Aller au contenu
Le Web des Cheminots

E.T.G.

Membre
  • Compteur de contenus

    3 473
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. C'était à partir de la fin des années 80, vers 89 pour le début et ça s'était étalé sur environ quatre ans. Puisqu'on parle de ces locomotives, j'avais dans mon vivier à publications une photo rapprochée d'un pupitre de l'une d'entre elles, non modernisée, faite au dépôt de Saint-Pierre-des-Corps en 1990, j'en profite pour la publier maintenant.
  2. Ce n'est pas nouveau en soi mais: https://www.bfmtv.com/paris/ile-de-france-la-sncf-va-creer-400-cdi-pour-feminiser-plusieurs-metiers_AV-202109010232.html
  3. Voire plus tôt: https://www.lesechos.fr/industrie-services/tourisme-transport/le-tgv-italien-pourrait-arriver-des-octobre-sur-la-ligne-paris-lyon-milan-1342507
  4. L'élément automoteur X2745-XR7745 encore rouge et non encore baptisé Crest arrive à Lyon-Perrache (69) en juillet 1996.
  5. La BB16668 attelée à un segment R.R.R. Alsace attend le départ en gare de Belfort (90) pour la direction de Mulhouse en juin 1996. Les feux rouges ne fonctionnent pas? Qu'à cela ne tienne, on insérera deux disques translucides rouges sur les phares à griffes et le tour est joué!
  6. En juillet 1994, des Ambulances dans le Maine et Loire avec l'élément X4656-XR8661 desservant une gare située entre la Possonnière et Cholet (relation Angers - Cholet) et le prototype des Ambulances, l'élément X4670-XR8556 attendant le départ en gare d'Angers. Pour la première photo, je n'avais pas noté la légende au dos de la photo papier et je ne sais plus où c'est pris (mon père m'a pourtant emmené pas mal de fois sur ses tournées sur cette ligne, mais j'étais jeune). Et pour ne rien arranger, toutes les gares s'y ressemblent! Lorsque j'ai publié cette photo sur Facebook, quelqu'un a identifié la photo comme étant prise à Chalonnes, un autre intervenant à Chemillé. Qui croire?
  7. Des R.R.R. à Laon (02) en août 1995 avec un segment Picardie en livrée verte et BB67400 au cul; et le segment de réserve nationale, qui a porté différents numéros ou lettres selon où il se trouvait, de couleur rouge (couleur choisie par la S.N.C.F. sur la palette des quatre lors du lancement du concept T.E.R.), pousse assurée pour lui par une BB66400. Ce segment ne possède aucun marquage ou logo relatif à une Région.
  8. En espérant qu'elle ne soit pas hors-sujet et bien que publiée dans le fil consacré aux E.T.G., je poste ici aussi cette photo car je lui trouve un côté "ambiance" avec sur le quai le chariot électrique à bagages et le bagagiste, une CC72000 au loin et complètement à gauche un wagon isolé. La grand-mère des E.T.G., l'élément T1001-TR51001-21001-T1501 quitte Lyon-Perrache (69) en juillet 1996.
  9. La grand-mère des E.T.G., l'élément T1001-TR51001-21001-T1501 attend le départ en gare de Lyon-Perrache (69) puis s'en va en juillet 1996. Sur la seconde photo, remarquez sur le quai le chariot électrique à bagages avec le bagagiste, une CC72000 au loin et complètement à gauche un wagon isolé: toute une ambiance révolue...
  10. La motrice TGV923006 est présentée le 24 septembre 1994 aux portes ouvertes de l'A.M.P.S.E., site de Villeneuve-Saint-Georges (94). Avec l'autre motrice et le tronçon, cette rame postale tout juste sortie de transformation a été obtenue à partir de l'ex rame Sud-Est 38, dont le tronçon était entièrement aménagé en première classe. En effet, neuf rames (33 à 38 et 100 à 102) étaient ainsi aménagées avec la particularité de posséder un bar en cuivre de construction, pour emploi en U.M. avec des rames aménagées classiquement dans les deux classes afin d'augmenter l'offre en première classe ou en U.S. sur certains trains de certaines relations bien ciblées. Le succès du concept T.G.V. s'étant démocratisé, les rames aménagées uniquement en classe supérieure devenaient d'une utilisation malaisée et leur disparition ou leur réaménagement en rames mixtes devenait inéluctable. Une décision fut prise alors que ces rames approchaient de leur échéance d'O.P.C.E. de finalement les faire "rentrer dans le moule" des rames mixtes. Cependant, la rame 38 put être cédée à La Poste afin de pouvoir créer une relation Paris - Cavaillon par emploi de la ligne à grande vitesse jusqu'à Valence. De son côté, la 101 était aménagée en cobaye pour les essais de T.G.V. pendulaire et mise au type "biclasse" à l'issue de cette expérimentation. En ce qui concerne la rame 38 présentée ici, les motrices ont été traitées par Bischheim comme c'est habituellement le cas pour ce matériel, en revanche, la transformation des remorques de voyageurs en postales a été effectuée par les Ateliers de Saint-Pierre-des-Corps. Il me semble qu'une autre rame était envisagée. Les Ateliers du Mans étaient pressentis pour transformer ensuite deux autres tronçons en TGV Fret pour Jet Service, opération finalement jamais réalisée,
  11. En août 1995, l'élément automoteur X4614-XR8639 arborant sur chacune de ses faces avant un logo S.N.C.F. de grande dimension est garé entre deux services au dépôt de La Plaine (93).
  12. Par une belle journée de février 1996, la BB22326 tractant une rame Corail entre en gare du Mans (72).
  13. Le X2807 stationne sur les voies de sortie de l'atelier du dépôt de Lyon-Vaise (69) en septembre 1996.
  14. L'élément automoteur Z99581-ZR919581 (c'est tout!?) attend un prochain service en gare de Besançon (25) en juin 1996. Comme sa numérotation l'indique, il appartient à un tiers, en l'occurrence le Conseil Régional de Franche-Comté, qui avait procédé à l'acquisition de deux éléments. En revanche, la décoration spéciale d'un élément X4300 souhaitée au même moment en attendant ces deux automotrices (et donc sans modernisation, à l'époque) afin de le titulariser sur des navettes Belfort - Montbéliard ne fut pas concrétisée pour des raisons de contraintes d'exploitation et matérielles. Les deux automotrices seront d'ailleurs portées sur un service qui les emmènera plutôt sur toute la ligne de la vallée du Doubs, de Belfort à Dijon, que sur des trains à faible trajet, et on s'efforcera qu'elles puissent rouler en priorité plutôt sur "leur Région qu'ailleurs dans la zone d'action habituelle des Z9500 de Vénissieux (dans les Alpes). La section Belfort - Besançon servira quelques années plus tard encore et selon les services de tampon selon qu'on peut y engager des éléments bicourants, qui s'ils sont plus utiles ailleurs compte-tenu de leur nombre limité seront remplacés avec modification de roulement par des Z11500. Il semble bien d'ailleurs que sur cette ligne, seul cas de rencontre (ligne parcourue en commun) entre des éléments bicourants et purs monophasés il n'y ait jamais eu d'U.M. mixte comme il y a eu au sud de Dijon et en particulier en région Rhône-Alpes avec les éléments bicourants et purs continu.
  15. En août 1995, les éléments automoteurs X4436-XR8531 et X4324-XR8533 attendent leur prochain service en gare de Laon (02).
  16. En 1995, le segment R.R.R. Bretagne RS7 (RS comme RenneS) poussé par une BB67300 dessert Dol-de-Bretagne (35).
  17. Les rames TGV325 et 508 sont présentes aux portes ouvertes de l'A.M.P.S.E.-site de Villeneuve-Saint-Georges (94) le 24 septembre 1994.
  18. En mai 1997, la BB63184 affectée à des remontes de rames vides évolue en gare de Marseille-Saint-Charles (13).
  19. La rame à turbine à gaz T2033-TR22017-52017-32017-T2034 est garée en juin 1996 au dépôt de Vénissieux (69) où elle attend un prochain service.
  20. Il est bien dommage qu'il n'y ait plus de parrainages d'engins, ni d'expositions, et moins de portes ouvertes qu'il y a une époque. Ca permettait à du monde de mieux appréhender le chemin de fer, peut-être mieux aimer la S.N.C.F., et pourquoi pas pour certains de se découvrir une vocation...
  21. Oui, la clôture y est depuis plusieurs années, je dirai plus d'une dizaine d'années. Il y avait aussi une brigade voie dans l'ancien dépôt, derrière le faisceau. Elle est peut-être encore active malgré les suppression qu'il y a eu il y a de cela quinze à vingt ans.
  22. Vu ainsi, je comprends mieux. Car si la voie était terminus, en cas de matériel défectueux autant le laisser au plus près du heurtoir tandis qu'en attendant son rapatriement les trains commerciaux pouvaient toujours desservir la partie de quai restante. Il y avait un tel évitement à Ranguin aussi, qui permettait d'y garer l'E.A.D. Cannes - Ranguin quand il y avait un temps de battement assez important entre deux trains, afin de laisser le passage à la desserte du concessionnaire automobile situé plus haut sur la ligne.
  23. Bien sûr, mais ça n'aide pas à une résorption des incidents, loin de là. En fait, je dois l'avouer, j'ai été victime dans ma question d'une déformation professionnelle: nous avons énormément de descentes sur les voies au métro. Certaines juste pour les traverser, d'autres par les toxicomanes pour y chercher ce qu'ils peuvent y trouver, par des tagueurs, d'autres pour des motifs plus étonnants encore (nous avons par exemple eu à une époque un S.D.F. qui descendait poser entre les rails la nourriture qu'il venait d'acheter!), voire pour rallier à pieds la station d'à côté. Evidemment, il me semble que le dernier motif indiqué soit autant répandu sur le réseau S.N.C.F. vu que la gare suivante n'est jamais vraiment à côté, mais je reste persuadé qu'il doit y avoir sur ce réseau des descentes sur les voies qui sont la cause et l'origine des désordres rencontrés, et non issues d'un quelconque problème pré existant. En revanche, les bagages oubliés sont certainement un problème affectant chaque exploitant, et là, les voyageurs sont seuls responsables et peuvent occasionner de sacrées pagailles. A titre d'exemple, je suis passé récemment par la gare de Lyon à Paris dans le but d'échanger et acheter des billets, et il y avait beaucoup de monde qui attendait son tour à ce que j'appellerai encore le B.I.R. (Bureau Informations Réservations). Sauf qu'en même temps, il y avait précisément une partie du hall des voies à lettres qui était fermée pour cause de colis suspect. Pensant que ça ne pouvait que contribuer à ramener du monde aux guichets car certains voudraient peut-être changer leurs billets, j'ai préféré aller à Austerlitz (ce que j'avais envisagé au départ, mais comme je passais par gare de Lyon, autant le faire dans la première gare possible). Et là, pas de problème de bagage abandonné, aucune attente. Du moins pour me faire servir... Car en passant et pardonnez-moi ce léger hors-sujet, pour les transactions, ça fut plus laborieux: je payais, l'imprimante billets délivrait un titre ou deux, puis se mettait en défaut, et le T.P.E. était récalcitrant à la reconnaissance de ma carte bleue. Bref, pour avoir payé 45,70 € à la première transaction, le guichetier a programmé le remboursement de ma commande, que la machine a recalculé à 46,70 - comment? Je ne sais pas, mais j'ai donc gagné 1 €, et il a fallu recommencer deux fois la transaction avec la cheffe du guichetier venue pour l'épauler. J'ai dû rester pas loin d'une heure à bloquer un guichet bien malgré moi, heureusement que j'avais prévu large en temps.
  24. Et pourtant, sur certaines relations, ils ont mis des autocars plutôt haut de gamme. Mais question confort global, et surtout, même en prenant tous les à côtés en compte, ça ne peut toujours pas rivaliser avec le train. Pour autant, certains sont à l'€ près, quitte à voyager dans des conditions plus précaires. Quand la S.N.C.F. propose sur des trajets des places en première à deux € de plus qu'en seconde, elles ne sont pas pour autant prises d'assaut.
×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.