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Le Web des Cheminots

E.T.G.

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Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. En septembre 1996 au dépôt de Lyon-Vaise (69), formation d'un E.T.G. hybride T1507-TR21014-T51014-T1014 pour envoi en Réparation Accidentelle aux Ateliers du Mans après une prise en écharpe des éléments 7 et 14. Bien que sans être conséquents les dégâts justifièrent un traitement en Grand Atelier, ces deux éléments dont l'avenir était limité ont eu de la chance d'être remis en état, sans doute par manque criant de matériel... Au retour du Mans des caisses avariées, les deux compositions seront remises en ordre dans leur élément numériquement normal. On notera que la livrée du Y7451 s'accorde bien avec celle des E.T.G. et que contrairement aux E.A.D., dont les caisses des E.T.G. sont dérivées, il n'existe pas de bourrelet inférieur horizontal (supprimé sur les E.A.D. passant en révision à partir de 1986), puisqu'ici sa place est prise par un amortisseur anti-roulis. Il y avait quelques autres différences mineures de carrosserie et leurs accessoires sur certaines points comme entre les pieds de marchepieds, entre lesquelles était fixée une place verticale empêchant sur les E.T.G. de mettre le pied plus vers l'axe du véhicule. Les emplacements des câblots électriques et des prises femelles n'étaient pas non plus les mêmes: sur les E.A.D., les premiers étaient fixés sur les remorques et se branchaient sur les motrices qui possédaient donc les prises femelles (de ce fait, par exemple, les motrices X4900 n'auraient pas pu circuler sans leur remorque intermédiaire). Sur les E.T.G., cette logique n'a pas été reconduite avec une disposition spéciale entre les remorques.
  2. Fer à repasser avec la BB12096 dont les plaques ont très probablement été volées, vue à Fives (59) en juin 1996.
  3. X4600. Cet élément qui est le centième des X4500 est vu ici relayant au dépôt de Saint-Brieuc (22) en septembre 1995. Il se singularise par une histoire relativement mouvementée: _il est livré le 15 février 1968 avec la composition X4600-XR8400; _une permutation de remorque est opérée à Longueau avec l'élément X4347-XR8556. Ces deux éléments seront impliqués dans la terrible catastrophe de Vierzy. L'élément X4600-XR8556 placé en queue du train Paris - Laon en sortira quasiment indemne. Après un rapide séjour aux Ateliers du Mans il sera remis en service à peine un mois et demi plus tard (la XR8400 aurait mieux fait de rester avec la X4600 puisque placée en tête du train Laon - Paris, elle sera détruite tandis que sa motrice X4347 très endommagée ne sera pas réparée non plus - pour la petite histoire, les deux trains ne s'étant pas rencontrés dans l'accident, les caisses permutées ne s'y sont pas revues). Signalons pour l'anecdote une guéguerre entre les personnels de conduite qui indiquaient "Vierzy" en cabine en souvenir qu'il y avait été impliqué tandis que ces inscriptions étaient régulièrement effacées en dépôt pour être remises ensuite par les mécaniciens. Cette pratique cessera lorsque l'élément sera muté à Rennes où personne ne lui connaissait cette implication dans la catastrophe, dont le souvenir en Bretagne n'avait rien de vivace. Pour autant, l'élément X4570-XR8589 lui aussi survivant de la catastrophe et pourtant un peu plus endommagé que le 4600 ne faisait pas l'objet du souvenir. Sans doute faut-il y voir le fait que le numéro 4600, numéro relativement "rond", sortait plus facilement du lot et a donc été plus facilement mémorisé; _le 18 octobre 1984, notre élément X4600-XR8556 circulant remorque en tête heurte à environ 100 km/h un semi-remorque sur un passage à niveau à Ponts-et-Marais, près du Tréport. Les Ateliers du Mans reconstitueront un nouvel élément X4600-XR8667, cette remorque étant récupérée sur la X4671, dont elle n'était déjà pas l'originelle, accidentée qui sera elle remariée avec la XR8556. Cette dernière ayant été très sévèrement endommagée (cabine écrasée, châssis sous la cabine sectionné et relevé de plusieurs cm, carrosserie endommagée en différents points, bogies avariés, etc.), on profitera de l'immobilisation de plusieurs mois de ce nouvel élément X4671-XR8556 pour sa remise en état afin d'en faire le prototype des Ambulances, après que des maquettages d'essais aient été menés sur la motrice diésel du T.G.S.). Lors de cet accident, le mécanicien, ayant aperçu l'ensemble routier rouler si vite qu'il ne pourrait s'arrêter avant le passage à niveau, eut le temps de quitter la cabine et n'eut qu'un pied cassé en se jetant dans l'allée du compartiment de première classe, où le contrôleur s'apprêtant à le rejoindre en cabine sans envisager l'accident contrôlait le dernier voyageur, de la queue de l'élément à sa tête; _désigné en 1990 pour être modernisé "Bretagne", l'élément ressort comme il est entré, en X4600-XR8667, la 8667 n'étant plus celle originelle mais en fait la 8597 maquillée, prise sur la 4437; la 8667 originelle allant sous le numéro 8356 rejoindre la X4356; _à sa radiation en 2007, l'élément sera vendu à la compagnie roumaine Régio Trans, chez qui il prendra le numéro 4535.
  4. Voiture de cantonnement sur base Ocem au dépôt de Cannes-la-Bocca (06) en août 1993.
  5. Changer d'appareil-photos peut tout changer! Deux XR6200 T.E.R. Centre, l'une garée en attente d'un prochain service, la seconde en attente qu'un X2200 vienne se raccorder dessus sont visibles en gare de Tours (37), respectivement en août 1992, la seconde en août 1996. La première était faite avec mon tout premier appareil, un format 110, qui commençait à être bien fatigué (mais qui m'a néanmoins fait 2340 photos, pas toutes pourries), la seconde avec un compact format 135, qui était d'assez bonne facture.
  6. Un train de fret tracté par une BB7200 traverse le Rhône à la sortie de Lyon-Perrache (69) en août 1996.
  7. Le 24 juin 1992, des cabines découpées d'E.A.D. qui sont passés en modernisation sont stockées aux Ateliers du Mans (72) afin d'être greffées sur des éléments accidentés non destinés à la modernisation et présentant entre autres dégâts une cabine abîmée. Sur la première photo, pas inédite mais nécessaire pour introduire le sujet, les cabines des X4793, XR8794 et X4794 (ces cabines sont en parfait état puisqu'issues des éléments les plus récents. Deuxième photo: cabines récupérées sur la XR8438, dont le numéro de sa motrice X4664 est reporté "à la sauvette" à côté, afin que les mécaniciens sachent quelle est la motrice de leur élément (c'est elle qui détermine le numéro de l'élément). Ironie du sort, ces cabines faites pour en remplacer des accidentées sont issues d'un élément lui-même accidenté, mais dont les cabines n'ont pas été touchées (éventrations latérales multiples par sa benne après la percussion d'un camion-multibennes à chaînes suivi d'un couchage de la remorque, face latérale à reconstituer entièrement). C'est seulement à partir des années 90 que les deux numéros seront indiqués directement plutôt que seul le numéro de la remorque à côté duquel le numéro de la motrice était sommairement gribouillé. Troisième photo: cabine de la X4392, cabine reconstruite entièrement après une collision (avant le début des modernisations, donc pas de récupération de cabines pour rechange à cette époque). A l'issue de sa modernisation, cette motrice sera de nouveau accidentée avant même d'avoir pu rejoindre son nouveau d'attache, et il faudra remettre sa nouvelle cabine en état! Quatrième photo: cabines des XR8438 (X4664) et XR8611 (X4392). Dernière photo: alignement de cabines (vue d'intérieurs), avec celle de la X4664 au premier plan. Remarquer la présence d'une banquette au sol, faisant penser à un squat.
  8. Terminons avec le départ en retraite en septembre 1996 au dépôt de Lyon-Vaise (69) de mon ami Jean-Louis, désormais ex mécanicien, avec encore quelques photos de l'assistance, puis l'enlèvement de la plaque sur le X2870 (qui tractait la XR6012), et enfin, quelques visiteurs de l'autorail avant qu'il ne démarre et soit considéré comme rentré dans le dépôt afin de faire les pleins puis d'être dirigé soit vers l'atelier soit préparé pour son prochain service.
  9. En août 1996, l'élément automoteur Z7336-ZR17336 quitte la gare de Tours (37) pour rentrer au dépôt de Saint-Pierre-des-Corps.
  10. Les éléments automoteurs X4568-XR8384 et X4649-XR8444 sont au dépôt de La Plaine (93) en U.M. prêts à être dégarés pour assurer un prochain train, en août 1995.
  11. La CC6538, dernière de la première sous-série, évolue en gare de Lyon-Perrache (69).
  12. Des excuses, car l'excision, c'est dans un autre domaine!😉 Bon alors arrêtons de les supprimer et ré installons-en!🤣😉
  13. Oui, mais sur celui-ci, nous ne sommes pas usagers de la route, nous n'allons pas croiser une autre voie ferrée. Je sais que ce P.N. est manœuvré par les gars du dépôt, situé à proximité immédiate. Et il doit être protégé par des signaux de manœuvres, donc, je ne suis même pas certain que les conducteurs (qui connaissant la ligne 2 et son dépôt) aient une quelconque formation à ce sujet.
  14. Oui, j'avais oublié cet aspect, vu qu'il ne me viendrait pas à l'idée de le faire... Je n'ai jamais compris pourquoi la S.N.C.F. n'a jamais pris de mesures techniques pour éviter ces vols. Je ne suis pas très technicien, mais j'ai toujours pensé qu'en "baisant" les empreintes des vis (avec un appareil genre fer à souder) il n'y avait plus moyen de les dévisser, tandis que la dépose des blasons pouvait toujours se faire en dépôt ou en atelier avec un taraud. Et là, je mets au défi les voleurs d'aller tarauder les vis car pour ça il faut se déplacer avec et le mettre en œuvre, ce qui ne doit pas être très pratique hors atelier.
  15. E.T.G.

    Actu RATP

    A partir du moment ou I.D.F.M. est le commanditaire de ces changements, c'est pour sa poche. Concernant la présence du cygne sur les voies, j'ignore comment s'est terminée cette histoire cette fois mais comme ça ne semble pas avoir trop duré dans le temps je suppose que le cygne a daigné foutre le camp assez rapidement. Pourtant, au début, il n'avait pas l'air disposé à bouger... Habituellement, quand ça nous arrive sur la ligne 8 (car ça arrive aussi parfois sur les autres portions aériennes du réseau et à proximité de cours d'eau: ligne 5 avec la Seine et le canal de l'Ourcq, 6 avec la Seine et 13 avec la Seine du côté d'Asnières, mais à priori pas la 1 vers Pont de Neuilly), on fait dépêcher des gens de l'école vétérinaire de Maisons-Alfort, située tout à côté, qui viennent chercher le bestiau, mais ça nécessite une mise hors tension différée (par opposition aux mises hors tension d'urgence). On a à bord des trains deux palettes en bois servant à dégager les ornières appareils de voie pour l'une, et à isoler les frotteurs pour l'autre. Je pense qu'en mettant quelques petits coups de la première sur le derrière du cygne il y a peut-être moyen de l'inciter à déguerpir. Surtout qu'il y a sans doute plus confortable et plus propre qu'une voie ballastée pour aller se poser, même si son plumage doit lui servir de matelas.
  16. En septembre 1995, une BB7200 au crochet d'un Talgo traverse en vitesse Brétigny (91).
  17. En août 1996, la CC72067 en tête d'un train Lyon - Nantes vient d'arriver en gare de Tours (37) où elle sera dételée. Une BB22200 reprendra le train par l'autre bout pour la suite du voyage.
  18. L'élément automoteur X4729-XR8726 modernisé Picardie accompagné d'un X4500 attend le départ en gare de Laon (02) en août 1995. Il est le premier équipé d'un éperon-chasse-obstacle, deuxième mouture, le premier modèle testé ne permettant pas de rester dans des normes de masse de l'engin. Cet équipement vise à éviter un déraillement dû à la présence d'obstacle sur la voie, comme l'accident de Saint-Leu-d'Esserent. Par la suite, les engins nouvellement modernisés en seront équipés, ainsi que ceux traités en modernisation auparavant, par chaîne spéciale en dépôts dûment désignés, tel que Nantes. Les engins non modernisés ne furent compte-tenu de leur durée de vie résiduelle pas traités (dans la pratique, certains ont pourtant largement survécu à des modernisés). Nous mentionnerons toutefois que les six éléments X4900 affectés à Marseille (non modernisés à cette époque) étaient équipés d'étraves chasse-neige/chasse-obstacles puisque leur emploi était orienté sur la ligne de la Durance, souvent enneigée.
  19. En septembre 1995, le X2250 accompagné d'une XR6200 attend le départ en gare de Paris-Austerlitz (75), puis stationne en gare de Brétigny-sur-Orge (91), afin de manoeuvrer pour être remis sur un itinéraire compatible après une erreur de direction. Par chance, nous n'avions pas encore été trop loin, mais la dernière aiguille était déjà dépassée. Sur la dernière photo, prise après que notre remorque ait été dégagée par le locotracteur de la gare, nous sommes arrivés à Tours (37) avec un certain retard, voire un retard certain puisqu'après avoir dû rectifier l'erreur de direction, nous serons encore pénalisés par un croisement que nous avons dû attendre dans une gare du parcours, bien que ce point de croisement fut déplacé pour l'occasion afin de limiter au mieux le retard, ayant finalement atteint environ une heure.
  20. Continuons avec le départ en retraite de Jean-Louis, un sympathique conducteur de Lyon-Vaise (69) et un de ses collègues, en septembre 1996, événement pour lequel le X2870 porte en quelque sorte comme beau costume une plaque pour célébrer l'événement. L'autorail et les deux nouveaux retraités ainsi que tous leurs invités viennent d'arriver au dépôt sur un concert de coups de sifflet et quelques torches ont été allumées pour la circonstance. Nous passons maintenant aux photos des deux conducteurs à l'honneur entourés de leur famille et amis prises devant l'autorail.
  21. En mai 1997, la BB16531 est en pause au dépôt de Fives (59).
  22. Mon vieux compère l'élément automoteur X4520-XR8604, que j'avais vu six ans plus tôt arriver au dépôt de Rennes comme tête de série est maintenant pensionnaire de Longueau et est ici garé dans le dépôt de La Plaine (93) en attente d'un prochain service en aout 1995. Pour l'anecdote, je me présente au dépôt car j'ai oublié mon coupe-vent en voyageant dedans et en cabine la veille. Le chef de feuille m'indique que l'engin est toujours chez eux et m'invite à aller voir si je retrouve mon vêtement. Malgré le passage des remiseurs-dégareurs et du personnel de nettoyage, mon coupe-vent est toujours accroché sur sa patère! Avec l'accord du même chef de feuille, j'en profite pour faire quelques photos, bien que cette fois ce ne fut pas le but premier de ma venue...
  23. L'élément automoteur Z9628-ZR19628, seul élément conventionné par la Région des Pays de la Loire ayant échappé à la livrée T.E.R. 1987 bleue Isabelle, stationne en gare de Tours (37) en août 1996.
  24. Continuons avec les ambiances ferroviaires et humaines. Par un heureux hasard, récemment incorporé au service national à Lyon et rentrant en permission, je croise à la sortie de la Part-Dieu un train dont il me semble reconnaître aux commandes un très sympathique mécanicien que j'avais auparavant rencontré lors de mes voyages et avec qui un contact était resté. Je demande donc justement au mécanicien que j'accompagne, Vaisois lui aussi "tiens, il m'aurait semblé reconnaître Jean-Louis P.....". Mon mécanicien me confirme qu'il s'agit bien de mon ami, en me précisant qu'il partira très bientôt en retraite. Je téléphone donc peu de temps après à Jean-Louis qui m'invite à venir l'accompagner sur une de ses dernières tournées ainsi qu'à son départ en retraite. C'est ainsi qu'un groupe très important embarque en ce mois de septembre 1996 dans une Rio Stélyrail afin de gagner Givors-Ville où un X2800 venant du Puy sera repris afin d'assurer le dernier train des deux mécaniciens partant ce jour-là. Notons que pour la circonstance, l'autorail est disposé exprès par la plaque tournante du dépôt de Saint-Etienne avec son extrémité 2 à l'avant, si toutefois l'engin n'était pas déjà ainsi orienté. Nous voyons cette fois la préparation de l'autorail avec la pose d'une belle plaque amovible installée pendant le bref arrêt en gare, puis une première et rapide pose des deux presque retraités avant de démarrer pour Lyon-Perrache, le terminus du train, ainsi que la rentrée au dépôt de Vaise, où le train est accueilli comme il se doit avec des torches allumées pour la circonstance.
  25. Les BB63017 et 63901 sont en pause au dépôt de Nice-Saint-Roch (06) en septembre 1995. On remarque que la seconde est équipée d'un soc chasse-obstacle.
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