Aller au contenu
Le Web des Cheminots

E.T.G.

Membre
  • Compteur de contenus

    3 473
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. Comme l'usage de walkman à une époque, qui faisait que beaucoup de candidats arrivaient à la visite médicale avec une surdité. Même partielle, ça ne passe pas pour certains emplois. Et ensuite, au delà de vouloir ou pouvoir conserver les candidats devenus embauchés, il y a la période d'essais, et tous ne donnent pas satisfaction, ou ont vu l'entreprise de l'intérieur, et ce n'est pas ce qu'ils attendaient, que le rapport avec le salaire soit fait ou pas..
  2. Généralement, ceux qui possèdent de telles voitures ont les moyens qui vont avec. Après, il ne faudrait pas non plus que ça augmente toujours car il viendra un moment où eux aussi ne pourront plus suivre.
  3. Ca me fait penser: leurs rames sont-elles homologuées pour circuler en U.M. en France, et leurs conducteurs formés à des itinéraires de détournement en cas d'obstruction de la L.G.V. ou autre?
  4. Bah du coup, en ce qui concerne la C.B., je veux bien que tu me la passe. Avec le code!🤣😉 Du coup, moi aussi j'ai eu à utiliser ce nouveau moyen pour acheter un billet. L'application semblait ne pas fonctionner, j'ai donc dû passer par internet. Comme YBE j'ai été surpris par la présentation de la destination "où allons-nous". Pour le reste, j'aurai envie de dire au final que c'est oui.voyages recarrossé mais j'ai tout de même galéré pendant une heure pour avoir le billet qu'il fallait. A un moment, j'avais tout finalisé, et au moment de payer, il y a eu un message d'erreur. Tout était à refaire. Tiens, après être passé ici je dois acheter des billets pour moi, je vous dirai ce qu'il en a été.
  5. Certes, mais Farandou a l'air d'avoir une réelle conviction personnelle, comparé à certaines personnalités qui ne se contentent que d'effets d'annonce. Après, il fera ce qu'il pourra avec ce qu'on lui donnera, mais si déjà lui-même en a envie, c'est déjà bien et un avantage.
  6. Ca fait un moment que ça dure. Un exemple qui date mais qu'on peut retrouver un peu partout en France: sur les anciens guides T.E.R., lorsque tu avais une relation interrégionale, genre Nancy - Charleville-Mézières, le guide T.E.R. Lorraine mentionnait toutes les gares situées sur le territoire de cette région et seulement les plus grosses gares situées en Champagne-Ardenne sur ce trajet, et inversement. A partir du moment où il s'agit d'une relation directe c'est tout simplement anormal: si tu voulais aller mettons de Longuyon à Carignan, tu ne trouvais de train direct dans aucun des deux guides, il fallait t'amuser à comparer les trains circulant et desservant dans un guide Montmédy (gare "frontière" ) et Longuyon sur le Lorraine, et Carignan et Montmédy sur l'autre. Vachement pratique...
  7. Et avec ce nouveau genre d'aléas, ce n'est pas terminé: https://www.liberation.fr/economie/transports/pour-le-gouvernement-les-travaux-du-rer-b-moins-essentiels-quun-concert-dindochine-20220214_MT2HGEB2WFGDTF65SR3UADPC6M/ On aura tout vu!
  8. Oui, c'était concomitamment à l'introduction des X73500. J'ai l'impression que tu t'égares là...
  9. Relève de mécaniciens à Lyon-Part-Dieu (69) en avril 1997 pour la CC6574, petite dernière de la série originelle.
  10. Une composition assez rare sur la ligne Nice - Breil-sur-Roya que deux X2200 seuls démarre de L'Escarène (06) et passe au droit d'un manche à eau, depuis longtemps sans emploi en avril 1998.
  11. Ne nouvelles photos du défunt E.P. (Embranchement Particulier) des Magasins Généraux du Mans (72) en mai 1996:
  12. L'élément automoteur X4412-XR8631 modernisé Champagne-Ardenne est garé en gare de Reims (51) en mai 1997. L'occasion pour nous de continuer l'examen de la dotation messine pour laquelle nous en étions arrêtés début 1987, à la veille des premiers éléments modernisés concernant ce dépôt. En effet, les X4300 de Metz viennent de conquérir une nouvelle zone de desserte avec leur substitution aux vénérables X3800 sur Sedan - Charleville-Mézières - Givet, dont le second tronçon est également souvent appelé ligne de la vallée de la Meuse, du nom de la rivière éponyme qu'elle longe sur une bonne partie de son parcours, en la franchissant plusieurs fois. C'est à ce titre que le Conseil Régional demande la modernisation de huit éléments, utiles à cette desserte, dont la livrée sera la bleue Isabelle. Dans la pratique, nos X4300 circuleront quelques mois jusqu'à Dinant en Belgique, desserte supprimée peu après. Les premiers éléments modernisés se payeront même le luxe de circuler en jumelage avec les Picasso, qui abandonneront la desserte en septembre. Le Conseil Régional financera également la modernisation de sept segments R.I.B.60 transformés en R.I.O.88 (quatre caisses), en remplacement des voitures Bruhat (les dernières au niveau national) qui circulaient encore au crochet de BB66000 sur les trains les plus chargés de la ligne. Ces segments rouleront aussi sur Epernay - Reims - Charleville-Mézières. Nous sommes à l'apogée du rayon d'action des E.A.D. de ce dépôt, malgré quelques privations précédentes pour cause de fermetures de lignes (Sélestat - Sainte-Marie-Aux-Mines, Laveline-Devant-Bruyères - Gérardmer, Mulhouse - Chalampé, etc.). Leurs incursions à Dinant n'ont pas été les seules en territoire étranger: nous mentionnerons Metz - Trèves (un aller-retour quotidien prévu au roulement des X4300 certains jours et à celui des X4750 les autres), Sarreguemines et Forbach - Sarrebruck (X4300), Strasbourg - Offenbourg (X4300) ou encore Mulhouse - Neuenbourg (X4300 également). Le premier élément modernisé est le X4376-XR8356, échangé avec Tours-Saint-Pierre contre le X4372-XR8348, modernisé lui aussi mais pour Centre, car le premier est arrivé à épuisement de potentiel et le premier Champagne-Ardenne doit sortir avant le premier Centre. Il était prévu devoir sortir pour fin avril mais sa transformation fut plus longue que prévue car il fallu rectifier son châssis, et il ne sera disponible que début mai 1987, au risque de compromettre la signature de la convention Région-S.N.C.F.! Au niveau national, c'est le deuxième élément modernisé mais premier qui soit "intégral", le tout premier, qu'on pourrait en quelque sorte qualifier d'élément numéro 0 étant le X4791-XR8791, mais il n'avait lui reçu qu'une modernisation des faces avant, un réaménagement des cabines et une nouvelle livrée, les portes restant celles d'origine et les aménagements intérieurs étant refaits à l'identique. Excentrés par rapport à leur dépôt titulaire, les éléments sont échangés avec lui chaque dimanche par le biais d'un canard boiteux tracté par une BB16500 emmenant chaque dimanche trois éléments à l'aller et trois autres en retour. L'apport de plusieurs éléments de Nantes, Tours-Saint-Pierre et surtout Nevers va permettre à Metz d'atteindre le 02 novembre 1988 son record pour le nombre de X4300 qui lui sont affectés en simultané, avec 97 éléments: 4304, 06, 17 à 28, 30 à 32, 38, 39, 41 à 45, 48 à 50, 52 à 55, 57 à 59, 61, 63, 64, 66, 68, 69, 73 à 78, 80, 81, 83, 84, 86, 88 à 91, 93 à 98, 405, 06, 08, 09 à 11, 14, 15, 17, 20 à 25, 27 à 29, 32 à 39, 42 à 51. Metz déplorera la perte de l'élément X4419-XR8587, radié le 03 octobre 1988 pour avoir été détruit par incendie criminel dans ce qui fut une attaque en règle: alors qu'il assurait le 26 novembre 1987 un W entre Forbach et Sarrebruck, il fut bloqué par des manifestants interrompant le trafic au niveau de la gare de Stiring-Wendel, qui étaient des mineurs de fond protestant contre la fermeture prochaine de leur puits. Le conducteur et le contrôleur furent invités à descendre avant que l'élément soit saccagé à coups de piolets: aménagements intérieurs détruits, réservoir à carburant percé puis motrice incendiée. Rapatrié sur les Ateliers du Mans, où on disait au sens figuré que lorsqu'elle est arrivée la motrice avait le ventre qui touchait par terre car la caisse avait bien banané sous l'effet de la chaleur, on ne put toujours sur la motrice ne récupérer que la traverse de tamponnement et la partie de châssis située sous la cabine et le fourgon. La remorque, dont les structures n'étaient pas touchées put cependant être réutilisée ultérieurement en remplacement d'une autre détruite par incendie criminel également: décidément! Le Conseil Régional, content du confort procuré par les X4300 modernisés, demande à la S.N.C.F. la modernisation de 18 éléments supplémentaires afin que cela puisse bénéficier à d'autres de ses relations: étoile de Troyes, de Reims, ligne de l'Argonne (Verdun - Châlons-sur-Marne), etc. Elle demandera également s'il est possible que ces travaux soient assurés par les Ateliers de Romilly, situés sur son territoire, mais la S.N.C.F. le refusera au titre que chaque Atelier est spécialisé dans une famille de matériel, que cela irait donc à l'encontre d'une bonne productivité et que si toutefois une telle charge de travail devait être attribuée à Romilly, ce serait en remplacement d'une autre charge équivalente qui lui serait ôtée, et que cela ne procurerait donc aucun bénéfice. Les modernisations de cette seconde tranche s'étalant de 1989 à 1994, et afin de ne pas adapter à chaque service le roulement dévolu à ces éléments compte-tenu de leur nombre, la Direction du Transport aura l'excellente idée de leur aménager très rapidement un roulement définitif sur lequel ils doivent être enclenchés en priorité, et dont les journées, mécaniquement, seront de plus en plus souvent couvertes par des éléments modernisés, au fur et à mesure qu'ils seront disponibles. L'envoi du X4435 (choisi car il devra bientôt être modernisé) le 28 août 1989 à Tours-Saint-Pierre pour lui permettre de supporter les immobilisations liées aux modernisations (le parc autorails et éléments automoteurs est à cette époque déjà dans une situation très tendue) met fin au record de Metz avec ses X4300. La fermeture regrettable à l'entrée su service d'hiver 1989 des lignes Remiremont - Bussang et Cornimont ainsi qu'Epinal - Mirecourt démobilisera six X4300 qui feront la joie du dépôt de Nevers. Les échanges de X4300 afin de traiter en modernisation ceux qui sont justiciables d'une Révision en corrélation avec leur future Région d'adoption continuent. Un chassé-croisé commence aussi en 1991 entre Metz et Sotteville et leurs X4750 afin de profiter du passage de plusieurs d'entre eux en Opération Périodique pour les équiper de modifications sécuritaires (K.V.B. et R.S.T.) en n'équipant de ces engins que Sotteville pour le moment. Metz recevra également cinq X4750 en supplément afin de pallier le départ de ses sept X2700, appelés à se regrouper avec les autres à Lyon-Vaise et y étendre le rayon d'action de la série en assurant en plus la desserte des Cévennes et du barreau lozérien, celle de Nîmes - Le Grau du Roi, avec un aller-retour Lyon - Clermont-Ferrand et Clermont-Ferrand - Nîmes pour les amener à pied d'oeuvre. Afin d'atténuer leur départ et la perte de confort résultant de leur remplacement par des X4750 non modernisés, quatre de ces derniers dont Metz est déjà titulaire seront modernisés en 1992 et 93, sur le modèle E.P.R. modernisation intégrale, avec application de la livrée jaune Lithos, mais dont cette modernisation sera exceptionnellement financée par la S.N.C.F., puisque c'est à sa demande que le retrait des X2700 qui officiaient sous la bannière Lorraine lui ont été retirés. Les échanges se poursuivront de nombreuses années, jusqu'à 1994 pour les X4300, année de fin de modernisation (Pays-de-la-Loire), tandis que les échanges de X4750 continuent, y compris pour couvrir des modernisations pour Haute-Normandie. Dans ces échanges, Metz ne recevra pas que des éléments frais, il héritera en particulier du X4335-XR8321 dans un état de saleté repoussant, que Tours-Saint-Pierre n'a pas eu honte de lui envoyer ainsi. Le Mans, confronté à une pénurie de pièces, en particulier de composants électriques Télémécanique (montés sur les X4301 à 41 et 4501 à 41) demandera à la direction du Transport la tête d'un élément afin de le dépouiller et se donner un bol d'air pour assurer la maintenance des autres éléments qui en devient très problématique. C'est le X4305, ayant épuisé son potentiel de révision en septembre 1992, qui est désigné pour être arrêté. Mais la pénurie de matériel aidant, il bénéficiera d'un sursis avec une A.T.P. de six mois ou 50000 km parcourus, le premier critère entrainant la chute de l'élément, assorti d'une mutation à Metz, qui procédera finalement à sa radiation le 08 mars 1993. Nous voilà rendus en 1996, qui va voir des nouveautés et c'est à partir de là que nous poursuivrons cette étude.
  13. Le Y8157 va évacuer de la gare de Brive (19) et la remiser sur une voie de garage une rame Corail arrivée quelques minutes auparavant au crochet d'une BB26000, en juin 1997. Remarquer à côté l'agent avec son chariot de gare. Une époque révolue...
  14. La BB25628 est rutilante sous le soleil de Cannes (06) en avril 1994. Remarquer en arrière-plan l'allège postale comme neuve également. Et pour cause, elle sort de Révision Générale ou Limitée à l'usine C.L.B.I. (Cannes-La-Bocca-Industrie) toute proche.
  15. La rame TGV112, désormais affectataire des chemins de fer suisses mais ayant gardé son logo S.N.C.F. puisque c'est cette dernière qui l'exploite, nous fait l'honneur d'une petite visite en gare de Lyon-Perrache (69) en mai 1997, comme ça arrive parfois aux rames tritension en creux de roulement. Sur la dernière photo on distingue très nettement le capteur du système de sécurité Signum, dont la pose a nécessité un découpage de la jupe sous laquelle il est situé.
  16. Oui mais justement, à ce moment-là la filiale n'existait pas et c'est la S.N.C.F. qui apportait le matériel nécessaire aux dessertes. Or dans ces dessertes intéressant deux administrations, il est de bon ton que chacun fournisse les moyens d'exploiter le service. Les suisses ne disposant pas eux-même de rames aptes à circuler sur la L.G.V. sud-est, la seule solution a été qu'ils reprennent à leur compte deux des neuf rames sud-est dévolues à ce service (qui ont été les 112 et 114). Bien sûr, pour des raisons techniques ces rames continuaient à être entretenues et exploitées en banalité avec les autres, les C.F.F. s'acquittant des factures relatives à leur entretien et d'une façon plus générale à leur exploitation. @ Laroche: ce post apporte en même temps les réponses à ta question.😉 Bon, du coup, ce n'est pas le tout mais je vais devoir reposter mon précédent post dans la bonne section. Du coup peut-être Assouan peux-tu supprimer mon post précédent ici ou le masquer? Merci. Parce qu'en fait je suis désolé, mais j'avais prévu de vous poster des photos de Duplex et en déroulant mon vivier à publications pour les chercher je suis tombé sur ces photos de sud-est et je me suis dit "tiens, comme j'ai pour l'instant davantage de photos de rames sud-est prêtes à être publiées que de Duplex, je vais plutôt leur mettre celles-là", et j'ai oublié -c'est bien moi- de changer de topic pour l'occasion.😞 Et pour la peine, voici les photos prévues initialement: _en gare de Lyon-Perrache (69), la rame Duplex 212 attend d'aller se remiser au faisceau de la Scaronne en août 1997.
  17. Oui mais justement, mon propos visait à dénoncer que seulement vingt ans après que la ligne ait été refaite à neuf, il faut déjà y revenir. Je n'ose pas croire que depuis cette réfection au tournant des années 2000 les X2200 et XR6200, X4300, 73500 aient bousillé la voie au point de devoir déjà y revenir (on a connu des engins plus agressifs pour les voies que ceux que je cite plus haut). Et comme le souligne Laroche, ils ont changé les traverses sur 20 km. Elles seraient donc davantage usées à certains endroits qu'à d'autres alors que toutes supportent le même trafic où qu'elles soient? A moins qu'il s'agisse de refaire 20 km cette fois et le reste dans un an pour phaser les travaux et étaler les paiements, mais cela n'explique toujours pas pourquoi il faut déjà faire de tels travaux alors qu'encore une fois tout avait été intégralement refait il n'y a quand-même pas si longtemps que ça
  18. L'élément automoteur X4795-XR8795 vient d'être raccordé sur une U.M. de X4750 en gare du Mans (72) en avril 1996 et l'agent venu participer à l'essai de freins récupère son matériel avant d'aller assurer une autre tâche. Notre train est désormais bon au départ pour Caen. Remarquer juste à côté et desservant la gare alors qu'elle assure un train Bretagne - Paris une des deux seules rames Atlantique peinte avec la dominante blanche, en l'occurrence la 302.
  19. La rame TGV112, désormais affectataire des chemins de fer suisses mais ayant gardé son logo S.N.C.F. puisque c'est cette dernière qui l'exploite, nous fait l'honneur d'une petite visite en gare de Lyon-Perrache (69) en mai 1997, comme ça arrive parfois aux rames tritension en creux de roulement. Sur la dernière photo on distingue très nettement le capteur du système de sécurité Signum, dont la pose a nécessité un découpage de la jupe sous laquelle il est situé.
  20. La BB15035 est prête au départ en gare de Paris-est (75) en août 1994.
  21. Un élément automoteur diésel X4900 reliant Le Mans à Alençon est sur le point de franchir un passage à niveau désaffecté (dont les routes d'accès ont été barrées ou cassées) dans les environs de Neuville-sur-Sarthe (72) en mai 1996.
  22. Rame de train désherbeur garée au dépôt de Lyon-Vaise (69) en mai 1997.
  23. L'élément automoteur Z2 Z11514-ZR111514 dessert Longuyon (54) en août 1994.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.