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Le Web des Cheminots

michael02

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Messages publiés par michael02

  1. C'est un très vieux classique auvergnat pour s'auto moquer gentiment de l'accent attribué aux natifs de la région, et plus particulièrement de Saint-Flour (Chainflour). Giscard l'a lui-même racontée à la télé sous la forme habituelle - "une poule cha pond, un chapon cha pond pas".

    On peut lui rattacher celle de la bonne soeur qui rentre dans un bistrot de Saint-Flour et demande au patron : "Pardon monsieur, pouvez-vous me dire où se trouve l'évêché?" , lequel répond: "au chouchol, ma cheure"

    Et un chou, c'est un chou ... Cha marche auchi avec un chent(ime) d'euro ...

  2. D'autant que : "Je vend mon sac a dos SNCF (nouveau modele) avec laniere et protege lombaire rembourré..."

    Farceur. Tu ne fais pas de fautes d'orthographe.

    Et puis il s'appelle Anthony.

    Je l'ai sûrement déjà dit ici, il y a un agent SUGE spécialement désigné au niveau national pour surveiller les ventes illicites sur internet.

    C'est lui qui présente ainsi l'objet ...

  3. Avant hier, on a montré abondamment sur les chaînes télé un 67400 poussant un wagon équipé d'un soc pour déblayer la voie à Chaulnes. Je suis surpris que cela n'ait pu être fait plus tôt. Je me souviens que, il y a une trentaine d'années, le dépôt d'Aulnoye-Aymeries disposait de plusieurs wagons-socs réalisés à partir d'anciens tenders 17 A. L'état de ces véhicules témoignait qu'ils avaient beaucoup servi dans leur seconde vie!

    Tout ce qui a été ferraillé et non remplacé depuis des lustres manque aujourd'hui sur le terrain ...

  4. Le rcit de notre collegue confirme bien l'info des dernieres nouvelles d'Alsace qui indiquaient que le train Cerbere strasbourg etait arrive a destination avec

    9 heures de retard c'est en fait un double naufrage cette affaire car moins mediatisee certe mais a l'aller il s'est produit la meme chose a savoir pas de releve prevue

    Il y a d'ailleurs - et ce n'est pas sans logique - une demande de prise en compte commerciale dans les mêmes conditions que pour le strasbourg - port bou sur le site de débats sncf !!!

  5. Visiblement ils ont refusés ma candidature car j'ai pas eu de réponse et quand j'ai postulé ils ont dis que si on a pas de réponse dans le mois qui suit c'est que je ne suis pas reçus.

    Avec le nombre de candidatures que reçoit la SNCF par rapport aux postes disponibles, il n'y a pas de la place pour tous et ne pas être pris sur dossier ne veut pas dire que la candidature n'est pas valable...

    En candidature spontanée, c'est encore plus aléatoire, puiqu'il n'y a pas de proposition de poste au moment où la candidature est présentée. En revanche, elle peut ressortir si un recrutement est déclenché.

    Enfin, toutes ces considérations, quand on cherche un job, c'est pascontent ... on comprend bien ...

  6. Série d'articles intéressants dans la Provence sur l' Odyssée du Lunea Strasbourg-Port Bou :

    http://www.laprovenc.../recherche/sncf

    Notamment ce témoignage :

    Strasbourg-Nice en 27 heures : "Une galère surréaliste et conviviale"

    Publié le mardi 28 décembre 2010 à 15H18

    C'est l'histoire d'un train qui aura mis 27 heures à relier Strasbourg et Nice. Parti dimanche à 21h30 de la capitale alsacienne, le train devait arriver en gare de Nice lundi vers 8h30. Mais un enchaînement de circonstances a fait que les malheureux voyageurs ont finalement atteint leur destination avec près de 16 heures de retard. Presqu'un record du genre que la SNCF a expliqué par "une succession exceptionnelle d'incidents".

    C'est donc l'histoire de 600 passagers partis du retard puis obligés de passer la nuit dans des wagons bloqués à Belfort pour une histoire de changement de conducteur mal organisé. La série noire ne s'est pas arrêtée là : incident avec des voyageurs alcoolisés (à Belfort encore), puis blocage derrière un TER en panne à Montbéliard. Pour faire bonne mesure, un nouvel arrêt durant une partie de l'après-midi en gare de Tournus en Saône-et-Loire, a été rendu nécessaire pour une histoire de changement de motrice...

    C'est aussi l'histoire de Philippe, ingénieur à l'Ademe et collaborateur de Live in Marseille et surtout passager du fameux train dont toute la presse parle depuis hier. Impressions à chaud...

    "La con de ta mère"

    L'ambiance dans le train était globalement bonne malgré beaucoup de râleurs et quelques excités à l'image de ce père marseillais venu chercher sa fille pour une semaine de garde et qui a crié comme un putois sur "la con de ta mère" au petit matin à Belfort. Après avoir gueulé un bon coup contre les contrôleurs, ils ont fini par comprendre que cela n'aidait pas et qu'ils étaient dans le même bateau que nous. Les contrôleurs ont remarquablement bien géré la pacification des relations : pas de provocation, d'autoritarisme ni de mépris !

    Echange Sudoku contre bredele...

    Le côté galère surréaliste partagée finit fatalement par instaurer une ambiance conviviale et solidaire : chacun dans mon wagon a partagé tout ce qu'il avait à manger. Par exemple en Alsace après Noël, tout le monde revient avec des "bredele" : les paquets de ces petits gâteaux alsaciens ont fait le tour du wagon ! Après 24 heures passées ensemble dans un compartiment, on sympathise forcément. Dans le mien une dame a déchiré son magazine de sudoku en mille morceaux pour distribuer des grilles à tous les volontaires. Ses 2 grilles offertes m'ont quand même fait passer 2 heures sur les 25, ce n'était donc pas si anodin !

    Un café en Sibérie

    Faire la queue dehors par -10°C et les pieds dans la neige à Tournus, le temps que l'hôtel serve les 500 ou 600 personnes au bar comme ils pouvaient (en gros 250 cafés et autant de chocolats chauds), a été le moment le plus surréaliste du voyage : on se serait cru en train de faire la queue en Sibérie devant un magasin vide...

    Au final je me suis demandé si le rapport thermodynamique était intéressant, c'est-à-dire si je m'étais vraiment réchauffé avec ce café plus que je ne m'étais refroidi en attendant 20 minutes dehors par ce temps...

    Pas d'eau dans les toilettes

    Le plus scandaleux, c'est qu'il n'y avait pas d'eau dans les lavabos et toilettes pendant tout le voyage. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir fait de longs arrêts notamment à Belfort, Montbéliard et Tournus ! C'est totalement inexcusable de désinvolture et de désorganisation.

    Des agents SNCF pro et courageux

    Passé un petit coup de mauvais poil au matin, le chef de bord et l'autre contrôleur ont été très professionnels, courtois et même courageux : efficaces avec les moyens limités dont ils disposaient. Franchement, ils ont été les meilleurs représentants possibles du service public qu'ils assuraient... D'ailleurs, ils ont fini très populaires et ont même été applaudis à leur message final en gare de Lyon Perrache. Pas la peine de se déchaîner contre les fonctionnaires ou les 35 heures de la SNCF : les nombreux problèmes relevaient certes de la désorganisation collective de la SNCF mais aussi de leur manque de moyens (remplacement des trains...), et pas particulièrement des horaires de travail.

    Info ou intox ?

    J'ai beaucoup vu ici ou là qu'on n'avait pas assez été informés notamment à Belfort. C'est faux ! Tous les gens qui ne dormaient pas ont pu demander sur le quai et étaient au courant du problème du changement de chauffeur. Il a été expliqué au matin lors du départ.

    Quant à l'annoncer en direct à minuit ou 5 heures du matin, pour réveiller 600 personnes et avoir 600 passagers en colère sur le quai, quel intérêt ? A Belfort, la plupart des gens dormaient (arrivée minuit, départ 7h du matin !), rien de spécial à "organiser" donc sauf pour les insomniaques qui fumaient des clopes sur le quai en pestant... et la joyeuse bande qui s'est pintée la gueule et a fini par causer des problèmes et l'altercation qui nous a ralentis d'1h30 de plus...

    Présentant au nom de la SNCF ses "excuses pour ce très mauvais voyage", le président Guillaume Pepy a rappelé que l'entreprise allait rembourser leur billet et offrir un aller-retour aux quelque 600 passagers du train. De son côté, le syndicat SUD-Rail a mis en cause, la politique de la SNCF, lui reprochant de faire des "économies" sur le matériel roulant ainsi que de manquer de personnel.

    Propos recueillis par Karine PORTRAIT (kportrait@laprovence-presse.fr)

    </H1>
  7. Simple constat pour 2010: G.Pépy ne parle même plus de participation, de 200€ par cheminots.

    C'est tout dire de la fragilité des comptes de la boite.

    Sans vouloir dévier du sujet... c'est peut être aussi parce que les syndicats minoritaires qui soutenaient la participation ont été pssssshhhiiittés ...

    Quant à dire que les Corails sont trop vieux, eux roulent au maximum qu'à 160km/h et au final peu dans l'année.

    Plus préoccupant est l'état des 1er TGV ou du TGVA vieillissants.

    ET là, toujours de renouvellement, de "contrat du siècle" depuis + 2 ans.

    okok

  8. Bien d'accord, ces trains là sont les premiers à poil et ne roulent jamais à l'heure (entre 0h40 et 5h de retard personnellement, quand pas supprimés), pour moi c'est de la dequalification volontaire de la liaison. Une fois, avec un autre train, j'ai dù attendre la correspondance d'un Lyon-Strasbourg, j'ai dù attendre 30 minutes, et c'etait un bus qui est arrivé, un bus qui a fait Lyon Mulhouse en remplacement du train. Oui, un bus....

    A priori les trains sous convention TET (trains d'équilibre du territoire) sont garantis pour 3 ans

  9. En fait, ce genre de situation m'énerve ...

    La conclusion du Progrès est un peu différente du copier/coller du topic . Il y a manifestement eu une modification éditoriale :

    Même un responsable cheminot du comité régional de la CGT s'est dit,

    selon elle, « sidéré » par cette histoire. À ce jour, le courrier que Francisca a envoyé le 22 novembre en

    recommandé au service clientèle de la SNCF n'a pas reçu de réponse. Le service communication de l'entreprise

    à Lyon, sollicité lundi par « Le Progrès », a indiqué hier ne pas être en mesure de nous fournir sa version des

    faits avant la semaine prochaine. L'agent incriminé a utilisé « l'arme » du refus d'obtempérer. Une riposte

    sans doute disproportionnée dans le cas de cette mère de famille en règle, qui rentrait tranquillement d'un

    baptême à Paris.

    est devenu :

    Un contrôleur que nous avons contacté, s'étonne de cette contravention :

    « Quand un TGV démarre, on fait passer un message pour dire aux voyageurs de se munir de leurs titres de transport dans la voiture-bar, ça nous facilite le travail, mais à ma connaissance, le règlement ne prévoit pas de mettre une amende si les billets sont restés dans les voitures ».

    L'agent incriminé a utilisé « l'arme » du refus d'obtempérer. Une riposte sans doute disproportionnée dans le cas de cette mère de famille en règle, qui rentrait tranquillement d'un baptême à Paris.

    http://www.leprogres...ormcommentaires

    Rien que la modification de l'article appelle discussion !!!

  10. Strasbourg-Nice en 27 heures : "Une galère surréaliste et conviviale"27 contributions Publié le mardi 28 décembre 2010 à 15H18

    C'est l'histoire d'un train qui aura mis 27 heures à relier Strasbourg et Nice. Parti dimanche à 21h30 de la capitale alsacienne, le train devait arriver en gare de Nice lundi vers 8h30. Mais un enchaînement de circonstances a fait que les malheureux voyageurs ont finalement atteint leur destination avec près de 16 heures de retard. Presqu'un record du genre que la SNCF a expliqué par "une succession exceptionnelle d'incidents".

    C'est donc l'histoire de 600 passagers partis du retard puis obligés de passer la nuit dans des wagons bloqués à Belfort pour une histoire de changement de conducteur mal organisé. La série noire ne s'est pas arrêtée là : incident avec des voyageurs alcoolisés (à Belfort encore), puis blocage derrière un TER en panne à Montbéliard. Pour faire bonne mesure, un nouvel arrêt durant une partie de l'après-midi en gare de Tournus en Saône-et-Loire, a été rendu nécessaire pour une histoire de changement de motrice...

    C'est aussi l'histoire de Philippe, ingénieur à l'Ademe et collaborateur de Live in Marseille et surtout passager du fameux train dont toute la presse parle depuis hier. Impressions à chaud...

    "La con de ta mère"

    L'ambiance dans le train était globalement bonne malgré beaucoup de râleurs et quelques excités à l'image de ce père marseillais venu chercher sa fille pour une semaine de garde et qui a crié comme un putois sur "la con de ta mère" au petit matin à Belfort. Après avoir gueulé un bon coup contre les contrôleurs, ils ont fini par comprendre que cela n'aidait pas et qu'ils étaient dans le même bateau que nous. Les contrôleurs ont remarquablement bien géré la pacification des relations : pas de provocation, d'autoritarisme ni de mépris !

    Echange Sudoku contre bredele...

    Le côté galère surréaliste partagée finit fatalement par instaurer une ambiance conviviale et solidaire : chacun dans mon wagon a partagé tout ce qu'il avait à manger. Par exemple en Alsace après Noël, tout le monde revient avec des "bredele" : les paquets de ces petits gâteaux alsaciens ont fait le tour du wagon ! Après 24 heures passées ensemble dans un compartiment, on sympathise forcément. Dans le mien une dame a déchiré son magazine de sudoku en mille morceaux pour distribuer des grilles à tous les volontaires. Ses 2 grilles offertes m'ont quand même fait passer 2 heures sur les 25, ce n'était donc pas si anodin !

    Un café en Sibérie

    Faire la queue dehors par -10°C et les pieds dans la neige à Tournus, le temps que l'hôtel serve les 500 ou 600 personnes au bar comme ils pouvaient (en gros 250 cafés et autant de chocolats chauds), a été le moment le plus surréaliste du voyage : on se serait cru en train de faire la queue en Sibérie devant un magasin vide...

    Au final je me suis demandé si le rapport thermodynamique était intéressant, c'est-à-dire si je m'étais vraiment réchauffé avec ce café plus que je ne m'étais refroidi en attendant 20 minutes dehors par ce temps...

    Pas d'eau dans les toilettes

    Le plus scandaleux, c'est qu'il n'y avait pas d'eau dans les lavabos et toilettes pendant tout le voyage. Pourtant ce n'est pas faute d'avoir fait de longs arrêts notamment à Belfort, Montbéliard et Tournus ! C'est totalement inexcusable de désinvolture et de désorganisation.

    Des agents SNCF pro et courageux

    Passé un petit coup de mauvais poil au matin, le chef de bord et l'autre contrôleur ont été très professionnels, courtois et même courageux : efficaces avec les moyens limités dont ils disposaient. Franchement, ils ont été les meilleurs représentants possibles du service public qu'ils assuraient... D'ailleurs, ils ont fini très populaires et ont même été applaudis à leur message final en gare de Lyon Perrache. Pas la peine de se déchaîner contre les fonctionnaires ou les 35 heures de la SNCF : les nombreux problèmes relevaient certes de la désorganisation collective de la SNCF mais aussi de leur manque de moyens (remplacement des trains...), et pas particulièrement des horaires de travail.

    Info ou intox ?

    J'ai beaucoup vu ici ou là qu'on n'avait pas assez été informés notamment à Belfort. C'est faux ! Tous les gens qui ne dormaient pas ont pu demander sur le quai et étaient au courant du problème du changement de chauffeur. Il a été expliqué au matin lors du départ.

    Quant à l'annoncer en direct à minuit ou 5 heures du matin, pour réveiller 600 personnes et avoir 600 passagers en colère sur le quai, quel intérêt ? A Belfort, la plupart des gens dormaient (arrivée minuit, départ 7h du matin !), rien de spécial à "organiser" donc sauf pour les insomniaques qui fumaient des clopes sur le quai en pestant... et la joyeuse bande qui s'est pintée la gueule et a fini par causer des problèmes et l'altercation qui nous a ralentis d'1h30 de plus...

    Présentant au nom de la SNCF ses "excuses pour ce très mauvais voyage", le président Guillaume Pepy a rappelé que l'entreprise allait rembourser leur billet et offrir un aller-retour aux quelque 600 passagers du train. De son côté, le syndicat SUD-Rail a mis en cause, la politique de la SNCF, lui reprochant de faire des "économies" sur le matériel roulant ainsi que de manquer de personnel.

    Propos recueillis par Karine PORTRAIT (kportrait@laprovence-presse.fr)

    Ca c'est du vécu .... controleursncf

  11. Pour l'anecdote,

    ce matin, a 10h15 a peu pres, mon tel sonne : numero privé...

    Je décroche, et, c'etait RMC, pour les GG qui me contactait par rapport a ce train Strasbourg-Port Bou,

    vu que j'avais deja réagi a cette emission pour des sujets différents, ils m'ont donc contacté pour essayer d'expliquer le RH a la SNCF et autres.....

    J'ai donc répondu que je ne maitrisai pas le sujet, que j'en avais juste entendu parlé aux flashs info, et que je serai a la ramasse face a mes contradicteurs...

    Vers 12h15, j'ecoute la fin de l'émission, et, dans les contradicteurs, il y avait Pascal Peri (un anti SNCF notoire) ainsi que Maitre Gilbert Collard (qui ne l'aime pas focément plus)...

    http://www.rmc.fr/po...dcast.php?id=36 vers 3 mn : pas assez de conducteurs - trop de cadres

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