E.T.G.

https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/transports/la-sncf-sur-le-point-d-abandonner-son-projet-de-transformation-de-la-gare-du-nord-a-paris_AV-202109210247.html

et Moi je veux bien et d'accord avec l'exemple cité par ADC01 des fraises à Paris en janvier, mais en a-t-on toujours la possibilité? S'il faut ne consommer que ce qu'on trouve à notre porte, les gens de Rouen, de Dunkerque et de Strasbourg auront bien du mal à se fournir en olives, tandis que nos amis briançonnais risquent de ne pas souvent manger de pommes de terre vue la nature des sols chez eux: peuvent-ils en cultiver autant que nécessaire pour nourrir tout le monde? Même si c'est transporté en bouteilles (pourquoi pas en fûts ou en wagon avec embouteillage sur place?), les habitants du sud ne vont pas souvent pouvoir boire du cidre tandis qu'à Paris nous n'aurons pas de Côtes du Rhône, les Rillettes du Mans n'iront pas beaucoup plus loin, et les nougats de Montélimar y resteront... Ce n'est pas moi qui ait décrété cela. Je ne fais qu'ajouter mon avis après l'intervention d'Assouan. Et quand bien même certains prétendent cela, ont-ils raison et est-on obligés d'obéir?

L'élément X4666-XR8663 assurant une relation Laon - Amiens dessert Tergnier (02) en avril 1997.

Le segment R.R.R. Rhône-Alpes M entre en gare de Lyon-Perrache (69) en octobre 1996.

Dans son propos, j'ai compris qu'il augmenterait la valeur du point sans toutefois aller au delà de l'inflation.

C'est exactement la réflexion que je me suis faite en voyant cela. Mais il me semble que les wagons de l'ancien service avaient été promptement envoyés en démolition. Si ça a bien été le cas, je me demande d'où sortent les wagons pour le nouveau. D'autant que depuis la région de Perpignan s'il faut livrer des quantités moindres que sur le M.I.N. de Rungis on pourrait très bien imaginer un train à tranches, genre Perpignan - Rouen et Perpignan - est de la France, tranches jumelées jusqu'à Valenton ou Villeneuve.

L'état de la locomotive pour un si prestigieux convoi... J'ose espérer qu'il ne roule pas ainsi en commercial.

Le X2836 tractant deux XR96200 dessert Rocamadour-Padirac (46) en juin 1997.

La CC72012 est en coupure à Reims (51) en avril 1997.

Et le midi, ça compte? Bruxelles, avant hier:

L'élément X4602-XR8402 stationne à quai en gare de Laon (02) en juin 1997.

La CC6535 en tête d'un Strasbourg - Nice qu'elle a récupéré à Dijon attend le départ à Lyon-Part-Dieu (69) pour rallier Marseille où elle laissera sa rame. Août 1994.

Oui enfin là je répondais à Pascal 45 qui parlait justement de tentative d'assassinat, mais ce que je voulais dire, c'est qu'il n'est pas davantage admissible que monsieur Durand ou Dupont soit victime de quelque chose plutôt qu'un cheminot.

Quelques vues du Train Jaune, qui fait bien partie de notre patrimoine ferroviaire. En mai 1997 une composition encadrée par les Z108 et 116 entre dans une gare que je n'identifie pas (je n'avais pas mis les légendes sur ces photos) et je ne connais pas assez le parcours du train pour la reconnaitre. Dernière photo, détail de la Z111 dans une gare pas davantage identifiée que la précédente.

On parle tellement des quarante ans du T.G.V. et de la rame 16 et son record qu'on finirait par oublier que cette rame a aussi roulé comme les autres. La voici justement en août 1994 desservant Saint-Raphaël-Valescure (06), avec bien sûr sa plaque souvenir du record.

Bien que je sois plutôt critique envers les multiples changements de livrée des rames ces toutes dernières années (surtout si ce n'est que du cosmétique), je dois reconnaître que certaines d'entre elles ont besoin de gros travaux de tôlerie: je suis en direct de la rame 4539 qui m'emmène passer la journée a Bruxelles et le moins qu'on puisse dire est qu'elle n'est plus très fraîche. Certains endroits des caisses donc auraient besoin d'être remis en état tandis que les emmanchements et les plaques constructeur sont bouffés. Côté intérieur ça va mieux. La rame 4346 est arrivée à quai en face juste avant qu'on parte et son aspect extérieur n'était pas plus reluisant que celui de ma rame. Il y avait une Z26500 sur la voie 6 (zone Eurostar), j'ignore ce qu'elle y faisait. Il n'y avait pas de contrôle du passe sanitaire ni de passage des bagages au scanner. Le chef de bord vient d'annoncer que "le wagon-bar" est rouvert. J'ai été déjà contrôlé alors que nous n'avions pas passé les Joncherolles (je me suis installé dans le compartiment douanable juste derrière la motrice de tête). Et le train n'est même pas à moitié rempli... Voilà pour le compte-rendu, bonne journée à tous!

Continuons le reportage sur le tournage du film La Voie est Libre. Je vous avais précédemment présenté (et vous reverrez) l'élément X4502-XR8365, dont la motrice est l'acteur principal (ferroviairement parlant), ainsi que la X4321 qui avait servi à mettre en scène une explosion du train. Mais il y avait un second élément, non retiré du service commercial lui, utilisé pour le tournage: le X4699-XR8696, un des deux modernisés Lyon - Bourg. Il servira à mettre en scène un ministre des transports venu assister à une remise en service d'une ligne. Pour ce "transport ministériel", l'élément sera affublé de bandeaux horizontaux tricolores bleu-blanc-rouge au milieu des baies, ainsi que, puisqu'elle apporte un concours au financement du film, réalisé sur son territoire (et même plus précisément dans le département du Rhône, seulement), de logos de la Région Rhône-Alpes. Nous voyons ici quelques jours avant les dernières prises de vue l'élément préparé avec ses décorations au dépôt de Lyon-Vaise en mai 1997 (sur la troisième photo, les logos sont ceux normalement affichés sur les engins conventionnés, indépendamment du film), puis en gare de L'Arbresle, où l'engin a en plus reçu des drapeaux bleu-blanc-rouge sur ses portes-drapeaux afin de terminer de le pavoiser. Lorsque j'ai pris ces photos, c'était le tournage de scènes figurant le train inaugural arrivant à son terminus, les scènes de son départ ayant été faites en gare de Lyon-Saint-Paul. Sur la dernière photo, quelques jours après la fin des tournages, en juin, l'engin a retrouvé son compère habituel X4705-XR8702 avec lequel il assure du lundi au vendredi un aller-retour conventionné Bourg-en-Bresse - Lyon par les Dombes, soit un rythme de travail de 150 km journaliers du lundi au vendredi, que même les X4500 de Sotteville, pas très véloces, leur auraient envié! Ils arrivent ici en gare de Lyon-Perrache. A cette époque, la Région a récupéré ces deux engins en reprenant à son compte leur conventionnement en lieu et place du Conseil Général de l'Ain, commanditaire de leur modernisation. Elle demandera à ce qu'ils soient toujours employés sur la desserte Lyon - Bourg, mais sur davantage de trains que l'aller-retour qui leur était jusque là assigné.

Continuons la visite de l'embranchement particulier des Magasins Généraux au Mans (72) en mai 1996.

😍😍😍

En ce qui me concerne, il m'est utile.🙂

Avec des amis au restaurant ce soir, pour moi: assiette de charcuteries auvergnates, andouillette de Troyes, crêpe au sucre (c'est mon diabète qui va être content) et bière corse.

Pour peu qu'on puisse encore l'appeler par ce nom... Mais nous sommes bien du même avis, si ce n'est que pour moi une tentative d'assassinat n'est pas moins grave si la victime n'est pas un agent...

https://www.google.com/amp/s/www.leprogres.fr/amp/faits-divers-justice/2021/09/15/sans-ticket-a-la-gare-de-givors-il-pousse-un-agent-sncf-sur-les-voies

Oups! Eh oui, évidemment, ou avais-je la tête?

La menace revient, même si les opérateurs ne sont pas en cause: https://www.google.com/amp/s/www.lesechos.fr/amp/1346286