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E.T.G.

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  1. Lyon-Perrache (69), 1998. Une rame T.G.V.-S.E. va aller se remiser à la Scaronne après être arrivée de Paris. A gauche, une R.T.G. arrivée de Bordeaux va de son côté rentrer chez elle, au dépôt de Vénissieux.
  2. En 1998, l'Y7484 en tête d'un train désherbeur, dans lequel figure une ex voiture Talbot, dort à Cambrai (59).
  3. Au printemps 1998, alors qu'ils assurent un train Périgueux - Ussel, les X2245 et 2837 en U.M. desservent Terrasson (24).
  4. En juillet 1998, stationnement nocturne pour les CC6517 et 6553 au dépôt de Lyon-Mouche (69).
  5. En novembre 2000, l'élément automoteur X4531-XR8529 redescend de Génolhac à Alès et passe le viaduc de Lardoux en amont de la Haute Levade (30). Un X4300 conventionné T.E.R. Centre/Pays-de-la-Loire assurant un Le Mans - Château-du-Loir passe dans les environs de Laigné-Saint Gervais (72) au début des années 2000. C'est à partir de cette époque que les X4300 modernisés par ces deux Régions ont commencé à arborer chacun les logos de chacune des deux, puisque leur utilisation (et leur livrée, bleu Isabelle dans les deux cas), était de fait complètement banalisée. L'élément automoteur X4309-XR8330 et un X4900 viennent d'assurer un aller-retour Alençon et vont maintenant rentrer au dépôt. Le Mans (72), 1998. Le X4300 ne sera pas fâché d'être désaccouplé de l'autre engin qui l'a brusqué à chaque démarrage, d'autant qu'à l'aller ce train desservait chaque gare, et encore quelques-unes au retour. Bien que limité à 120 km/h, se retrouver en U.M. avec un E.A.D. apte aux 140, en particulier les X4900, était en effet le pire qui pouvait arriver aux X4300 tant l'écart de puissance était significatif et la montée en vitesse des "grandes roues" était autrement plus rapide: 'faut suivre! Les éléments automoteurs diésels X4757-XR8757 modernisé T.E.R. S.N.C.F. en U.M. avec un X4900 attendent le départ du Mans (72) pour Argentan un soir de 1999. Ici en revanche, pas de souci de brutalité, les X4750 développant à peine moins de kw/t que les X4900, le X4750 s'accommodera très bien de son accompagnateur. Les X4750 se sont, à Sotteville, révélé des engins précieux en circulant très fréquemment en couplage avec les X4900, permettant d'accroître la productivité des seconds. Cela était encore plus vrai quand Sotteville ne disposait que des sept derniers X4900, dont le rendement était déjà excellent mais pas optimum, d'où ensuite la récupération des six de Marseille, qui pas mal utilisés, ne l'étaient toujours pas de façon maximum qu'on pouvait le faire. Les X4900 qui ont effectué toute leur carrière à Sotteville ont été plus véloces que ceux qui avaient commencé à Marseille, tout en leur étant plus récents. Depuis la fusion des deux parcs, leur moyenne kilométrique mensuelle unitaire est resté supérieure à 12000 km, et ce jusqu'à leur modernisation. Pour du matériel "autorails", à l'époque, c'est plutôt très bien. C'est le fait d'assurer de nombreux express qui leur a permis de conserver cette vélocité (même cause, mêmes effets, les premiers X4300 et 4500 frôlaient les 15000 km mensuels à l'origine). X4905/6 en tête, cette U.M. d'X4900 assurant un train Caen - Tours quitte le Mans (72) en 2000. L'X4905/6 est l'un des trois derniers éléments X4900 à avoir porté le sigle en relief jusqu'à sa modernisation. Et maintenant, des triplettes d'E.A.D. comme on savait les faire dans l'Ouest... En 1999, une U.M. d'un X4790, un X4750 modernisé T.E.R. S.N.C.F. et un X4900 démarrent du Mans (72) vers Tours et longent l'ancien embranchement de l'usine Carel et Fouché, déjà déferré. Cette usine a construit nombre de véhicules inox (dont beaucoup à l'exportation), réalisé les aménagements de certaines voitures Corail et ambulances et même construit de A à Z nombreux éléments automoteurs Z2. Au début des années 2000, l'X4767 Haute Normandie est en tête d'un train Caen - Tours composé également d'un X4750 T.E.R. S.N.C.F. et d'un X4900. Le convoi est vu dans les environs de Neuville-sur-Sarthe (72). La présence dans le coin des X4750 modernisés Haute-Normandie n'était pas très fréquente et résultait de multiples réutilisations au pied levé ou de l'enclenchement de l'un d'eux sur une journée de roulement d'un X4790 ou d'un X4750 ordinaire, car en temps normal, ils ne s'éloignaient guère de la ligne Rouen - Dieppe. En 2000, un beau train autorail Caen - Tours composé de sept caisses quitte le Mans (72) et passe devant le dépôt. Il est composé d'une U.M. d'X4750 modernisés Haute Normandie et d'un X4900. Avoir au niveau du Mans et sur le même train deux des quatre éléments modernisés Haute-Normandie relève encore plus de l'exploit qu'en avoir un seul. Hasard des remariages motrices/remorques pour des raisons d'ordonnancement lors de la plupart des modernisations aux Ateliers du Mans, les remorques des quatre éléments Haute Normandie ont chacune connue quatre livrées: rouge et crème d'origine, Ambulance, rouge vermillon et blanc T.E.R. 1987 puis bleu institution avec la livrée T.E.R. 1997. Par exemple, l'XR8771 visible en tête du train sur cette photo est en fait l'ancienne XR8677, originellement mariée avec l'X4680. Précisons qu'initialement, la Région Haute-Normandie s'était engagée pour la modernisation des dix X4750 passibles à court terme d'une Révision Limitée, que la S.N.C.F. lui avait proposée. Des problèmes financiers de cet Etablissement Public Régional ont empêché la sortie des six autres, qui ont finalement été réalisés par la S.N.C.F., sous son label et sur ses propres deniers: il était impensable à cette époque, de ne pas moderniser ces engins aux bonnes performances, qui allaient continuer à rouler aux côtés de la nouvelle gamme de matériels T.E.R. Sur ce modèle, six autres éléments furent désignés pour être pris avant leur échéance normale d'Opération Périodique afin d'accompagner la baisse de charge des Ateliers du Mans avant leur reconversion en centre P.R.M. (Pièces Réparables du Matériel) furent traités. Et, treize à la douzaine aidant, complétés par un treizième et dernier élément pour ajuster le plan de charge au Mans.
  6. L'élément automoteur X4335-XR8321, à l'aspect assez pimpant dû à une "providentielle" A.T.P.-P.R. (Autres Travaux Programmés-PRolongation de parcours) arrive à Munster (68) en 1999. Cet élément était arrivé dans un état de saleté et de défraîchissement déplorable à Metz quelques mois plus tôt en provenance de Tours, d'où il a été chassé par les X72500. En juillet 1998, l'X4504, en excellent état, stationne à Saint Omer (62) et partira pour Hazebrouck. Notre engin est garé à Hazebrouck (59) pour l'après-midi. On distingue, en particulier au dessus du logo, les limites basses des pares-brise originels caractéristiques des 41 premiers éléments. En 1998, une U.M. d'X4500 avec en tête l'élément 4535-XR8307 dessert Montdidier (80) alors qu'elle assure un train Compiègne - Amiens. Le X4535 n'est plus très loin de son retrait de service, mais pour autant, comme tous les engins affectés à Longueau depuis plusieurs années, il est resté présentable jusqu'à sa fin, preuve d'un excellent entretien des carrosseries. Le même train vu en format vertical: Ambiance nocturne de stationnement au dépôt de Fives (59), où plusieurs éléments automoteurs X4500 dorment, auxquels s'est ajouté un X4630 modernisé Picardie. 1998. L'élément automoteur X4605-XR8405, pas encore rénové mais dans un état impeccable stationne dans la remise du dépôt d'Amiens (80) en 1998. Si le dépôt d'affectation était Longueau, où se faisaient les opérations de visite les plus importantes, c'est à celui d'Amiens, situé à proximité immédiate de la gare que s'effectuait l'entretien courant. L'élément X4596-XR8625 dessert l'Escarène (06) alors qu'il assure un train Breil-sur-Roya - Nice. 1999.
  7. Début des années 2000, les Ateliers du Mans n'assurent plus de révisions d'engins, mais 30 caisses d'E.T.G. et 84 d'E.A.D. (77 rouges et crème et sept postales) ainsi qu'un ex fourgon Ouest y sont stockées en attente de démolition (un premier lot de matériel, comprenant aussi par exemple des Z5100 avait déjà été dépecé en 1997). Quatre caisses d'E.A.D. modernisés viendront s'y joindre, portant cette campagne de découpage à 119 voitures. Cinq locotracteurs ont obtenu un sursis pour avoir été revendus à Rail et Traction, société qui reconditionnait des locotracteurs dans un des hangars des ex Ateliers d'Oullins-Voitures, sans pour autant avoir été reconditionnés. J'ai organisé avec la direction de l'établissement une visite pour deux amis (et moi), et un agent de l'établissement nous guide dans ce vaste cimetière. Ces caisses seront finalement démolies en 2009/10. Si les E.A.D. "voyageurs" étaient de toute façon en fin de vie, les sept XR98750 présentes auront passé autant voire plus d'années à attendre leur sort funeste que d'années à être exploitées (onze à quinze années d'exploitation pour respectivement 16 à 12 d'attente de démolition). Quant aux E.T.G., le devis de 9,9 M.F. par élément, comprenant une R.G. + modernisation au standard E.A.D. pour deux motrices diésel et une TR21000 par élément, les transformant de fait en X4900 modernisés, a fait renoncer à ces travaux. Photo d'ambiance plutôt que de train, sur fond d'E.A.D. déséquipé de ses organes sous caisse, notre guide nous donne des explications sur l'Etablissement et l'organisation de la maintenance ou des procédures du retrait de service des engins.
  8. En 2001, une R.I.O. Paca approche de Niolon (13).
  9. Au début des années 2000, deux BB67400 tractant un "Cévenol" (autrement plus fourni qu'aujourd'hui) passent Jonchères (43).
  10. Au début des années 2000, la Z402 (Z92053/4) attend son prochain service en gare de Béthune (62)...
  11. Au début des années 2000, une BB67200 emmène un train de fret du Mans à Tours et dans lequel ont pris place deux BB66000 en C.V. Il passe ici entre Laigné-Saint Gervais et Ecommoy (72).
  12. Après les punaises de lit qui avaient paraît-il voyagé en voitures-couchettes, des rats dans des trains diurnes: https://www.lamanchelibre.fr/actualite-942492-normandie-des-rats-a-l-interieur-des-wagons?fbclid=IwAR1STrJpUBMTSaOkAHCwrmSfhXbGWgJSniObSeVTf1T5THVdb7FLQmWFnlo
  13. L'élément X4312-XR8306 est vu en gare du Mans (72) en 1996, sous conditions climatiques différentes, avec de la neige en février puis sous un beau soleil en mai.
  14. La CC72041 et sa rame assurant depuis et pour Paris l'aller-retour 2807-2814 viennent d'arriver à Laon (02) en mai 1997. L'engin moteur va être coupé puis fera le tour de sa rame pour se mettre en tête pour le départ.
  15. Au début des années 2000, la BB22385 tractant un train de fret passe Montsûrs (53) en direction de la Bretagne.
  16. Une BB67300 tractant des voitures U.S.I. T.E.R. Centre quitte le Mans (72) pour Tours en 2000. Les voitures constituant le train offraient des intérieurs très soignés après une rénovation réussie, pourtant à moindres frais, en réutilisant par exemple des sièges de T.G.V. Sud-Est eux-mêmes entrés entre temps en opération Rénov'1 et Rénov'2. Toutefois, la fermeture automatique des portes n'avait pas été appliquée, pas plus que l'incorporation de feux rouges fixes. Du bien beau travail cependant donc, à mettre à l'actif de l'E.I.M.M. (les Ateliers, en terme moins barbare) de Saintes, prouvant qu'il n'est nul besoin de dépenser des sommes folles pour mettre du matériel à un excellent niveau. On regrettera que ces travaux n'aient pas été U.S.I.tés, si je puis me permettre, pour ces voitures, dans d'autres régions.
  17. Un T.G.V. Atlantique se dirigeant vers la Bretagne brûle la gare de Montsûrs (53), début des années 2000. Au début des années 2000, une U.M. de T.G.V. Réseau traverse la gare de Montfort-le-Gesnois (72) en direction de l'ouest. Les poteaux caténaire datent de l'électrification Paris - le Mans (1937) et sont pour certains en cours de remise en peinture avec déjà appliquée la couche d'antirouille. Au début des années 2000, dans les environs de Crissé (72), un T.G.V. Atlantique file vers l'ouest. Avec l'ouverture de la ligne à grande vitesse Bretagne-Pays de la Loire, les T.G.V. n'empruntent normalement plus cette section de ligne.
  18. Tenez, j'ai retrouvé un vieil article concernant la suppression des trains de nuit: https://blogs.mediapart.fr/ouiautraindenuit/blog/160118/5-intox-de-la-sncf-pour-demanteler-les-trains-de-nuit?fbclid=IwAR2T6lFzoelB10IQuDawxGio40oPpzxjwh4fYZ-r_ziIQOKV2tLuLxFDrOU
  19. Les BB25576 et 25525 dorment dans le dépôt du Mans (72) en compagnie de deux X4900 et d'une BB9200 en août 1998.
  20. En juillet 1998, la BB25174 manoeuvre pour faire l'impasse de sa rame en gare d'Albertville (73).
  21. Assurant un train Caen - Tours avec une rame de voitures U.S.I./U.I.C., la BB67332 brûle la gare d'Ecommoy (72) en 1999. Au début des années 2000, une BB67300 tracte un train de fret en direction de Saint Pierre des Corps et passe entre Laigné Saint Gervais et Ecommoy (72).
  22. Axis, élément automoteur d'expérimentation de la pendulation, obtenu à partir des anciennes T2077 et 81, stationne non loin de chez Bombardier, qui l'a mis au point. Valenciennes (59), mai 1998.
  23. En 1998, dans la zone des raccordements ligne classique/ligne nouvelle Atlantique de Connerré (72) et BB25540 en tête, ce train de trémies vides retourne aux carrières de Voutré (en direction de Laval).
  24. Axis, élément automoteur d'expérimentation de la pendulation, obtenu à partir des anciennes T2077 et 81, stationne non loin de chez Bombardier, qui l'a mis au point. Valenciennes (59), mai 1998.
  25. Cohabitation pacifique entre un X72500 flambant neuf et l'X4208 au dépôt de Marseille-Blancarde (13) en mai 1998.
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