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E.T.G.

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  1. L'élément à turbine à gaz 01 vient en avril 1997 d'arriver en gare de Lyon-Perrache (69), terminus du train qu'il assurait, et il rentre au dépôt de Lyon-Vaise. Il est dans ses toutes dernières semaines d'activité.
  2. La R.I.O. 88 Paca 004 dessert Nice-Ville (06) en mai 1997. Un bien beau travail que la rénovation de ce matériel, avec des aménagements intérieurs de même qualité que ceux des matériels neufs de l'époque.
  3. La BB67387 (une ancienne 67000) tractant un segment R.R.R. dessert la gare de Lyon-Part-Dieu (69) en septembre 1997.
  4. Des "poux" en septembre 1997. Le premier à Périgueux (24) et les suivants à Chalindrey (52).
  5. Lyon (69), août 1997: le X4691-XR8688 dessert la Part-Dieu et l'X4707-XR8704 démarre de Perrache côté Rhône.
  6. En septembre 1997, "photo de famille" avec les BB16689, 26015 et 16613 au dépôt de Mohon (08).
  7. Le 21 septembre 1997, les X2129 en tête de XR6100 et l'X2131 auquel sont attelées les XR6054 et 6040 relayent au dépôt de Bordeaux-Saint-Jean (33).
  8. La BB88501, ex 8501 désormais affectée aux remontes en remplacement des BB300, attend de rentrer une rame au chantier de la Scaronne. Lyon-Perrache (69), septembre 1997.
  9. En septembre 1997, l'X2862 attend le départ en gare de Clermont-Ferrand (63).
  10. La BB9623 se repose sur les voies en impasse côté Rhône de la gare de Lyon-Perrache (69) le 17 septembre 1997.
  11. Le 21 septembre 1997, le X2915 ferme la marche d'un train démarrant de Bordeaux-Saint-Jean (33) en direction de Bergerac ou Périgueux, mené par le X2226 et entre lequel et lui les XR6011, 6072, 6078, 6120 sont intercalées.
  12. Le 21 septembre 1997, lX2226 mène grand train puisqu'il démarre de Bordeaux-Saint-Jean (33) en direction de Bergerac ou Périgueux suivi des XR6011, 6072, 6078, 6120 et X2915.
  13. La BB7204 et sa rame passent Vérin (42) en direction du sud en août 1997.
  14. Août 1997, une Zézette, Z7100 (ici à quatre caisses) attend ses voyageurs en gare de Lyon-Perrache (69).
  15. Plusieurs R.A.P. (Rame Automotrice Postale) sont garées au triage du Mans (72) en octobre 1995. Elles ont été dépossédées de certains organes, utiles pour avoir une meilleure souplesse dans la maintenance des autres E.A.D. qui en partagent les mêmes. Huit éléments avaient été acquis par les P. et T. afin de transporter du courrier chargé dans des sacs eux-même mis dans des chariots entre centre de tri postaux. Ils ont été utilisés à partir de 1979 sur les liaisons Paris - Rouen, Paris - Caen et Paris - Lezennes (Lille). Hélas, dès la fin des années 80, cette administration se désengage progressivement du transport par rail et les trois relations sont progressivement abandonnées, avec une cessation en 1994. Entre temps, les éléments, qui avaient bien roulé, étaient passibles d'une Révision Limitée à partir de 1988, année dont les programmes de charge primitifs des Ateliers du Mans faisaient état du traitement de quatre d'entre eux avec leurs désignation et leurs dates de chantier, et pour lesquels certains approvisionnements avaient été lancés. Mais d'hésitations en incertitudes de la part de leur propriétaire, seul l'élément X94755-XR98755 sera finalement traité, les autres n'ayant que des opérations de prolongation malgré que le Mans avait prévenu que leur état présentait une corrosion avancée et que si rien n'était fait, ils deviendraient irrécupérables. Afin de continuer à les faire vivre, Sotteville, leur dépôt d'attache, tentait de les maintenir en état comme il le pouvait, sans engager trop de frais, allant jusqu'à boucher avec du polyester les trous dans les carrosseries! Après leur retrait de service, C.L.B.I. (Cannes La Bocca Industrie, qui assurait des révisions de voitures pour la S.N.C.F. et d'ambulants et allèges pour La Poste, rachète l'élément traité en révision dans l'espoir de le reconditionner en matériel voyageurs afin de le vendre à l'export, semble-t-il pour un réseau d'Afrique. Mais il ne sera jamais mis en chantier et lors de la liquidation de cette entreprise, le musée des Ambulants Postaux parviendra à le récupérer et à le faire convoyer sur son site, à Toulouse. Ces engins, qui techniquement sont des X4750, engins appréciés par la S.N.C.F. pour leurs qualités techniques, performances et coût d'exploitation va se porter acquéreur des sept autres éléments (65000 francs pièce, dans l'état dans lequel ils sont), en vue de récupérer leurs moteurs et convertisseurs hydrauliques et d'autres pièces encore. L'élément X94757-XR98757 était préalablement venu se faire expertiser aux Ateliers du Mans puis était reparti rejoindre Paris-Evangile, où ils étaient garés et où ils servaient de capacité de stockage pour La Poste. En effet, avant que la S.N.C.F. n'en soit propriétaire, Le Mans ne souhaitait pas que ces éléments encombrent ses emprises. Dès que la S.N.C.F. les a acquis, ils sont venus et certains ont été parqués au triage voisin après qu'il ait été récupéré dessus ce qu'il était intéressant de disposer, et avant une réutilisation ou ferraillage. Allant plus loin dans le raisonnement, la S.N.C.F. envisage de substituer leur motorisation à celles de X4300, pour lesquelles la maintenance est plus délicate ainsi que les performances sont moindres par rapport aux autres séries de motrices, en profitant de l'opération pour les moderniser. Cette solution présente l'avantage de récupérer les organes de ces motrices X4300, pour lesquels il devient difficile de trouver des pièces, malgré que certaines motrices de cette série avaient déjà été éliminées. C'est ainsi que la Direction de l'Action Régionale, qui gère les T.E.R. et négocie avec les Régions, propose ce scénario à plusieurs d'entre elles. La Lorraine, qui dispose déjà d'engins des deux séries, est intéressée et une convention est signée pour la fourniture de sept éléments modernisés, au titre d'une nouvelle desserte attractive mise en place entre Nancy et Pont-Saint-Vincent. Toutefois, lors de la confection des devis, les Ateliers du Mans vont s'apercevoir que le coût est élevé et vont proposer une autre solution dont pour l'occasion les calculs seront faits: la modernisation incluant de refaire toute la tôlerie, le fait que celle des caisses postales soit pourrie n'est pas gênant puisqu'elle sera systématiquement déposée et les chaudrons seront assainis par rapport à la corrosion. Cette solution est présentée comme bien moins coûteuse par rapport à une remotorisation des motrices X4300, qui aurait conduit à devoir en transformer les châssis afin de les amener sur le type X4750 (fixation des organes, modifications et autres adaptations, etc.): on entre dans la ferraille lourde et les changements sont réputés onéreux! Le fait de devoir ouvrir les faces latérales au niveau du futur fourgon, d'obturer les anciennes portes coulissantes et créer deux portes d'accès voyageurs ne grève pas le budget par rapport à simplement obturer sur des X4300 deux des quatre portes voyageurs. Quant à la charpente de caisse, elle est identique aux deux types de caisses au niveau des baies voyageurs, qu'elles existent ou que la face soit tôlée. Afin de limiter les coûts, seules les motrices, du fait des sujétions liées aux modifications du châssis sur les X4300, seront traitées, tandis que pour les remorques, il s'avérera préférable de traiter celles déjà aménagées pour le transport de voyageurs et attelées aux X4300 qui vont être arrêtées, qui bien que plus anciennes que les XR98750, sont en bien meilleur état. On se servira sur les X4300 arrêtées des organes dont on aura besoin (portes de fourgon et leurs glissières, appareillage de chauffage, etc., pour transformer les motrices postales en motrices aptes au transport de voyageurs. Ces motrices, qui électriquement sont déjà des Mors, garderont leur équipement, qui sera adapté en conséquence. Ce sont bien sûr des éléments X4300 arrivant à échéance de parcours de Révision Générale ou Limitée qui seront arrêtés, mais parmi eux, obligatoirement des éléments dont les numéros sont compris entre X4301 et 41, du fait de leur équipement électrique Télémécanique, motrices qu'il devient très difficile de continuer à faire vivre par quasi impossibilité de trouver des pièces, qui sont par ailleurs aussi utiles aux motrices X4501 à 4541. Finalement, devant les difficultés qui commencent à poindre pour la maintenance des motrices à équipement Mors, un élément Télémécanique sauvera sa tête en cédant son retrait de service à la motrice X4399, ce qui permettra de disposer de quelques pièces Mors en attendant le début des réformes massives, enclenchées peu après. Sacrifier des engins afin d'en récupérer les pièces pour permettre la maintenance des autres ou tout au moins la faciliter est parfois une décision sage et tout à fait rationnelle. Compte-tenu du fait que les services assurés par les E.A.D. consistaient dès les années 80 en des dessertes T.E.R. à forte proportion de voyageurs de seconde classe et qu'en dehors de certains cas particuliers (Lyon-Vaise et Nantes), il valait mieux disposer de XR8300 (12 places de première classe et 69 de seconde) chez les éléments non modernisés, on désignait pour modernisation de préférence des éléments formés avec des XR8500 (24 places de première classe mais seulement 49 de seconde). Dans ce cas des motrices X4300 à arrêter en échange de la reconversion des motrices postales, et compte-tenu de la contrainte d'arrêter des éléments Télémécanique, on ne s'est pas imposé de contrainte supplémentaire en ne désignant pas plutôt des éléments formés avec une XR8500 plutôt qu'avec une XR8300, afin d'éviter que cela devienne ingérable: derrière leurs ressemblances et leurs airs de famille, les E.A.D. n'étaient pas vraiment unifiés entre eux et de nombreuses versions et variantes existaient, tout comme pour certaines matériels modernes qui sous leurs airs semblables sont différents par leurs possibilités de fonctionnement et des aménagements intérieurs variant d'une Région à l'autre! Cependant, pour des raisons d'ordonnancement, Le Mans, disposant par le fait de destructions d'une remorque supplémentaire par rapport aux motrices, et afin de prendre en main les caisses en décalé mais de façon à ce qu'elles sortent ensemble (modernisation E.P.R. = 58 jours de travail pour la motrice mais 65 pour la remorque) avait l'habitude depuis fin 1988 de croiser, décaler, ou mélanger les remorques avec les motrices, ce qui fait qu'un élément entré avec tels numéros ressortait généralement avec une numérotation identique, la remorque n'était en fait que rarement celle entrée sous ce numéro: la plupart ont été maquillées et ont repris le numéro de celle qu'elles remplaçaient. Ce qui fait que les remorques des X4300 arrêtées en corrélation avec la transformation des motrices postales ne se sont pas forcément trouvées réellement accouplées avec la nouvelle motrice voyageurs réputée comme devant remplacer leur motrice d'origine: il y a la théorie, et la pratique! Bref, dans l'état dans lequel elles étaient avant d'être reconverties, on peut là aussi parler d'un véritable travail de reconstruction de ces motrices postales par les Ateliers du Mans, qui ont su transformer de véritables citrouilles corrodées en carrosses dignes d'accompagner les matériels de la nouvelle gamme T.E.R. avec un confort offert parfaitement acceptable obtenu pour un coût raisonnable, et offrant des performances dont elles n'avaient pas à rougir pour affronter leur nouvelle carrière et la modernité des années 2000.
  16. La BB67425 est garée en mai 1996 sur les voies desservant la rotonde de Longueau (80), en attente d'une intervention à l'atelier.
  17. Quand ça ne veut pas, ça ne veut pas : https://www.sudouest.fr/france/un-tgv-toulouse-paris-arrive-a-destination-avec-plus-de-sept-heures-de-retard-4171057.php?utm_medium=Social&utm_campaign=echobox&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3P8V_Ue8IYidvWz79rjS_coM4NYbVUxBDw3dKDyC_BJ2T0EWKFgXFnWQk#Echobox=1626426659
  18. Lyon (69), août 1997. En gare de Perrache, X2745 et 2723 en U.M.; Au dépôt de Vaise, la face "cachée" sur une caisse anonyme.
  19. Le 07 septembre 1997, la BB7303 en tête d'un express traverse à toute vitesse et en direction du sud la gare de Saint-Fons (69).
  20. Bordeaux-Saint-Jean (33), septembre 1997, deux T.E.R. arrivés côté nord viennent d'entrer en gare: _X2237 accompagné d'une XR6100; _X2119 renforcé d'un X2200.
  21. La BB8189 traverse la gare de Saint-Fons (69) en direction du sud le 07 septembre 1997.
  22. Le 28 septembre 1997 à Givet (08), l'élément automoteur X4374-XR8589 sort des garages puis attend l'heure de départ pour Charleville-Mézières. L'X4374 ayant tapé sur un passage à niveau, sa remorque XR8350 sera placée sur la X4570 en 1991 en remplacement de la XR8589 primitive détruite par incendie criminel à Châteaubriant en 1990 afin de restituer un élément bon pour le service. Cette XR8589 avait survécu en 1972 à la catastrophe de Vierzy dans laquelle elle était impliquée puisque positionnée en queue du train Laon - Paris. La XR8589 visible ici est donc en fait la seconde du nom, créée pour recompléter l'X4374. Pour cela, les Ateliers du Mans vont reprendre la XR8346 radiée en 1988 (collision à un passage à niveau). Devant les dégâts colossaux qu'elle avait subi et quitte à la réparer, ils reconstruiront cette remorque en la modernisant sous le numéro 8406 pour remariage avec la 4606 modernisée Bretagne, la 8406 d'origine sera quant à elle seulement reprise en Révision Générale sans modernisation (bizarrement, ses aménagements intérieurs resteront ceux d'une XR8300 et ne seront pas alignés sur le type 8500, anomalie répétée lors des échanges pour remplacer la remorque accidentée à Saint-Leu-d'Esserent et non réparée bien qu'elle pouvait être remise en état) puis accouplée à la 4374. On préférera créer une nouvelle 8589 plutôt que de reprendre le numéro 8346 puisque cette remorque était radiée.
  23. En septembre 1997, la rame TGV78 stationne en gare de Lyon-Part-Dieu (69).
  24. En septembre 1997, la CC6556 s'apprête à s'élancer de Lyon-Perrache (69) avec un train dont il le semble me rappeler qu'il allait à Modane et peut-être au delà.
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