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Maudebttn

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  1. Il n'y à pas de volonté de leur part, mais une volonté de la mienne. J'en ai marre que l'on perde autant de temps la dessus alors que l'intervention devrait se faire rapidement. Je fais ça en interne et pour mon propre compte (bien sur si c'est efficace sur le terrain une propagation du dossier est possible).
  2. Au niveau national nous avons 3 "spécialistes" des DBC, injoignables la plupart du temps car dans les "hautes sphères". Les agents SE.G dispose d'une "formation" approximative. La plupart du temps nous faisons appel à des entreprises extèrieure pour les changer ou en cas de panne importante le DBC est mis hors service le temps de trouver la raison. Sur un mois approximativement 12heures sont perdue face à la non qualification des agents qui rame à régler le problèmes. Les réglage eux sont assurés par une entreprise extèrieure aussi. Comme tu l'a précisé le DBC est un équipement premier de sécurité, nous voulons donc assurer le réglage et le remplacement des DBC en interne à l'avenir pour que les délais soient réduit et donc le système plus sur et surtout maitrisé !
  3. Donc voila ce que je sais déjà dessus : Le détecteur, placé en bordure des voies, est principalement constitué d'un détecteur de rayonnement infrarouge. Ce détecteur permet de mesurer la température des essieux d'un convoi passant devant lui, et, en cas de détection d'une "boîte chaude", de faire remonter l'information aux services compétents, qui feront stopper le train. Les détecteurs sont en constante évolution, afin par exemple de s'adapter à tous les types d'essieux et tous les diamètres de roues, qui font que la boîte d'essieu ne se trouve pas toujours à la même hauteur par rapport au rail, ou encore de supprimer les détections intempestives, dues par exemple aux rayons solaires qui peuvent venir perturber la cellule infrarouge, notamment lorsque le soleil est rasant. Les capteurs comportent une cellule photorésistante qui transforme le rayonnement infrarouge émis par la boîte d'essieu en une tension électrique proportionnelle à la température mesurée. Le signal électrique est ensuite amplifié et analysé par une électronique de traitement local. Une fois le passage du train terminé, les mesures (et les alarmes s'il y a des températures anormales) sont envoyées vers un poste de surveillance (système informatique archivant les données et signalant les alarmes à l'Exploitant). A quelle distance est placé le capteur permettant l'ouverture de l'opercule qui protège le laser ? Quelles sont les problème techniques ou autres les plus courant sur ce genre de système ? Quelles sont les diffèrence entre les DBC de génération 3, 4 et 4bis ?
  4. Je ne travail pas directement dessus. Nous n'avons pas de protocole, ni de logigramme et nous voulons en mettre un en place pour que, lorsque les personnes aillant des connaissances approfondi du sujet partirons en retraite les nouveaux agents ne perdent pas trop de temps et pourrons s'appuyer sur un dossier type (type de panne courante, que faire suivant les situations..). Actuellement nous perdons des heures suite à la non connaissance des agents SE.G. Actuellement il n'existe pas d'IN concernant les boites chaudes. J'espere que j'ai été plus clair dans ce poste !
  5. Bonjour, Je travail sur les detecteurs de boites chaudes le long des voies. J'ai du mal encore à comprendre comment les régler : si le detecteur donne une temperature ou compare les temperatures de boites d'essieux pour detecter une boite chaude ? Enfin voila, tous se que vous pouvez savoir sur les réglages et le fonctionnement ! merci
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