son service.

600 euros économisés et surtout un outil professionnel très important récupéré.

Il y a de quoi jubiler de tant de gentillesse, non?

Deux études viennent de sortir sur le mécanisme des formes graves qui sont un lien avec une faiblesse de l'immunité basée sur l'interféron et une anomalie génétique.

Je n'entrerai pas dans les détails, l'immunité à ce niveau de recherche , c'est particulièrement ardu. Je connais mieux la règlementation SNCF, c'est dire

Donc les formes graves ne sont pas un hasard.

Ca fait deux voies de recherche pour un éventuel traitement.

Intéressant

https://presse.inserm.fr/un-quart-des-formes-severes-de-covid-19-sexpliquent-par-une-anomalie-genetique-ou-immunologique/43635/

Il y a 5 heures, bruno a dit :

Bonjour Francis.

Un petit état des lieux niveau affluence et frequentation?

Port du masque et mesures barrière respectés dans l'ensemble en gare et dans la rame?

Bruno.

Train plein et masques bien portés👍