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Le Web des Cheminots

michael02

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Messages publiés par michael02

  1. Peut-être cela correspond à:-PAZ--Montluçon via Moret/Nevers/Saincaize lotrela

    -PAZ--Montluçon via Corbeil.

    -PAZ--Montluçon via desserte de la gare d'Orléans.

    Rien de tout cela pour ce trajet qui est celui du corail 3918... trajet direct et classique par Bourges, avec rebroussement vers St Florent.

    Et par Vierzon - St Florent sans passer par Bourges, quelle est la distance facturée ?

  2. Je pense aussi que le controle systématique, en plus d'etre compliqué et onéreux a mettre en place, pourrait etre aussi risqué niveau sécurité des voyageurs et des collègues.

    Après sur Saint lazare il y'a le fait qu'il n'y a pas de portiques pour accéder aux quais banlieue comme dans d'autres gares parisiennes, difficile a mettre en place également vu que certaines voies sont utilisées par les Transilien et les TER/CIC.

    Plus d'opérations '"coup de poing" de brigades d'ASCT en nombre , accompagnée d'équipes SUGE et/ou de forces de police obtiendraient de bons résultats.

    Ajouté a cela un accueil suffisant en gare.

    Bonne journée!

    Certes... il semble bien que les opérations "coups de poing" peu nombreuses, inopinées et en brigades importantes mais peu encadrées, avec un personnel en gare clairsemé soient la plus dangereuse des solutions...

  3. Bonjour, suis agent d'escale an ALsace, j aimerais postuler pour ASCT (reconvertion) sur Paris, s il y a des ASCT de Paris qui pouvaient me renseigner sur le metier, Paris n est pas facile pour bosser! la clientele n est pas la meme qu en province, agressives, les conditions de travails, le logement chere...merci j attends vos commentaires..

    Je suis client à Paris ...... beurklotrela donc .... bigbisous ????

  4. La date du 20 mars 1912 pour le voyage inaugural du Titanic a été choisie en juillet 1911 entre les constructeurs (chantier Harland and Wolff à Belfast) et la compagnie White Star. Le bateau avait été lancé le 31 mai 1910.

    En octobre 1911, cette date fut reportée au 10 avril 1912, en raison des travaux engagés pour réparer le sister-ship du Titanic, l'Olympic, suite à l'abordage à Southampton avec le croiseur Hawkes le 20 septembre 1911.

  5. Ce que ca dit surtout, c'est que ce soit dans le public ou dans le privé, les patrons font dire tout et n'importe quoi à des comptes bien opaques.

    Je souscris à cette appréciation en enlevant "bien opaques", dans les sens que même s'ils sont transparents, sincères et certifiés comme tels, les comptes ne s'analysent que dans la durée...

  6. c'est encore à voir d'ailleurs ... ce n'est pas dans la situation actuelle d'une crise provoquée par des évaluations financières complètement fausses à tous les niveaux que ces bilans comptables peuvent se prévaloir d'une quelconque validité. Quand on sait ce qui a été volatilisé par les banques les années passées, on peut émettre des doutes plus que sérieux ... sur leur sérieux !

    Ne serait-ce que par tous les impondérables (au sens qu'on ne peut peser ..) que sont le savoir-faire, les conséquences sociales des décisions prises, le coût de remplacement etc, etc ... Fermer une entreprise parce qu'elle est réputée ne plus rien valoir aux yeux de ces comptables, en mettant au chômage des centaines de familles, les commerçants qui les nourrissent et le reste tout autour, prouve que leur comptabilité est tout simplement fausse.

    Un bilan est la photo d'une situation financière à un moment donné. Les méthodes comptables, le contexte économique du moment, modifient l'aspect de cette photo... On parle de l'actif patrimonial, c'est déjà compliqué, ce qui est soumis à la spéculation encore bien plus...

    La responsabilité sociale de l'entreprise, c'est un autre aspect, et sa prise en compte n'est pas le fait du plus grand nombre des boites du privé ...

    Certaines entreprises, celles de l'économie sociale (coopératives, mutuelles...), ont l'objectif de réussite économique en ne rémunérant aucun actionnaire, en réinvestissant les boni, en associant les salariés et les sociétaires/clients aux choix de gestion, en pratiquent le juste prix... Ca fonctionne ... et quand ça rame, ce ne sont pas les fonds d'investissements qu'il faut solliciter : exemple avec la Camif ...

  7. Merci michael.

    Si je comprends bien, si une loc vaut 0 car elle rapporte plus rien on arrêt de dire qu'elle vaut 100.

    Donc hier encore, on se gênait pas pour afficher n'importe quoi dans le bilan. C'est rassurant.

    Le problème c'est avec les actifs immobiliers avant, pendant la crise, et soumis aux soubresauts du marché .. avec IFRS, les bilans de sociétés font du trampoline... si bien que certaines sortent un bilan normé IFRS, un bilan en normes compta françaises et un compte d'exploitation ... les experts comptables et commissaires aux comptes salivent .... :blush:

    Pour le matériel roulant, c'est bien ça : 120 locotracteurs et locos garés en bon état à Sotteville ... prix unitaire sur le marché .... ??? de combien inférieur au prix théorique ?

    Avant IFRS, certes les bilans étaient "faux" mais on savait les lire ... maintenant, ils sont plus justes, mais soumis aux règles spéculatives ... pas sûr que ce soit plus simple ...

  8. Oui ba c'est un détail car après tout elles n'en voulaient pas donc ne seront pas déçu de ne pas en avoir cette année.

    Moi, j'aimerai comprendre en quoi déprécier ses actifs prépare à la concurrence ... j'y connais pas grand chose donc si quelqu'un a une explication ...

    S'il s'agit d'harmoniser les comptes d'actifs avec les normes comptables internationales de façon à exposer son bilan et le rendre comparable, cela renvoie à l'adoption des normes comptables IFRS par la SNCF.

    Extrait de l'article wikipedia :

    La juste valeur (I.A.S. 32) est le montant pour lequel un actif pourrait être échangé, ou un passif éteint, entre parties bien informées, consentantes, et agissant dans des conditions de concurrence normale. Le principe de l'évaluation des actifs à leur juste valeur représente un impact majeur pour les établissements de crédit mais aussi pour toutes les entreprises qui ont des participations financières importantes. Plus que toutes les autres normes, l'IAS 32 et 39 rompent avec l'esprit de la comptabilité française notamment.

    Elle remet en question les principes comptables « de base » dans la mesure où elle modifie certains concepts du formalisme comptable. La comptabilité « traditionnelle » enregistre l'acquisition d'un bien (disons, un titre pour une valeur de mille euros) et ne revient sur cette valeur dite « historique » qu'au moment de la cession de ce titre, moment où l'on enregistre, au compte de résultat, une perte ou un gain. Le principe de la juste valeur oblige, si l'on sait que ce titre ne vaut plus que 500 euros, à reconnaitre une perte « potentielle » et de montrer aux investisseurs potentiels et aux actionnaires la réalité économique du patrimoine de l'entreprise (« mon titre vaut 500 euros ») plutôt qu'une réalité comptable (« j'ai acheté un titre 1000 euros »).

    Autre point de vue : b.aubin

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