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Le Web des Cheminots

aldo500

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  1. Pas Coutras, non. Tu ne te fatigues pas, hein Kerguel. Il m'arrive de sortir à d'autres moments qu'entre les deux messes le dimanche et de m'éloigner un peu de chez moi (ou de PSL) Ce n'est pas Montparnasse.
  2. en attendant et pour passer le temps, une très, très facile
  3. Oui, sauf s'il les a encore. T'as intérêt à courir vite dans ce cas.
  4. Je ne te suis pas dans ton argumentation CRL Cool parce que personne ne me vend un horaire d'arrivée quand je prends ma voiture ou ma moto. Quand tu prends l'avion et que tu arrives 3h en retard, tu dis amen? Quand tu vas au restau et que le service pose problème, genre une couille dans le potage, tu apprécies un geste commercial. Le remboursement partiel, c'est un geste commercial. Ceci dit j'apprécierais par contre une baisse du péage sur autoroute quand il y a des zones de travaux très longues.
  5. Je rigolais. Je ne suis pas chez moi. Vas-y, Necro.
  6. Salut Assouan. Rien de mieux que l'eau pour stopper des radiations. Donc par bateau, c'est bien, une foi au fond de la flotte, on est à l'abri. De toute manière, il faut choisir, centrales thermiques au fuel, au charbon, nucléaire ou rien du tout? Je n'ai pas vraiment d'avis, mais c'est l'un ou l'autre. je me demande combien il y a de fumeurs antinucléaires. Je pense, sans dénigrer toute pensée écologique légitime que nous sommes à une époque d'enfants gâtés anti tout.
  7. Disons que question smartphone, l'iphone, c'est top. Pour la taille d'écran et d'autre utlisations, le netbook a un écran plus grand et un vrai clavier. Si tu veux tester mon Iphone un jour ou tu fais la réserve, tu me dis. Avec l'iphone, si tu aimes la musique, c'est bien aussi
  8. Une petite précision sur le lieu de la pause repas: Le Code du travail interdit à l’employeur de laisser ses salariés prendre leur repas dans les locaux affectés au travail. Pour éviter tout risque de procès-verbal dressé par l’inspection du travail en cas de contrôle, le chef d’entreprise doit veiller à mettre à la disposition de ses salariés un espace dédié à la restauration. L’existence d’un local de restauration peut provenir soit d’une décision prise par l’employeur, soit d’une demande formulée par les salariés eux-mêmes.
  9. Bon anniversaire, Géant Vert. Tu n'arrêtes pas de grandir, dis donc.
  10. 5224/5225 Lilles Rennes par Massy. Le journaliste a du vouloir dire: "entre Paris et Le Mans". Approximation sans grande conséquence.
  11. La première idée était de "dépénaliser". Pas vraiment libéraliser mais protéger de condamnations très lourdes possibles des personnes confrontées à de très grandes difficultés avec peu de solutions. Je me souviens d'une femme seule avec un enfant autiste qui lorsqu'il faisait des crises violentes n'était plus accepté dans aucun service d'urgence ni service de psychiatrie. Cette femme était seule avec sa gamine qui pendant le demi-heure de ma présence a tenté de se jeter par la fenêtre pendant que nous parlions et que j'ai rattrapée d'extrême justesse. C'était ça en permanence et quand j'ai vu l'épuisement de cette femme qui aimait son enfant, je me suis demandé à quelles extrémités je serais arrivé à sa place et surtout qui pouvait juger et surtout condamner une mère qui serait passée à l'acte. C'est l'intérêt d'une dépénalisation pour certains cas très difficile à condamner. Le problème, c'est aussi que se dédouane ainsi facilement de l'absence de structures pouvant aider dans de telles situations, et ça, ce n'est pas un problème simple. La dépénalisation m'inquiète beaucoup plus dans ses dérives prévisibles que dans son intention. C'est un débat qui de toute manière mérite d'exister s'il y a véritable débat car je pense que beaucoup de gens manquent d'informations et ne demandent qu'a prendre conscience des multiples problèmes posés. Mais c'est un débat qui doit être proposé de manière adulte et pas de manière politique au sens électoral du terme. Je pense que nos politiques et journalistes ne nous prennent pas pour des gens responsables, on le voit sur le problème des retraites.
  12. Moi j'aime bien les PSE. Je trouve l'emplacement de la boîte à leviers pratique. Je me demande pourquoi ça a été abandonné. (Préférence de vieux qui a fait son temps, je sais).
  13. Moi, je réserverais deux places dans le bon sens, une pour chaque partie du trajet. Je suis très obsessionnel et j'adore ça.
  14. Oui, mais un vécu personnel ne signifie pas qu'il faille légiférer forcément. Je continue mon partage d'expérience: @Assouan: 20/20 en ce qui concerne le partage: Un patient qui parle d'euthanasie ('est souvent pris à tort pour une demande), c'est qu'il a pas mal de choses à dire sur son avenir et la peur qu'il en a ou sur ses difficultés présentes. Donc, la moindre des choses, c'est d"abord d'écouter et ça, ça peut nécessiter de rester silencieux un bon moment. Il m'est arrivé d'écouter pendant une heure sans dire un mot avant de parler moi-même (ceux qui me connaissent apprécieront la performance), ensuite reformuler et faire reformuler, e, général, ça suffit à faire tomber toute ambiguité et s'apercevoir que 90% des plaintes étiquetées demandes d'euthanasie par les gens trop pressés ou non formés n'en sont pas. Vous voyez tout de suite qu'on se heurte, compte tenu tu temps que ça nécessite à un problème de temps donc de moyens (premier débat de société: on essaye d'aider ou on tue tout de suite, je simplifie bien sûr). Concernant l'euthanasie passive, ne pas utiliser ce terme qui fait qu'on ne sait plus de quoi on parle. Un euthanasie, c'est tuer un patient délibérément en lui administrant des substances mortelles. Un arrêt des traitements illégitimes a pour but de stopper des traitements qui ne font que rendre la fin de vie "invivable'. La plupart des gens qui se pensent pro euthanasie le sont avant tout par peur de l'acharnement thérapeutique. Donc, bien garder à l'esprit le sens des mots, les militants extrémistes savent très bien jouer la dessus pour obtenir des lois inadaptées. @ Gnafron: J'ai l'avantage de travailler à domicile, mais c'est la même éthique dans les unités de soins palliatifs; les patients et les familles sont les premiers concernés donc ils sont éclairés ou participent à toutes les peines de décisions. Ca ne veut pas dire, répondre aux questions sur lesquelles le malade ne veut pas entendre de réponse. Tu imagine là encore que ça prend du temps afin d'éviter tout quiproquo et toute mauvaise interprétation. Ca nécessite aussi de "suivre le patient et sa famille" dans ce qu'il sont et donc, de pouvoir intervenir très tôt pour comprendre QUI est le patient. C'est long mais on n'est jamais déçu quand on est totalement loyal; le patient et sa famille deviennent toujours des alliés extrêmement fiables. J'en suis épaté tous les jours et c'est ce qui fait que ce métier n'est pas triste du tout. La loi Léonetti a été écrite après un "Grenelle de la fin de vie" ou équivalent, les députés étaient au départ favorable à une dépénalisation de l'euthanasie mais on finalement écrit et voté une loi remarquablement bien faite. Elle donne enfin le droit au patient de s'exprimer en particulier lorsqu'ils souhaitent un arrêt des traitements. Il y a beaucoup d'autre avancées difficiles à résumer. @Zoreil41: Comme je le disais plus haut, ce dont tu parle sur les souhaits du bien portant ont abouti dans les pays anglo-saxons au "testament de vie" Testament fait quand tout va bien et rarement valable quand on est confronté à la difficulté. plus intéressante est la notion de personne de confiance introduite par la loi Leonetti qui permet à un proche désigné d'assister aux consultation avec le patient et de parler à sa place si son consentement éclairé n'est plus possible. Au sujet de Vincent Humbert qui était un cas très particulier, j'ai reçu à cette époque une lettre bouleversante qui m'a beaucoup fait réfléchir: Il s'agissait d'une jeune femme dans le même état que lui qui me disait, elle, désirer vivre à tout prix. Elle avait écrit des centaines de lettres aux députés, journalistes et autre association demandant la dépénalisation de l'euthanasie. Peine perdue, ça n'intéressait personne, elle voulait vivre. Je ne prétends pas qu'il existait des réponses simples aux demandes de Vincent Humbert mais une loi n'est pas la bonne réponse à un cas particulier très exceptionnel. Pour finir, il m'est arrivé un certain nombre de fois de constater les dégâts sur les proches d'une euthanasie passée réelle ou imaginaire. Des années après, une énorme culpabilité restait avec des questions impossible: n'était-ce pas trop tôt, qu'ai-je fait. Toujours se poser la question, qui demande l'euthanasie? Le patient (très rare), ses proches (moins rare), un soignant? Et pour le bien de qui, pour protéger qui? Pas sûr que la motivation profonde soit celle qui est exprimée à ce moment là. Donc d'accord pour discuter sur une loi sur l'euthanasie mais quand les soins palliatifs auront les moyens nécessaires à leur mission. Il y a de gros progrès mais on est encore très loin de ce qu'on pourrait faire. Après on verra ce qu'il reste à légiférer. Donc pour l'instant, débat de société qui repose encore sur le pognon. Sommes nous prêts à payer un peu plus pour une qualité de fin de vie bien meilleure ou non? Débat intéressant mais à ne pas laisser entre les mains des seuls journalistes quand on voit comment ils parlent des grèves de cheminots. (Oui, bon, je sais, argument déloyal sur un forum comme celui-là. Je suis un être abject) Merci de votre patience et de votre ouverture d'esprit. PS Le cas de Vincent Humbert relevait plus du suicide assisté que de l'Euthanasie, débat encore plus compliqué et beaucoup, beaucoup plus rare..
  15. Oui mon père m'a parlé très tôt du maire d'Eu.
  16. La, tu as raison, Gnafron. Je ne saisis pas bien le rôle du personnel SNCF dans la prise de déposition.
  17. Le titre est un peu vite écrit. Si le train a percuté trois morts, il n'y a pas mort d'homme!
  18. Rien à voir avec un "fichier" ethnique puisque ce n'est pas nominatif, si on avait le nom de l'agresseur, il n'y aurait pas besoins d'avoir sa description. Maintenant, se faire agresser et ne pas pouvoir donner une description de l'agresseur, ça va compliquer les choses. On peut dire qu'il est gros mais ne pas dire s'il est blanc ou noir, par exemple? Dans ce cas là, même pas la peine de porter plainte. On peut dire si c'est une femme ou un homme ou même pas? Je crois qu'il y a confusion des genres dans l'article entre un fichier informatique nominatif avec éléments ethniques et une fiche descriptive anonyme. Le politiquement correct finit par nous faire dire n'importe quoi. Par contre, les critères choisis sont assez approximatifs, effectivement.
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