Aller au contenu
Le Web des Cheminots

michael02

Membre
  • Compteur de contenus

    13 798
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages publiés par michael02

  1. lame ==== > vague

    2 voies parallèles ...

    lame=> larme

    Vague à ... la®me

    Larme ==> Crocodile

    crocodile === > Dundee

    (La citation multiple fonctionne bien ... )

  2. Le point vu d'ici séans :

    bonjour

    je n'ai plus la bouton (bien pratique) "voir les nouveaux messages depuis la dernière visite"

    cela semble être "voir le nouveau contenu", mais comme il y a le sigle du flux RSS tout contre.... les écarter un peu ?

    Le bouton "Voir le nouveau contenu" remplit cette fonction

    autre bug :

    dans le profil en face des messages il y a interests au lieu d'interets

    et les virgules s'y affichent de façon bizarre

    Je suis allé voir le profil et j'ai édité

    tout comme les accents dans le listing des messages

    A priori, c'est normal comme affichage ici

    on ajoute l'heure d'affichage 02h12 au lieu de 14h12 (était bien réglé avant)

    Il faut lire 2:12 p.m. peut être

    et les citations qui ne sont plus encadrées ni différenciées

    Celles d'avant apparaissent mal, les nouvelles sont affichées...

  3. Nantes : 17 heures de retard pour un vol vers Marrakech

    Ils devaient partir jeudi à 21 h 25, ils n'ont décollé qu'hier vers 15 h. Une soixantaine de voyageurs en partance pour Marrakech ont attendu leur vol plus de 17 heures à l'aéroport de Nantes. « Et même plus, souligne un usager mécontent. On s'est tous présentés pour l'embarquement à 19 h 25 jeudi ». Ce n'est qu'à ce moment-là que ces personnes ont découvert que le vol était retardé. « Tout était flou, se plaint l'un d'entre eux. On n'a jamais su pourquoi le vol avait été annulé. On nous a ensuite emmenés dans un hôtel à Nantes sans savoir à quelle heure on partirait ».Le lendemain vendredi, les voyageurs sont informés d'un départ prévu à 13 h 15. « Là encore, on a appris au dernier moment que le vol était retardé. Ce manque d'information de la part du voyagiste est inadmissible ! », pointe ce même voyageur. L'aéroport, qui n'est pas responsable de ce retard, fait savoir que l'annulation du vol initial est due à « un problème technique » sur l'avion.

    Presse-Océan

    commentaire: Cela va faire la une du 20h de ce soir et Bussereau va convoquer G.Pépy pour l'engueuler !

    Ah zut, c'est un retard d'avion, pas de train: alors on passe sur la galère de ces zusagés pris en otages.

    La règle semble:

    • 17h pour l'aérien = c'est acceptable
    • 5h pour l'Eurostar = la une du 20h de TF1
    • un arrêt sauté au Mans pour un TGV (sur 800 par jour) = la une du Figaro et des 20h

  4. CITATION(michael02 @ 09/04/2010 08:19) L'EAS ....

    C'est complètement contradictoire avec l'objectif de "lutte contre la fraude", sauf à placer partout des barrières de contrôle, ce qui - avec les autres conséquences : insécurité, dégradations du matériel ... - réduirait à néant l'économie réalisée...

    Dans le cas présent, l'absence de contrôle ne permet plus de contrer l'EAS... Les ASCT, en ne remplissant pas leurs missions (même s'ils veulent éviter d'expliquer les retards), ne se tirent ils pas une balle dans le pied ?

    On peut aussi penser que les contrôleurs mettent en évidence le fait que leur "absence" entrainera des conséquences... mais est-ce la méthode la mieux appropriée ?

  5. Bonjour à tous et toutes,

    Je viens de faire une grosse mise à jour du script du forum (version 2.3.6 vers la version 3.0.5). Il y a pas mal de fonctionnalitées nouvelles ou améliorées dans cette mise à jour, et de nouvelles possibilitées qui vont arriver rapidement....

    Le design du site est "en travaux", il va être complètement refait.

    Indiquez moi dans ce sujet si vous trouvez des bugs ou erreurs.... ou autres soucis divers.

    Merci d'avance,

    katamiaw

    Effectivement, le forum évolue ... Joli travail déjà !

    Merci

  6. CITATION(mikadofuel @ 09/04/2010 21:46) normal, la cci a qu'a faire le nécessaire pour que le service soit rendu avec l'effectif suffisant, contrôleur aérien la responsabilité n'est pas la même que pour un vendeur de chaussettes .

    Lorsqu'il est question de la responsabilité d'un contrôleur aérien et des difficultés qu'il peut rencontrer, il faut se souvenir de la collision survenue au dessus d'Uberlingen en Allemagne en 2002 : catastrophe Uberlingen

    Ce soir là tout déc .... au Centre (Privé) de contrôle suisse : de la maintenance en cours, des fonctionnalités inhibées, des lignes de téléphone coupées, le second contrôleur parti, deux postes de travail pour le seul contrôleur restant ...

    La collision entre l'avion russe et l'Américain avait fait 71 victimes dont 52 gamins russes qui avaient gagné un voyage en Espagne.

    Le contrôleur Pieter Nielsen, seul en poste ce soir là, a été assassiné en 2004 par un père de famille qui avait perdu sa femme et ses deux enfants dans l'accident....

  7. Sur cette ligne les TER 2N NG financés par la région de Haute Normandie circulent de plus en plus puisque plus nombreux et comme ils sont équipés EAS, des circulations se font sans contrôleur à bord (je répète ce qui m'a été dit mais je n'ai pas confirmation).

    Pourtant il y a 1 an ou 2, Guillaume Pépy avait annoncé le renforcement de la lutte contre la fraude.

    C'est de l'argent qui ne rentre pas dans les caisses tout de même.

    L'EAS .... :laugh:

    C'est complètement contradictoire avec l'objectif de "lutte contre la fraude", sauf à placer partout des barrières de contrôle, ce qui - avec les autres conséquences : insécurité, dégradations du matériel ... - réduirait à néant l'économie réalisée...

  8. Vous avez lu les pub qui fleurissent dans les gares à propos des vrais privilégiés des retraites? Et dire que grâce à certains le problème était définitivement réglé pour les cheminots de la SNCF! Et ben non, vous allez en reprendre une couche alors même que la première réforme n'est pas encore finie d'appliquer! Mais bon c'est tout à fait normal aussi, quand on se promène avec le froc baissé en permanence faut pas s'étonner d'attirer les pervers...

    Tout vas très bien, Madame la marquise....

    De l'extérieur, mais avec un peu de bouteille en interpro ... Cette analyse m'apparait très sévère ...

    Dans le public comme dans le Privé, c'est le patron(at) qui décide ...

    La novation, ce serait que l'Etat Patron se soit engagé résolument - dans les trente ou quarante dernières années - dans une démarche de plus en plus capitalistique pour gérer le secteur public ... l'influence du personnel, des syndicats, sur les choix stratégiques s'en trouve amoindrie...

    Evidemment, avec des taux de syndicalisation rejoignant ceux des pays nordiques et une participation générale aux élections professionnelles (et politiques ...), le "dialogue social" aurait une autre efficacité ...

  9. ... Et en plus elle doit être remboursée avec la prime de transport tous les mois alors que cela n'est pas justifiée pour elle !

    @+ Marc

    Sur ce point précis : pour payer sa participation, l'employeur doit tout de même s'assurer de la réalité de la dépense engagée par la salarié... il y a, pour le moins, co-responsabilité...

    Reste que l'attitude de cette personne est indéfendable.

  10. Nouvelle crise dans la filiale de la SNCF :

    Transport logistique

    Sûrs d'eux et déterminés, [les représentants CFDT] disent être suivis « à 100 % » par les salariés et ne pas croire une seconde au scénario catastrophe dressé par la direction : « Ce ne sont que des mensonges. SeaFrance est une filiale à 100 % de la SNCF, elle ne peut pas être en faillite. »

    mer et marine

    Le Plan de redressement tombe à l'eau

    Conséquence de la grève du week-end pascal, le plan de redressement et de sauvegarde de l'emploi chez SeaFrance tombe à l'eau, avec toutes les conséquences que cela implique. Face la guerre de tranchées livrée par la CFDT, qui considère les menaces de fermeture comme de l' « intox », la direction, au pied du mur, veut placer l'entreprise sous la protection du tribunal de commerce. La situation financière est, selon elle, catastrophique, et le dernier mouvement, qui a duré 5 jours et coûté 2 millions d'euros, aurait fini d'enfoncer le clou. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 183 millions d'euros de dettes, 36 millions d'euros de pertes en 2009, 15 millions d'euros de pertes depuis le 1er janvier et un déficit de trésorerie de 53 millions d'euros !

    En février, après un très long conflit, l'ensemble des organisations syndicales avaient signé un accord de médiation ouvrant la voie à la mise en oeuvre du PSE et du plan de redressement de la compagnie. En tout, 482 postes (pour 1580 salariés) devaient être supprimés, sans aucun licenciement. Pour l'heure, environ 200 personnes se sont portées volontaires pour quitter l'entreprise, par exemple au travers de départs anticipés à la retraite ou pour créer une entreprise. Mais, compte tenu des blocages rencontrés ces dernières semaines lors des comités d'entreprise (qui doit rendre un avis sur ces sujets), ces candidats au départ ne peuvent même pas quitter la compagnie ! « Nous sommes dans une situation surréaliste », s'indigne un responsable syndical.

    L'avance de trésorerie consommée d'ici la fin mai

    Début 2010, la SNCF, maison-mère de SeaFrance, avait alloué à sa filiale 70 millions d'euros afin de regarnir sa trésorerie. Débloquée suite à la signature des accords de médiation, cette enveloppe devait permettre à la société de tenir quelques mois, le temps que le PSE et la recapitalisation soient mis en oeuvre. Seulement voilà, de blocages en mouvements sociaux, le projet n'a pas avancé et la trésorerie a vécu. Ainsi, 48 des 70 millions d'euros sont aujourd'hui consommés. Selon la direction, les derniers deniers auront disparu avant la fin du mois de mai. Si rien ne bouge, ce sera, alors, le dépôt de bilan. Plus grave, le retard pris dans la mise en oeuvre du plan de redressement, toujours soumis à de vives oppositions, a alourdi la dette, rendant le projet de recapitalisation caduc. Pour sauver l'armement, la SNCF devait injecter 170 millions d'euros, ce qui constituait un effort certain pour une activité, somme toute, marginale à l'échelle du groupe. Malgré les très lourdes pertes essuyées en 2009 (1 milliard d'euros), la SNCF n'avait pas fait machine arrière, déposant une demande auprès de Bruxelles, dont l'accord est indispensable.

    Or, la grève du week-end de Pâques semble être la goutte d'eau qui fait déborder le vase. « Dans les conditions actuelles d'exploitation de l'entreprise et avec la nouveauté qui est liée aux conflits sociaux et aux grèves, nous allons vers des chiffres qui ne sont plus supportables. Et, dans tous les cas, qui ne permettront pas à l'actionnaire de recapitaliser. Donc, si je n'ai pas de recapitalisation, et bien l'entreprise s'arrête », a déclaré hier Pierre Fa, président du Directoire de SeaFrance, à nos confrères de France 3 Nord Pas-de-Calais.

    Le sort de la compagnie entre les mains du tribunal de commerce

    Mercredi, un point de situation était à l'ordre du jour d'une réunion exceptionnelle du Conseil de surveillance de SeaFrance. « Les membres du Conseil se sont tous accordés pour déplorer l'attitude irresponsable de quelques représentants syndicaux qui a ruiné les efforts de tous, direction et salariés, qui s'évertuent à sauver SeaFrance. (Ils) ont unanimement constaté que les conséquences commerciales et financières des mouvements sociaux depuis la signature des accords, ne permettent plus d'atteindre les objectifs du plan présenté à Bruxelles », explique la compagnie. Dans ces conditions, Pierre Fa a informé les membres du CS qu'il souhaitait placer SeaFrance sous la protection du tribunal de commerce de Paris. Le Comité d'Entreprise sera consulté en ce sens la semaine prochaine. La dette s'étant alourdie et le plan de redressement ne parvenant pas à entrer en vigueur, la compagnie devrait être contrainte d'élaborer et présenter au tribunal un plan encore plus draconien. Si ce plan est accepté par les juges, un administrateur judiciaire sera nommé. Si ce n'est pas le cas, l'entreprise sombrera. « Si nous n'arrivons pas à convaincre le tribunal de commerce qu'on peut imaginer un avenir à SeaFrance - dans des conditions différentes de toute façon - c'est le tribunal de commerce qui prendra la décision de fermer l'entreprise ou, du moins, de la liquider », explique Pierre Fa. Au gouvernement, la fin de l'armement français n'est en tous cas plus tabou. « SeaFrance peut mourir » a prévenu mardi Dominique Bussereau. Et le secrétaire d'Etat aux Transports d'ajouter : « Si ça continue, le problème sera réglé parce que SeaFrance disparaîtra ».

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.