@NicoDPT
Merci pour ta réponse. Je comprends ce que tu décris et que ça puisse saouler en effet.
Je me permets quelques questions complémentaires :
Tu dis "dès qu'il y a un problème"... peux-tu me rassurer (ou m'inquiéter si ça se trouve ! ) :
Sans parler des petits tracas du quotidien mais considérons plutôt les situations suffisamment significatives pour dire qu'elles t'ont pourri une journée (voire plus) : quel est ton "ressenti" sur la fréquence du "dès qu'il y a un problème" ?
Réponse A - "à petites doses, mais tous les jours"
Réponse B - "pas tout le temps faut pas exagérer, mais trop souvent quand même"
Réponse C - "quelques fois dans la semaine ou dans le mois, mais suffisamment pénibles pour ne pas supporter"
Réponse D - "La réponse D" -----> (voyons voir qui reconnait... )
Ou autre bien évidemment...
Tu fais allusion à ces "indésirables" (appelons-les comme ça ) qui te polluaient plus qu'ils ne t'aidaient : tu avais un rapport hiérarchique avec ? (dans un sens ou dans l'autre), ou c'était des collègues au même niveau ? ou peut-être en transverse (autres services) ?
Et vis-à-vis de ta hiérarchie justement, tu te sentais soutenu ou au contraire elle en remettait une couche ? (ou restait peut-être neutre/passive/absente/je-ne-sais-quoi-d'autre...)
Je te remercie par avance.
@Fabr
Merci pour ton commentaire.
En effet, bonne idée que de s'isoler quand on en a besoin... mais c'est parfois difficile de faire comprendre à autrui que "ça se passerait mieux si tu me foutais la paix !" ... la politesse aide, c'est certain.
Bye
A+