Aller au contenu
Le Web des Cheminots

michael02

Membre
  • Compteur de contenus

    13 798
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages publiés par michael02

  1. Une perle :

    "

    Nicole Notat, la médiatrice.

    Je suis là pour repondre à vos questions sur les nouveaux horaires 2012."

    Elle y connait quoi ?

    Et puis , c'est assez clair , elle est là pour répondre sur les nouveaux horaires et non solutionner les problèmes rencontrés !

    wouharf !

    Il est bien précisé, comme sur le site du Médiateur SNCF qu'il faut, avant de la solliciter avoir reçu une réponse négative ou insatisfaisante de la SNCF ... Déjà cela va ralentir les élans !!!

  2. [quote name='technicentre' timestamp='1321782212'

    post='405787']

    Ah, bon? Kerguel s'appelle aussi Michael02?...

    Plait il ... ?

    Pour Aldo et Mikael02, n'y aurait-il pas possibilité de les emmener en passagers clandestins cabine arrière ou accord avec ASCT? on aurait pas ça en rayon dans les rangs "web des cheminots"?

    N'y a plus de trains MV, dommage .... :Smiley_62:

  3. Sauf de la part des artisans, dirigeants de PME, etc. qui seront sûrement ravis de mettre la main à la poche.

    Rien n'oblige les patrons de TPE (moins de 10, moins de 50 salariés) ; si la disposition imposant à l'employeur de payer les jours de carence ne découle pas de la Convention Collective (c'est en effet assez rare), ce droit est prévu par l'accord d'entreprise ou le réglement intérieur, qui sont inconnus dans les petites boites ...

  4. http://www.senat.fr/leg/ppl11-079.html

    Ce texte s'appuie sur la Loi de 2007 qui s'appliquait aux transports terrestres pour l'étendre aux secteurs maritime et aérien. Au passage cependant un coup de griffe contre les "grèves émotionnelles" à la SNCF et à la RATP.

    PROPOSITION DE LOI tendant à renforcer le dialogue social et la continuité du service public dans les transports maritimes,aériens et ferroviaires,

    Exposé des motifs

    :

    Quatre années se sont écoulées depuis l'entrée en vigueur de la loi n° 2007-1224 du 21 août 2007 sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs. Ce texte a eu incontestablement des effets positifs : il a d'abord permis d'éviter certains conflits grâce à un dialogue social plus approfondi ; il a ensuite atténué les conséquences, pour les usagers, des conflits qui n'ont pu être évités, en améliorant l'organisation du service en cas de grève.

    Lors des débats au Sénat, plusieurs de nos collègues avaient souhaité que les dispositions du texte s'appliquent également aux transports maritime et aérien. Leurs amendements avaient été repoussés, de manière à ce que l'on puisse au préalable évaluer l'efficacité du dispositif dans les transports terrestres.

    Le rapport prévu à l'article 13 a été déposé et a donné lieu à un débat au Sénat en janvier 2010.

    .../...

    Le chapitre III est relatif au transport ferroviaire.

    Il contient un article unique : l'article 11, qui vise à éviter les « grèves émotionnelles » organisées, le plus souvent, en réaction à une agression survenue sur le réseau. Il prévoit que la RATP et la SNCF négocient, d'ici le 1er janvier 2013, un accord définissant la conduite à tenir en cas d'atteinte aux biens ou aux personnes. Une meilleure information du personnel sur les événements qui se sont produits, ainsi que l'organisation systématique de réunions de concertation destinées à éviter la répétition de tels actes, devraient limiter le nombre d'arrêts de travail.

    Article 11 :

    CHAPITRE III

    Prévention des conflits dans le transport ferroviaire

    Article 11

    À la Régie autonome des transports parisiens et à la Société nationale des chemins de fer français, l'employeur engage avec les organisations syndicales représentatives de leur personnel des négociations en vue de la signature, avant le 1er janvier 2013, d'un accord-cadre précisant les obligations respectives de l'entreprise et des salariés en cas d'atteinte aux biens ou aux personnes survenue sur leur réseau, afin de prévenir le déclenchement d'un éventuel conflit. Cet accord prévoit obligatoirement la mise en place d'une procédure d'information du personnel employé sur la ligne concernée par ces atteintes aux biens ou aux personnes et l'organisation d'une réunion de concertation dans le but de renforcer les mesures de sécurité sur la ligne considérée.

  5. Dans la Vie du Rail du 16 novembre 2011 :

    "L'organisation patronale UTP a signé le 31 octobre avec cinq syndicats un accord de branche relatif à la formation professionnelle. Reste à négocier sur la prévoyance et la maladie pour clôturer la Convention Collective du transport de fret ferroviaire..."

    Précision : cette convention collective nationale est en application depuis presque 2 ans (voir début de ce topic) ... Formation professionnelle et couverture sociale collective ne sont que des détails ...

  6. Parmi les analyses :

    http://www.liberatio...-pour-seafrance4

    Avec une idée parmi les autres :

    «On voit Mariani [ministre des Transports] dans deux jours, dit-on. La SNCF pourrait racheter à la Scop un des navires, et ensuite nous le relouer. Cela nous ferait directement 50 millions d’euros.»

    Le pilote du projet : Élisabeth Teboul, ingénieur de formation, retraitée de la SNCF, ancien contrôleur de gestion de SNCF participations, auteur du plan de redressement de l'entreprise routière Rouch International.

    (http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/44831/seafrance-la-cfdt-precise-son-projet-de-scop.html)

  7. En cas de liquidation, la SNCF pourrait hériter de tout ou partie du passif... En cas de cession à la SCOP, Seafrance sera t elle encore dans le groupe sncf.? SNCF participera t elle au capital pour ne disposer que d'une seule voix ?

    Une Société coopérative et participative (Scop) est, en droit français, une société commerciale, société anonyme ou société à responsabilité limitée. Soumise à l’impératif de rentabilité comme toute entreprise, elle bénéficie d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats favorisant la pérennité des emplois et du projet d’entreprise. Ses salariés-coopérateurs y sont en effet associés (ou « co-entrepreneurs ») majoritaires et détiennent au moins 51 % du capital et 65 % des droits de vote. Par ailleurs, quelle que soit la quantité du capital détenu, chaque coopérateur ne dispose que d'une seule voix lors de l'assemblée générale de l'entreprise. (Wikipedia)

    Exigente la démocratie ! :sleep:

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.