E.T.G.

Les Y8490 et X4723-XR8720 sont sur les voies de sortie de l'atelier du dépôt de Lyon-Vaise (69) en juillet 1996.

Les Y8490 et X4723-XR8720 sont sur les voies de sortie de l'atelier du dépôt de Lyon-Vaise (69) en juillet 1996.

Une BB16500 poussant un segment R.I.O. Nord-Pas-de-Calais démarre de Saint-Amand-les-Eaux (59) en août 1994.

La XR6101, grand-mère des XR6100, est garée en gare de Lannion (22) en septembre 1995, dans l'attente d'une prochaine utilisation. Autres photos que la première, visite de ses aménagements intérieurs première puis seconde classe. Elle est seule de sa série à porter le logo nouille sur chaque face frontale, il faut donc supposer qu'il s'est agi d'un essai lors de la chaîne de peinturage pratiquée sur les XR6101 à 10 de Rennes lorsqu'il a fallu les repeindre environ deux ans seulement après leur livraison de leur livrée d'origine rouge grenat en livrée T.E.R. 1987, variante vert perroquet. Par ailleurs, et toujours au sujet de ces redécorations, on pourra s'étonner que si logiquement les dernières XR6100 et les deux premières XR6200 attribuées à Rennes ont été livrées directement peintes en vert en remplacement de XR6100 rouges grenat affectées précédemment et mutées à Bordeaux, il ait justement fallu repeindre les dix premières remorques livrées, plutôt que les remplacer elles aussi par des XR6200 supplémentaires qui auraient été livrées en couleur verte également, évitant ainsi cette chaîne de peinture, en les mutant à leur tour là où les XR6200 en livrée rouge ont été livrées. Après examen des dates de repeinture et des livraisons, il ne semble pas que ce soit un problème de calendrier qui ait motivé cette façon de procéder, quand bien même le fait de disposer de remorques vertes à Rennes ne constituait pas une urgence en soi s'il avait fallu livrer des XR6200 vertes un peu plus tard que directement à la suite des deux premières. Précisons en outre que si la totalité des remorques de Rennes portait finalement cette livrée verte, pour une raison inexpliquée, seuls 28 des 35 X2100 avec qui elles circulaient la portaient également, et non tous.

Ambiance ferroviaire dans les Bouches-du-Rhône avec la traversée des gares de Berre, avec son bel abri en pierre; puis celle d'Aubagne. La seconde a bien changé depuis ces prises de vue (nous sommes en septembre 1995), avec la démolition de la halle à marchandises et l'aménagement d'un pôle multimodal, comprenant une ligne de tramway, et modification du plan de voies avec création de voies à quai en impasse côté Marseille. de plus, pour assurer une desserte périurbaine cadencée et fréquente, une troisième voie a été posée là où il n'y en avait que deux depuis Marseille.

L'élément automoteur X4528-XR8538 est stationné à la station-service du dépôt de Sotteville (76) en octobre 1995.

Que sur les rames entièrement première classe, me semble-t-il.

A ma connaissance, c'était un prototype, locomotive ayant subi des modifications pour mettre au point l'aptitude des 200 km/h. pour cette série. Donc un peu plus que de simples tests.

Mise en tête en gare de Mulhouse (68) de la CC72040 sur sa rame pour assurer un train Bâle - Paris en décembre 1995. Deuxième et troisième photos: la chose que nous sommes tous allés voir en voyageant dans une rame tractée.

Visite de la rame T.G.V. sud-est 11 en gare de Chambéry (73). Cette rame possède toujours ses aménagements intérieurs d'origine alors que nous sommes en août 1994. _Première photo, vue générale de la rame, qui a cependant été équipée de trappes d'attelage lisses; _deuxième photo:vue du pupitre de conduite; _troisième photo: intérieur de première classe; _quatrième photo: intérieur de seconde classe; _cinquième photo: intérieur de la voiture bar. Sur le pupitre, j'ignore à quoi sert la plaque en bois avec dessus inscrit "08E".

La BB22278, ex prototype des BB22200 aptes à 200 km/h. est en escale en compagnie de BB16500 et 67400 au dépôt de Fives (59) en octobre 1995.

On me signale par ailleurs une erreur de légende: il fallait lire que la locomotive est en livrée Corail+ (je confonds toujours les deux!).

L'élément automoteur X4436-XR8531 est en coupure à Verdun (55) en novembre 1995.

Divers matériels destinés à la maintenance des engins dont le dépôt a la charge sont vus ici à Marseille-Blancarde (13) en mai 1997.

Croisement d'une R.T.G. assurant un train Lyon - Bordeaux, dont on attend qu'elle dégage notre itinéraire pour repartir, depuis un Nantes - Lyon, peu avant d'entrer à Saint-Germain-au-Mont-d'Or (69), en septembre 1995.

La BB67373 est rutilante pour être sortie quatre mois plus tôt de R.G. aux Ateliers de Quatre-Mares, lorsque nous la voyons garée au dépôt de Rennes (35) en mai 1996. C'est la première et seule peinte en livrée Multiservices "bleue", les suivantes traitées avec cette livrée l'étant en rouge.

Oui, évidemment, faute de frappe. Et tu te compliques bien la vie à compter les caisses: rien que la couleur suffit à identifier le matériel.😉

Petit dernier de la série, l'élément automoteur X4625/26 entre en gare de Mézidon (14), en octobre 1995 alors qu'il assure un train Le Mans - Caen.

Après avoir vu la BB26070 sous le soleil méditerranéen en septembre 1995, nous la retrouvons quelques semaines plus tard à la tombée d'une nuit, en novembre suivant, alors qu'elle rentre au dépôt de Mohon (08).

L'élément automoteur Z9604-ZR19604 vient de se garer au milieu d'autres éléments dont le Z9628-ZR19628 dans les garages de Laval (53) en novembre 1995. C'est alors l'unique exemplaire de Z2 verte, qui a aussi gardé son sigle S.N.C.F. en faces avant mais non repeint dans la couleur de fond.

Ambiance avec les installations de la gare de Saint-Amand-les-Eaux (59) en août 1994.

L'élément automoteur X4718-XR8715 est en visite sur une voie sur fosse dans l'atelier du dépôt de Lyon-Vaise (69) en mai 1997.

La belle BB67542 avec encore ses enjoliveurs est garée sous le soleil du dépôt de Marseille-Blancarde (13) en août 1994.

Bien qu'il s'agisse ici d'un Atelier du matériel et non d'un "simple" dépôt titulaire (je reprends les anciennes dénominations pour bien marquer les différences), un beau reportage sur le Technicentre Industriel de Quatre-Mares: https://actu.fr/normandie/rouen_76540/video-pres-de-rouen-ces-agents-sncf-donnent-une-nouvelle-vie-aux-vieux-trains_57338081.html

Je ne m'inscrirai à rien du tout, pas besoin de tes belles théories, je constate. On voit bien des fois qu'on condamne le plus gros pour soulager le plus faible, je l'ai argumenté un peu plus haut. Le juge a ses textes, mais c'est un être humain, comme toi et moi, pas une machine qui tranche sans émotion ou pour arranger des intérêts. A partir de ce moment-là, puisqu'il y a un ressenti personnel qui intervient forcément, le jugement ne peut pas être rendu de façon respectant strictement le droit. Je crains que dans ce domaine, il y ait la théorie justement, celle que tu croies vraie, conforme et bien réalisée à chaque fois; et...la pratique. Pour des affaires similaires, les jugements ne seront pas les mêmes d'un tribunal à l'autre. Comment l'expliques-tu? Le code pénal et la loi est pourtant a même partout, non!? S'il y avait une normalité, les décisions rendues seraient identiques où qu'on soit. Tu le dis toi-même, il y a souvent des appels parce que justement la partie adverse estime que le jugement a été mal rendu. D'ailleurs, si les juges ne se trompaient pas, leur décision serait réputée définitive et indiscutable, il n'y aurait pas besoin d'y revenir. S'il y a eu des moyens de contester leurs décisions, c'est qu'on admet qu'ils ont pu se tromper, qu'ils ont condamné (ou pas) à tort une partie et qu'il faut faire modifier les décisions rendues.