aldo500

C’est un autre sujet, il s’agit du partage des ressources et de l’accès aux vaccins et traitements. C’est loin de se limiter au Covid et c’est un problème beaucoup plus ancien.

Lis les journaux sérieux, c’est commenté partout.

C’est sûr qu’avec des infos très partielles, on arrive à des conclusions erronées voire délibérément idiotes. Si tu peux citer une source fiable prétendant que deux doses seraient toujours suffisantes, ça m’intéresse, d’ailleurs.

Ça ne ferait pas deux essieux?

Logiquement, une boîte à roulements grippée.

Je ne peux pas resister

M'enfin, le Cévenol emprunte la ligne des Cévennes et l'Aubrac emprunte la ligne de l'Aubrac. Facile! Tu devrais demander à faire un accompagnement, tu n'oublierais plus jamais de ta vie. la ligne des Cévennes en mars 2009, c’est ça par exemple:

Quant à mon aïeule Philomène, elle gardait le passage à niveau de "La touche" à Breuil Barret. J'ai connu 3 AR Bressuire-La Châtaigneraie assurés par une 141C rutilante de Thouars puis ensuite 66000, et enfin 63000 et puis plus rien. Les barrières ne se levaient pas, elles pivotaient sur un axe. Souvenirs, souvenirs...

A signaler dans l'histoire douloureuse des gardes barrières, le double meurtre des époux Cassagnes dans la nuit du 23 au 24 décembre 1948 au PN 293 au lieu-dit "La Cluze". C'est Irène, la fille ainée de 7 ans qui découvre la scène et dont un des premiers réflexes est de fermer les barrières avant le passage du premier train (Elle recevra d'ailleurs un diplôme de citation de la SNCF. Le meurtrier sera guillotiné le 15 mars 1950, dernière exécution dans le puy de dôme. Source: La Montagne, 13 novembre 2021.

Fortiche! Le transport de wagons de chemin de fer sur les surfaces des lacs italiens a été un chapitre important de notre histoire, généralement terminé dans les années précédant la 2 Guerre mondiale. Des barges spéciales transportaient des chariots de Porto Ceresio sur le Lac Majeur jusqu’à la Suisse, de Desenzano del Garda, de Pisogne et d’Iseo sur la SNFT, de Como FNM. Le dernier exemple de ce type de service a cessé en Janvier 1998, à Sarnico vers Lovere (BS), conduisant à l’extinction d’un transport combiné dont il a été le cas le plus durable au niveau européen. L’origine du trafic le long des eaux du lac d’Iseo est lointaine : en 1906 Società Anonima Giovanni Andrea Gregorini - constructeur d’axes ferroviaires et de tramways - construit en propre et lance dans le lac 4 pontons de fer de 35mt. qui constituent le début du transport de wagons entre Lovere, siège de la Société, et Iseo - sur la ligne de la SNFT - et Sarnico. Pour ces services, des remorqueurs sont achetés plusieurs fois d’occasion et la flotte des barges en bois, fer ou même béton armé croît avec le trafic de chars. Tous les bateaux sont exploités en Décembre 1920 par la Société de Navigation du Lac d’Iseo. Jusqu’aux années 60/70 le service de transport de chariots sur des péniches ne connaît pas de repos, arrivant à des pointes incroyables de chargement à cheval de la Seconde Guerre mondiale. Avec la motorisation de masse le transport marchandises - après quelques vicissitudes et passages sociaux - commence un inarrêtable baisse. Entretemps, à Lovere se sont installés des établissements de Italsider et la fourniture de roues, essieux, rails et échanges à FS et concédés divers continue. Le 31 janvier 1998 la compagnie de navigation et Italsider abandonnent le résidu trafic, en décrétant la fin des péniches et de ce type de transport, remplacé je ne dis pas de celui sur le pneu. Le quai d’embarquement des wagons à Sarnico est partiellement démonté et la place de l’escale au bord du lac est maintenant un parking avec jardin. https://www.photorail.it/phr3-gli updates/articoli2006/luglio2006.htm

Oui Meymac avant-hier. Terminus exceptionnel car télécommande en rideau entre Meymac et Ussel, en plus d'un gros retard dû à un PN en panne. Trajet entre Meymac et Ussel assuré par car. Tous les voyageurs parfaitement zen. La beauté de l'environnement y était peut-être pour quelque chose. La seule stressée était la contrôleuse mais c'était la seule à avoir quelque chose à faire. Les chevreuils et les sangliers semblent aussi beaucoup aimer cette ligne.

Toujours pas. C’est fou le nombre de grues à eau dans le coin.

Ben non

C’est la bonne ligne mais pas la bonne grue😁

Oui

Très dur à trouver ton truc en langue française. on va faire nettement plus simple:

Mémorial du travail forcé des Hongrois en URSS, Budapest

Pour moi, le vrai péché mortel, c’est le Baulois.

Il fallait être naïf pour croire que le retournement des sièges était autre chose que de la pure communication. On parle de la SNCF, là.

@ Greg4546 Quanf tu fais du copier-coller depuis Wikipedia, ça serait plus élégant de le préciser, je pense.

Colis suspect et bagage abandonné, tu m’explique la différence de gestion s’il n’y a pas un nom dessus. L’autre jour, à Montparnasse, 3 bagages abandonnés en même temps. Ça devient difficile de faire rouler des trains de nos jours.

Non, mais les obstacles vivants même si parfois suffisament bêtes pour marcher sur une voie ferrée peuvent réagir au sifflet, faire un grand saut et abandonner le statut d’obstacle en pleine courbe à 160. ( Le coup passa si près que le chapeau tombat aurait dit l’autre) Et puis tu as plus bête, les deux chiens de chasse, toujours en courbe sur une portion à 160, ceux là confirme leur statut d’obstacle et paf paf! Ça en a des souvenirs bizarre, les vieux. Je sors…

Sur cette route, il y a aussi des semi-remorques et des vaches en vadrouille (En plus de motards complètement zinzins). C'est effectivement une route espagnole. N152 entre Puigcerda et Ripoll.

Boudin blanc, pommes, oignons.