E.T.G.

L'élément automoteur Z9634-ZR19634, antépénultième de sa série, dessert Saint-Julien-en-Genevois (74) en août 1994.

J'ignore ce qui est arrivé à cette Vtu mais elle a dû avoir très mal ! Malgré tout, les Ateliers de Saint-Pierre-des-Corps (37) où nous la voyons ici en 1992 vont la prendre en Réparation Accidentelle en sous-traitance pour ceux de Périgueux. Du bien beau travail car on est ici dans des travaux lourds, avec une partie du châssis à reconstituer ainsi que la carrosserie à refaire, mais les agents des établissements du Matériel comme celui-ci ont les compétences nécessaires. Son bout inutilisable a aussi dû compliquer son acheminement.

Un X4500 entre en gare de Lille-Flandres (59) en octobre 1995.

Ce Y5100 est au repos au dépôt de Nevers (58) en 1993.

Oui, il y en avait encore quelques-unes.

Les X2423, 3817 et 3867, XR7870 et 8273 sont vus ici en août 1990 en gare d'Avranches (50). Ils avaient été sauvegardés par le Chemin de Fer Touristique de la Sélune pour circuler sur la ligne Pontaubault - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Domfront - Flers. Las ! L'opération capotera, ce chemin de fer sera actif moins d'un an. Le X3817 sera revendu au C.F.T.V.A., Chemin de fer Touristique de la Vallée de l'Aa, et les quatre autres véhicules seront finalement utilisés par le T.T.O., Train Touristique de l'Ouest, qui exploitait le chemin de fer touristique du Mont des Avaloirs, ligne Alençon - Pré-en-Pail. La XR7870 n'a roulé que quelques saisons, car son utilisation étant faible, son agrément ne sera pas renouvelé. Lors de la cessation d'activité de ce train touristique en 1996, son matériel sera récupéré par les C.F.T.A., Chemins de Fer et Transports Automobiles, à Carhaix, où il n'a que peu voire pas roulé. Le X2400 sera finalement repris par le C.F.C.B., Chemin de Fer Touristique du Centre Bretagne, tandis que le X3867 ira à l'Agrivap. Les remorques seront découpées sur place.

Les X2423, 3817 et 3867, XR7870 et 8273 sont vus ici en août 1990 en gare d'Avranches (50). Ils avaient été sauvegardés par le Chemin de Fer Touristique de la Sélune pour circuler sur la ligne Pontaubault - Saint-Hilaire-du-Harcouët - Domfront - Flers. Las ! L'opération capotera, ce chemin de fer sera actif moins d'un an. Le X3817 sera revendu au C.F.T.V.A., Chemin de fer Touristique de la Vallée de l'Aa, et les quatre autres véhicules seront finalement utilisés par le T.T.O., Train Touristique de l'Ouest, qui exploitait le chemin de fer touristique du Mont des Avaloirs, ligne Alençon - Pré-en-Pail. La XR7870 n'a roulé que quelques saisons, car son utilisation étant faible, son agrément ne sera pas renouvelé. Lors de la cessation d'activité de ce train touristique en 1996, son matériel sera récupéré par les C.F.T.A., Chemins de Fer et Transports Automobiles, à Carhaix, où il n'a que peu voire pas roulé. Le X2400 sera finalement repris par le C.F.C.B., Chemin de Fer Touristique du Centre Bretagne, tandis que le X3867 ira à l'Agrivap. Les remorques seront découpées sur place.

La CC7158, petite dernière de sa série, rentre sous la rotonde du dépôt d'Avignon (84), en février 1995.

Un X4300 arrivant de Tours ou Château-du-Loir arrive au Mans (72) et passe sous la passerelle donnant accès à différents chantiers (Equipement, Ateliers) en avril 1995. A cette époque, les châteaux d'eau et la guérite construite "en dur" sont encore là. Aujourd'hui, les châteaux ont disparu depuis longtemps tandis que la guérite est remplacée par un poste de garde en préfabriqués. La passerelle donne toujours accès au complexe ferroviaire et est empruntée chaque jour par de nombreux poids lourds et même des semi-remorques venant livrer et enlever des marchandises qu'on ne transporte plus par le rail.

Une rame de V.B.2N. remorquée par une BB8500 ou 25500 circule dans les environs de Trappes (78) en 1993.

La ZR15122, de l'élément automoteur Z5122 est radiée et garée sur les voies autour de la plaque tournante du dépôt de Tours-Saint-Pierre (37) en 1992.

La ZR15122, de l'élément automoteur Z5122 est radiée et garée sur les voies autour de la plaque tournante du dépôt de Tours-Saint-Pierre (37) en 1992.

La BB63754 à la livrée Arzens bien passée est garée au dépôt de Sotteville (76) en octobre 1995.

L'élément automoteur X4705-XR8702 dessert Lyon-Part-Dieu (69) en juillet 1992. La photo n'est pas de très bonne qualité mais illustre un matériel peu répandu puisque les E.A.D. modernisés en livrée rouge n'ont été que six exemplaires: _deux X4630 "Lyon - Bourg" (modernisation financée pour une fois par non pas un Conseil Régional, mais un Conseil Général, celui de l'Ain en l'occurrence, afin d'améliorer la desserte Lyon - Bourg-en-Bresse par les Dombes); _quatre X4750 pour la Haute-Normandie. De plus, les deux X4630 circulaient rarement en U.S., leur utilisation prévoyant un aller matinal de Bourg à Lyon, avec retour le soir, du lundi au vendredi. Ils assuraient leurs trains ensemble en U.M.2, et leur séjour diurne à Lyon-Vaise donnait la possibilité de réaliser leur maintenance courante, la réserve étant assurée par un élément non modernisé pour les remplacer lorsqu'un était en maintenance pour une durée plus longue, et lorsqu'ils ont dû partir ensemble en réparation aux Ateliers du Mans mi 1996 après avoir percuté une voiture sur un passage à niveau. Lorsqu'ils furent repris dans une convention plus globale au niveau Rhône-Alpes, leur utilisation est restée telle quelle les premières années, puis ils ont été banalisés avec les autres éléments et ont circulé sur toute la Région: il fallait tomber dessus vu leur faible nombre. Ils ont ensuite été "relookés" avec application de la livrée T.E.R. 1997 et installation de sièges type X73500/Z23500 parallèlement à la rénovation de seize X4630 recevant les mêmes sièges.

Une BB22200 encore plaquée dessert Redon (35) en 1993. En première position de la rame, on aperçoit une D.E.V. inox, qui n'étaient plus très nombreuses à cette époque.

En gare de Paris-Montparnasse (75), une rame T.G.V.-Atlantique s'apprête à rentrer à Châtillon, en octobre 1995.

Cette D.E.V. (Division des Etudes Voyageurs) couchettes est parmi les dernières de sa série à circuler car il n'en reste plus beaucoup lorsque cette photo est prise en gare de Dijon-Ville (21) en août 1992.

Nous retrouvons la motrice X4321 en gare de l'Arbresle (69) en juin 1997, après son utilisation comme remplaçante de l'élément X4502-XR8365 pour certaines scènes dans le tournage du film "La Voie est Libre". Autant l'élément précité retournera aux Ateliers du Mans et sera radié, puis servira pour prélèvement de pièces, autant cette motrice qui a déjà dans cet établissement tout donné lors de sa préparation pour le film n'aura pas besoin d'y retourner. Elle sera donc convoyée un an plus tard et incluse dans un marché de démolition de matériels (avec notamment les carcasses des BB9302, CC6541, remorques intermédiaires de l'élément Z7102) effectué dans les anciens Ateliers plus proches d'Oullins-Voitures.

Le Y8115 est garé sous la rotonde (enfin, presque! ) du dépôt de Longueau (80) en juin 1996.

Documents intéressants avec ce X2200 "perdu" en Bretagne. En effet, il est arrivé sporadiquement que des X2200 soient prêtés au dépôt de Rennes et nous voyons ici le X2257, petit dernier de sa série, en U.M. avec le X2115 croiser un autre X2100 en solo en gare de Châteaulin-Embranchement (29) en 1993. Le X2257 est un véritable "globe-trotter" de sa série puisque contrairement à certains engins qui feront toute leur carrière dans le même établissement, il commencera sa carrière à Lyon-Vaise où il assurera en particulier la réserve des X2202 et 92203. Il sera ensuite affecté à Limoges, puis à Marseille-Blancarde avant de revenir à Limoges. Et donc, il a aussi circulé en Bretagne, sans toutefois y être affecté officiellement mais en étant néanmoins à disposition du dépôt de Rennes.

La BB25220 est toujours classe dans sa livrée d'origine lorsque nous la voyons ici sur les voies de sortie du dépôt de Tours-Saint-Pierre (37) début 1992. On remarque à droite une des deux BB9600 peintes en livrée spécifique pour utilisation sur les navettes Saint-Pierre-des-Corps - Tours.

Un X4300 modernisé Centre est vu entre le raccordement de la plumasserie et la section de séparation 1500/25000 volts en sortie du Mans (72) alors qu'il se dirige vers Alençon en mars 1995.

Vue intérieure de la "passerelle" de Bordeaux (33), située juste en amont de la gare Saint-Jean en venant de Paris ou Saintes, vue en 1992. Ce magnifique pont en treillis de 509 mètres de long traversant la Garonne fut construit de 1858 à 1860 et fut remplacé en 2008 pour cause d'usure et de saturation par un nouveau pont à quatre voies qui lui est parallèle.

Tu y croies encore ?

Oui, j'ai sursauté en voyant cela, avec la précision que c'est dixit la S.N.C.F. On peu imaginer que le service Communication essaye d'utiliser des termes que Monsieur Toutlemonde comprendra, mais ça ne vole pas haut, nous sommes bien d'accord. Il n'y a pas que des métros automatiques chez nous, et quand la 13, qui est une ligne à fourche prévue à automatiser, rien ne dit qu'il n'y aura pas une erreur de direction. En attendant, je n'ai pas connaissance que cela arrive sur les lignes à fourche, 7 et 13, toujours à conduite humaine. En attendant, je ne dénigre rien, ce genre d'incident est heureusement rarissime vu le nombre de circulations, ce qui mérite d'être souligné. Ni je ne reproche rien à ceux qui travaillent, qui effectivement peuvent se tromper, même si lorsqu'une erreur de direction est faite il y a deux erreurs commises: une car l'itinéraire tracé est mauvais, une autre par un conducteur qui n'a pas su s'arrêter en amont de la bifurcation et ce alors qu'en principe la direction de l'itinéraire tracé lui est annoncée suffisamment en avance pour qu'il puisse ne pas franchir la bifurcation. Mais je confirme: nous pouvons tous nous tromper chacun dans notre travail ou sur nos activités personnelles !