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Le Web des Cheminots

E.T.G.

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Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. Commande de métros pour Alstom: https://www.lefigaro.fr/societes/metro-du-grand-paris-alstom-fournira-les-metros-automatiques-de-la-ligne-18-20211011
  2. Maquette d'une B5uxh ayant servi à effectuer des essais d'aérodynamisme pour la mise au point de ces voitures, préservée par le chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72):
  3. C'est ce que je suggérais déjà dans un post publié le 30 mai...
  4. Je reviendrai plus en détail très bientôt sur ce constructeur. Voici pour commencer une maquette de l'usine du Mans (72), démolie en 1987 pour sa plus grande partie, et dont les emprises ont été reprises pour construire des logements, quelques bureaux d'administrations et surtout, un lycée, le lycée Marguerite Yourcenar. La maquette est préservée par le chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72). En bonus, deux vues d'un film qui y est diffusé tronqué (j'en possède une version complète), dont le sujet est la fabrication d'un élément automoteur Z2, de A à...Z! Beaucoup de ces éléments ayant été fabriqués dans cette usine.
  5. Pupitre et moteur de X3800, préservés au chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72):
  6. Pupitre de X4300 ou 4500, préservé au chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72):
  7. Pupitre préserve d'une Z5300, vu au chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72) cet après-midi:
  8. E.T.G.

    Le Bar de la Rotonde

    En déplacement du côté de Connerré (72) cet après-midi, j'en ai profité pour enfin passer sur la tombe des victimes de l'affaire Leprince : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Affaire_Leprince Hasard de calendrier, France 2 a diffusé samedi une émission (Au bout de l'enquête, la fin du crime parfait) à ce sujet, qui repassera ces prochains jours.
  9. Minette, la "gardienne" du chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72), qui y a élu domicile, rencontrée cet après-midi lors d'une visite privée qui nous a été offerte à un ami et à moi: video_20211011_154157.mp4
  10. Dans le lien de Gom, on apprend toutefois que les postes à pourvoir le sont pour un service qui commencerait le 01 décembre, et pas mi novembre.
  11. Édit: effectivement, je n'avais pas ouvert le lien que Gom avait posté. Vu sous cet angle, ok. Et donc, dont acte.😏
  12. Bien sûr que si, c'est possible, mais tu ne vas pas arriver la semaine prochaine avec ton touret de câbles et ton tournevis: cela nécessitera un minimum d'études, puis la réalisation des travaux. Autant dire que ce ne sera pas prêt pour juin prochain, ni même décembre 2022. Et même si une telle opération ne coûterait pas des millions, qui paiera? Ce sont des lignes qui n'attirent ni le public, ni les crédits. On ne les entretient déjà pas comme il le faudrait... Lorsque tu dis que pour ceux embauchés le 22 octobre pour un démarrage du fret en novembre le délai (trois semaines) te paraît plausible, le temps de les former ligne et engins, certes, tu n'as pas parlé d'agents S.N.C.F. (c'est moi qui ait fait un raccourci dans mon propos, je te le concède) mais de gens qui auraient de toute façon déjà une expérience de conduite, sans quoi ce n'est pas possible. Et qui proviennent donc de compagnies privées si ce n'est pas de la S.N.C.F. Sauf que le 22 octobre marque le dernier délai pour postuler. Le temps que Railcoop fasse le tri dans les candidatures, qu'elle fasse passer toute leur procédure d'embauche (entretien, visite médicale, tests, etc.) et qu'elle fasse signer leur contrat de travail aux candidats retenus, qui devront se libérer pour commencer leur formation, il n'y aura matériellement plus le temps de leur faire apprendre et signer la ligne et le matériel pour le démarrage du fret. C'est donc cela qui me fait penser que les candidatures qui doivent être déposées pour le 22 octobre dernier délai ne sont pas en rapport avec le trafic fret mais bien pour assurer la liaison Lyon - Bordeaux.
  13. Elle n'est pas à moi, mais une belle voiture, une DS21 de 1971, rencontrée cet après-midi au chemin de fer de Sémur-en-Vallon (72):
  14. Oui, mais qui te dit que ce sont des ex agents S.N.C.F.? Certes, le temps de faire le tri et d'embaucher ceux qui seront retenus parmi ceux ayant candidaté pour le 22 octobre et le temps de les former (je parle là de candidats n'ayant pas d'expérience dans le chemin de fer), on ne sera peut-être plus très loin de la date envisagée a l'origine en juin?
  15. Ceux pour qui la date de candidature est le 22 octobre sont peut-être ceux prévus pour Lyon - Bordeaux, tandis que ceux devant démarrer leur service le 14 novembre avaient été embauchés précédemment?
  16. Si c'était le cas, les autres voyageurs n'auraient quand-même pas pris fait et cause pour lui...
  17. Je pense que si: ils ne pourront pas tenir en haleine leurs futurs embauchés "ah ben, on ne roulera que dans six mois, revenez à ce moment-là", car ces gens faute de travail iront voir ailleurs et si ce sont des gens à qui ils ont payé une formation l'investissement sera nul. Autre possibilité : les payer à partir de mi-juin sous une forme de chômage technique, jusqu'à ce que ça roule effectivement, mais l'entreprise risque d'y laisser des plumes et en l'absence de recettes elle ne pourra pas tenir longtemps. Ou pour ceux qui seront d'accord leur faire conduire des trains de fret ailleurs en attendant que la situation se décante. Et attention aux sociétaires qui à force d'attendre et alors que rien ne vient vont vouloir reprendre leurs billes... Problème citation multiple... Je ne suis pas inquiet pour les compétences, qui ne sont pas a mettre en cause, des agents-circulation qui seraient affecté à ce travail d'autant que ce sont forcément des agents S.N.C.F. Mais réaliser des travaux pour télécommander les entrées et sorties de voies qui n'écoutent que peu de trafic, je n'y croit pas. Alors je comprends qu'on n'aie pas envie de payer un agent pour un ou deux trains sur son service. Ni la S.N.C.F., ni Railcoop si on lui imputé les frais, dont la position sera plutôt de vouloir payer un accès clefs en mains au réseau, et non le sillon, plus le poste de l'agent-circulation ici, plus... Et cela risque d'obérer son modèle économique.
  18. Quelques précisions ici sur les sillons (et leur périphérie) qui posent problème: https://www.sudouest.fr/economie/transports/la-nouvelle-societe-ferroviaire-railcoop-attend-le-deblocage-des-aiguillages-par-la-sncf-6425020.php
  19. Le projet avance: https://www.lalsace.fr/economie/2021/10/10/euroairport-la-liaison-ferroviaire-a-l-enquete
  20. J'ai bien fait d'aller voir les gars à mon ancien club de modélisme sur Le Mans ce matin: un ami était passé me voir chez mes parents cette semaine pour une édition de prochaines cartes postales ferroviaires (et même une routière). Nous avions parlé de presse ferroviaire et en particulier j'apprenais que La Vie Du Rail n'éditerait pas le tome II du livre "La longue marche du dépôt du Mans", et que l'auteur, un conducteur retraité, allait l'éditer à compte d'auteur. En arrivant au club ce matin je voyais finalement le tome II dans les mains de l'ami en question et après l'avoir feuilleté il m'indiquait que ce livre était disponible à la manifestation "la 25ème heure du livre", au Mans, manifestation qui se terminait aujourd'hui, et que je pourrais même me le faire dédicacer. J'y suis donc allé et j'en ai profité pour acheter deux numéros du magazine La Vie Mancelle et Sarthoise, contenant des dossiers sur le chemin de fer au Mans, et donc ce fameux tome II, sorti des imprimeries avant-hier seulement! Et avec l'auteur nous avons discuté de ce qu'il serait bien maintenant d'éditer un livre sur le triage, les Ateliers et le complexe ferroviaire du Mans. On pourrait même y ajouter une petite partie au sujet de feu l'usine Carel et Fouché, qui y était établie. A nous de nous unir et de chercher dans nos carnets d'adresses, nous connaissons chacun des gens bien placés qui du fait de leurs anciennes fonctions peuvent nous aider et il faut en profiter avant qu'ils ne disparaissent. Tome II de La longue marche du dépôt du Mans", format 21 x 29,7 cm, 160 pages, 32 euros (29 pour les membres de l'Afac, où il sera distribué au siège à Paris). Place aux photos (excusez-moi, pas moyen de les mettre toutes en vertical):
  21. Chez des amis dans la Sarthe, à l'instant:
  22. Bien vu, ADC01!👍 On aura certainement des précisions d'ici quelque temps afin de clarifier ce point.
  23. Bien sûr, mais ce que je voulais faire remarquer, c'est le cité indigeste du truc. C'est lourd comme un cheval mort mais je sais bien qu'il faut que ce soit cadré, codé et formalisé comme ça l'est, tellement nous vivons dans un monde procédurier et qu'en cas de litige seuls les textes, dont les contrats, feront foi. Cependant je reste persuadé qu'il y aurait moyen de faire un peu plus simple en faisant un peu moins de chichi sur certains points.
  24. Les passages en doublettes restent effectivement un grand classique. Je tempèrerai toutefois le propos de l'article cité au sujet des gens qui deviendraient réticents à ce qu'un tiers passe avec eux car certains, qui sortent de la zone contrôlée proposent d'eux-mêmes et d'emblée de leur valider un passage avec leur propre carte Navigo par exemple mensuelle ou annuelle (puisque les voyages sont illimités et donc une validation supplémentaire ne coûte rien) à des individus qui attendent qu'un entrant passe et qui devinent donc qu'ils sont sans titre de transport. Paradoxalement, d'autres qui ont perdu leur carte n'ont comme seule inquiétude qu'autrui, qui l'aurait trouvé, l'utilise, sachant pourtant que ça ne leur portera aucun préjudice (la refabrication d'une carte rend automatiquement la précédente inutilisable). Quoiqu'il en soit, qu'il me soit permis ici de vous donner un conseil: n'acceptez jamais qu'un tiers passe en doublette avec vous, car certains n'en profitent pas uniquement pour passer, mais vous font les poches au passage... Que de paperasses...😱🤮
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