Ce projet a été mené exclusivement par les NS, la SNCB n'ayant qu'un avis consultatif.
Le cahier des charges était foireux dès le départ afin d'éliminer ALSTOM et SIEMENS. Une commission d'enquête parlementaire néerlandaise a relevé des indices de corruption dans le chef d'ANSALDO-BREDA et de responsables des NS, ce qui a poussé la Justice néerlandaise à enquêter sur cela.
Par ailleurs, le grand patron italien a été condamné par contumace en Inde pour corruption dans la vente d'hélicoptères. Il est sous le coup d'un mandat d'arrêt INTERPOL.
La SNCB a récupéré toutes les sommes investies, tout comme les NS plus récemment.