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Le Web des Cheminots

E.T.G.

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Tout ce qui a été posté par E.T.G.

  1. Ambiances involontaires: le réseau possède deux endroits caractéristiques où faute de largeur suffisante les voies d'une ligne ont été disposées non pas en tronc commun mais enchevêtrées. Un sur le viaduc du Val-Saint-Léger, situé à proximité de Saint-Germain-en-Laye (78), et l'autre, que nous voyons ici, au franchissement du pont sur le Tech, situé entre Elne et Port-Bou (66). Pendant que j'y suis, et c'est de circonstance, une des seules "crasses" que m'a fait l'appareil-photos argentique pourtant tout simple (pas de logiciel de "reconnaissance machin", etc.) que j'avais lorsque j'ai pris cette photo est justement de m'avoir enchevêtré les deux vues suivantes, comme un pied de nez à la pose précédente dont il aurait détecté le sujet! Vous verrez bientôt par ailleurs quelques publications tout juste potables mais ayant valeur de document sauvées du "désastre" que mes appareils-photos précédents m'ont fait et qui a conduit à leur remplacement (mais ils ont eu le temps de me "pourrir" tout mon été 1993).
  2. Le 22 février 1995, la BB7306 entre en gare de Perpignan (66). Quelques minutes plus tard, la 7225 est garée à l'annexe-traction et la 7306 vue précédemment est en train d'y rentrer.
  3. Contraste entre l'arrière du X2128 et le ciel lumineux de ce bel après-midi de juillet 994 à Quimper (29). Notre engin s'apprête à sortir de l'annexe-traction:
  4. Les X4614-XR8639, reconnaissable à ses gros logos frontaux, et X4648 sont garés au dépôt de La Plaine (93) parmi d'autres E.A.D. en août 1995.
  5. Voiture qui doit être de cantonnement, sur base Bruhat et garée à Arvant ou Saint-Georges-d'Aurac (43) en juin 1997.
  6. Objets de collection: drapeau rouge du défunt X2416 et monogramme de la X4771, déposé lors de sa modernisation.
  7. Allez zou! Je n'ai pas de photo extérieure à marier avec celles-ci pour en faire une publication mais comme elles encombrent mon vivier à publications je les mets seules: intérieurs de bars d'une rame sud-est dans les années 90 (ce n'est plus l'agencement primitif) et plaque constructeur sur une motrice.
  8. Pas des blasons à proprement parler, mais des logos régionaux des années 90 sur des matériels conventionnés, avec la Bretagne et la Lorraine.
  9. Perpignan (66), 22 février 1995. La BB9630 en tête d'une courte rame Corail entre en gare. Vue sa composition, la rame fait penser à un T.E.R., pourtant, on remarque que la voiture de tête est en livrée Corail+, dont peu sont déjà sorties à cette époque. Peut-être cette voiture s'est-elle égarée ou faisait-elle partie d'un lot réquisitionné au pied levé pour assurer ce train, à moins que ce soit la locomotive qui ait été réquisitionnée au pied levé faute de disposer pour assurer ce train qui serait un express d'un engin offrant de meilleures performances? De son côté, la 9640 se repose à l'annexe-traction. Elle n'est pas la dernière locomotive de la série numériquement mais néanmoins la dernière BB9400 transformée chronologiquement en 9600. En effet, en dehors du "prototype" 9601 livré pour essais, priorité a été donnée aux deux locomotives destinées aux navette "Royer", du nom du maire de Tours initiateur de deux navettes dignes de donner correspondance depuis Saint Pierre des Corps aux T.G.V. Paris- -Bordeaux. Ces navettes seront formées chacune d'un segment R.I.O. modernisé et tracté ou poussé par une BB9600 portant une livrée spécifique. En conséquence, ces deux locomotives seront numérotées en fin de série afin de ne pas "couper" la tranche des autres machines, sorties elles en livrée béton et affectées à un seul et même dépôt, Avignon, pour la remorque des express Paris- -Béziers par les Causses et de T.E.R.,principalement en Languedoc-Roussillon. Le manque d'engins étant criant à cette époque, cette profonde métamorphose était tout à fait pertinente et les performances de ces engins collaient parfaitement à leur utilisation prévisible en tant que 9600. On regrettera qu'il n'y en ait pas eu davantage, qui auraient pu faire gagner des BB8500 plus puissantes et toujours utiles pour des trains de fret.
  10. Nantes (44), mai 1994. Les X4631-XR8643 et X4671-XR8648 sont prêts au départ pour Les Sables d'Olonne ou Saint Gilles Croix de Vie. Le premier fait partie d'un lot de six X4630 modernisés pour éradiquer le rouge et crème de la région (lot comprenant aussi quatre X4300 destinés à améliorer le confort des T.E.R. "omnibus" entre Le Mans et Château du Loir). Le second est issu d'un lot de 21 éléments rénovés (la modernisation n'était pas encore décidée quand ils ont été conçus), réalisés de 1985 à 1987 à l'initiative de la Région des Pays de la Loire. Douze d'entre eux seront finalement modernisés, neuf sans changement d'affectation, et trois -dont celui-ci- pour la Picardie afin qu'elle puisse disposer de ses vingt X4630 modernisés. Leur remplacement sur la Région de Nantes sera effectué par une rame de voitures U.S.I./U.I.C. Les neuf non traités termineront à Lyon, d'où ils venaient presque tous avant de devenir Ambulance, avec une A.T.P.-P.R. Les neuf ex Ambulances modernisées et restées à Nantes seront complété par un dixième élément obtenu par la transformation en X4630 de l'X4609-XR8634, modernisé lui aussi. Notons que le X4631 n'est pas le premier de sa série, mais le second, la série commençant à X4630 (il faut donc distinguer l'engin et la série!). Cela s'explique par le fait qu'initialement les X4630 étaient considérés comme des X4500, qu'on aurait fait démarrer à la dizaine suivante afin de marquer un tant soit peu la transition. Leur indépendance par rapport aux X4500 en devenant une série à part entière n'eut lieu qu'au début des années 80. Les mêmes fantaisies numérotatives auront lieu avec les X4750 dont il faut rappeler que bien que désignés dès leur origine comme une série entière résultent pour les quinze premiers éléments d'un avenant à la dernière commande de 24 X4630, avec l'installation du moteur S1DHR, développant 600 chevaux (440 kw) et permettant une bien meilleure montée en vitesse ainsi que la possibilité de courir à 140 km/h en lieu et place du SDHR jusqu'ici employé, sur les 4630 réglé à 475 chevaux (330 kw) et ne permettant que d'accrocher le 120 km/h. Lors de cet avenant, on avait peut-être des craintes que la série X2100 ne voie pas le jour et que faire démarrer les E.A.D. de 440 kw à 4801 risque d'empiéter numériquement sur la série X4900? Et comme les règles de numérotation impliquaient que les autorails et éléments automoteurs ne devaient pas être numérotés au dessus de 4999 et qu'on ne voulait sans doute pas revenir sur une tranche numérique inférieure... Par analogie avec les X4630 et 4750, les matériels qui en seront dérivés et appartenant à des tiers seront numérotés en et à partir de X94630 et X94750.
  11. Le X2910 est en levage pour subir sa dernière Révision Générale. Il ressortira toujours agencé en 24 places de première classe mais apte à 140 km/h. Lors de cette visite, il y avait aussi une XR6100 et une XR Decauville dans les bâtiments, ainsi que des R.T.G. garées dans la cour (voir par ailleurs). Précisons que c'étaient les derniers mois d'activité de cet établissement. Avant d'être abattus début des années 2000 il servira par exemple de lieu de garage aux BB9200 de Bordeaux radiées à la pelle avant expédition chez leur ferrailleur... Ironie de l'histoire, le site a conservé une vocation ferroviaire puisque dessus est implanté un garage-atelier de tramways.
  12. Fin de cette visite aux Ateliers de Bordeaux (33), en février 1994. Nous apercevons dehors des pièces permettant en cas de besoin de confectionner une cabine neuve sur une R.T.G. (à titre de comparaison, les carcasses de cabines de E.T.G. étaient faites d'un seul tenant, à moins que celles que j'ai pu voir -aux Ateliers du Mans- étaient déjà assemblées et prêtes à poser). Ensuite, un bout de remorque dont on dirait qu'elle a subi un début d'application de peinture d'apprêt, sauf qu'à cette date les révisions générales étaient déjà arrêtées et je ne me rappelle pas d'une quelconque Réparation Accidentelle. Lors de cette visite, il y avait aussi un X2800 en levage (voir par ailleurs) ainsi qu'une XR6100 et une XR Decauville dans les bâtiments. Précisons que c'étaient les derniers mois d'activité de cet établissement. Avant d'être abattus début des années 2000 il servira par exemple de lieu de garage aux BB9200 de Bordeaux radiées à la pelle avant expédition chez leur ferrailleur... Ironie de l'histoire, le site a conservé une vocation ferroviaire puisque dessus est implanté un garage-atelier de tramways.
  13. Le 22 février 1995, le Y7723 est garé à Cerbère.
  14. Le 22 février 1995, un peu de diésel dans les Pyrénées-Orientales avec les BB66062 et 66046 arrivant à Perpignan.
  15. Quelques vues techniques de R.T.G. aux Ateliers de Bordeaux (33) en février 1994. Sont présents sur la première photo les T2029-TR22015, sur la deuxième les TR22026 à gauche et T2052 à droite et enfin sur la troisième quatre caisses de R.T.G., de gauche à droite (ou du fond vers moi) les T2030-TR52015, T2051-TR52026.
  16. Ateliers de Bordeaux (33) en février 1994, X3886 (A.R.E., Autorail à Récupération d'Energie).
  17. Arrêtons-nous à Perpignan (66) le 22 février 1995 avec la BB7283 démarrant en direction de Narbonne avec au crochet la rame Talgo TG2 212 001 et une autre BB7200 avec une rame non identifiée arrivant en gare. Le convoi se dirige cette fois vers l'Espagne.
  18. Une petite série de Talgo, vus le 22 février 1995... Tout d'abord, je tiens à préciser que n'étant pas expert des matériels étrangers, et encore moins espagnols, pays dans lequel je n'ai mis les pieds que deux fois, lors de ce séjour d'ailleurs, les numéros des Talgo ne seront peut-être pas très bien restitués. Je ne fais que reporter les indications notées au dos des photos... Une rame dessert Perpignan (66) tandis que la rame TG4z 408 002 (la même série que celles qui venaient en dernier lieu à Paris-Austerlitz?) stationne en gare de Port-Bou (99).
  19. Les R.T.G. vont perdre le plus gros de leur charge de travail en 1995, et dans cette optique, les dernières opérations périodiques sur la série seront conduites en 1991. Un sursis sera appliqué par détente de cycle afin de permettre aux rames ayant atteint leur potentiel après l'arrêt des opérations de pouvoir rouler jusqu'à l'échéance de 1995 sans les passer en Révision Générale. Malgré ce subterfuge, certaines d'entre elles parviendront à limite de parcours dès 1994 et il faudra se résoudre à les garer. Les photos jointes ont été faites en mai 1994: _première, les TR52015 (rame 15 avec les motrices 2029/30, de Vénissieux) et T2051 (rame 26, de Caen) garées dans l'enceinte de l'Atelier Directeur de la série, Bordeaux (33); _deuxième, nous voyons la T2016 (rame 08 de Vénissieux); _troisième, une signalétique de numéro de voiture des plus rudimentaires. Pour transformer cette voiture 4 en 14, il suffit de la masquer en insérant une plaque amovible avec l'indication idoine sur le support au dessus; _quatrième, quelques jours auparavant, non pas à Bordeaux mais à Mézidon (14), on manoeuvre les T2060 (rame 30) et 2041 (rame 21) afin qu'elles n'encombrent pas leur dépôt titulaire, Caen, qui a été contraint de les arrêter pour les raisons évoquées plus haut. A cette époque, elles ont été garées en attente de décision, puis on a commencé à y démolir les premières caisses arrivées. Le projet de rénovation et remotorisation avec des turbines Makila, plus économes en carburant (ce n'est pas difficile vu ce que ces R.T.G., malgré leurs nombreuses qualités par ailleurs, engloutissaient), a été évoqué à partir de peu après mais n'a hélas jamais abouti. C'est bien dommage car ce matériel était, en dehors de sa consommation phénoménale, un excellent matériel.très confortable, rapide, puissant, réversible, et capacitaire. Il est le premier à avoir offert la climatisation aux voyageurs de seconde classe. Toutefois, certaines rames ont eu une seconde carrière pour avoir été exportées en Iran.
  20. Des BB9200 en tête de trains de fret: _le 21 février 1995, la 9206 traverse Nîmes (30) au crochet d'un de ces trains, dans lequel la BB63671 s'est invitée en véhicule; _le lendemain, les 9252 et une autre machine non identifiée de la série traversent Perpignan (66).
  21. Gare de Tours (37) en février 1994, X2212.
  22. Tours (37) en février 1994: X4391-XR8610 et 8606 (X4387).
  23. Gare de Tours (37) en février 1994, une XR6200 bien propre.
  24. En mai 1997, les CC72084 et l'E.T.G. T1003/1503 sont sur les voies de sortie du dépôt de Lyon-Vaise (69), sur lesquelles ils subissent un nettoyage intérieur des "espaces de vie" (par opposition aux compartiments moteurs).
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