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Le Web des Cheminots

fby

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Messages publiés par fby

  1. Bonjour, je voudrais effectuer un trajet entre Marseille et Lille pour passer un Week end la bas d'ici 6 mai.

    Or pour faire Edingburgh Marseille (2,5 fois la longueur Lille Marseille) par Avion je n'avais payé que 60 euros et on m'a dit qu'un train ne consommait rien par rapport au avions d'une part, et que en France l'électricité est donnée d'autre part et que donc les trains coutent bien moins cher que les avions car ils sont électriques.

    Donc je vais à la gare pour demander un Marseille Lille, le moins cher possible, et surprise! il n'y a pas de trajet moins cher que 110 euros. Alors qu'en avions je trouve un trajet à 60 euros.

    Comment se fait-t-il qu'un véhicule qui consomme presque rien en énergie donnée, coute plus cher qu'un véhicule qui consomme plus en or noire? (le Kerozene est très cher par rapport à l’électricité, et pour faire 10 KM de dénivelé à 1000KM/heures, forcement on demande le triple en chevaux par rapport aux trains)

    Du coup, comme l'avion + navettes est moins cher que le train pour le même voyage, que de plus ça fait gagner 4 heures sur le trajet,mon choix est fait.

    Mais qu'est ce qui justifie une telle différence de prix entre un train électrique, et un avion?

    Quelle est votre compagnie aérienne ?

  2. "Concurrence libre et non faussée qu'ils disent..."

    Petits arrangements entre amis...

    Et qui on retrouve à la tête de l'ARAF...

    C'est sur c'est ça qui va mettre les trains à l'heure, relancer les activités ferroviaires et le service public, améliorer les conditions de transports des voyageurs

    et donner aux cheminots des moyens nouveaux ...

    Notre société marche vraiment à l'envers...

    Au fait c'est qui le concurrent de Novatrans...?

    IL y a T3M

  3. Oui, exact...

    C'est notamment le cas sur certaines zones de transition de vitesse reprises aux RT mais pas annoncées par TIV sur le terrain. Exemple connu sur le Sud-Est: le Km4 sens pair au niveau du pont de Charenton.... Les FUA y sont TRES réguliers, notamment sur la voie 2M

    Collonges - Fontaines (Lyon) de 140 à 90

    LN P4 oups Poste 7 (en nouveau franc)

  4. Bonjour à vous deux.

    Non ce n'est pas une blague; je me rends compte de l'incongruité de la situation étant donné que nous sommes un 1er avril. Toutefois, cela n'a aucune pertinence ici. Nous avions confié la gestion de ce compte à, comme je l'ai dit plus haut, un community manager. Il nous a rendu son rapport il y a 5 jours, nous avons donc pris notre décision.

    Après croisement avec les informations délivrées par les utilisateurs du forum, nous avons pu identifier une cinquantaine de meneurs réfractaires. Une personne n'étant pas affiliée à SNCF mais à son homologue belge, nous avons transmis les informations et les conséquences à qui de droit. Tous ceux qui ne sont pas membres du groupe ne seront pas inquiétés.

    de plus en plus drôle lotrela il est pas de Belgique mais du Boukistan mdrmdr

  5. http://titresdetransport.blog.capital.fr/index.php?action=article&id_article=428776

    Les conducteurs de train en Allemagne veulent gagner la même chose dans le privé et dans le public (ici en février)

    Cela ne se passe pas en France mais en Allemagne. Pour autant, cela présage de la situation que notre pays pourrait connaître dans une poignée d'années.

    Les conducteurs de train allemands opérant dans des compagnies privées étaient en grève hier, lundi 28 mars, à l'appel de leur syndicat majoritaire GDL (75% des 26 000 cheminots roulants). Leur revendication ? "A travail égal, salaire égal ". En clair, ils réclament un alignement de leurs rémunérations et de leurs avantages sociaux sur ceux de la compagnie publique, la Deutsche Bahn.

    L'enjeu est essentiel pour les six compagnies ferroviaires privées, dont la française Veolia, qui roulent en Allemagne en grande majorité sur le réseau régional. Il s'agit de la possibilité d'employer de la main d'oeuvre à moindre coût par rapport à l'ancien monopole public. Sans surprise, elles refusent pour l'instant d'ouvrir des négociations salariales.

    C'est exactement cette concurrence par les coûts salariaux que Guillaume Pepy, patron de la SNCF, veut absolument éviter. Mi février, il a donc obtenu dans sa nouvelle lettre de mission de mi mandat remise par l'Elysée que parmi ses objectifs figurent la recherche d'un "cadre social harmonisé" pour l'ouverture à la concurrence du transport de voyageurs. Dans la foulée, le cheminot en chef a envoyé une lettre à Nathalie Kosciusko-Morizet, sa ministre de tutelle, pour l'ouverture de négociations avec les acteurs privés en France.

    Comme en Allemagne, ceux-ci sont vent debout contre cette perspective. Ils estiment qu'ils ne pourront ni baisser les prix, ni améliorer le service, donc qu'ils ne pourront pas prendre de parts de marché, si on les soumet aux mêmes contraintes (salaires, repos, amplitude horaire) que la SNCF .

    Mais la grève allemande vient nous rappeler que les salariés ne sont pas prêts non plus à travailler plus pour gagner moins dans le privé.

  6. Blessée dans le train

    Belfort. Une femme de 36 ans a déposé plainte, hier après-midi, au commissariat de Belfort en affirmant qu'elle avait été frappée par un contrôleur de la SNCF, vendredi soir, dans le train n° 4322 (Lyon Part Dieu-Strasbourg) entre Lons-le-Saunier et Besançon. La SNCF a une tout autre version des faits.

    La jeune femme se rendait à Belfort pour rejoindre sa famille, mais est descendue en gare de Besançon avant d'être admise à l'hôpital de cette ville dans la nuit de vendredi à samedi. Elle est y restée en observation jusqu'à hier matin. Elle présente une plaie de plusieurs centimètres de long sur le haut du crâne qui a nécessité plusieurs points de suture. Le certificat médical délivré atteste également d'un traumatisme crânien et d'une fracture du nez. Le praticien hospitalier signataire du document lui a prescrit cinq jours d'incapacité totale de travail (ITT).

    La passagère affirme avoir profité de l'ouverture des portes à Lons-le-Saunier pour fumer et ne pas avoir jeté sa cigarette à temps à la fermeture des portes. Elle dit que le contrôleur est arrivé, lui a reproché de fumer. Elle affirme qu'elle a alors été bousculée et a reçu un coup sur la tête. « J'ai appelé la police avec mon téléphone portable » dit-elle.

    Jointe, hier, la SNCF déclare que la jeune femme, en état de « grande excitation », semait le trouble dans un wagon au point qu'un passager est allé chercher un contrôleur. « Il y avait deux contrôleurs. Ils expliquent que lorsqu'ils sont arrivés, la passagère s'est encore davantage énervée. » La SNCF ajoute qu'un contrôleur a téléphoné aux services de sécurité afin de faire descendre la passagère en gare de Besançon, et que, s'agitant en tous sens, elle s'est blessée en tombant. La direction de la SNCF précise qu'elle a deux témoignages de passagers : celui du voyageur qui est allé chercher les contrôleurs, et celui d'un gendarme qui voyageait à titre privé dans le wagon.

    http://www.estrepubl...r-le-controleur

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