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Le Web des Cheminots

fby

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Messages publiés par fby

  1. bonjour

    etant membres CHSCT sur paris gare de lyon je vais vous repiondre sur SIRIUS c une grosse connerie plusieurs point :

    son but alleger le sac et bah non c'est faux RT juridiquement interdit de le mettre dedans imaginer sirius hs en cours de journee anomalie de frein comment determiner sa vitesse donc rt c un mensonge

    ensuite ecran trop petit certains long c trop petit mise en route et telechargement des donnes 8 min transmission bs 14min .....

    deplus pour vous fliquer rien de mieux ya un gps et le ctt qui di c que dans un sens c faux un gps emet et recois sinon impossible de se localiser.

    EN CNHSCT il a ete prevu de fournir des casiers pour les laisser au boulot et pour les recharger c des casiers avec prises de courant car on va pas payer pour recharger l'appareil en plus g pas envie d 'etre fliquer quand je suis en decoucher mais a la maison.

    Il y a eu une expertise qui selon les medecins c un appareil nocif pour notre sante ondes fatigue des yeux perte de vue plus rapide etc mais la direction passe outre.

    sachez que l'appareil pese 450gramme mais faut rajouter une batterie car l 'appareil ne tient pas une JS complete et donc le total c 850grammes pour remplacer seulement une fiche train ou est l'interet????.

    Perso l'ET PSE boycott fortement l'outil

    n'y a t il pas un bouton OFF ?

    n' as tu point de GSM , et les écrans de 27000 et autre , sont ils nocifs ?

  2. Non , ne sors pas.ce n'est pas si idiot . Car face à ces imtempéries et à la déliquéssences des services publics , comment sont protégés les salarié(e)s qui se louperaient ? Rien n'empêche un employeur de lourder qlq'un si il le désir car rien ne le protège....Or qlq chose similaire pourrait les protéger.....

    pour un fois se ne serai pas envers les grévistes , que la france qui travaille pourrai invoquer le droit au travail ............................:Smiley_39: :Smiley_39:

  3. Je note rien donc !

    Je te trouve quand même un peu complexe a comprendre ! tu es contre le fait que VFLI existe , et je sui d'accord avec toi , mais en même

    temps tu es pour les OFP , enfin tu en défend une .

    Tu dis les syndicats non rien fait ou ne font rien , mais ils ne font que ce à quoi tu es pret c'est a dire RIEN .

    Pour moi au fret le 12/12 (demain quoi ) c'est 1/7eme en plus lotrela

  4. Hé ben rien justement !!! Enfin, ça c'est mon avis. D'autres te diront qu'ils luttent.

    C'est quand même étonnant qu'il y a seulement quelques années c'était la guerre entre dépots pour un train qui passait d'un dépot à l'autre, pour une connaissance de ligne qui "empiètait" le territoire de l'autre, etc ... Et maintenant, la direction transfère un paquet de trains à VLFI au détriment de ses propres agents, et à part quelques tracts mollassons, il ne se passe rien ... On nous annonce comme ça "au dépot X il y aura 30 agents en trop au changement de service prochain", et ça réagit pas plus que ça ... Et quand j'évoque VFLI à des collègues, certains trouvent ça bien parce que ça reste dans "le groupe" (et de ce fait cautionnent une concurrence interne), d'autres sont fatalistes ...

    C'est quand même bizarre ce changement de mentalité de la base en si peu de temps ... Idem pour nos syndicats ! Achetés ou fatalistes aussi ???

    tu es prêt a quoi pour changer cela ?

  5. http://www.mobilicites.com/fr_actualites-la-sncf-et-transdev-vont-faire-rouler-le-tram-train-de-mulhouse-en-commun_77_627.html

    La mise en service du tram-train de Mulhouse le 11 décembre sera une première en France. Premier véhicule du genre en France, il sera conduit de bout en bout par des agents de la SNCF ou des traminots de Transdev, sans changement de conducteur au milieu de la ligne !

    Deux cultures vont devoir cohabiter sur les rails de l'agglomération de Mulhouse : celle de la SNCF et celle de l'opérateur privé Transdev, filiale de la Caisse des Dépôts qui doit fusionner avec Veolia en 2011.

    Car en ville, le tram-train qui reliera la gare de Mulhouse à Thann (Haut-Rhin) à partir du 11 décembre 2010 sera un tramway. Et en zone périurbaine, ce sera un train.

    Il empruntera successivement les rails du tramway urbain et la ligne de chemin de fer classique où il pourra atteindre une vitesse de pointe de 100 km/h. Une première en France.

    Au volant, soit des agents de la SNCF, soit des salariés polyvalents de Transdev, l'actuel exploitant du réseau de transport urbain mulhousien, Solea. Tous ont été formés à la conduite de cet engin dont le concept est importé d'Allemagne.

    La grande nouveauté c'est qu'ils ne quitteront pas leur poste de conduite quand ils dépasseront les frontières de l'agglomération. Autrement dit, les cheminots vont laisser des traminots rouler sur les voies ferrées. Et vice-versa.

    Chaque famille de conducteur conduira le tram-train de bout en bout. Contrairement à ce qui se passe encore sur le RER B où les agents de la RATP cèdent le volant à ceux de la SNCF passée la frontière institutionnelle du périmètre de transport urbain. Ce qui ne favorise pas la régularité des trains.

    Mariage de raison

    "Le plus difficile n'a pas tant été la technique mais le mariage des cultures : celle de la SNCF et de ses réglementations, et celle du tramway urbain" analyse Jean-Marie Bockel, président de Mulhouse Alsace Agglomération.

    L'ancien maire de la ville qui défend ce projet de tram-train depuis 1995 et a présenté son lancement le 24 novembre au Congrès des maires ( Porte de Versailles, à Paris), juge la SNCF "impérialiste", mais admet que ses dirigeants ont su bouger les curseurs au fil du temps

    "Cet évenement est le fruit de plusieurs années de concertation et de préparation entre la SNCF, très marquée par une culture sécurité mais dont le coût des systèmes est inopérable en milieu urbain, et Transdev, aguerri à l'exploitation de tramways urbains", complète Joë Lebreton, pdg de Transdev (lire l'encadré).

    "L'objectif est de passer de 5 000 voyageurs/jour à bord de l'actuel tramway (en service depuis 2006, ndlr) à 10 000, avance Jean-Marie Bockel.

  6. Veolia Transport et l'opérateur public italien ont créé, fin octobre, une coentreprise qui vise le marché français des grandes lignes. Premier concurrent officiel de la SNCF, le duo commencera prudemment avec des trains de nuit, mi-2011, avant de lancer une liaison classique Lyon-Turin, début 2012.

    C'est la première brèche dans le monopole de la SNCF en France dans le transport ferroviaire de voyageurs. Officiellement libéralisé depuis la fin de l'année 2009, le marché des liaisons internationales va enfin accueillir un nouvel entrant l'an prochain. Selon nos informations, Veolia Transport et Trenitalia ont décidé de sauter le pas pour venir se frotter ensemble au groupe public français, et ce dès l'été 2011. Fiancés depuis plusieurs mois, les deux partenaires ont officiellement créé une coentreprise à la fin du mois d'octobre, qui scelle leur alliance sur le marché des grandes lignes.

    Le duo est décidé à avancer prudemment. Il s'agit, dans un premier temps, de faire rouler des trains de nuit dès le milieu de l'année prochaine, avec des liaisons Paris-Milan-Venise et Paris-Florence-Rome. Ensuite, début 2012, des trains de jour aux couleurs de la nouvelle compagnie - le nom de la marque commerciale ferait encore l'objet de discussions -rouleront entre Lyon et Turin, avec un arrêt à Chambéry. Il ne s'agira pas de TGV : le duo a dû renoncer devant les difficultés pour homologuer le matériel (lire ci-dessous). Le train sera plutôt de type Corail, avec, a priori, 3 allers-retours par jour. Pour de la grande vitesse, rien n'est envisagé dans l'immédiat. Des correspondances sont seulement prévues entre Turin et Milan via les trains grande vitesse locaux du groupe italien. La prochaine fenêtre de tir pourrait être à l'horizon 2014 : à cette échéance, Trenitalia devrait avoir reçu une grande partie des 50 Zefiro commandés l'été dernier à Bombardier, qui auront une vitesse commerciale de 360 km/h, et sont justement conçus pour rouler partout en Europe…

    Pas à pas

    Ce défi de la grande vitesse reste néanmoins, pour le moment, une hypothèse de travail. Les deux partenaires préfèrent visiblement avancer à pas comptés sur ce difficile marché des grandes lignes. Le lancement d'une offre de trains de nuit devrait leur permettre, dans un premier temps, d'expérimenter très concrètement toutes les étapes du parcours du combattant permettant d'arriver sur le réseau ferroviaire français : demande de sillons auprès de Réseau Ferré de France (RFF), homologation du matériel roulant et négociations avec la SNCF pour obtenir les services en gare. La liaison Lyon-Turin possède l'avantage d'avoir une dimension régionale très forte, avec la desserte prévue de Chambéry, qui permettra de tisser des liens avec la région Rhône-Alpes. Pas négligeable quand on s'appelle Veolia et qu'on a fait des TER sa priorité stratégique.

    La conclusion de ce partenariat franco-italien apparaît en tout cas comme logique pour les deux groupes. Veolia Transport s'intéresse depuis plusieurs années à la grande vitesse. En 2008, une association avec Air France avait même été étudiée. Très avancé, le dossier avait pourtant été enterré à l'automne 2009 par la compagnie aérienne, son nouveau dirigeant, Pierre-Henri Gourgeon, se montrant nettement moins enthousiaste. Le patron d'Air France KLM regrettait les conditions de la libéralisation du transport ferroviaire - seules les liaisons internationales sont concernées, avec la possibilité de faire un cabotage limité sur le territoire français.

    Ces restrictions n'ont pas refroidi Trenitalia. Il est vrai que la compagnie italienne a bien d'autres raisons de venir défier la SNCF sur ses terres. Le français ne s'est en effet pas privé de le faire en Italie, en prenant, fin 2008, 20 % du capital de NTV (lire ci-dessous). Depuis, les relations entre les deux monopoles historiques sont plus que houleuses. Dernier épisode en date : l'homologation des TGV français pour rouler en Italie avait pris un retard important au printemps, obligeant la SNCF à retarder les réservations estivales pour les trajets Paris-Milan.

    Le partenariat entre les deux entreprises publiques - les relations France-Italie sont exploitées en commun sous la bannière Artesia -vit donc sans doute ses dernières heures.

    RENAUD HONORE, Les Echo http://www.lesechos....ndes-lignes.htm

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