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Le Web des Cheminots

zoreglube

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Messages publiés par zoreglube

  1. Me suis abstenue jusque là mais...

    Côté interne :

    On pourrait arrêter de parler de "décennies" (bien qu'à partir de 20 ans cela en fait deux... certes !) alors que pendant ce temps là le nombre de voyageurs (en particulier du SERVICE PUBLIC) a explosé (ces 10 dernières années puisque nous sommes dans les approximations) ? Les problèmes n'étaient pas les mêmes il y a longtemps que récemment, ce n'est pas vrai ! Ils se sont déplacés. Et les conflits sociaux ne portaient pas sur les mêmes raisons, je ne critique pas mais :

    1/ les cris d'orfraie depuis des décennies sont vrais je n'en doute pas (mais il faut aussi savoir relativiser ce qui avait vraiment des conséquences et de ce qui relevait du "ne pas y toucher")

    2/ qui prend en compte l'incroyable progression du nombre de voyageurs quand on commence à leur proposer des moyens de transport adéquats et subventionnés ?

    NB : A propos d'outrance tu es toujours dedans JC (cela dit sans animosité tu le sais).

    Côté externe :

    on devrait regretter, tous - clients et cheminots - que la stricte application de directives européennes et leur interprétation "bécasse" par la Sncf, nous prive - tous - de la souplesse qui permettait de sauver un train avec un conducteur qui savait le faire rouler, du matériel qui n'était pas "dédié", des agents des postes d'aiguillage qui n'étaient pas coincés dans leur neutralité obligatoire.

    Ce n'est pas le sens de l'histoire. A chacun de faire ses comptes : les clients morflent souvent plus que les cheminots (qui n'ont surtout pas demandé ces évolutions).

    Les medias peuvent en faire leurs gorges chaudes et la société hurler sur le baudet, suis désolée de vivre dans le monde des bisounours mais :

    nous ne sommes pas si mauvais que cela.

    Bonsoir ,

    Et même très bon :

    En période de pointe ; les trains sont réutilisés le plus souvent dans la demi-heure qui

    suit leur arrivée en gare , le moindre retard ou panne peu perturber toute l'organisation ,et dans les journées programmées avec un nombre important de roulements , il est

    difficile voire de permuter un train ou trouver une rame de remplacement .

    Les agents de toutes filières , toutes fonctions et tous grades s'arrachent souvent le

    cheveux pour respecter le plan de transport demandé par VFE , qui parfois frise l'impossible :blush:

  2. Finalement, était ce tant un cauchemar dans un train si infernal ??? Combien sont morts de faim et de froid dans ces sordides "wagons" ??? Si on arrêtait un peu les grands mots et la catastrophisme dans toutes les circonstances inhabituelles. C'est pas le premier train qui subi un tel retard, c'est pas dernier ... L'année dernière, le 220 Venise-Paris a eu plus de 11 h 00 de retard. Qui en a entendu parlé ???

    Bonsoir , okok

    Ce n'était pas de " notre faute " , un train rendu à la frontière avec plusieurs heures

    de retard n'engage pas notre responsabilité nonmais

  3. La revue Prescrire "poil à gratter" de l'information sur le médicament

    PARIS - "Ayatollah" du médicament, pour les uns ou critique salutaire et poil à gratter de l'information médicale pour d'autres, la revue médicale Prescrire, en pointe sur plusieurs affaires de médicaments, se retrouve sous les feux des projecteurs pour son 30e anniversaire.

    Le 4 janvier, cerné de micros et de caméras, le Dr Bruno Toussaint, directeur de la revue, n'en revient pas :"je n'ai jamais vu ça".

    La raison de ce raz de marée médiatique ? La dernière livraison de Prescrire qui épingle directement trois médicaments "à retirer du marché", dont le buflomédil, vieux vasodilatateur "sans intérêt thérapeutique démontré", utilisé par 100.000 patients, responsable de problèmes de cardiaques et neurologiques parfois mortels.

    Rien d'exceptionnel pour la revue qui joue un rôle de vigie sanitaire. Mais en pleine affaire du Médiator, cela rencontre forcément un écho.

    Les autorités sanitaires envisagent d'ailleurs de le retirer de la circulation. "Une bonne décision, quand elle sera prise", lâche le Dr Toussaint.

    Fondée en 1981, la revue qui avait alerté sur les dangers du Médiator, s'enorgueillit d'une totale indépendance "zéro publicité, zéro subvention". Elle vit uniquement grâce à ses 29.000 abonnés, dont 15.000 généralistes (257 euros par an).

    Même "Xavier Bertrand, ministre de la Santé, s'est abonné, son cabinet reçoit la revue", assure-t-on au ministère.

    La rédaction est composée essentiellement de médecins et de pharmaciens.

    Chaque article fait l'objet d'un long travail d'écriture et de relecture interne et externe.

    Le professeur Jean-Paul Giroud, pharmacologue, membre de l'Académie de médecine, connaît Prescrire depuis sa naissance : "on peut ne pas être toujours d'accord, mais elle donne une information objective par rapport à l'ensemble de la presse médicale".

    Il note la "formation insuffisante" des médecins sur les médicaments et pour lui, "les visiteurs médicaux sont des hauts-parleurs de l'industrie pharmaceutique".

    Difficile, en effet de s'y retrouver parmi les quelque 12.000 spécialités commercialisées, dont une large part se copient entre elles, selon ce spécialiste.

    Le système d'autorisation de mise sur le marché n'exige pas de preuve de progrès thérapeutique, déplore Prescrire pour qui pouvoirs publics et agences sanitaires ont tendance à privilégier l'intérêt économique et celui des firmes, au détriment des patients.

    Aux "rayons des nouveautés", Gaspard, petit bonhomme au grand chapeau, mi-apothicaire, mi médecin de Molière, illustre le tri effectué par la revue : il botte au loin la gélule "à écarter" ou scrute la pilule "éventuellement utile".

    L'appréciation prend en compte la balance bénéfices-risques du médicament mais aussi sa valeur relative par rapport à ceux déjà disponibles.

    Mais Prescrire n'est pas "Proscrire", prévient le pharmacien Pierre Chirac. La revue fourmille de conseils thérapeutiques, de médicaments à retenir. Elle organise des tests de lecture, qui rencontrent un certain succès car c'est une façon de se former, de mémoriser et..."d'alléger des ordonnances".

    Chaque année, la revue dresse un palmarès des médicaments : Pilule d'Or s'il y a un réel progrès thérapeutique, "lanterne rouge" aux firmes qui font de la rétention d'informations.

    Dès 1981, dans son numéro 1, Prescrire se penchait déjà sur les effets indésirables de la nitrofurantoïne, un vieil antibiotique contre les infections urinaires (cystites), aujourd'hui sur la sellette en raison notamment de graves troubles hépatiques...

    Prescrire est membre d'un réseau international de revues indépendantes et du Collectif Europe et Médicament qui se bat pour une transparence bien difficile à obtenir.

    (©AFP / 08 janvier 2011 13h17)

  4. Bonjour ,

    Une ne passe pas une semaine sans qu'il y ait une actualité sociale , c'est à dire des salariés en grève ( et oui il n'y a pas qu'à la SNCF ) , des plans dit "sociaux" , ou

    des entraves diverses au droit du travail ( enfin ce qu'il en reste ) , ou des brimades

    et répressions diverses .

    Les médias , mis à part les " gros coups , l'Humanité Dimanche , l'Humanité , le Journal

    de LO et Marianne , et quelques journaux locaux indépendants , n'évoquent jamais cette

    actualité qui provoque des ravages , en particulier avec près de 80 000 emplois détruits

    dans le domaine de l'industrie .

    Pour débuter , un syndicaliste qui a eu le tort de faire valoir les droits les plus

    élémentaires

    http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/doux-procedure-de-licenciement-engagee-envers-un-delegue-cgt-08-01-2011-1168019.php

    • J'adore 1
  5. Bonjour

    je posais la question car il me semblait que la Z 8269 avait été radiée car détruite dans un des deux attentats du RER B ( Article Wikipedia sur les Z8100 )

    Bonjour ,

    Les informations du Kiki lotrelahelpsoso

    Quand on consulte l'article sur les BB 9200 on peut se poser des questions nonmais

    surtout à propos du chapitre à propos du début de leur carrière .

    Ce n'est pas la Z 8292 que j'ai vu à la station Laplace , mais une autre rame

    j'aurais du photographier le numéro de la motrice , mais bon je suis pas prêt de

    retomber sur cet engin mdrmdr mdrmdr mdrmdr

  6. Le médecin de Jackson a passé 1H30 au téléphone alors que la star agonisait

    LOS ANGELES - Le médecin personnel de Michael Jackson a passé près d'une heure trente au téléphone le matin du 25 juin 2009, notamment avec une hôtesse de bar, pendant que la star agonisait après une surdose de médicaments, a affirmé vendredi un témoin devant la justice californienne.

    Au quatrième jour d'audiences préliminaires devant déterminer si le docteur Conrad Murray, poursuivi pour homicide involontaire, doit passer en jugement, Dan Myers, de la police de Los Angeles (LAPD), a confirmé devant la Cour supérieure de Los Angeles que le médecin avait passé ou reçu 11 appels téléphoniques entre 7H01 et 11H51 le matin de la mort du chanteur.

    Selon l'accusation, le docteur Murray aurait administré à Michael Jackson la dose fatale de propofol -- un puissant anesthésiant que le chanteur utilisait comme somnifère et qui a causé sa mort -- entre 10H40 et 11H00.

    Selon M. Myers, Conrad Murray a notamment passé 32 minutes au téléphone avec son cabinet médical à Las Vegas.

    Une hôtesse de bar a également été appelée à témoigner. Elle semble avoir été en communication avec le docteur Murray au moment même où ce dernier réalisait qu'il y avait un problème avec Michael Jackson.

    Sade Anding a raconté qu'elle avait rencontré le médecin dans un restaurant au Texas, qu'ils avaient échangé leurs numéros de téléphone et que Conrad Murray l'avait appelée le 25 juin 2009 au matin.

    "Il m'a dit qu'il allait bien", a-t-elle dit, précisant qu'elle l'avait rapidement coupé et avait commencé à parler, avant de se rendre compte, après 5 ou 10 minutes, que le médecin n'était plus en ligne.

    "J'ai entendu de l'agitation, des gens tousser, des paroles indistinctes", a-t-elle ajouté, sans pouvoir dire s'il s'agissait de la voix du médecin.

    Sade Anding est resté cinq minutes de plus en ligne. "Je me souviens que je disais: +Allô, allô, allô ? Tu es là ? Tu es là ?".

    L'hôtesse a finalement raccroché, puis a rappelé le médecin et lui a envoyé des textos, mais sans obtenir de réponse.

    Le parquet estime que Conrad Murray a "abandonné son patient" après lui avoir administré le propofol, et considère que les soins qu'il a portés à la star étaient "très éloignés des critères requis".

    Les audiences préliminaires devraient durer environ deux semaines.

    Michael Jackson est mort le 25 juin 2009 à l'âge de 50 ans d'une intoxication au propofol.

    (©AFP / 07 janvier 2011 23h08)

  7. Salut ,

    Mémoire à Angers http://books.google.fr/books?id=4wQNAQAAIAAJ&pg=PA210&lpg=PA210&dq=catastrophe+ponts+de+c%C3%A9&source=bl&ots=IaiwfMD3D-&sig=AkGjehgfnK1Ugd2WJJBU5CyIHr4&hl=fr&ei=eX4nTYuAAsfpOci9wY8D&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=9&ved=0CFEQ6AEwCDgU#v=onepage&q=catastrophe%20ponts%20de%20c%C3%A9&f=false

  8. BONDS/Portugal: les taux d'intérêt de la dette de l'Etat s'envolent

    Lisbonne (awp/afp) - Les taux d'intérêt de la dette du Portugal ont battu de nouveaux records vendredi, renforçant les inquiétudes sur la capacité de financement du pays, sans pour autant entamer l'optimisme affiché du gouvernement qui veut encore croire qu'il évitera tout plan de sauvetage.

    Ce matin, à 09H15 GMT (1oH15 HEC), les taux des obligations à 10 ans du Portugal se sont envolés à 7,161% contre 6,957% la veille, du jamais vu depuis l'entrée du pays dans la zone euro, et en fin d'après-midi les taux à dix ans étaient toujours supérieurs à 7%.

    "Personne ne croit que le Portugal peut s'en sortir tout seul", a commenté Thomas Mayer, économiste en chef de la Deutsche Bank, pour justifier le regain de tension constaté ces dernières semaines sur le marché de la dette portugaise.

    Même au Portugal, une majorité de la population (47,1%) estime que le gouvernement "doit demander" l'aide du FMI et de l'UE, et ils sont plus de la moitié (50,8%) à considérer que "la situation du pays serait meilleure avec l'aide internationale", selon un sondage publié le mois dernier.

    "A ce stade, la question n'est plus de savoir si, après la Grèce et l'Irlande, le Portugal va recourir au Fonds de stabilisation européen mais quand il va le faire", a estimé pour sa part Filipe Silva, stratégiste obligataire à la banque Carregosa.

    Plombé par une dette estimée à 143 milliards fin 2010 (83,3% du PIB), le Portugal pâtit également de faibles perspectives de croissance, qui pourraient encore être limitées par le sévère programme d'austérité devant réduire le déficit à 4,6% du PIB d'ici la fin de l'année.

    Pour 2011, le Portugal a estimé ses besoins de financement net à 20 milliards d'euros, sans compter les 26 milliards de dette arrivant à échéance d'ici la fin de l'année.

    Mardi, pour sa première émission de l'année, le Portugal a réussi à lever 500 millions d'euros de dette à court terme, mais au taux de 3,686%, soit cinq fois supérieur au taux (0,59%) exigé il y a un an pour une opération similaire.

    Le secrétaire d'Etat au Trésor Emanuel Santos y avait pourtant vu le signe de la "confiance des investisseurs", se disant convaincu que le Portugal serait "capable de surmonter ces difficultés de manière autonome et sans l'appui d'entités extérieures".

    Vendredi, le Premier ministre José Socrates a à son tour affiché une nouvelle fois sa confiance devant le Parlement, où il a dressé la liste des "données très positives" enregistrées, selon lui, par le Portugal en 2010.

    "Les recettes fiscales sont au dessus des prévisions, la dépense de l'Etat est en dessous des prévisions et le solde budgétaire sera celui auquel le gouvernement portugais s'était engagé: 7,3% du PIB", s'est-il félicité.

    "C'est la meilleure nouvelle pour que les marchés financiers internationaux renforcent leur confiance dans le Portugal et que cela se reflète sur les taux d'intérêt que nous payons sur nos emprunts", a estimé M. Socrates.

    Pour les analystes, le véritable test aura lieu dès la semaine prochaine. Mercredi, l'agence de la dette publique a prévu d'émettre deux lignes d'obligations, à 3 et 9 ans, pour un montant entre 750 millions et 1,25 milliard d'euros.

    "Je comprends tout à fait la réticence des pays à demander un programme commun du FMI et de l'Union européenne", avait déclaré fin décembre l'économiste en chef du Fonds monétaire international Olivier Blanchard. "Mais, avait-il souligné, de tels programme peuvent aider."

    Vendredi, les tensions sur les marchés obligataires ont rejailli sur la Bourse de Lisbonne, en recul de plus 3% à la clôture, entraînée par le plongeon des valeurs bancaires, la BES et la BCP dévissant de plus de 5%.

    ds

    (AWP/07 janvier 2011 18h37)

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