Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Noisette

Membre
  • Compteur de contenus

    1 378
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Noisette

  1. Ca pour être perdant il l'est...
  2. Je veux bien mais il va être perdant j'suis pas marié !!!
  3. On sait toujours pas quel job tu fait le Troll ????
  4. Au fait tu bosse aujourd'hui
  5. T'es vraiment un pôv malhaureux toi
  6. Mon voisin conducteur sncf adherent fgaac est parti ce matin au boulot. Il craignait pour son épouse... Solidairement je me suis proposé pour faire le garde du corps rapproché, vraiment rapproché... A l'AG j'étais un poil en retard.
  7. Pas de quoi en faire un pataquès. Que dit-il ... ça peut arriver... ça arrive... Et alors !!! Tout le monde sait qu'il existe des burnes qui se mettent en maladie pour n'importe quelle raison. Congés refusés, plus assez de congés, flemingite aigüe, impossibilité d'assumer son état de non grèviste, impossibilité d'assumer la perte financière d'une grève, etc ... Rien de bien nouveau là-dedans.
  8. Après plusieurs jours d'absences sur le forum je constate que les mêmes "indécrotables" tiennent les mêmes discours... "indécrotables" L'évidence ils arriveraient à nier... Salut Pepe toujours amoureux ???
  9. Bon je sais pas si faut la faire... Tant pis je me lance... Plein à 8 heures... Soutient aux viticulteurs !!!
  10. Pour cette élection les votes blancs ou nuls représentaient 2,29 % des votants. Quand à ceux qui n'ont pas voté, pour savoir comment ils auraient pesé dans la balance, encore faut-il qu'ils votassent. Mais c'est valable pour toute les élections.
  11. Sincérement ça mérite, Pffff..., au moins..., et même.... mdrmdr
  12. Se méprendre par rapport à quoi ???
  13. Tu sais Jean tu peux argumenter de quelques manières que ce soit il y a sur ce forum de droles de types, des tristes sires, qui ne pensent qu'à croquer de la Cgt et qui sont persuadés détenir la vérité, ou tout du moins "leur vérité". M'enfin tu t'en rendra compte assez rapidement si ce n'est déjà fait...
  14. Comme Sarko en quelque sorte...
  15. Dans un scrutin à un tour, le candidat, l'OS, la liste, etc... qui receuille le plus de voix devient de part le fait majoritaire.
  16. Tu penses trop et mal...
  17. Résultats élection professionnelle des délégués du personnel: Exécution conduite Année 2006: CGT 35,33% - FGAAC 29,34% - SUD RAIL 22,24% - FO 6,60% - CFDT 3,25% - UNSA 1,93% - CFTC 1,31%
  18. Le lundi 01 octobre 2007, on pouvait lire également un article de: Louis-Bernard Robitaille La Presse Collaboration spéciale Paris France : Y a-t-il un premier ministre dans la salle? On saura à partir de demain, avec l'ouverture de la session parlementaire, s'il y a bien un premier ministre en France. Le mardi et le mercredi, à 15 h, c'est la période des questions au gouvernement. Un spectacle souvent stupéfiant et vociférant, où le chef du gouvernement tient la vedette. Les Français auront donc l'occasion de découvrir qu'ils ont un premier ministre, en la personne de François Fillon, 53 ans, élu de l'ouest de la France depuis 1981, éternel jeune homme souriant et sympathique, presque trop bien éduqué, marié à une Galloise prénommée Pénélope, père de cinq enfants et catholique pratiquant. Car, depuis sa nomination à la mi-mai par le président Nicolas Sarkozy, le nouveau chef du gouvernement a, comme le disent poliment les journaux, «beaucoup de mal à exister». Depuis quatre mois, Sarkozy est partout, sur tous les fronts, sur tous les dossiers grands et petits, et même sur les lieux des faits divers. Omniprésent à la télévision. François Fillon, lui, semble n'être nulle part. À la suite de l'élimination de poids lourds de la droite, tels Alain Juppé ou Philippe Séguin, Fillon s'était imposé, à six mois de la présidentielle. Et sans surprise, c'est lui qu'on retrouve à Matignon le 17 mai. Mais depuis, pas de nouvelles, ou presque. L'ironie de cette histoire, c'est que, en bon gaulliste moderne et réformateur, François Fillon venait tout juste, dans un livre publié en 2006, de théoriser la disparition à terme du poste de premier ministre, conséquence directe de la réduction de sept à cinq ans du mandat présidentiel. Mais en acceptant Matignon, Fillon ne pensait pas que son processus d'autodestruction irait si vite. Même sous un président tout-puissant, dont les nombreux conseillers doublaient et surveillaient les ministres sur les dossiers majeurs, le premier ministre était à tout le moins le patron de son cabinet et le chef officiel de sa majorité parlementaire. Et c'est lui qui, sur les instructions du président, avait la charge de rédiger les projets de loi les plus importants. La présidentialisation extrême décidée par Nicolas Sarkozy a pour le moins bousculé le schéma. À peine les élections législatives de juin passées, le président - qui n'a pas le droit de pénétrer à l'Assemblée nationale - s'empresse de réunir dans les salons de l'Élysée les quelque 320 élus de sa majorité. Pour leur adresser un véritable discours de politique générale pour l'année à venir, une sorte de discours du Trône que le premier ministre français prononce traditionnellement devant les députés en début de mandat. «Que restera-t-il à annoncer lorsque Fillon montera à la tribune du Parlement?» ironisent les observateurs. À quelques jours de ce fameux discours de politique générale, nouvelle fléchette qui vient se planter dans son dos: Claude Guéant, secrétaire général de l'Élysée, tout-puissant conseiller et jusque-là homme de l'ombre, se met à participer à des émissions politiques majeures. Où il déclare: «Le premier ministre n'aura pas à faire preuve de grande imagination puisqu'il connaît parfaitement le programme du président» Entre-temps, c'est Nicolas Sarkozy en personne qui, dès son élection, invite à l'Élysée les responsables des grandes centrales syndicales, alors que les affaires sociales ont toujours été traditionnellement le domaine privilégié de Matignon. Deux semaines plus tard, alors que le projet de loi sur l'autonomie des universités est mis sur la table et qu'il y a des grincements inquiétants du côté des organisations étudiantes, Sarkozy s'invite en personne à la table de négociations et boucle le dossier. Un peu plus tard, il s'invitera à la télévision pour annoncer en personne un ticket modérateur de 4 sur les consultations médicales pour financer le plan sur la maladie d'Alzheimer. Peu avant, il avait pris la tête de la délégation française pour aller à Bruxelles expliquer que le plan de réduction des dépenses publiques en France ne serait pas tenu en 2008. Lors de la libération des infirmières bulgares cet été, Fillon annonce un point de presse en fin de matinée. Puis l'annule en catastrophe pour assister, muet, à celui du président. Lequel finit en septembre par lâcher un mot malheureux en déclarant que le premier ministre est son «collaborateur». On a beau être affable et bien élevé, il y a des limites. Depuis environ deux semaines, le «collaborateur» s'est autorisé quelques mises au point acides sur l'explosive réforme des retraites ou sur «l'état de faillite» où se trouverait la France. Une manière de se poser, face au président, en véritable défenseur de la rigueur et de la «rupture». Bref, d'exister. Et, au passage, de passer à la télévision. Mais, dans ce système français ambigu et bicéphale où, malgré la présidentialisation galopante, le poste de premier ministre existe encore, François Fillon doit désormais se trouver un véritable rôle. Ou rapidement quitter la scène.
  19. Salut Jean, Le problème, et je ne sais plus qui l'a dit recemment sur ce forum, c'est que le "tous ensemble" par les temps qui cours a du plomb dans la couenne...
  20. Si, si on les voit, on ne voit qu'eux...
  21. No comment... :Smiley_40:
  22. Ca aussi c'est clair. Je rajouterai pour Aigle, que cette prime la direction la donne suite à un excédent de 610 millions d'euros enregistré pour le premier semestre 2007. La direction voulait même en contre partie de l'intégration de la prime de travail dans la PFA nous retirer un jour de repos et une petite flexibilité dans l'organisation du travail. Travailler plus pour ...
  23. La gratification est là parce que la direction a bien voulu la donner, personne ne l' avait réclamée. Vive eux !!!
  24. Moi ça me va bien, disons par hasard, le mardi 13... dans l'unité la plus large, moins les "prénégociateurs"...
  25. Faudrait-il en plus applaudir la minable augmentation que ses quatre syndicats ont acceptée...
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.